jackbauer 2

Hayabusa 2 à l'assaut de Ryugu

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En fonction des images du PDF en japonais, je crois pouvoir avancer qu'une zone d'environ une vingtaine de mètres de diamètre à été couverte assez densément par les éjectas (?)...

 

Je me suis mal exprimé, cette zone serait plutôt la surface remaniée directement par l'impact.

Il est évident que certains éjectas ont pu même quitté le champs gravitationnel de Ryugu ou ont été susceptibles de retomber de l'autre côté de l'astéroïde. 

Modifié par Huitzilopochtli
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Twitter JAXA :

 

[CRA2] The exact size and shape of the artificial crater will be examined in detail in the future, but we can see that terrain of an area about 20m wide has changed. We did not expect such a big alternation so a lively debate has been initiated in the project !

 

 

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Pour ce qui est du prélèvement envisagé dans le cratère lui même, il me semble, à priori, que cette opération serait hautement risquée. 


En fonction de la représentation 3D, et de l'indication approximative qui nous permet d'évaluer le relief local, on peut estimer à plusieurs mètres (2 ou 3, peut-être davantage ?..) la plus grande profondeur du cratère. De plus, les grands rochers à proximité de ce point bas, interdiraient à la sonde d'évoluer et de toucher le terrain à cet endroit.

 
Pour rappel, la garde au sol d'Hayabusa2 (hauteur entre l'extrémité du système de prélèvement et la partie basse de la sonde) n'est que de 50 cm. Les panneaux solaires sont eux à 2 m de cette extrémité. Il va donc falloir trouver un espace qui, dans un rayon de deux mètres environ, sera sans rochers d'une hauteur max de 50 cm, et qui permettrait également aux six mètres d'envergures des panneaux solaires de ne toucher aucun obstacle.


Je l'annonce avec une certaine assurance, le prélèvement dans le cratère à proprement parlé sera impossible. Par contre, il reste l'espoir qu'on puisse le réaliser dans la zone de 20 m ou le matériau interne de Ryugu a été mis à jour par l'impact. 


On a pu voir lors du premier prélèvement, la formidable capacité qu'a Hayabusa2 pour ce type de manoeuvre. L'étude de faisabilité d'un deuxième échantillonnage est déjà en cours et si la JAXA décide de l'entreprendre, il faudra auparavant repositionner une balise de guidage... 
 

 

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Un tweet de la JAXA indiquerait que la taille du cratère serait en fait plus proche des 10 mètres.

A mon humble avis, il sera vain de lui donner une mesure précise tant ses bords restent indistincts.

Seul le changement de couleur de la surface ne prête guère à interprétation,  mais il ne correspond que très partiellement à la dépression créée par l'impact en couvrant une superficie nettement supérieure. 

 

Modifié par Huitzilopochtli
reformulation

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PDF (en anglais) récapitulatif des documents utilisés par la JAXA lors de la conférence de presse du 11 avril 2019.


Préambule habituel (et lassant), puis essentiellement dédiée à l'opération création du cratère (SCI) et à son observation ultérieure. Quelques détails intéressants supplémentaires exposés viennent s'ajouter à ce que l'on savait déjà. 


http://www.hayabusa2.jaxa.jp/en/enjoy/material/press/Hayabusa2_Press20190411_ver10_en.pdf
 

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Quelques échos de la conférence de presse post opération SCI s'étant tenue hier au Japon. Ces informations ne sont pas toujours très claires, mais nous devrions avoir des précisions d'ici peu :


Il est fait mention de la création de 11 cratères dans une zone relativement restreinte !!!... O.o
Retombées de blocs après impact ? 
Peu probable selon moi du fait de la très faible gravité sur Ryugu. 


J'avancerai plutôt l'explication d'un réagencement des blocs constituants le "Ruble pile" lors de la formation du cratère principal et ayant ainsi provoqué l'apparition en surface du matériau interne.

On verra bientôt ce qu'il en est exactement, car peut-être qu'un rapide traduction à transfigurer ce qui avait été réellement dit.


Comme je l'imaginais, un marqueur-cible devrait être largué (le 16 mai) dans la zone qui sera sélectionnée pour le prélèvement, suivrait une ou plusieurs descentes d'observation du terrain, quand le prélèvement lui-même n'interviendrait pas avant fin juin.
 

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Traduction du PDF (en japonais) résumant la conférence de presse par Marcin600 (UMSF) :


Un changement de relief presque circulaire dépassant 10 m de diamètre a été identifié (image ONC-T) 


L'opération d’impact a été observée pendant plusieurs minutes (image prise par DCAM3). 


Forme du cratère: profondeur d'environ 2 à 3 m. La surface de la paroi latérale semble lisse. On peut également observer le déplacement de masses rocheuses et le changement de topographie qui l'accompagne.


Des modifications de la réflectivité de surface (assombrissement) peuvent également être observées (vérification requise). 


Il est possible d'estimer la résistance et l'âge de la surface de Ryugu à partir du diamètre du cratère. 


La formation de cratères secondaires et le mouvement de la masse rocheuse peuvent être observés le long de la circonférence ovale (Voir diapo du PDF). 


On présume que cela est dû à la collision de fragments dispersés par la frappe du SCI. (Donc à priori, mon explication à ce sujet était fausse).
 
Plan future pour les opérations de mai à juillet : 


Ryugu se rapproche du soleil (le périhélie sera en septembre). La température de la surface de l'astéroïde est désormais élevée. Il est possible de réaliser un touch down jusqu'au début Juillet. 


Le terrain autour du cratère et l'état de l'engin spatial seront examinés début et fin juin avant de décider de mettre en œuvre l'opération de prélèvement début Juillet. 


Le point cible pour la mise en œuvre est l'emplacement où se trouve un débris éjecté (matériau dispersé) provenant du cratère artificiel. 


Le nom de l'opération est «Pinpoint Touchdown» (PPTD).


Deux ou trois opérations d'observation avec descente à basse altitude seront mises en œuvre entre mai et juin avant l'opération PPTD. 


Il s'agira d'effectuer une observation topographique détaillée du site candidat au débarquement et, selon la situation, déposer le marqueur-cible. 


Première opération d'observation du 14 au 16 mai, nom de l'opération: PPTD-TM1.

 
Deuxième opération d'observation fin mai, Nom de l'opération à déterminer.

 
Troisième  opération d'observation, première quinzaine de juin, nom de l'opération à déterminer.

 

index.php?act=attach&type=post&id=44654


index.php?act=attach&type=post&id=44655


index.php?act=attach&type=post&id=44657

 

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Présentation traduite de l'article  https://iopscience.iop.org/article/10.3847/2041-8213/ab0e8b
 


162173 Ryugu, la cible d' Hayabusa2 , a une forme approximativement sphérique avec une crête équatoriale, qui lui donne une de forme de toupie. Une force centrifuge puissante est probablement à l'origine des caractéristiques de forme de Ryugu. Les observations faites avec la caméra de navigation optique  de la sonde Hayabusa2 montrent une variation longitudinale unique en géomorphologie, le côté ouest de cet astéroïde, appelé renflement occidental, présente une surface lisse et une arête équatoriale nette par rapport à l'autre côté. Nous proposons ici un processus de déformation structurelle ayant généré le renflement occidental. En appliquant le modèle de forme dérivé des observations de la mission, nous utilisons une technique de modèle par éléments finis pour analyser les emplacements qui subissent une déformation structurelle dans la forme actuelle. En supposant que les matériaux soient uniformément répartis, notre modèle montre la variation longitudinale dans cette région particulière lorsque la période de rotation est inférieure à environ 3,75 heures. Ryugu est structurellement inchangé dans la région souterraine du bulbe occidental tandis que d'autres régions sont sensibles aux déformations structurelles. Nous en déduisons que cette variation est révélatrice du processus de déformation survenu dans le passé, où le renflement occidental est moins dense structurellement que le reste de l'astéroïde. Notre analyse montre également que ce processus de déformation pouvait se produire pour une période de rotation comprise entre environ 3,5 et environ 3,0 heures, fournissant une force de cohésion comprise entre environ 4 et 10 Pa.


Explications et schémas sur le site de la JAXA :


http://www.hayabusa2.jaxa.jp/en/topics/20190513e_Shape/
 

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L'opération PPTD- TM1 (Pour pint point touch down -Taget Marker 1) ne  s'est pas déroulée normalement.

La sonde Hayabusa2 a interrompu  sa descente vers la surface à 50 m d'altitude, alors qu'il était prévu d'atteindre moins de 20 m pour le largage du marqueur cible. Celui-ci n'a donc pas pu être délivré.

La sonde remonte vers sa  position de "stationnement" (Home Position).

Des investigations sont entreprises pour comprendre la cause de cet incident.

 

 

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http://www.planetary.org/blogs/jason-davis/hayabusa2-snag-second-target-marker.html


Des nouvelles d'Hayabusa2 traduites du lien ci-dessus :


Hayabusa2 a échoué la semaine dernière, dans sa tentative de larguer une deuxième cible sur la surface de Ryugu. Ce marqueur-cible était destiné à guider l’engin spatial pour une deuxième tentative de collecte d’échantillons.


Le vaisseau est en bon état et a repris sa position d'attente à 20 km de l'astéroïde.


 La JAXA avait déjà surmonté un échec similaire, l'année dernière, en apportant quelques modifications procédurales mineures, mais le temps passe, et il ne reste plus qu'un mois et demi avant que la surface Ryugu ne soit trop chaude pour tenter à nouveau un touch down.


Suite à la première collecte d'échantillons effectuée par la mission en février 2019 et à la création d'un cratère artificiel en avril , la JAXA se demande s'il convient d'essayer de prélever un deuxième échantillon. Parmi les risques encourus, citons les mêmes terrains dangereux qui ont fait du premier touché une opération risquée, ainsi que la possibilité que davantage de projections de matière restent collées aux caméras de navigation, obscurcissant ainsi leurs objectifs.


En prévision de l’atterrissage envisagé fin juin, Hayabusa2 est descendu vers Ryugu, du 14 au 16 mai, pour lancer un nouveau marqueur-cible. Le vaisseau spatial utilise ces ballons réfléchissants pour l'aider à se guider lors d’opérations à proximité de la surface.


Le marqueur de cible devait être largué vers 16 h 02, heure UCN, le 16 mai, à environ 10 mètres au-dessus d'une zone S01. Cette zone se trouve à seulement quelques mètres du cratère artificiel créé lors de l'opération SCI, et contient probablement des matériaux excavés par l'impact. Un échantillon de cette nature permettrait aux scientifiques d'étudier la matière interne de Ryugu qui aurait été moins exposé aux rayonnements que celle précédemment collectée.


L'opération de largage du marqueur-cible avait donc bien commencé. Comme à son habitude, la sonde a envoyé des images en temps réel pendant sa descente, dont la dernière montrait l’ombre de la sonde à environ 60 mètres d'altitude.


A seulement 50 mètres de l'astéroïde, Hayabusa2 stoppa automatiquement la descente, et commença à remonter en s'éloignant de Ryugu.


"[PPTD-TM1] The spacecraft descent has been autonomously aborted at an altitude of about 50m. Hayabusa2 is currently rising to the home position. Telemetry from the spacecraft has been confirmed and the spacecraft is normal, but the target marker has not been dropped."


A cette distance, Hayabusa2 devait toujours utiliser le LIDAR pour déterminer son altitude (le vaisseau changeant pour son détecteur laser à courte portée lorsqu'il se trouve à moins de 35 mètres de la surface), de descente à une vitesse de 10 centimètres par seconde. La JAXA n'a pas encore expliqué ce qui a pu se passer, mais un échec similaire s'était produit lors d'une répétition de l'atterrissage en septembre 2018. La sonde avait alors interrompu sa descente à 600 mètres de Ryugu alors que le LIDAR avait du mal à capter les signaux renvoyés par sa surface, en raison de sa très faible réflectivité. Dans un nouvelle tentative, l'équipe de la mission avait été en mesure d’ajuster les paramètres de l'instrument et donc pu surmonter ce problème dans l'approche de l'objectif. Il est fort probable que la raison de ce nouvel échec soit identique à celle du premier, et que la même correction qui avait été réalisé, permette de résoudre la difficulté encore rencontrée.


Il reste cependant que Ryugu se rapproche de son périhélie et que sa température de surface commence à augmenter. Une fois qu'il aura dépassé les 100°C, début juillet, la sonde ne sera plus en mesure de passer du temps à proximité de la surface, car toute la chaleur rayonnée pourrait lui être fatale.


Donc, si Hayabusa2 doit prélever un deuxième échantillon, elle doit absolument le faire avant la fin de la première semaine de juillet.

 

Ensuite, la sonde japonaise resterait dans les environs de Ryugu jusqu'en novembre ou décembre de cette année, pour à cette date, revenir vers la Terre et retourner chez elle avec ses précieux échantillons fin 2020.
 

Modifié par Huitzilopochtli
orthographe

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Selon un journal local japonais, au moment où Hayabusa2 a interrompu sa descente vers Ryugu, alors que la sonde était réellement à un cinquantaine de mètre d'altitude, le LIDAR aurait indiqué une position de la sonde à 9 km de l'astéroïde.

L' anomalie flagrante a déclenché l'annulation automatique de l'opération. 

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FredK sur UMSF propose deux images du cratère artificiel à partir des vues prises par Hayabusa2 à 500 m d'altitude.

 

Cross-eyed :


index.php?act=attach&type=post&id=44716


En relief si vous avez les "bonnes" lunettes : 


index.php?act=attach&type=post&id=44717


 

Modifié par Huitzilopochtli
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Lors de l’opération PPTD-TM1 s'étant déroulée entre le 14 et le 16 mai, la sonde Hayabusa2 est descendue à une altitude d’environ 50 m avant d’arrêter sa descente et de commencer à remonter. Cet abandon automatique de la manoeuvre était dû à une mesure de distance incorrecte effectuée par l'altimètre laser (LIDAR) et a impliqué que le marqueur-cible ne pouvait pas être largué . Cet incident n'a pas empêché la sonde d'imager à basse altitude la surface autour du cratère artificiel. 


Une nouvelle opération désignée comme PPTD-TM1A  doit délivrer le marqueur-cible et sera réalisée dans les deux jours qui viennent, la manoeuvre étant presque identique à celle ayant précédemment échouée.


Cependant, dans l'opération PPTD-TM1, il était prévu de descendre vers la région SO1. Pour PPTD-TM1A, le marqueur cible sera déposé dans la zone CO1, à proximité de la zone SO1. 


L'opération PPTD-TM1A doit se faire du 28 au 30 mai 2019. (Voir schémas et tableaux du lien pour plus de précisions).


http://www.hayabusa2.jaxa.jp/en/topics/20190527e_PPTD-TM1A/
 

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Cette nuit la sonde Hayabusa2 est descendue jusqu'à une dizaine de mètres de la surface de Ryugu.

A ce moment précis,  les contrôleurs ont  manifesté leur satisfaction en applaudissant.

Le vaisseau a ensuite regagné sa position initiale et tous ses systèmes fonctionnent de façon nominales. 

 

Même si normalement cela a dû être le cas, il n'a pas été formellement confirmé que le marqueur-cible avait bien été délivré.  

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Marcin600 (UMSF) nous fournit, par comparaison de repères sur image, la localisation finale du marqueur-cible sur la surface :

 

index.php?act=attach&type=post&id=44737

 

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Le ‎26‎/‎04‎/‎2019 à 22:45, Huitzilopochtli a dit :

Je l'annonce avec une certaine assurance, le prélèvement dans le cratère à proprement parlé sera impossible. Par contre, il reste l'espoir qu'on puisse le réaliser dans la zone de 20 m ou le matériau interne de Ryugu a été mis à jour par l'impact. 

 

 

Heu, dit Huitzi, t'as déjà perdu une de tes deux couilles sur Ultima Thulé, et tu remets ça sur cette histoire de prélèvement ?

Que va t-il rester de toi ?? :/xD

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Mon pauvre Jack' ! Ton appétence pour le rognon précolombien te fait perdre toute raison. ^_^

 

Ce serait éventuellement dans la zone des 20 m autour du cratère que le prélèvement se ferait, non pas dans le cratère "à proprement parlé" généré par l'impact.

 

Pour rappel ce que l'on pourrait qualifier de "cratère" est une dépression dont la plus grande profondeur atteindrait 2 ou 3 m et qui serait inférieure à 10 m de circonférence.

 

C'est bien dans le secteur CO1 que le prélèvement devrait être réalisé. Comme visualisées sur la carte ci-dessous, 3 zones ont été circonscrites dans ce secteur, de haut en bas et de gauche à droite, CO1-a, CO1-b et CO1-c cette dernière couvrant la zone de matériau exhumé par l'impact du SCI.

 

Quelque soit le choix final de l'endroit précis sur lequel se fera l'échantillonnage, cela ne sera pas dans la dépression artificiel dont la profondeur interdit le Touch and go de la sonde.

 

fig1e.jpg

 

Pour ce qui est de la cratérisation d'Ultima Thulé, je t'invite a aller consulter les dernières données à ce sujet, que j'ai aimablement relayées dans le topic idoine.

 

Que cela te plaise ou non, je conserve l'intégralité de mes attributs.

Mais étant bon prince, je vais quand même t'envoyer un selfie dédicacé. :)

 

 

 

 

Modifié par Huitzilopochtli

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Le 30 mai, lors dde l'opération PPTD-TM1A, la séparation du marqueur-cible a été saisi au dernier moment par la caméra CAM-H11, à une altitude d’environ 9 m.

 
D8S13F1V4AA_7_H.jpg


 

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Dernière image publiée de cette opération prise à 80 m de la surface :

 

D86EQmKV4AAY11z.jpg

 

On notera que l'altitude minimum atteinte fût de 9 m.

Il s'agissait d'inspecter la zone du futur prélèvement et la JAXA doit normalement disposer maintenant d'images de meilleures résolutions que celle-ci.

La sonde a regagné sa position de stationnement.

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