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Par Tromat2
Hello,
petit retour sur la pointe des pieds en astrophoto après 3ans de pause. Il faut dire que la dernière fois que le focuseur EAF refusait de se connecter, et la monture ne répondait plus.
Après une petite soirée (le 20/03) à remettre en route le setup j'ai résolu les différents soucis. Changement de câble, mise à jour firmware et quelques réglages (position à 0 et pas à 0, forcément ça marchait moins bien) pour le focuser, et passage à GS Server sur la monture qui ont tout résolu. Comme la nuit était à peu près claire j'ai lancé une prise de vue sur M3 parce que... why not.
NINA et PHD2 ont fait de la merde après le retournement au méridien et je n'ai pas de RGB, seulement du L. Il y a un truc à cocher pour inverser le sens de correction après le retournement. J'ai tenté une prise de vue hier soir, mais entre la pleine lune et de possibles passages de nuages je suis infoutu de calibrer correctement les couleurs, même en spectrophotométrie, donc ça sera du NB pour le moment.
ALtair 183M + Skywatcher 72ED sur HEQ5
57x120s soit 1h54.
Traitement Pixinsight.
La full : http://www.astrosurf.com/uploads/monthly_2024_03/large.Final_drizzle_01.jpg.403e54ed4b274425da3e5bac3a43a37e.jpg
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Par FranckiM06
Bonjour à tous,
Alors hier, j'avais juste sorti la petite FS60CB pour faire la comète mais le temps que je fasse ma MES, j'ai pu l'observer 5mn et après, elle s'est couchée
Bon, j'espère que ce soir je pourrais l'avoir.
Sinon après juste avant que les nuages arrivent de nouveau, j'ai pu faire une petite heure sur M13 et j'ai été surpris qu'on puisse voir si bien le fameux Y avec seulement 22 x 180s avec le filtre L-pro :
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Par COM423
Bonsoir,
Ce n'est certainement l'entrée la plus spectaculaire du catalogue Messier, mais je ne l'avais encore jamais imagé et j'ai donc comblé cette lacune en ce mois de mars, en fin de lunaison au fort clair de Lune du coup (près de 40%).
Je vous propose ce soir le duo Messier 47 et NGC 2425 dans la constellation de la Poupe, culminant à seulement 31° de hauteur au-dessus de l'horizon par une nuit dégagée mais un peu turbulente (comme souvent ici) :
( Clic droit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet/Nouvelle Fenêtre pour voir l'image à 100% )
Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Bas
Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering pour une pose sur deux
Nuit du 15 au 16 mars 2024 de 18h38 à 20h50 utc
208 poses de 30s à -15°C, Temps d'intégration de 01 h 44 min
Traitement Siril-1.2.0, Finition avec Gimp 2.10.28
Échantillonnage ramené à 2,5"/pixel
Pas de comète dans le champ () et même pas de galaxies ou nébuleuses, juste de très nombreuses étoiles !
Bon an mal an, j'arrive au 2/3 du catalogue Messier imagé au Quattro 200
Bonne soirée et bon ciel
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Par Odys
Salut à tous !
En septembre 2022 je vous présentai ma toute première prise, M31.
Depuis j'ai continué à faire chauffer ce vieil EOS400D non défiltré, toujours monté sur une 80ED, le tout sur une EQ6r. Dans un second "sujet" je montrerai mes clichés pris à la caméra.
Je me suis alors essayé à M33, avec un résultat relativement moyen, mais qui n'a pas manqué de m'émerveiller. Le vieux capteur montre ici ses limites je trouve.
Cela dit, ça ne m'a pas empêcher de prendre une sérieuse claque en voyant s'afficher la première brute sur l'écran du boitier, quelques semaines plus tard, quand j'ai pu viser M42. Quel spectacle incroyable ! Voici le résultat :
L'émotion passée, je profitais de cette même nouvelle lune de février 23 pour retourner à mes grands amours, les galaxies. Et vous ne serez pas surpris de voir quelle a été ma cible en cette période de l'année :
Cette image du couple M81-M82 a longtemps été ma préférée. C'était aussi celle où j'avais intégré le plus de poses et il me semble qu'à ce moment là je n'avais qu'une batterie pour mon 400D. Donc après 1h30 de pose, je l'ai sortie et mise en charge pour quasiment 2h, avant de pouvoir poser de nouveau 1h30, puis re-rechargement de 2h pour pouvoir faire 1h30 de darks... Petit marathon nocturne comme nous les connaissons, n'est-ce pas ?
C'était marrant mais il était temps de m'équiper d'une "fausse batterie" qui me permettrai de poser plus longtemps et surtout sans discontinuer. Pour tester, j'ai choisi une cible hors d'atteinte d'un capteur non défiltré, mais qu'à cela ne tienne, la voici :
Vous la reconnaissez ? C'est NGC 6888, le Croissant. Pour être honnête je ne pensais pas la diffuser un jour, d'où le fait qu'elle ne soit pas signée. Il y a 66 poses de 120 secondes ici et nous étions fin mai ou début juin 2023.
Pour rester dans les cibles ambitieuses, j'ai voulu immortaliser le Triplet du Dragon. Peut-être pas si ambitieux pour le capteur, mais pour la focale. J'ai dû opérer un crop violent pour être sûr qu'on ne les rate pas sur l'image finale :
Et pour finir, probablement la dernière image du ciel à tout jamais capturée par ce boitier... Car il en fallait bien une dernière : Le Double Amas de Persée avec 43 poses de 150 secondes.
Voilà mes petites aventures au 400D s'achèvent ici, j'ai tenté une M78 à un moment donné mais qui ne m'a pas du tout plu. Je pense l'avoir supprimée car je ne la retrouve pas.
Pour la suite, et entre autre pour le confort d'avoir une bibliothèque de darks, j'ai fait l'acquisition d'une ASI 533 MC Pro. Je vous invite à voir ce que j'ai pu en tirer sur un deuxième post, car je ne voulais pas que celui ci soit trop chargé.
Finalement ce reflex m'aura accompagné un bon moment et je lui suis très reconnaissant de m'avoir permis de me faire la main. Quand ma mère se l'est offert en 2006 ou 7, rien ne me laissait imaginer qu'un jour il me permettrait de telles visions, une telle ouverture sur l'espace infini qui nous entoure, de tels émerveillements devant ces gargantuesques nuages de gaz ou rassemblements d'étoiles. Le fait que de "simples" lentilles et un APN grand public révèlent autant de choses n'a de cesse de me surprendre. Ces choses qu'il y a à peine plus d'un siècle étaient non identifiées, et qui deviennent accessibles à un curieux depuis son jardin, c'est là pour moi toute l'essence de l'astrophotographie. Ce n'est pas les plus belles images du monde, certes, et bien sûr l'aspect technique est important, mais n'oublions pas la nature réelle des sujets capturés ! Époustouflants de par leurs tailles, leurs âges, mais surtout de par ce qu'ils nous disent de nous, infimes et éphémères poussières d'étoiles.
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Par polorider
Bonjour
Une éclaircie de 48H entre deux perturbations il ne faut pas la louper...
Jeudi 07/03/2024 : observations faites depuis le site de Chantemerle sur la commune de Marthod, dans le parc naturel régional des Bauges (Savoie). Altitude 900 m. Un site à peu près protégé de la pollution lumineuse directe des communes de fond de vallée.
Malgré une fin journée limpide et prometteuse pour la nuit, un voile d'humidité a un peu gâché la fête avec un ciel laiteux à partir de 20h30.
La comète 12P/Pons-Brooks (bien visible aussi aux jumelles 15x50...) avant qu'elle ne disparaisse derrière la crête qui domine le site :
NGC 891 une galaxie spirale vue par la tranche et située dans la constellation d'Andromède. Distance d'environ 15,1 millions d'al. NGC 891 a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1784:
@Goofy2 avait bien titillé ma curiosité avec sa capture du quasar PSS J1347+4956 (voir ici : http://www.astrosurf.com/topic/167273-quasar-pss-j13474956-le-06-fév-2024-avec-levscope2/ )
NGC 4565 une galaxie spirale vue par la tranche et située dans la constellation de la Chevelure de Bérénice. Distance d'environ 75,7 millions d’al. NGC 4565 a été découverte par l'astronome William Herschel en 1785. Elle est connue aussi sous le nom de « Galaxie de l'Aiguille » :
Merci pour votre passage par ici , bon ciel à vous
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