biver

46P entre 2 geminides

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Bien vu :)

Un  poil sombre tes images , sinon la soirée sur 12, j'ai aussi vu un grand nombre de météores , mais aucun n'a traversé le champ :(

Daniel

 

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Monsieur est au Pico Veleta et trouve qu'il y fait un peu frais pour la saison :);)

Bien belles images Nicolas, surtout celle au 70mm :)

J'ai dû passer par Pipp pour lire la vidéo :(

Bonne journée,

AG

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Félicitation à Nicolas dont la photo de 46P est sur le nytimes! 

 

Je venais de terminer la vaisselle quand ma compagne me montre sur son portable : "look, it's 'your' comet" (visiblement j'ai passé trop de temps cette semaine à faire des images de la belle visiteuse). Et l'image accompagnant l'article est signer de notre Nicolas Biver national :) La classe.

 

Source: https://www.nytimes.com/2018/12/15/science/green-comet-46p-wirtanen.html?action=click&module=News&pgtype=Homepage

 

Allez, demain ça va peut-être se dégager. Si je prends les photos après 1h du mat, la Lune sera couchée...

 

jf

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La grande classe notre Nicolas national :)

Allez, champomy pour tout le monde, tournée générale ;)

Bon dimanche,

AG

 

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Merci... et pourtant j'en ai vu de bien meilleures photo par ici... Il ne faut pas dire aux cadors de l'astrophoto que les journalistes acceptent des photos en jpg sans dark ni flat,... posees que quelques dizaines de secondes B|

C'est juste que la com de l'obs. de Paris a fait circuler l'info vers l'AFP,... peu importe en fait l'origine de la photo, l'important c'est d'interesser un peu les medias a autre chose...

 

iram46p-141218-21h59-24mmf4b-15s.thumb.jpg.bf41d4e449f31def1c8deb361cc76bc8.jpg

... une vue par la porte de la salle de controle avant hier soir (quand les 60-70 km/h de vent rendaient difficile la sortie de l'appareil photo sur la plateforme exterieure...

... Juste histoire de montrer que je travaille avec l'antenne bien pointee sur la cible d'actualite - un peu surexposee a cause de la lune :(

 

Nicolas

 

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Entre deux integrations avant hier au radiotelescope, 6x30sec au 135mm F/2.5:

(J'ai aussi des poses en raw a traiter...)

46pm45-161218-1h08-135mmf3bddp5-180s.thumb.jpg.35652ce841326cd58e43cf03fe4a5300.jpg

 

Le creneau sans lune se referme... et des cirrus arrivent, donc je ne sais pas si je vais en faire d'autres (et tout a l'heure je redescend de la montagne)

Nicolas

Modifié par biver
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Il y a 6 heures, biver a dit :

et tout a l'heure je redescend de la montagne

A cheval ? ;)

Et tu as eu cette chance de l'avoir tout près des Pléiades :)

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Il y a 7 heures, ALAING a dit :

A cheval ? ;)

youpi youpi yia...:)

 Il n'y a pas moyen d'en avoir une image radio ou plutôt un gif animé pour bien distinguer le noyau ??

 

  • Haha 1

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radio: cétait de la spectro millimétrque, rien de très sexy... on attend le beau temps pour les images interféro au Plateau de Bure.

... et pour redescendre, plutot à skis en cette saison (en rattrack + telecabine en fait!)

Nicolas

iram-151218-17h28-24mmb.thumb.jpg.7674868f27cfb70f47d23dbc5607ca45.jpg

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Une version toujours du rapprochement avec les pleiades dans la nuit du 15 au 16, a partir des raw... je ne sais pas comment en tirer une belle blance des blancs (sous iris)... :(

46p-151218-23h37-135mmf3rbddp5-180s.thumb.jpg.f11df2162f9a32cbf3001bdbfb19ff47.jpg

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Le fond de ciel est un peu sombre, mais je la trouve pas mal ta balance :)

AG

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il y a une heure, biver a dit :

je ne sais pas comment en tirer une belle blance des blancs (sous iris)... :(

Une méthode rapide : dans l'image finale (résultat de l'addition des images alignées), tu sélectionnes une zone sans étoiles et dans la console de commande tu tapes BLACK, ensuite tu sélectionnes une étoile de type solaire (G) et tu tapes WHITE2

 

C'est expliqué dans ce tuto pour Iris : https://fr.slideshare.net/Astrochoupe/tutoriel-de-traitement-dimages-du-ciel-profond-avec-iris-81326678 

Modifié par HP15C

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il y a 52 minutes, ALAING a dit :

Le fond de ciel est un peu sombre, mais je la trouve pas mal ta balance :)

 

Sauf que Aldebaran est verte. Ca choque un peu.

 

Je ne connais pas la méthode miracle, mais peut-être que prendre une photo d'une feuille blanche et l'utiliser pour calibrer la balance des blancs sous Iris?

 

jf

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PS: Mis à part ce petit problème de colorimétrie, l'image est superbe :) Et l'ambiance sur celle du plateau de Bure est extra, Ca donne envie d'aller skier !!!

 

jf

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Merci. Le black et white2 j'ai fait mais cela ne débarasse pas bien de la dominante verte... sur le white2 il faut peut-etre trouver une étoile dont je suis sur qu'elle n'est pas saturée car cela doit vite biaiser sinon...

Sinon j'ai toujours les jpg pris en parallele pour voir le resultat a obtenir...

En fait il faudrait que je recupere les parametres utiises par exemple par l'image converter de Sony pour visualiser les raw...

Nicolas

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    • Par RIGEL33
      De son nom officiel 12P/Pons-Brooks, cette comète est la 12ème à avoir été classée comme comète périodique, du fait de son voyage dans le système solaire qui la ramène à proximité du Soleil tous les 71 ans environ. On l’observe depuis au moins 1385 mais ce n’est que très récemment qu’on a découvert ses différents passages. Il est possible que la comète ait été enregistrée dans des sources chinoises en septembre 245.
       
      C’est une comète cryovolcanique de type Halley. Ce sont Jean-Louis Pons (astronome français) qui la découvre en 1812, et William Robert Brooks (astronomie américain) qui la redécouvre en 1883, qui auront la paternité de sa découverte.
       
      Son périhélie (approche au plus près du Soleil) se fera le 21 avril prochain. Plus elle se rapproche, plus le rayonnement solaire fissure son noyau d'environ 30 km de diamètre. Ce dernier est entouré d'une coma constituée de glace et de gaz qui s’échappe du noyau. Suite à un sursaut en octobre 2023, cette coma a formé deux « cornes » la qualifiant de "comète du diable". Les éruptions (sursauts) qu’elle subit au fur et à mesure de son approche, la rendent de plus en plus visible dans le ciel nocturne.
       
      12P/Pons-Brooks est probablement la comète responsable de la pluie d’étoiles filante des kappa-Draconides, active du 29 novembre au 13 décembre, ce qui lui a valu l’autre surnom de la « Mère des Dragons ».
       
      Enfin les bonnes conditions météo de cette mi-avril m’ont permis d’aller sur notre site d’observation à Saucats pour l’imager. Il était grand temps car avec la Lune croissante et le passage de la comète dans l’hémisphère sud, nous n’aurons plus l’occasion de la revoir avant son prochain périhélie en 2094 ;
       
      Poses uniques de 2 s prisent le 11 avril 2024 à Saucats (33). Canon 40D défiltré avec objectif Samyang 85 mm, ouvert à f/1.4, ISO 1600 – Camera RAW
       

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      Avec les satellites de passages…

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      Version annotée

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
       
      Poses uniques de 2 s prisent le 12 avril 2024 à Saucats (33). Canon 400D avec objectif Samyang 85 mm, ouvert à f/1.4, ISO 1600 – Camera RAW
       

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      Avec le public venu en profiter

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      Avec le public venu en profiter (annotée)

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
    • Par serge vieillard
      Yo !
       
      de retour à la maison, après un formidable périple mexicain, dont le prétexte était cette éclipse prometteuse du 8 avril. Prometteuse car de longue durée, pensez-donc 4mn27s à l’endroit choisi, bien loin des 62 secondes de l'an passé en Australie, qui plus est avec une activité solaire bien musclée et avec des statistiques météo en ces contrées tout autant prometteuses - mais qui ne se concrétisa pas à l'optimum, comme on va le voir.
      Voyage organisé de longue date avec les copains, avec comme approche sur la ligne de centralité de fuir le Texas, de ne pas tenter le nord de l'Amérique dont les prévisions n'étaient pas folichonnes, et d’envisager un périple hors des sentiers battu en Basse Californie où l'on observerait le phénomène de l'autre côté de la Mer de Cortes à Mazatlan - ou dans l'arrière pays si nécessaire - site quasi au maximum de durée avec les meilleurs statistiques météo.
      Commençons donc ce récit par ce point d'orgue de l'éclipse, le reste suivra au fil du temps.
      Quinze jours auparavant, les premières prévisions météo montraient une dépression sur l'Amérique du Nord d'où s'enroulait une large trainée nuageuse se superposant diaboliquement avec la trajectoire de l'éclipse sur le continent, configuration des plus fâcheuses laissant à penser que les dieux nous boudaient et qu'il fallait remédier à ces disgrâces par des offrandes et libations de circonstances, ce qui fut pieusement fait à grand coup d'apéro désormais pleinement justifiés. Que ceux qui médisent sur la fiabilité des métrologues soient immolés car ces prévisions tinrent bon et s’affirmèrent jusqu'au jour J - à notre grand dam. C'est ainsi que la veille au soir, nous n'étions toujours pas déterminés à savoir où nous irons observer. Deux solution se présentaient, excluant la troisième qui était de rester sur la ville de Mazatlan : (A) aller vers le sud, le long du littoral pile sur la ligne de centralité, ce qui faisant gagner 10 secondes de totalité et nous écartait un peu de cette bande coquine de nuages d'altitude,  (B) ou entrer dans les terres et gagner en altitude un peu avant Durango où une trouée semblait se dessiner - ce qui fut le cas. Aussi à l'aube faute d'avoir choisi, nous allâmes d'abord en A, découvrant un environnement de lagunes sauvages plein de jolis volatiles et de cultures de piments dont on pouvait lire qu'ils étaient les "mejor del Pacifico", mais avec un ciel perfectible qui nous fit prendre la décision de partir illico en B. C'est ainsi que par une route rapide, nous nous enfonçâmes rapidement dans l'arrière pays montagneux, jusqu'à - Caramba, consternation et merdum - être bloqués par une interminable queue de gros bahuts à l'arrêt pour cause d'accident et incendie dans un tunnel à quelques dizaines de kilomètres de là. Et là, on se trouve tout à coup bien couillon, pris au piège, dans l’expectative. Après un instant de sidération, nous la jouâmes à la mode mexicaine, à savoir remonter la file de camion à contresens jusqu'à l'une des rares bretelles d'accès, elle aussi prise à contre-sens, pour se sortir de ce pétrin. Mais de là, la route alternative pour se rendre à destination était bien plus tortueuse, moins roulante, plus longue et ne nous permettait plus d'arriver à temps, d'où la sage décision de rester sur place et s'installer tranquillement, car rien n'est plus important que de soigner l’installation où l'improvisation et l'à-peu-près ne sont pas de mise en ces circonstances. Pour ma part, ce sera la Swaro 80ED qui fait merveille sur ce sujet, un filtre astrosolar bricolé "maison"  bien rodé lors des précédentes éclipses, les feuilles de papier où les gabarits de diverses dimensions ont été préalablement tracés, les crayons en double en cas de casse, le positionnement de chaque bidule où le geste doit être machinal et ergonomique.
      Ainsi, dans un joli paysage montagneux planté de conifères, nous regardâmes avec quelques autres spectateurs le ciel se faire envahir de cirrus échevelés, mâtinés d'autres d'aspect pommelés, toutefois pas suffisamment denses pour masquer le Soleil, mais juste un peu chiants pour une observation optimale.
      Bien que parfaitement compréhensible, je trouve extraordinaire la précision des phénomènes astronomiques. Une petite application fort bien faite me donne tous les paramètres de l'éclipse pour un endroit donné et pile à C1, soit 9h52mn38s, l'on observe la première morsure de la Lune sur la Soleil, l'émotion devient palpable, le tension monte, les commentaires vont bon train. Je fais un dessin toutes les 20mn de l'avancé du phénomène, note la présence de deux groupes de tâches qui inexorablement se feront grignoter par l'avancée de la Lune. A T-10mn, l'on sent physiquement un changement de température, de luminosité et à l'oculaire, le Soleil n'est déjà plus qu'une jolie griffe. A T-5mn, on entre dans le vif du sujet et je lance mon compte-à-rebours enregistré, aide précieuse qui permet une relative sérénité en ces instants où le temps semble s’emballer, ou être suspendu, ou en tout cas se déroule de façon étrange dans nos esprits totalement perturbés. L'on devient des animaux, on regarde hébétés de toute part les changements envahir l'espace, les couleurs, l’assombrissement progressif qui se fait de plus en plus intense, preuve d'une éclipse de longue durée. Le crépuscule s'affirme fortement comme je ne l'ai encore jamais perçu. T-1mn, l'on perçoit les premiers grains de Bailly, le découpage  en petits tronçons aux extrémités de la très fine griffe du aux reliefs lunaires. Ça vacille, on perçoit déjà Vénus à droite, Jupiter plus loin à gauche, à T-30s on à la sensation de la présence de la couronne à l'opposé de la disparition éminente du Soleil, à T-10s je retire le filtre et regarde le monde environnant se faire engloutir par cette nuit si particulière, 9-8-7-6-5-4-3-2-1 TOPPPPPPPP !!!!! Hop punaise de-diou, quel spectacle !!!! Ça fuse de toute part, ça irradie, c'est fort, contrasté, étendu, magnifié par ces nuées d'altitude, bien qu'à 70° de hauteur, le Soleil noir me semble gros comme le ferait un plein Lune à son lever sur l'horizon, c'est magnifique, on en tremble. En mode automatique, je trace les principales lignes de la couronne, le trait est bien tremblotant, il faut se faire violence, s'appliquer. Délicate besogne car l’assombrissement est tel que je ne vois pas bien mon travail sur le papier. L'observation à l'oculaire n'est pas aisée car le contraste est tout de même atténué par ces voiles d'altitude. Je note les nombreuses protus du côté où le Soleil vient de disparaitre quand déjà quelques coquines énormes pointent leur nez à l'opposé. Ces 4mn27s sont un vrai luxe pour le dessin et quelque part, je m’apercevrais par la suite qu'elle ne m'oblige pas à une concentration maximale, on peut dire que j'étais davantage en dilettante. Je prends mon temps, reviens sur un détail, repasse autre part, affirme un contour, une lueur. Déjà la sortie s'annonce avec comme fleurons deux magnifiques protus d'un rose électrique incomparable, 5-4-3-2-1 FINI !!!!! Une sortie grandiose avec quelques diamants joliment répartis entre ces deux flammes, un régal !
      Reste à peaufiner ce dessins que voilà :
       

       
      La suite à venir, restez à l'écoute
    • Par Bungert
      Bonsoir à tous,
       
      Le beau ciel du 10 avril fut bref. La comète ne s'est pas montrée depuis, et devant cela s'annonce couvert... .
      Je n'attends pas pour rassembler les furtives apparitions de C 12P sur une planche.
      Le 10 au soir :  la Lune, Jupiter et Uranus accompagnaient le couchant de la voyageuse.
      Daniel Skywalker a fait un mp4 avec 50 vues;  (après les photographies,  je ne sais pas si le mp4 passe ici (?) ).
       
      La nuit du 10 au 11 fut transparente (mais seulement SQM 20,80). Le T310N Marcon a imagé jusqu'à l'aube, dont  Y CVn la rouge.
      Une étoile parmi les étoiles que nous contemplons  avec tristesse, Michel a suivi Alain et Gérard au firmament.
       
      Merci Daniel Skywatcher pour les empilements et le petit film.
      Bon ciel.
      f.
       
      Premier avril

       
      4 avril

       
      5 avril

       
      9 avril (le jour d'après !) Un barre nuageuse défile du Sud vers le Nord et masque Jupiter et la comète. Le croissant lunaire apparait dessous

       

       

       

       
      Ah ces nuages...la Lune et là.

       
      Enfin, mais c'est bas sur l'horizon.

       

       
      Le 10 :  beau ciel

       

       
      C 12P les 4, 5, 9, 10 avril.

       
      Y CVn le 11 au matin pour clore la nuit.

       
       
       
      Là ça devrait fonctionner :
       
      Z 4 12p_down.mp4
    • Par Astramazonie
      Bonjour les Astros, 
       
      Petite prise du "CASQUE DE THOR" qui date d'une semaine, que je pensais perdu dans les abysses des clichés mais qui a pu être récupérée, toujours au Seestar 20 minutes de pose.
       
      Merci à @Bob Saint-Clar pour son aide pour le traitement ... et le sauvetage de cette photo.
       

       

    • Par Chani11
      Bonjour,
      Après beaucoup de faux pas, d'hésitations et d'erreurs en tout genre, je pense commencer à maitriser le B A BA de NINA et de PHD2 associé. En gros, je fais la mise au point manuelle grâce aux valeurs HFR (mieux que le bahtinov), le pointage et le centrage de la cible se font correctement grâce à l'astrométrie, le suivi PHD2 une fois calibré est plutôt bon (l'amplitude des oscillations se situe dans une gamme inférieure à +/- 1 ". Faire une séquence est alors un jeu d'enfant.
      Cependant, au vu des résultats, mon enthousiasme est plus que modéré.
      J'ai choisi pour mes trois nuits d'essai (trois nuits sans vent, c'est exceptionnel) M101, cible facile, brillante et bien placée en ce moment.
       
      Ce qui me frappe immédiatement, c'est le fort vignetage de la caméra. Mon APN,  APS-C et nombre et taille de pixels comparables à la 2600, n'avait pas de vignetage visible. Bien sûr ça se corrige plus ou moins avec les flats, mais ce n'est pas top pour ce genre de capteur.
      Deuxième déception, le bruit. Les images sont très bruitées, même après traitement : dark, flat, 75 poses de 2 minutes sur T200/1000. J'ai choisi le gain donné par défaut par NINA pour cette caméra, à savoir 421/600 et un offset de 1. Est-ce trop élevé ?
      Avec ce gain, durant deux minutes de pose, la galaxie n'apparait pas sur les brutes, ce qui me surprend énormément pour une caméra dite sensible.
       
      Voici le résultat avec un traitement classique Siril
       
       

       
      J'ai dû lisser un max pour atténuer le bruit. C'est très en deçà de ce que j'obtenais avant.
       
      Pour info, une brute, réduite en 2k
       

       
      A votre avis, quelles sont les pistes d’amélioration ?
      Merci
       
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