symaski62

(6478) Gault comète, période de rotation = 3.360 +/- 0.005 h

Messages recommandés

https://arxiv.org/abs/1904.10530

 

Six Years of Sustained Activity from Active Asteroid (6478) Gault

 

We present archival observations demonstrating main belt asteroid (6478) Gault has an extensive history of comet-like activity. 

 

possible  ! 

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Contrairement à l'article précédent :
"Secular and Rotational Light Curves of 6478 Gault",  Ferrín et al.
https://arxiv.org/abs/1906.10195  (révisé trois fois !),

ce dernier publié :

"Physical Characterization of Active Asteroid (6478) Gault"
Juan A. Sanchez et al.
https://arxiv.org/abs/1907.06643 (15 juillet 2019) ---> ApJL

... ne peut en tirer aucune période de rotation évidente (courbe de lumière quasi plate), et ce sur trois nuits selon trois télescopes différents :  CTIO (0,61 m & 1,0 m) + IRTF

Autrement, pour la première fois, la composition chimique de Gault a pu être déterminée par spectroscopie NIR (IRTF), avec une similitude avec les chondrites ordinaires de type H associées au MBA (25) Phocée.

Selon le modèle thermique de WISE ---> Albédo pV = 0.176 ± 44 %,  D = 3.96 km ± 22 %

Modifié par BobMarsian

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Ben ! Au jour d'aujourd'hui, selon Ye Quanzhi (Caltech) qui bosse au Palomar sur le Zwicky Transient Facility survey, sur l'origine de l'étonnante activité de Gault,  ce dont on est sûr, ... c'est qu'on n'est sûr de rien !  :S

 

"They are also unable to confirm the 2 hour rotation period that was reported earlier, thus we still don't know whether Gault's activity was driven by spin-up excitation or binary merging."

 

https://twitter.com/Yeqzids/status/1151356159858626561

 

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Article du MIT qui résume l'essentiel de ce qu'on a observé sur (6478) Gault et aussi de ce qu'il reste à déterminer (période de rotation, entre autres) pour expliquer son comportement unique d'astéroïde aux queues multiples qui a vu sa "couleur" étonnamment varier :

 

"For first time, astronomers catch asteroid in the act of changing color
   Asteroid is likely shedding reddish dust, revealing a fresh, blue surface beneath."

http://news.mit.edu/2019/asteroid-changing-color-first-0830

  • Merci 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le 26/06/2019 à 13:41, symaski62 a dit :

https://arxiv.org/abs/1906.10195

 

We also found a rotational period Prot = 3.360+-0.005 h and show evidence that 6478 might be double.

 

En accord avec cet article d'une équipe colombiano-argentino-espagnole, cité par Symaski ;), italienne cette fois :

 

"Spinning and color properties of the active asteroid (6478) Gault"
Albino Carbognani & Alberto Buzzoni  (INAF - Bologne, Italie)
https://arxiv.org/abs/2001.05748 (16 janv. 2020) ---> Monthly Notices of the Royal Astr. Soc. (MNRAS)


"We collected optical observations along the 2019 March-April period, at orbital phase angles between 12°−21°, to search for direct evidence of asteroid quick spinning rotation. A prevailing period value of 3.34 ± 0.02 hours is supported by our and other photometric observations."

Modifié par BobMarsian

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Nouvelles études photométriques venues de l'Est, un fois de plus : Slovaquie, Ukraine, Allemagne & Russie.

 

"Activity of (6478) Gault during January 13 - March 28, 2019"
Oleksandra Ivanova (Slovak Academy of Sciences) et al.
https://arxiv.org/abs/2005.12030 (25 mai 2020) ---> MNRAS 2020

 

Instruments :
 -  2,5 m Caucasian Mountain Obs. of Sternberg Astronomical Institute, Lomonosov Moscow State University
 -  Télescopes 1,3 m & 0,61 m (Skalnaté Pleso Observatory, Slovakia)

 

Entres autres, détermination de la période de rotation ---> deux valeurs probables : 1,79 h (évaluée selon deux méthodes) et ~ 3,4 h, ce qui rejoint celle citée par symaski62 de 3,36 h ...
Aussi, l'étude donne comme valeur limite supérieure du diamètre : 3,9 ± 0,1 km (avec albédo assumé mais non mesuré : pV = 0,22  correspondant à celui de la famille d'astéroïdes associée à (25) Phocaea (ou Phocée).

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Quelques nouveaux résultats obtenus et publiés dans l'étude ci-après référencée.

 

(6478) Gault a été suivi tout au long de l'année 2020 par plusieurs observatoires en Asie et en Amérique : pas de nouveaux sursauts observés comme ce fut le cas fin 2018 / début 2019. Cette période d'inactivité a été mise a profit pour préciser sa magnitude absolue (14,63) et sa période de rotation à partir de mesures photométriques (environ 2,5 heures). Cette dernière valeur est proche de la valeur critique calculée pour un astéroïde possédant les caractéristiques physiques de Gault. Seule cette rotation rapide, couplée à l'effet YORP (qui augmente cette période), serait à l'origine d'éjections épisodiques de matériau de la surface. La distance héliocentrique n'a pas d'influence significative (l'astéroïde était plus éloigné du Soleil lors des périodes d'activité par rapport à sa période d'inactivité) ; une collision est peu probable compte-tenu de la répétition des périodes d'activité ; une désintégration thermique n'est pas envisagée en raison de la faible excentricité de l'orbite (faibles changements de température) ; la pression de radiation solaire n'aurait pas d'effet (la rotation rapide changeant sans cesse l'orientation de l'astéroïde par rapport au Soleil). La forme de cet astéroïde de type S appartenant à la Ceinture principale s'apparenterait à celle des astéroïdes Ryugu et Bennu ("toupie").

 

Time-series and Phasecurve Photometry of Episodically-Active Asteroid (6478) Gault in a Quiescent State Using APO, GROWTH, P200 and ZTF, Purdum et al., ApJ Letters, March 26, 2021

PDF : https://arxiv.org/pdf/2102.13017.pdf

 

 

Gault-2019.JPG.b64899c36a6905ec2f3e8f33a81631b1.JPG

 

Ci-dessus : à gauche, une image cumulant 4680 secondes de pose avec le télescope ARC de 3,5 m (Apache Point) le 25 février 2019 : les deux queues (ou jets) correspondent à des périodes d'activité distinctes ; à droite, une troisième queue est visible le 26 avril 2019 (même instrument) - brillance de surface : 24,0 mag./seconde d'arc2 à travers une ouverture de 10 000 km de rayon (supérieure aux valeurs de 25,8 et 26,3 mesurées en période d'inactivité) - Purdum et al.

 

 

Gault-2020.JPG.b648fb9bc06d8cb3b5851b59f872ec94.JPG

 

Ci-dessus : aspect de l'astéroïde Gault sur une image longue pose (103 x 90 s) obtenue avec le télescope de 5 m du mont Palomar en août 2020

- pas de coma ou de queue observable - Purdum et al.

 

 

Gault-courbes.JPG.be62a83a3684ea042d7d14e7e1840a22.JPG

 

Ci-dessus : courbes de luminosité de Gault entre novembre 2018 et octobre 2020 - les points en rouge sont les mesures de la magnitude apparente dans la bande r mesurée par ZTF (Palomar) - la courbe en noir correspond aux éphémérides du JPL (mag. V) et celle en bleu, construite à partir des nouvelles valeurs déduites de cette étude, est celle du meilleur ajustement, collant en particulier aux mesures effectuées pendant la période d'inactivité - Purdum et al.

 

 

Gault-photometrie.JPG.e9aa822a6dccf38d48a971ad751937cc.JPG

 

Ci-dessus : un exemple de courbes photométriques obtenues à partir de différents instruments - une variation de luminosité d'une amplitude de 0,05 magnitude avec une période de 2,5 heures semble se dégager - Purdum et al.

 

Modifié par Bill46
  • J'aime 5

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant



  • Contenu similaire

    • Par RIGEL33
      De son nom officiel 12P/Pons-Brooks, cette comète est la 12ème à avoir été classée comme comète périodique, du fait de son voyage dans le système solaire qui la ramène à proximité du Soleil tous les 71 ans environ. On l’observe depuis au moins 1385 mais ce n’est que très récemment qu’on a découvert ses différents passages. Il est possible que la comète ait été enregistrée dans des sources chinoises en septembre 245.
       
      C’est une comète cryovolcanique de type Halley. Ce sont Jean-Louis Pons (astronome français) qui la découvre en 1812, et William Robert Brooks (astronomie américain) qui la redécouvre en 1883, qui auront la paternité de sa découverte.
       
      Son périhélie (approche au plus près du Soleil) se fera le 21 avril prochain. Plus elle se rapproche, plus le rayonnement solaire fissure son noyau d'environ 30 km de diamètre. Ce dernier est entouré d'une coma constituée de glace et de gaz qui s’échappe du noyau. Suite à un sursaut en octobre 2023, cette coma a formé deux « cornes » la qualifiant de "comète du diable". Les éruptions (sursauts) qu’elle subit au fur et à mesure de son approche, la rendent de plus en plus visible dans le ciel nocturne.
       
      12P/Pons-Brooks est probablement la comète responsable de la pluie d’étoiles filante des kappa-Draconides, active du 29 novembre au 13 décembre, ce qui lui a valu l’autre surnom de la « Mère des Dragons ».
       
      Enfin les bonnes conditions météo de cette mi-avril m’ont permis d’aller sur notre site d’observation à Saucats pour l’imager. Il était grand temps car avec la Lune croissante et le passage de la comète dans l’hémisphère sud, nous n’aurons plus l’occasion de la revoir avant son prochain périhélie en 2094 ;
       
      Poses uniques de 2 s prisent le 11 avril 2024 à Saucats (33). Canon 40D défiltré avec objectif Samyang 85 mm, ouvert à f/1.4, ISO 1600 – Camera RAW
       

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      Avec les satellites de passages…

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      Version annotée

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
       
      Poses uniques de 2 s prisent le 12 avril 2024 à Saucats (33). Canon 400D avec objectif Samyang 85 mm, ouvert à f/1.4, ISO 1600 – Camera RAW
       

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      Avec le public venu en profiter

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      Avec le public venu en profiter (annotée)

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
    • Par serge vieillard
      Yo !
       
      de retour à la maison, après un formidable périple mexicain, dont le prétexte était cette éclipse prometteuse du 8 avril. Prometteuse car de longue durée, pensez-donc 4mn27s à l’endroit choisi, bien loin des 62 secondes de l'an passé en Australie, qui plus est avec une activité solaire bien musclée et avec des statistiques météo en ces contrées tout autant prometteuses - mais qui ne se concrétisa pas à l'optimum, comme on va le voir.
      Voyage organisé de longue date avec les copains, avec comme approche sur la ligne de centralité de fuir le Texas, de ne pas tenter le nord de l'Amérique dont les prévisions n'étaient pas folichonnes, et d’envisager un périple hors des sentiers battu en Basse Californie où l'on observerait le phénomène de l'autre côté de la Mer de Cortes à Mazatlan - ou dans l'arrière pays si nécessaire - site quasi au maximum de durée avec les meilleurs statistiques météo.
      Commençons donc ce récit par ce point d'orgue de l'éclipse, le reste suivra au fil du temps.
      Quinze jours auparavant, les premières prévisions météo montraient une dépression sur l'Amérique du Nord d'où s'enroulait une large trainée nuageuse se superposant diaboliquement avec la trajectoire de l'éclipse sur le continent, configuration des plus fâcheuses laissant à penser que les dieux nous boudaient et qu'il fallait remédier à ces disgrâces par des offrandes et libations de circonstances, ce qui fut pieusement fait à grand coup d'apéro désormais pleinement justifiés. Que ceux qui médisent sur la fiabilité des métrologues soient immolés car ces prévisions tinrent bon et s’affirmèrent jusqu'au jour J - à notre grand dam. C'est ainsi que la veille au soir, nous n'étions toujours pas déterminés à savoir où nous irons observer. Deux solution se présentaient, excluant la troisième qui était de rester sur la ville de Mazatlan : (A) aller vers le sud, le long du littoral pile sur la ligne de centralité, ce qui faisant gagner 10 secondes de totalité et nous écartait un peu de cette bande coquine de nuages d'altitude,  (B) ou entrer dans les terres et gagner en altitude un peu avant Durango où une trouée semblait se dessiner - ce qui fut le cas. Aussi à l'aube faute d'avoir choisi, nous allâmes d'abord en A, découvrant un environnement de lagunes sauvages plein de jolis volatiles et de cultures de piments dont on pouvait lire qu'ils étaient les "mejor del Pacifico", mais avec un ciel perfectible qui nous fit prendre la décision de partir illico en B. C'est ainsi que par une route rapide, nous nous enfonçâmes rapidement dans l'arrière pays montagneux, jusqu'à - Caramba, consternation et merdum - être bloqués par une interminable queue de gros bahuts à l'arrêt pour cause d'accident et incendie dans un tunnel à quelques dizaines de kilomètres de là. Et là, on se trouve tout à coup bien couillon, pris au piège, dans l’expectative. Après un instant de sidération, nous la jouâmes à la mode mexicaine, à savoir remonter la file de camion à contresens jusqu'à l'une des rares bretelles d'accès, elle aussi prise à contre-sens, pour se sortir de ce pétrin. Mais de là, la route alternative pour se rendre à destination était bien plus tortueuse, moins roulante, plus longue et ne nous permettait plus d'arriver à temps, d'où la sage décision de rester sur place et s'installer tranquillement, car rien n'est plus important que de soigner l’installation où l'improvisation et l'à-peu-près ne sont pas de mise en ces circonstances. Pour ma part, ce sera la Swaro 80ED qui fait merveille sur ce sujet, un filtre astrosolar bricolé "maison"  bien rodé lors des précédentes éclipses, les feuilles de papier où les gabarits de diverses dimensions ont été préalablement tracés, les crayons en double en cas de casse, le positionnement de chaque bidule où le geste doit être machinal et ergonomique.
      Ainsi, dans un joli paysage montagneux planté de conifères, nous regardâmes avec quelques autres spectateurs le ciel se faire envahir de cirrus échevelés, mâtinés d'autres d'aspect pommelés, toutefois pas suffisamment denses pour masquer le Soleil, mais juste un peu chiants pour une observation optimale.
      Bien que parfaitement compréhensible, je trouve extraordinaire la précision des phénomènes astronomiques. Une petite application fort bien faite me donne tous les paramètres de l'éclipse pour un endroit donné et pile à C1, soit 9h52mn38s, l'on observe la première morsure de la Lune sur la Soleil, l'émotion devient palpable, le tension monte, les commentaires vont bon train. Je fais un dessin toutes les 20mn de l'avancé du phénomène, note la présence de deux groupes de tâches qui inexorablement se feront grignoter par l'avancée de la Lune. A T-10mn, l'on sent physiquement un changement de température, de luminosité et à l'oculaire, le Soleil n'est déjà plus qu'une jolie griffe. A T-5mn, on entre dans le vif du sujet et je lance mon compte-à-rebours enregistré, aide précieuse qui permet une relative sérénité en ces instants où le temps semble s’emballer, ou être suspendu, ou en tout cas se déroule de façon étrange dans nos esprits totalement perturbés. L'on devient des animaux, on regarde hébétés de toute part les changements envahir l'espace, les couleurs, l’assombrissement progressif qui se fait de plus en plus intense, preuve d'une éclipse de longue durée. Le crépuscule s'affirme fortement comme je ne l'ai encore jamais perçu. T-1mn, l'on perçoit les premiers grains de Bailly, le découpage  en petits tronçons aux extrémités de la très fine griffe du aux reliefs lunaires. Ça vacille, on perçoit déjà Vénus à droite, Jupiter plus loin à gauche, à T-30s on à la sensation de la présence de la couronne à l'opposé de la disparition éminente du Soleil, à T-10s je retire le filtre et regarde le monde environnant se faire engloutir par cette nuit si particulière, 9-8-7-6-5-4-3-2-1 TOPPPPPPPP !!!!! Hop punaise de-diou, quel spectacle !!!! Ça fuse de toute part, ça irradie, c'est fort, contrasté, étendu, magnifié par ces nuées d'altitude, bien qu'à 70° de hauteur, le Soleil noir me semble gros comme le ferait un plein Lune à son lever sur l'horizon, c'est magnifique, on en tremble. En mode automatique, je trace les principales lignes de la couronne, le trait est bien tremblotant, il faut se faire violence, s'appliquer. Délicate besogne car l’assombrissement est tel que je ne vois pas bien mon travail sur le papier. L'observation à l'oculaire n'est pas aisée car le contraste est tout de même atténué par ces voiles d'altitude. Je note les nombreuses protus du côté où le Soleil vient de disparaitre quand déjà quelques coquines énormes pointent leur nez à l'opposé. Ces 4mn27s sont un vrai luxe pour le dessin et quelque part, je m’apercevrais par la suite qu'elle ne m'oblige pas à une concentration maximale, on peut dire que j'étais davantage en dilettante. Je prends mon temps, reviens sur un détail, repasse autre part, affirme un contour, une lueur. Déjà la sortie s'annonce avec comme fleurons deux magnifiques protus d'un rose électrique incomparable, 5-4-3-2-1 FINI !!!!! Une sortie grandiose avec quelques diamants joliment répartis entre ces deux flammes, un régal !
      Reste à peaufiner ce dessins que voilà :
       

       
      La suite à venir, restez à l'écoute
    • Par Bungert
      Bonsoir à tous,
       
      Le beau ciel du 10 avril fut bref. La comète ne s'est pas montrée depuis, et devant cela s'annonce couvert... .
      Je n'attends pas pour rassembler les furtives apparitions de C 12P sur une planche.
      Le 10 au soir :  la Lune, Jupiter et Uranus accompagnaient le couchant de la voyageuse.
      Daniel Skywalker a fait un mp4 avec 50 vues;  (après les photographies,  je ne sais pas si le mp4 passe ici (?) ).
       
      La nuit du 10 au 11 fut transparente (mais seulement SQM 20,80). Le T310N Marcon a imagé jusqu'à l'aube, dont  Y CVn la rouge.
      Une étoile parmi les étoiles que nous contemplons  avec tristesse, Michel a suivi Alain et Gérard au firmament.
       
      Merci Daniel Skywatcher pour les empilements et le petit film.
      Bon ciel.
      f.
       
      Premier avril

       
      4 avril

       
      5 avril

       
      9 avril (le jour d'après !) Un barre nuageuse défile du Sud vers le Nord et masque Jupiter et la comète. Le croissant lunaire apparait dessous

       

       

       

       
      Ah ces nuages...la Lune et là.

       
      Enfin, mais c'est bas sur l'horizon.

       

       
      Le 10 :  beau ciel

       

       
      C 12P les 4, 5, 9, 10 avril.

       
      Y CVn le 11 au matin pour clore la nuit.

       
       
       
      Là ça devrait fonctionner :
       
      Z 4 12p_down.mp4
    • Par Sauveur
      Bonsoir !
       
      Bon ce soir c'est voilé d'ou un peu de temps pour posté pas de juju pour ce soir
       
      bon des images bruité peu de temps de pose et j'ai pas assez bossé 
       
      au Sony objo 200 c'est bruité je pense que l'iso  100 c'est vraiment pas top je ne vous l'avais pas présenté
       

       
      ca c'etait le 11
       

       
      Le 12
       

       
       
      C-2023 A3 (Tsuchinshan-ATLAS) r pp  result_3060s
       

       
      crop
       

       
      hier en mode compo 571Mc en fichier ser 350ms gain a fond sans refroidissement c'était la surprise de la voie encore Ser traité Siril Asi3 pour le terrain
       
      c'est la dernière pour ma part
       

       
       
      Bon désoler je m'embrouille un peu car cp Juju comete lune  seestar du coup j'oublie et j'en oublie que je capture et traite vite fais puis je sais plus ou elle sont au moment de posté 
       
      Je vais demandé des vacances  
    • Par phenix
      hello les astrams
       
      voila  c était   ma  dernière sortie pour voir la comète 12p pons brooks , avant hier soir , 11.04 .
      elle est vraiment très basse sur l horizon ouest .
      j ai pris un peu de hauteur a st Vallier , pour avoir un ciel   propre  
       
      one shot sur la cendrée et les pléiades , addition de 3 poses de 6 sec pour pons brooks , avec as 3
      pano avec ice 
       
      canon eos 7d  +  sigma 85 mm  f/2
      iso 1600  
       
      bon weekend   a  toutes  et  tous  
      serge

  • Évènements à venir