Discret68

Définition d'un setup dédié planétaire

Messages recommandés

il y a 6 minutes, olivdeso a dit :

oui il faut traiter à distance. même en zippant, ça reste énorme.

 

Même en ciel profond, idéalement une partie du pre traitement pourrait se faire aussi à distance. avec un PC qui tienne un minimum  la route (i5, 16Go, SSD).

 

A+

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
il y a 9 minutes, lyl a dit :

hop le 300 transformé en Cassegrain/Nasmyth F/4/23 ... bon je sors, on est pas au pays des bricolos à tout va.

 

secondaire rotatif et 2 porte oculaires ça suffit largement et ça se fait. perso ça serait mon choix.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 2 heures, olivdeso a dit :

secondaire rotatif et 2 porte oculaires ça suffit largement et ça se fait. perso ça serait mon choix.

pour un setup à distance, ça tient une collimation ce système ?

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 18 heures, ValereL a dit :

T'inquiète Discret, je ne vais pas te lapider. 😆

Ouf, je respire mieux B|

 

Il y a 18 heures, ValereL a dit :

Ceci dit, en tant que planeteux, j'estime quand même qu'une ouverture de 300mm est plutôt grande pour faire du cp ( mais bon, je m'y connais beaucoup moins là dedans, voir aussi les possibilités offertes par la pose courte ).

Et hop, voilà le réflexe de planèteux qui revient au galop:D

En CP champ réduit (galaxies, petits objets), le 300 pourrait être considéré comme un petit tube. Pour du champ large, un diamètre plus faible et surtout une focale plus faible sont requis. 

En CP le pouvoir de résolution est tout aussi important qu'il l'est pour du planétaire. Après, c'est un choix.

 

Il y a 18 heures, ValereL a dit :

Alors que cette superbe monture n'aurait pas peur d'une pose de 5 minutes je présume ?

Les essais que j'ai réalisé sans autoguidage caméra ont montré des étoiles parfaitement rondes à 10mn de pose. Je n'ai pas été plus loin car lors des tests, les conditions météo se sont dégradées.

 

Il y a 18 heures, olivdeso a dit :

La petite difficulté que je vois en planétaire en remote, est la motorisation de l'ADC.

Certainement, mais comme ma formation initiale est l'étude et la conception mécanique, et que je continue à titre perso, c'est un petit défi à relever. On verra plus bas que par rapport à ta dernière remarque, un autre défi intéressant va être à relever. Mais je n'en dis pas plus.

 

Il y a 18 heures, patry a dit :

En fait le problème est que l'immense majorité des photographie CP sont faites avec des instruments plus réduits.

Oui pour du champ large (nébuleuses), mais pour du champ réduit (galaxies), on trouve de gros diamètres et plus c'est gros, meilleur c'est :$

 

Il y a 18 heures, patry a dit :

Après tout cela, faire du remote planétaire, c'est pas évident ... un fichier de capture lunaire moyen (deux minutes) c'est plus de 4Go à rapatrier.

C'est sûr que les fichiers en planétaire sont certainement plus lourds que les photos en CP. Alors, oui, comme le propose certains, il faut peut-être traiter à distance. Le choix se fera implicitement en rapport avec le débit internet à disposition.

 

Il y a 18 heures, bandido a dit :

Après, tu vas avoir des soucis imprévus comme toutes les personnes qui se lancent dans un remote. Peut-être que tu devrais commencer avec un seul tube, apprivoiser tous les soucis de communication, alimentation, automatisation, informatiques,... puis par la suite y adjoindre une deuxième config fort de ton expérience.

Cela fait 3 ans que mon setup actuel est en remote. Dans le jardin, certes, mais en remote total. dans la situation actuelle, il faut que je gère tout un tas de choses que je n'aurai pas à gérer dans un abri collectif en remote (l'automatisation du toit, la sécurisation des équipements vis-à-vis de la perte des alimentations secteur, le repli des équipements en cas de dégradation météo ou perte des alimentations) et encore plein d'autres choses. Cela m'a donné l'occasion de tester tout un tas de situations qui peuvent être perturbantes en remote. Je vais ajouter un peu de redondance pour pallier à la défaillance potentielle de certaines fonctions.

Je suis également en train de fabriquer un cache motorisé pour le newton afin de le protéger au maximum de l'environnement (cache je l'ai fait pour la lulu de 80 (celle qui me sert à faire de la nébuleuse), avec en plus, un masque de bahtinov piloté à distance.

Il me reste à ajouter un sytème plus performant qu'actuellement pour filtrer l'air que j'insuffle dans le tube pour le refroidir.

J'avais même conçu un barillet pour le miroir primaire permettant de faire de la collimation et de la mise au point à distance, afin de supprimer le focuser. Mais pour le moment, j'hésite à passer à la pratique.

Donc, je crois qu'aujourd'hui, je suis mûr pour passer d'un remote à 15m à un remote à plus de 1000km.

 

Et comme mon projet de remote à grande distance devrait concrètement voir le jour d'ici un an, cela me laisse du temps pour tester la nouvelle configuration.

Il y a 18 heures, bandido a dit :

PS Encore une fois, je ne suis pas planéteux. Ces prochaines années, elles seront très basses. Le jeu en vaut la chandelle pour toi ?

Oui, car là où je dois aller m'installer, je vais gagner de la hauteur.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 18 heures, bandido a dit :

Même en ciel profond, idéalement une partie du pre traitement pourrait se faire aussi à distance. avec un PC qui tienne un minimum  la route (i5, 16Go, SSD).

Tout à fait, j'ai déjà ce qu'il faut, ..... avec un i7 !

 

Il y a 18 heures, olivdeso a dit :

secondaire rotatif et 2 porte oculaires ça suffit largement et ça se fait. perso ça serait mon choix.

A la première lecture, ton idée m'a paru saugrenue ! Et puis, en y réfléchissant un peu, je me suis dit que finalement, ça pourrait être "La solution", celle qui au fond réunirait dans un monde en paix, les planèteux et le CPistes.xD

 

Et à moi, qui me ferait faire une belle économie.

 

Blague à part, je me dis que ce n'est effectivement pas sorcier à concevoir. Je vois le système à priori dedans ma tête. Il me reste à attaquer la conception de ce système et d'en évaluer la viabilité, et la fiabilité.

En première analyse, je vois bien le support miroir monté sur un axe mis en rotation (180° à priori pour avoir les 2 focusers en opposition) par un motoréducteur. Une butée mécanique réglable de chaque coté pour peaufiner la bonne orientation du miroir vers chacun des focusers et une transmission entre réducteur et axe miroir par accouplement très souple (genre ressort) car il faut que le motoréducteur ait un angle de rotation légèrement supérieur à 180° pour être sûr d'attaquer les butées mécaniques sans contrainte mécanique. L'arrêt du motoréducteur s'effectuant par des fins de course.

Le tout dans un boitier qui a un diamètre inférieur au plus petit diamètre du miroir secondaire et qui est solidement fixé au tube par les branches de l'araignée. Vu la longueur que le système va avoir, Il faudrait que je rallonge le tube par un bout de tube en carbone car je dois positionner l'obturateur motorisé  (en 2 demi-cercles) du tube.

 

Et bien sûr, comme le dit lyl, il faut que ça tienne la collimation.

 

En plus, il faut étudier le principe de réglage de la collimation entre les 2 focusers. J'imagine qu'il faut probablement prévoir une platine de réglage sous un des 2 focusers. Une variante de ce que j'ai fait pour le focuser actuel (FLI PDF) et qui me permet de régler le tilt :

5c77a386284c6_RenfortsbagueFLI-rduit.jpg.8516c6369d367041f62f31c80a81eb1f.jpg

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
il y a 41 minutes, Discret68 a dit :

Et à moi, qui me ferait faire une belle économie.

L'idée dans mon propre raisonnement n'est pas de faire des économies de bout de chandelles mais d'éviter le gaspi.

"Pluralitas non est ponenda sine necessitate"

-> les hypothèses suffisantes les plus simples doivent être préférées. (et validées...)

il y a 41 minutes, Discret68 a dit :

Et bien sûr, comme le dit lyl, il faut que ça tienne la collimation.

Comme dans les observatoires, mais après tout pour un 300mm f/4, ça donne des pièces dont la taille n'est pas minuscule. Je vois que tu as déjà l'idée en tête par toi-même et ce que je vois sur la photo est loin d'être de la mécanique de bricolo.

A prendre en compte comment est monté le secondaire à cause du décalage pour les instruments très ouvert si tu fais ça.

deltamp3.gif.01b198e87231a55d7fa2d9f4300f37dd.gif

 

Modifié par lyl

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
il y a 52 minutes, lyl a dit :

A prendre en compte comment est monté le secondaire à cause du décalage pour les instruments très ouvert si tu fais ça.

 

Tout à fait. Il suffit de désaxer l'axe du miroir sur son support par rapport à son axe de rotation.

 

Et effectivement, je pense ne pas faire de la mécanique de bricolo. A la base, la conception mécanique, c'était mon métier. Contrainte supplémentaire dans l'astro, il faut toujours rechercher le compromis rigidité/poids, mais essentiellement sur les pièces de taille importante.

 A titre d'exemple concret, voici une coupe du porte-oculaire (ou plutôt porte-accessoires) que j'ai conçu pour mon newton, équipé finalement d'un FLI PDF et non d'un Atlas comme montré sur cette coupe de conception. Le système a été usiné et est fonctionnel.

Ce système permet de régler aisément le tilt. Et le serrage concentrique par pince garantit un centrage parfait de tout accessoire qui est serré.

5c77bf9a1ddd8_Renfortporte-oculaireV2coupe-rduit.JPG.7c06fc7b96425c2af6252d3d573f9c87.JPG

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

On a un tel système sur le 600 F3.3 de planètes Sciences (le TJMS).

 

Il y a un point clé à prendre en compte : il faut qu'un des deux porte oculaire soit réglable précisement en X et Y afin de centrer le capteur sur l'axe optique sans toucher aux miroirs :

On colimate précisément sur le porte oculaire fixe sur une étoile bien centrée, puis on tourne le secondaire vers l'autre porte oculaire, puis on déplace ce deuxième porte oculaire afin de centrer l'étoile sur le capteur.

La difficulté mécanique est de tourner le secondaire sans faire bouger le tube.

 

Didier de Skymeca nous a fait une super platine pour le porte oculaire,  réglable X Y à vis micro métrique et glissière sur queues d'arrondes  (des vraies bien mécaniques avec rattrapage de jeu par des lardons...les Vogiens ça aime bien les lardons ;) ). c'est très utile, on arrive à centrer l'étoile à 20u près avec un peu de patience.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 9 heures, olivdeso a dit :

Il y a un point clé à prendre en compte : il faut qu'un des deux porte oculaire soit réglable précisement en X et Y afin de centrer le capteur sur l'axe optique sans toucher aux miroirs :

 

Oui, j'ai effectivement prévu une platine réglable en X et Y sur le 2ème PO pour effectuer son centrage. J'en discutais justement en aparté avec lyl.

 

Je suis à un bon 50% de l'étude du mécanisme de rotation du miroir avec un motoréducteur et des butées mécaniques et électriques.

Dès que j'ai j'ai suffisamment avancé, je présenterai le système pour remarques.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Bonjour tout le monde

 

J’ai terminé la première phase de mon étude de conception du mécanisme de miroir tournant piloté à distance. Voici une première vue du système complet. Quelques petits points de détails n’apparaissent pas sur cette vue (vis de fixation, ..). Afin de ne pas augmenter l'obstruction du tube, tout le système tient dans un cercle défini par le petit diamètre du miroir secondaire :

 

5c7d0449d2f6c_Vuedensemble.jpg.9fdbbdf942739857359e31aed7bd0204.jpg

 

Pour mieux comprendre le sytème, voici une vue en coupe de l’ensemble :

 

5c7d047155497_Vueencoupecomplteannote.jpg.b17fe4688a046403d0d58057925e035b.jpg

 

Explications : 

 

Le miroir est fixé (mode à définir) sur le support miroir à 45°. Une vis centrale avec une boule en acier chromé permet le rotulage de l’ensemble. La hauteur du miroir est réglable afin de le positionner précisément en vis-à-vis du PO. Le décalage de l'axe optique du miroir par rapport à son axe géométrique est pris en compte.

 

Vu que la partie supérieure de cette mécanique est occupée, 3 vis équipées chacune d'un écrou sphérique (pour avoir un point unique de contact) et d'une molette permettent de régler l’inclinaison du miroir dans le cadre de la collimation. Afin d’éviter le marquage de la face plane de l’axe de rotation, une plaque de protection en acier inoxydable est intercalée.

 

L’axe principal de rotation est maintenu dans le support fixe à l’aide de 2 roulements à billes étanches. J’ai préféré utiliser des roulements plutôt que des paliers en bronze afin de garantir un minimum de jeu radial et réduire le couple de rotation. Des paliers nécessitent une lubrification périodique alors que les roulements étanches ne nécessite aucun entretien. Par ailleurs, le poids de roulements de ces dimensions est minime.

 

Pour mettre en rotation le miroir sur 180°, un motoréducteur est installé en partie supérieure, fixé sur une plaque support (qui sert également à fixer les 2 fins de course en dessous). Cette plaque support est maintenue à l’aide de 3 entretoises (non visible sur cette coupe) par rapport au support fixe.

 

Un accouplement élastique permet de transférer le mouvement de rotation du motoréducteur à l’axe de rotation du miroir.

 

Afin de réduire l’encombrement vertical de l’ensemble de transmission, cet accouplement est usiné sur mesure.

 

Le 1/2 accouplement inférieur sert également de butée mécanique et le 1/2 accouplement supérieur sert de butée électrique.

 

Il est en effet important de garantir les 2 positions à 180° du miroir. Seul des butées mécaniques permettent de le garantir. Par contre, il est nécessaire d’appliquer un effort de placage sur les butées mécaniques afin d’empêcher tout mouvement de l’ensemble.

 

C’est pour cette raison, qu’il y a 2 butées électriques (fins de course) permettant d’arrêter le motoréducteur à un angle supérieur de chaque butée mécanique. Le ressort permet non seulement de transmettre le mouvement de rotation, mais également de générer un effort de compression sur chaque butée mécanique.

 

La forme finale du 1/2 accouplement supérieur reste à peaufiner compte-tenu du différentiel d’angle que je souhaite obtenir entre butées (mécanique et électrique). La section du fil du ressort sera également à déterminer afin d'obtenir l'effort désiré. Je pense que les essais en réel seront les plus simple à mettre en oeuvre pour obtenir le résultat escompté.

 

Un capot de protection vient protéger l’ensemble de l’environnement extérieur.

 

Les butées mécaniques sont réglables (en fait, ce sont de simples vis 6 pans creux en acier inoxydable) et des petites vis à embout plastique permettent de les bloquer en position sans meurtrir le filetage.

 

Les 4 branches de l’araignée sont isolées électriquement du support fixe, car elles permettent de faire passer la tension d’alimentation du moteur et de la résistance chauffante qui sera placée dans le volume se situant entre le miroir et son support.

 

Concernant le poids du système, hors miroir, il est exactement de 1kg. Le logiciel de CAO que j’utilise permet de déterminer directement le poids de chaque pièce compte-tenu du matériau utilisé. J’ai modifié la forme de certaines pièces afin de réduire leur poids. Maintenant, je ne sais plus quoi modifier pour réduire le poids sans nuire à la rigidité de l’ensemble.

 
Les 3 pièces les "plus lourdes" sont : le support fixe (285g), le motoréducteur (160g) et le support miroir (125g). Concernant le motoréducteur, j’ai trouvé un modèle un peu plus petit sur le net, mais aucun poids n’est précisé. Je vais en commander un exemplaire et on verra si je peux le mettre en oeuvre. D’autant que si ce réducteur est plus petit en taille, il y a quelques éléments dont je pourrai également réduire la taille, donc le poids.

 

J’ai également vérifié "l’usinabilité" des pièces, l’objectif étant de concevoir des formes qu’il est possible d’obtenir à l’aide de machines standard d’usinage (tour et fraiseuse). La pièce la plus complexe est le support fixe, mais comme j’ai un tour et une fraiseuse CNC 4 axes, je devrais y arriver.

 

Pour terminer, une petite vue de conception qui regroupe le miroir pivotant et l’oburateur que je suis en train de fabriquer. Vu l’encombrement du système, il faudra que je crée une découpe supplémentaire au niveau des 2 demi-obturateurs :

5c7d058acc59e_Systmecompletavecobturateur.jpg.78b9455ffba33c71ec59eb898f2c50f0.jpg

 

Bon, je pense avoir été assez clair dans la description du système. Merci de me faire part de vos remarques ou questions.

 

En attendant, je vais attaquer la partie support du focuser avec tables de déplacement en X et Y pour aligner parfaitement la caméra avec le miroir secondaire et qui intègre également un réglage du tilt comme montré précédemment.

 

Jean-Pierre

  • J'aime 1
  • J'adore 2

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Bonsoir tout le monde

 

Je suis passé à l'acte concernant le miroir secondaire tournant. Idée un peu saugrenue certes, mais qui mérite d'être explorée. Je suis en phase d'usinage des différentes pièces et tout se passe conformément à la conception 3D.

 

Le boitier fixe et les branches de l'araignée. On aperçoit le doigt qui vient en contact sur une butée réglable (vis provisoire) de part et d'autre des 2 positions. C'est ce qui doit permettre de garantir la reproductibilité des 2 positions du miroir secondaire :

5cb6158d04065_Boitierfixearaignevuededessus.jpg.5b681a54d2826b49c78193d68b64603e.jpg

 

Le boitier fixe vu du dessous. je me suis bien amusé avec ma fraiseuse CNC pour usiner les différentes formes. Je suis parti d'un rond de 120mm de diamètre en aluminium. La pièce de départ pesait 1,4kg. Au final, il reste 340g de matière. Tout le reste est parti en copeaux. A gauche , se trouve l'axe de rotation sur lequel viendra se fixer le support du miroir secondaire :

5cb61595a7dde_Boitierfixearaignevuededessous.jpg.c2704eb095f4320ab661a5bd24225d7a.jpg

 

 

Le boitier avec le motoréducteur "petit modèle". Les fins de course sont situés sous la plaque support du motoréducteur :

5cb615c1d9018_boitierfixearaigneavecmotorducteur.jpg.b82fb0ff89c86b0e0b02a65f90026637.jpg

 

 

Le capot de protection du motoréducteur est en place. Il parait grand par rapport au motoréducteur, mais il est dimensionné pour permettre d'installer un motoréducteur plus puissant. Vu que ce capot fait 2mm d'épaisseur, le poids est relativement faible :

5cb615f68a6c7_boitierfixearaigneaveccapotmotorducteur.jpg.f128ca09b78d6532c82c2e1e605c42ad.jpg

 

Pour le fun, une petite vidéo du perçage des trous de fixation des branches de l'araignée sur le boitier fixe. Ces perçages sont réalisés par programme sur ma fraiseuse CNC : 

 

 

Coté ADC, vu que cet accessoire est quasi-incontournable pour du planétaire, et comme mon setup est piloté en remote, il doit en être de même pour l'ADC (probablement un Pierro-Astro, le modèle avec les 2 leviers).

N'ayant pas encore l'ADC entre les mains pour réaliser la partie mécanique, je me suis attaqué à la partie pilotage de la motorisation. Cette dernière est constituée de 2 micro-moteurs pas à pas qui sont pilotés par un Raspberry Pi et une carte de commande dédiée.

J'ai écrit un petit logiciel en python. Vu le risque de perte de l'information de position des leviers, j'ai prévu un fin de course par levier pour retrouver la position zéro. J'ai fait des essais à blanc et tout fonctionne. Il me reste à commander un ADC afin de passer à la partie mécanique qui ne devrait pas poser de problème.

 

5cb6168339e55_EcranpilotageADC.jpg.bbf82ec31fdb8fa5efda193989536fdd.jpg

 

Il me reste à usiner le support de miroir secondaire. L'usinage à 45° ne sera pas aisé d'autant que les cotes d'usinage vont dépendre de l'épaisseur du miroir. J'ai bien une plage de réglage pour positionner le miroir en vis-à-vis du PO, mais ça reste serré.

 

Jean-Pierre

 

  • J'aime 3
  • J'adore 2

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
il y a 5 minutes, Pascal C03 a dit :

il y a encore des gens qui font de la mécanique !

Oui, quel talent ;) .... 

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

@PETIT OURS et Pascal C03 : merci pour vos encouragements. La mécanique et la "fabrication de copeaux" B| font aussi partie de mes passe-temps. Il n'y a pas que les étoiles dans le ciel pour se faire plaisir ^_^

 

Il y a 12 heures, Raphael_OD a dit :

Ah ! marche bien les BF30

 

Oui, c'est une machine pas trop encombrante. Pour le prix que je l'ai payée j'aurais pu prendre une vraie fraiseuse d'atelier, une machine d'une tonne, mais il faut de la place pour loger une telle machine. Et pour modifier une fraiseuse de ce type en CNC, pas facile du tout.

Dans les modèles couramment baptisés BF30, le modèle de chez Optimum m'apparaissait de meilleure qualité que celles d'autres fabricants (section des différentes tables, présence de roulements au niveau des vis de déplacement des tables, ...). J'ai passé pas mal de temps à décortiquer les plans des machines de cette catégorie, le premier objectif après achat étant la transformation en machine CNC et sur ce point l'Optimum s'y prêtait assez facilement. Et coup de bol, peu de temps après la décision, une machine en super état sur le Coincoin à 300km de chez moi à un prix intéressant et avec tout un tas d'outillages complémentaires (affichage numérique de position des axes (communément appelé DRO), tête à aléser, mandrin porte-pinces, plateau tournant et basculant, ...).

 

Allez, une petite photo de la bête après motif, ça nous changera du matériel astro :

5cb7ae7d3fd83_Fraiseuseaveccranordi.JPG.b0ff604b8b4100916b607d335e4e7eb6.JPG

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
il y a 51 minutes, jp-brahic a dit :

super boulot !!!! Bravo :) 

 

Merci JP

 

JP

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

pourquoi ne pas faire des essais avec le scope barlowté à 5X?

à combien est il obstrué ce newton?

pour mémoire, monsieur legault a produit parmi ses meilleurs clichés planétaire avec un sc meade de 305mm donc bien obstrué

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 3 heures, astrocg a dit :

pourquoi ne pas faire des essais avec le scope barlowté à 5X?

 

Je ne vois pas bien l’utilité des essais que tu proposes par rapport à la discussion en cours.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Bonjour à tous

 

Un copain m'ayant apporté son ADC Pierro-Astro ce week-end, je n'ai pas pu résister à l'envie de concevoir la motorisation de cet accessoire afin de pouvoir l'utiliser en remote.

 

Mon idée initiale qui était d'utiliser des leviers et des billettes entre les moteurs et les leviers de l'ADC est rapidement tombée à l'eau. Le déplacement angulaire de chaque levier de l'ADC étant de 135° et non de 90° comme je le pensais, cette solution initiale s'avérait peu commode.

 

Je suis parti sur une autre solution avec des "anneaux tournants". Voila la bête, tout droit sortie de mon esprit torturé :

5cbea485a3204_MotorisationADC.jpg.40df2d108e7976cd06abe632738b4d77.jpg

 

Chaque anneau tournant est pourvu d'un trou qui sert à entrainer le petit levier de mise en rotation d'un prisme de l'ADC :

Anneau.jpg.591938cdf6e77485968da7a4b1b044c2.jpg

 

Les 2 anneaux sont centrés et maintenus en rotation par des galets en nylon. Chaque anneau peut tourner indépendamment l'un de l'autre.

 

Pour chaque anneau, un moteur pas à pas l'entraine en rotation par le bais d'un galet revêtu de caoutchouc, dont la pression sur l'anneau est ajustable de manière à ajuster l'effort d'entrainement. Vu que l'effort pour tourner un prisme est proche de zéro, il est possible de régler la pression du galet entraineur sur l'anneau de manière à obtenir un "patinage" de l'un sur l'autre en cas de mise en butée accidentelle du levier dans le corps de l'ADC.

 

Dans chaque anneau, est fixé un petit aimant (c'est le trou latéral qui va l'accueillir) qui va actionner un ILS (interrupteur à lame souple - relais reed en anglais) de manière à pouvoir obtenir le point zéro de chaque levier. Les fins de course à levier que j'utilise habituellement ne peuvent pas être mis en oeuvre dans cette solution.

 

Chaque ILS est fixé sur un support réglable de manière à caler le point zéro au plus proche de la butée du levier. Les 2 supports sont situés de part et d'autre de l'axe de rotation, en partie inférieure et à 45°.

 

La pièce la plus "complexe" à usiner est la platine support, mais je l'ai fait un peu exprès afin de m'exercer à usiner des pièces aux formes complexes avec ma fraiseuse. De toute façon, cette pièce devrait être usinée à 90% en automatique à partir du plan de la pièce, et le programme de conception va me créer directement les différentes phases d'usinage pour le pilotage de la fraiseuse.

5cbea6cfd798c_Platinesupport.jpg.b7e0b449cabfbd06ad6e7d816a903d92.jpg

 

Les dimensions du système sont assez réduites, et le poids est en conséquence.

La platine de base est usinée dans un bloc d'aluminium de 100mm au carré et de 15mm d'épaisseur (poids de 420g). Le poids final de cette platine est de 46g. L'objectif est de faire 374g de copeaux xD

Un anneau pèse 14g et un moteur 33g. Le système complet est à moins de 200g.

 

Le tout est porté directement par l'ADC, avec un maintien par pincement. Une feutrine collée dans l'alésage de la platine support évitera de meurtrir la partie extérieure de l'ADC qui est moletée.

 

Je vais néanmoins finaliser l'usinage des pièces pour le miroir secondaire tournant. Je vais usiner un "faux miroir" en aluminium de manière à valider le positionnement de l'angle de 45° sur le support tournant du secondaire.

Je vais percer un petit trou au niveau du centre optique du miroir afin de disposer d'un repère. Je pourrais ainsi vérifier les marges de réglage dont je dispose à l'aide du Telecat qui est outil de centrage d'un miroir secondaire. Cet accessoire fait partie du système Cat's eye.

 

JP

Modifié par Discret68

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Bonsoir,

un bon vieux C9.25 une petite dizaine de kg, ou plus rare le MN8 de chez "Intes-Micro" Pas Intes, deluxe si possible...ou pas d'ailleurs en planétaire, c'est un vrai bonheur en revanche le tube fait 20kg

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Bonjour tout le monde

 

Après plusieurs mois de glandouille au bords de la piscine, j'ai enfin repris les activités de bricolage et d'usinage. On aurait pu penser que le projet était tombé dans les oubliettes, eh bien non B|

 

J'ai principalement "travaillé" sur la fabrication du prototype de la motorisation de l'ADC, toujours dans le cadre de l'installation d'un setup planétaire piloté à distance.

Globalement, le résultat est conforme à l'attendu. Pour les galets d'entrainement, j'ai essayé d'utiliser 2 joints toriques cote à cote, mais il n'y avait pas assez de "grip" pour entrainer les anneaux tournants. Finalement, j'ai trouvé une gaine en silicone qui me permet d'avoir une accroche nettement supérieure sur les anneaux.

 

J'utilise un Raspberry Pi avec une carte de pilotage qui me permet de faire fonctionner les 2 moteurs pas à pas. J'ai eu quelques soucis pour faire fonctionner le système mais uniquement liés au programme que j'avais écrit. Initialement, les moteurs n'avaient pratiquement aucun couple en sortie d'axe et aucune rotation ne s'effectuait. Maintenant, tout fonctionne.

 

Une petite vidéo pour montrer le fonctionnement :

 

 

Il me reste à tester la bonne reproductibilité des mouvements. J'ai néanmoins prévu 2 fins de course afin de pouvoir réinitialiser la position 0 de chaque prisme de l'ADC.

Et dans la continuité, il me reste à terminer l'usinage des pièces pour le miroir secondaire tournant.

 

 

 

Modifié par Discret68
  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 23 heures, Discret68 a dit :

Une petite vidéo pour montrer le fonctionnement :

 

Il y a bien longtemps, trop longtemps ........, j'ai pratiqué  fraisage, tournage, rectif et autres

je suis fasciné par tes réalisations , je suis resté amoureux de la belle ouvrage  et là cela en est vraiment !

Chapeau .

Bonne réussite pour tes projets .

 

Bernard_Bayle

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant



  • Contenu similaire

    • Par Blink
      Bonsoir,
       
      J'ai cherché sur pas mal de forums, et il semble qu'appairer un A7S avec l'ASI AIR Plus n'était pas chose évidente. Cependant, ça marche maintenant, je suppose suite à la dernière mise à jour de l'Asi Air (firmware 11.01)
       
      Voici la recette :
       
      1. Je pense qu'il faut que la dernière mise à jour  (firmware 11.01) ait été effectuée.
       
      2. Sur le Sony A7S :
       
      USB : sur PC remote
      USB LN : sur unique
       
      Se mettre sur M
      Pour le temps d'exposition sur mettre sur BULB
       
      Lier le A7S par son port micro-USB à l'Asi Air, via son port USB (1 cable)
       
       
      Lancer l'ASI AIR : il doit reconnaitre le A7S et afficher les ISO du A7S.
      Cocher l'appareil proposé :  " A7S SONY"
      Par contre : laisser "Exposition with shutter cable" décoché
       
      Si les ISO du A7S n'apparaissent pas, ça ne fonctionnera pas ; éteindre et rallumer le A7S, bien enfoncer les fiches du cable...
       
      A partir de là :
      le PREVIEW fonctionne : il déclenche l'A7S et une image apparait sur l'ASI AIR
      l'AUTO RUN fonctionne : sur une série de poses de 30 secondes (pas plus sinon déclenchement du star-eater de ce cher A7S 😑) : l'appareil se déclenche et récupération des clichés sur Asi Air.
      Il ne me reste plus qu'à attendre une belle nuit pour voir si la mise en station (Polar alignment PA) par "plate solving" peut fonctionner ; il n'y a pas de raison que non.
       
      Bonne soirée,
       
    • Par Julien Cadena
      Bonjour à tous,
       
      Désolé d'avance pour ce post qui sera long .
       
      Avec un peu de retard, voici le retour du séjour que j’ai eu la chance de faire début février avec mon club astro le GAAC (62).
       
      Pour ceux que cela intéresserait, une revue trimestrielle réalisée par le club est consultable ici :
      https://www.astrogaac.fr/productions/le-journal/les-numeros-61-a-70
       
      C’est un numéro spécial « aurores » avec notamment un article sur le matériel vestimentaire/photo à prévoir pour ce type de voyage.
       
      Nous avons passé l’essentiel du séjour à Abisko, une petite localité de 85 habitants au nord de la Suède et proche de la frontière norvégienne.
       
      Abisko est situé dans un parc national. Nous logeons un peu en dehors dans un complexe proposant un restaurant, des chambres d’hôtels et chalets individuels.
      Les chalets que nous avons réservé sont situés dans un cadre magnifique:
       

       
      Ces chalets surplombent une forêt de boulots enneigés qui donne un peu plus loin sur les rives du Tornetrask, un immense lac gelé l’hiver, recouvert de neige et entouré de montagnes aux sommets arrondis:
       

       

       

       

       
      Mais passons à ce qui nous intéresse : les aurores !
       
      Nous arrivons en début de séjour sous la grisaille et les chutes de neige avec une température assez douce pour la période (-6°).
       
      Durant le séjour, nous allons vite nous rendre compte que nous ne pouvons pas nous fier aux sites de prévisions météos et même aux sites de prévisions aurorales.
      Par chance, Abisko est équipée d’une webcam extérieure permettant la surveillance du ciel bien au chaud. Nous décidons de veiller à tour de rôle chaque nuit.
       
       
      1ère nuit:
       
      Le ciel se dégage vers 1h du matin et la webcam montre quelques lueurs verdâtre.
      Nous nous habillons et décidons de sortir.
      Nous décidons de descendre en bordure du lac et de réaliser quelques clichés dessus. Les aurores sont bien là (ou plutôt une arche aurorale de faible intensité). C'est ma première aurore et j'en profite pour me mettre en scène  . Il y a pas mal de passages nuageux. Le ciel se couvrira définitivement vers 4h du matin nous obligeant à rentrer.
       

       

       

       
      2ème nuit:
       
      le ciel, encore couvert à 21h, se dégage progressivement vers 23h.
      Nous nous préparons et à peine sortis du chalet, nous apercevons un immense filament auroral vertical (et ce malgré les lumières des chalets environnants!).
      Nous descendons rapidement dans la forêt vers des spots que nous avons repéré dans la journée: 
       

       
      A peine le temps de s'installer et c'est l'explosion durant 15 min environs! du vert, du rouge dans le ciel. Quelle montée d'adrénaline! des cris, des jurons fusent parmi nous! un véritable feu d'artifice. Il y en a partout et on en oublie presque de déclencher les appareils pour profiter de ce moment magique.
       

       

       
      Le ciel s'est tellement embrasé que le paysage et la neige se couvre de vert:
       

       

       

       
      Puis, le phénomène se calme mais il restera une activité de plus faible intensité durant toute la nuit:
       

       

       

       

       

       
      3ème nuit:
      Le ciel a été couvert une partie de la journée et comme la nuit précédente, il se dégage en début de soirée. Il reste cependant des voiles d'altitude. Cela donne un aspect Akira Fujii à nos images. L'aurore ne démarre jamais vraiment; rien à voir avec ce que nous avons vu la veille. Mais l'arche aurorale permet de faire des compositions sympas avec notamment de la glace qui prend la couleur de l'aurore!
       

       

       

       
      4ème nuit:
       
      Sortie vers 22h avec des voiles assez présents; on retrouve un peu la touche "akira fujii" comme la veille. Nous observons des piliers de lumière qui sont formés des lumière d'Abisko ou de véhicules passant sur la route. Ce phénomène est dû à des cristaux de glace en suspension dans l'air:
       

       
      5ème nuit:
       
      Nous décidons de prendre la voiture et de faire 15 min de route plus au nord. Nous avons vu un spot sur le lac gelé qui devrait être bien sympa et nous changer de nos spots habituels. Le thermomètre de la voiture annonce -25°. On ne sera pas aussi bien protégé que dans la forêt du vent donc cela devrait piquer! (c'est notre sortie la plus fraiche avec un ressenti de -32°!)
      Une arche aurorale est bien présente et s'active de temps en temps; c'est superbe!
       

       

       

       
      6ème et dernière nuit:
       
      Une arche aurorale est bien présente en début de soirée mais plus brillante et remuante que la veille! A l'extrémité de l'arche, il se passe des choses bien visibles à l'œil nu,  avec des volutes qui grimpent jusqu'à 40° de hauteur.
      Le rouge est bien présent comme lors de la 2ème nuit. La nature nous gâte pour notre dernière nuit sur place:
       

       

       
      Toutes les images d'aurores ont été réalisées avec un canon 6d astrodon/objectif tt artisan 11 mm à fd2.8/objectif sigma art 20 mm à fd 1.4 sur trépied Vanguard.
       
       
      Malgré une activité calme du soleil durant le mois de février, nous avons eu à chaque sortie un phénomène à observer et la météo nous a été plutôt favorable!
       
      De superbes souvenirs et l'envie de repartir avant que l'activité solaire ne baisse.
       
      Bon ciel à tous
       
       
       
       
    • Par FrancoisGAP
      Bonsoir à tous, 
       
      Après la comète j'ai profité des belles nuits sans lune pour faire une image que je trouve sympa du trio du lion
       
      Les détails sont sur mon site web : https://planetediy.fr/index.php/2024/03/23/le-trio-du-lion/
       

       
      Détail du matériel utilisé :
      TS-ONTC HYPERGRAPH 10″ 254/1000 (Fd4)
      Correcteur Réducteur 0,85×3″ soit 863mm (Fd3,4)
      EQ8R-Pro sur Pilier Acier DIY
      ZWO ASI2600MC DUO + Optolong Clear 2″
      ZWO EAF
      ZWO EFW 5 positions 2″
      Temps intégration total de 7h
      27x120s Gain=100 (-20°C)
      14x180s Gain=100 (-20°C)
      59x180s Gain=100 (-20°C)
      49x180s Gain=100 (-20°C)
      40 Darks Gain=100
      40 Darks Flat Gain=100
      40 Flats Gain=100
      Traitement PSD / Pixinsight
       
      NGC3628 : 
       

       
      M65 & M66:
       

       
       
    • Par Astramazonie
      Salut amis astros,
       
      une petite photo / video de la pleine lune de ce mois en Guyane, toujours au ZWO Seestar S50
       
      Bonne semaine à vous. 
       

       
       
    • Par soleil rouge
      La lune au foyer de la lunette avec camera altair grand champs , puis histoire de pousser la lunette dans ses retranchements, voici quelques photos lunaires réalisés avec la 
      lunette apo de 185 mm et barlow 5x et 3x 
      camera Player one !
       
       








  • Évènements à venir