jackbauer 2

Artemis : retour de la NASA sur la Lune en 2024 (?)

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Est-ce que la fusée est visitable cette année dans le cadre des journées du patrimoine ? 9_9

Sinon, j'irai la voir l'année prochaine. :ph34r:

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Le 9/17/2022 à 00:37, Pascal C03 a dit :

Est-ce que la fusée est visitable cette année dans le cadre des journées du patrimoine ? 9_9

 

 

Bonjour, quel patrimoine?

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Le 15/09/2022 à 19:10, Hoth a dit :

Pas bien compris ce que c'est , une nouvelle discipline de savapété ?

 

C'est marrant ça : une habitation gonflable lunaire dans le vide sidéral. 

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La NASA se prépare pour mercredi à un nouveau test d'avitaillement du SLS .


https://spaceflightnow.com/2022/09/19/nasa-preps-for-sls-fueling-test-wednesday/


De Guillaume Harwood, le 19 septembre 2022.


Les ingénieurs sont prêts à avitailler la fusée lunaire Artemis avec du carburant super froid, mercredi, pour s'assurer qu'un raccord à déconnexion rapide d'hydrogène liquide réparé ne fuit pas, l'une des deux exigences qui doivent être remplies avant que l'agence puisse faire une troisième tentative de lancement de l'énorme fusée le Septembre 27 pour enfin réaliser le premier tir d'un vol vers la Lune de ce programme.


20220919artemis1.jpg


La fusée lunaire du système de lancement spatial de la NASA se dresse sur le pad 39B au Kennedy Space Center le 18 septembre. Crédit: Stephen Clark / Spaceflight Now


L'autre conditions exigible est une dérogation de la Space Force Eastern Range, qui supervise tous les lancements militaires et civils depuis la Floride, permettant au lancement automatique de se poursuivre, sans vérifier au préalable l'état des batteries dans le système d'autodestruction de la fusée.


Les batteries étaient initialement certifiées pour 20 jours, une limite qui a ensuite été prolongée de cinq jours pour donner à la NASA trois opportunités de lancement entre le 29 août et le 5 septembre. Cette dérogation prolongée a expiré le 6 septembre, trois jours après l'annulation de la deuxième tentative de lancement à cause d'une fuite d'hydrogène pendant l' avitaillement.
Les batteries en question ne sont pas accessibles sur la rampe de lancement et sans une autre extension de la certification, la fusée devrait être ramenée au bâtiment d'assemblage de véhicules, retardant la mission Artemis 1 à fin octobre ou début novembre.


"Ils ont la responsabilité de la sécurité publique, et ils ont donc demandé des informations supplémentaires (sur les batteries)", nous informe John Blevins, ingénieur en chef de la fusée Space Launch System.


Le test d'avitaillement ne nécessite pas de dérogation et "nous ne sommes pas vraiment focalisés sur le délais  pour obtenir cette autorisation ", affirme Blevins à propos de la demande de dérogation. " Nous allons donc les laisser faire et voir si les données que nous leur avons fournies répondent aux questions qu'ils se posent."


La NASA a effectué quatre tests d' avitaillement entre le 3 avril et le 20 juin, rencontrant divers problèmes qui ont déclenché des interruptions et des modifications répétées. La première tentative de lancement réelle le 29 août a été annulée principalement en raison de problèmes de refroidissement des moteurs de la fusée.


Ce problème était le résultat d'un capteur défectueux. Mais lors du plein en carburant du 3 septembre, de fortes concentrations d'hydrogène gazeux ont été détectées dans un boîtier autour d'un raccord à déconnexion rapide à la base de l'étage principal du SLS où l'hydrogène liquide à moins 423 degrés Fahrenheit arrive dans la fusée.


Les capteurs ont détecté des concentrations d'hydrogène allant jusqu'à 8 %, soit le double du niveau autorisé, augmentant chaque fois que les débits et les pressions s'élevaient. Avec des indications claires d'une fuite, le lancement a été annulé.
À la suite du deuxième échec, la NASA a ordonné aux ingénieurs de détacher le raccord à déconnexion rapide de la rampe de lancement et de remplacer les joints internes. Ce travail a été achevé la semaine dernière, ouvrant la voie au test de d'avitaillement de mercredi.


Lors d'une téléconférence avec des journalistes lundi, les responsables ont déclaré que le joint retiré du raccord à déconnexion rapide présentait des signes de déformation suggérant un impact de "débris d'objets étrangers" quelconques. L'indentation ne mesurait qu'environ 0,01 pouce de diamètre, mais cela pourrait suffire à expliquer la fuite.


"Nous avons trouvé une marque témoin, ou une empreinte, pouvant être associée à l'impact de débris non identifiés", explique Mike Sarafin, le responsable de la mission Artemis 1. "Nous n'avons pas récupéré aucun débris de corps étranger, mais il y avait clairement une empreinte dans ce joint qui montre qu'il y avait un problème à l'origine de la fuite d'hydrogène."


Les fuites d'hydrogène sont notoirement difficiles à identifier et à réparer car elles n'apparaissent généralement que lorsque le matériel est exposé à des températures  cryogéniques. C'est pourquoi les responsables de la NASA ont choisi de tenter une réparation sur la rampe de lancement, permettant un "test cryo" pour vérifier que le nouveau joint ne fuit pas.


La concentration d'hydrogène admissible dans le boîtier autour du raccord à déconnexion rapide est de 4 %, niveau au-delà  duquel le gaz peut enflammer spontanément lorsqu'il est mélangé à l'oxygène. Lors de la deuxième tentative de lancement de la fusée SLS, le 3 septembre, des capteurs ont détecté des concentrations atteignant 8% lorsque les débits et les pressions augmentaient.


Pour le test de plein du réservoir de mercredi, les ingénieurs utiliseront une approche «plus progressive», remplissant le réservoir de l'étage principal un peu plus lentement et à des pressions légèrement inférieures pour atténuer le choc thermique lors de la transition d'opérations de «remplissage lent» à «remplissage rapide».


Le compte à rebours du "test cryo" devait commencer à 17h30 lundi et se terminer à 15h mercredi à T moins 10 minutes.
En supposant que le test de mercredi se passe bien – et si l'autorisation de procéder au lancement par la Space Force Eastern Range est donnée, la NASA prévoit de redémarrer un nouveau compte à rebours à 13 h 27 HAE dimanche, pour un lancement mardi à 11 h 37 .
 

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C’est pas pour faire mon vieux radoteur... mais les plombiers des années 60, c’était quand même autre chose ! xD

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Quelqu'un pourrait-il me dire si Musk a une certaine avance à avoir remplacé l'hydrogène par le méthane, beaucoup moins pénible à manier ?

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Il y a 6 heures, Desmoulins a dit :

 

Si ils savent faire un joint à 1§§§§§§ le joint :D

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C’est normal, à force de les fumer... 9_9

Qui fume un joint fume un pétard !

Rien de tel pour s’envoyer en l’air :D

D’ailleurs Musk l’a bien compris :

 

image.png.ad2720658c601cc5e126b13224f1e540.png

Modifié par Alain MOREAU
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Bonjour, peut être que les ingénieurs d'Ariane devraient les aider?  ;- )

 

(oh yaaaa! go for it!)

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La NASA valide un test de tanking cryogénique sur la fusée lunaire Artemis 1


De Stéphane Clark, le 21 septembre 2022


https://spaceflightnow.com/2022/09/21/nasa-completes-cryogenic-tanking-test-on-artemis-1-moon-rocket/


Extraits de l'article en traduction automatique corrigée :


Les ingénieurs ont fait le plein de la fusée lunaire Artemis 1 avec plus de 3 375 000 Litres d'hydrogène liquide lors d'un test d'avitaillement, mercredi, au Kennedy Space Center, après avoir tenté de réparer une fuite d'hydrogène persistante. La directrice du lancement a déclaré qu'elle était "extrêmement encouragée" par le test, mais les responsables ne se sont pas encore engagés dans une autre tentative de lancement du vol d'essai sans équipage vers la lune à la prochaine opportunité, le 27 septembre.


20220921slstankingtest.jpg


Les vapeurs s'échappent de la fusée lunaire du système de lancement spatial lors d'un test de réservoir cryogénique mercredi dernier. Crédit : NASA  (Grossier mensonge de l'agence, Elon se trouvait justement à ce niveau de la tour de lancement quand ce nuage a été vu. D'après un technicien présent, l'odeur était sans équivoque "ça sentait le Musk à plein nez" a-t-il déclaré).) 


"Nous allons jeter un coup d'œil attentif aux données", confie le directeur du lancement, Charlie-Blackwell-Thompson. "Je n'aime pas spéculer sur les données, alors je souhaite que l'équipe ait l'opportunité de les examiner, pour voir s'il y a des changements que nous devrions apporter à notre procédure de chargement, nos délais, ou si cette question est d'ors et déjà réglée.


Depuis la tentative de lancement du 3 septembre, les techniciens ont remplacé les joints des raccords à déconnexion rapide, sur la rampe de lancement, où l' hydrogène liquide à T° cryogénique circule entre la fusée et la plate-forme. Les responsables de la NASA ont décidé d'effectuer un test de remplissage cryogénique sur la fusée avant de procéder à une autre tentative de lancement.


L'équipe de lancement a modifié les procédures de remplissage pour le test de mercredi. Ils ont planifié une manière "plus progressive" de remplir les réservoirs de carburant, en utilisant des pressions plus basses et en laissant plus de temps aux conduites pour qu'elles refroidissent à des températures cryogéniques. Les changements ont prolongé le délai de tanking d'environ 30 minutes.


Le test de chargement cryogénique de mercredi a exposé la connexion ombilicale qui fuyait à des températures super froides alors que l'hydrogène liquide s'écoulait dans le réservoir de la fusée. L'hydrogène liquide est refroidi à moins 423 degrés Fahrenheit, tandis que l'oxygène liquide à bord de la fusée lunaire est maintenu à moins 298 degrés.


Mais l'équipe de lancement d' Artemis a de nouveau détecté une fuite dans la connexion ombilicale d'hydrogène tôt ce mercredi, avec des concentrations d'hydrogène atteignant 7% autour du raccord à déconnexion rapide, alors que les ingénieurs augmentaient le débit dans le réservoir de l'étage central, près du double de la limite autorisée de 4 %.


Les ingénieurs ont arrêté le remplissage d'hydrogène liquide dans la fusée pour permettre à la ligne de se réchauffer, puis ont repris le chargement à une pression plus basse. La connexion est restée pratiquement étanche lors de la deuxième tentative d' avitaillement, les concentrations d'hydrogène restant inférieures à 1% pendant la majeure partie du test.


"Lorsque nous avons réinitialisé le débit, nous avons commencé à augmenter les pressions pour revenir à une configuration de remplissage rapide, et nous y sommes parvenus", explique Blackwell-Thompson mercredi après-midi dans une interview diffusée sur NASA TV. "Nous n'avons donc pas constaté la même fuite, ce qui était formidable. Cela nous a permis de finaliser le test de remplissage de la fusée.»


Derrol Nail, un porte-parole de la NASA fournissant des commentaires du centre de contrôle, a déclaré que la fuite d'hydrogène avait brièvement grimpé à 3,4% alors que l'équipe de lancement commençait à faire circuler de l'hydrogène liquide super froid à travers les conduites des moteurs de l'étage principal pour leur conditionnement thermique.


"L'une des données très encourageantes pour moi était que lorsque nous avons augmenté la pression, nous avons en fait vu la fuite diminuer", affirme Blackwell-Thompson. "Il s'agit d'un joint assisté par pression, donc c'était très encourageant, puis nous avons vu le taux de fuite réellement diminuer."


Un autre raccord à déconnexion rapide d'hydrogène, dans une conduite de purge plus petite de 4 pouces, a également fui plus tard dans le test alors que les ingénieurs pressurisaient le réservoir d'hydrogène liquide de l'étage principal, provoquant des concentrations de 5%, selon Nail.


Blackwell-Thompson a déclaré que l'équipe de lancement était déçue lorsqu'elle a initialement constaté la fuite au début du tanking mercredi.


"Je pense que c'est normal, mais ce qu'ils ont fait, c'est qu'ils ont appliqués nos procédures d'urgence… Nous avons réussi à nous en sortir", a-t-elle déclaré.


"Nous avons également chargé l'étage supérieur aujourd'hui, avons réalisé notre purge au démarrage, donc tous les objectifs que nous nous étions fixés ont pu être atteints aujourd'hui", déclare Blackwell-Thompson.


20220921cbt.jpg
Le directeur du lancement Charlie Blackwell-Thompson, à gauche, dans le centre de contrôle de lancement Artemis 1 au Kennedy Space Center lors d'un test de tanking de mercredi. Wes Mosedale, assistant technique du directeur du lancement, est assis au centre. Le directeur de lancement adjoint Jeremy Grabber se tient à droite. Crédit : NASA/Kim Shiflett


La forme et la taille des joints peuvent changer lorsqu'ils sont exposés à des températures super froides, créant une fuite difficilement détectable à température ambiante. 


Les fuites d'hydrogène ont été un problème persistant lors de la campagne de lancement d' Artemis 1 alors que la NASA se prépare pour le premier vol d'essai, un lanceur de 98 mètres qui a coûté plus de 20 milliards de dollars à ce jour et a pris une décennie pour être développé.


L'étage principal de la fusée lunaire SLS contient 537 000 gallons d'hydrogène liquide et 196 000 gallons d'oxygène liquide super froid comme oxydant. Les mêmes "carburants" alimentent l'étage supérieur, avec des réservoirs beaucoup plus petits. Les quatre réservoirs de "carburant" ont été rempli lors du test du 21 septembre, qui s'est terminé mercredi après-midi avec environ une heure et demie de retard, principalement en raison de retards causés par la fuite d'hydrogène détectée tôt dans le ravitaillement, mercredi matin.


Si la NASA décide une autre tentative de lancement d' Artemis 1, la prochaine opportunité sera le mardi 27 septembre. Une fenêtre de lancement de 70 minutes sera disponible à 15 h 37 GMT. Une autre opportunité de lancement est provisoirement fixée pour le 2 octobre. La période de lancement actuelle se termine le 4 octobre, lorsque la position de la Lune sur son orbite autour de la Terre rendrait les séquences de la mission impossibles. La prochaine période de lancement s'ouvre le 17 octobre et dure deux semaines, suivie d'une autre série de dates disponibles à partir du 12 novembre.


Le problème des fuites d'hydrogène n'est pas la seule préoccupation de l'équipe de lancement Artemis.


L'agence spatiale continue également de travailler avec la Space Force Eastern Range de l'US Space Force pour une demande d'extension de la certification des batteries du  système de destruction en vol de la fusée lunaire, qui serait activé si elle déviait de sa trajectoire après le décollage. La Space Force Eastern Range doit approuver la certification de la batterie – initialement prévue pour 20 jours, puis portée à 25 jours et qui devrait maintenant couvrir au moins 45 jours – pour que la NASA puisse procéder à des tentatives fin septembre et début octobre.


Si la Space Force Eastern Range n'approuve pas l'extension de la certification, la NASA devra ramener la fusée lunaire SLS au bâtiment d'assemblage, repoussant la date de lancement d'Artemis 1 dans la seconde moitié d'octobre ou en novembre.
 

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il y a 40 minutes, Huitzilopochtli a dit :

Le problème des fuites d'hydrogène n'est pas la seule préoccupation de l'équipe de lancement Artemis.


L'agence spatiale continue également de travailler avec la Space Force Eastern Range de l'US Space Force pour une demande d'extension de la certification des batteries du  système de destruction en vol de la fusée lunaire, qui serait activé si elle déviait de sa trajectoire après le décollage. La Space Force Eastern Range doit approuver la certification de la batterie – initialement prévue pour 20 jours, puis portée à 25 jours et qui devrait maintenant couvrir au moins 45 jours – pour que la NASA puisse procéder à des tentatives fin septembre et début octobre.


Si la Space Force Eastern Range n'approuve pas l'extension de la certification, la NASA devra ramener la fusée lunaire SLS au bâtiment d'assemblage, repoussant la date de lancement d'Artemis 1 dans la seconde moitié d'octobre ou en novembre.
 

 

 

ubuesque... et après on se demande pourquoi la NASA n'est plus capable de lancer une fusée dans l'espace. Bientôt ils vont devoir consulter des juristes pour installer des chiottes pour leurs astronautes...

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il y a une heure, VNA1 a dit :

Bonjour, peut être que les ingénieurs d'Ariane devraient les aider?  ;- )

 

(oh yaaaa! go for it!)

t'inquiète ...z'y comprennent rien en livres, pouces ,pieds ou autres joyeusetés  ...pi c'est des artistes,  ça le ferait pas pour des bidons ..

séquence émotion :

Plus de  50 ans déjà .... dommage qu'un morceau de bidon estampillé " bannière étoilée"  ai mis fin a ce superbe oiseau .

Il aurait mérité une autre fin :( 

000.jpg

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il y a 12 minutes, jackbauer 2 a dit :

ubuesque... et après on se demande pourquoi la NASA n'est plus capable de lancer une fusée dans l'espace. Bientôt ils vont devoir consulter des juristes pour installer des chiottes pour leurs astronautes...

 

 

Bonjour, surprenant de ton cynisme ou moquerie? 

 

Il y a de très bonnes raisons pourquoi NASA se sert d'hydrogen et que SpaceX se sert de methane.

 

"The rocket's main engines use a combination of liquid hydrogen and liquid oxygen. Hydrogen has the lowest molecular weight of any known substance, making it ideal for keeping the weight of a rocket relatively small. When combined with liquid oxygen, hydrogen creates the most efficient thrust of any rocket propellant."

 

Cette vidéo explique les différentes raisons pour quoi NASA continue à se servir d'hydrogen.

 

 

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Moi je propose de la poudre noire, on peut faire de belles fusées avec de la poudre noire. Et plus de problème de fuite, c'est pas cher.

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Le 22/09/2022 à 16:10, Alain MOREAU a dit :

D’ailleurs Musk l’a bien compris :

Au risque d'insister sur les détails les moins importants de l'histoire, on peut affirmer que, M. Musk n'ayant pas respiré la fumée chargée en THC qui se présentait dans sa bouche, il n'a du ressentir que de brefs et succints effets liés à l'inhalation passive de la substance.
Il n'a donc pas atteint la limite de la FD²A (Fédération des Drogues Douces et leurs Amateurs), arbitrairement fixée à 100km au-dessus des sobres.4

 

(En attendant que les ricains fassent leurs papiers, on s'occupe comme on peut)

Modifié par Theta Coxa
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Il y a 23 heures, pauleau1 a dit :

Plus de  50 ans déjà .... dommage qu'un morceau de bidon estampillé " bannière étoilée"  ai mis fin a ce superbe oiseau .

Il aurait mérité une autre fin :( 

 

HS on

C'est un peu réducteur.

On pourrait aussi bien dire que compte tenu du nombre d'incidents assez graves qui ont eu lieu tout au long de son exploitation, il aurait dû s'arrêter bien avant.

Il reste qu'il était tellement beau! Le plus bel avion du monde, je ne sais pas, c'est subjectif (pour moi oui!), mais un magnifique avion, indubitablement.

J'ai eu la chance de le voir ou de l'entendre matin et soir pendant toute ma jeunesse.

 

Modifié par Kirth
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Citation

Après deux essais de lancement ratés il y a quelques semaines à cause de problèmes techniques, la nouvelle tentative prévue mardi 27 septembre pour cette mission Artémis 1est désormais menacée par une tempête en formation dans les Caraïbes.

 

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-lancement-mardi-de-la-mega-fusee-de-la-nasa-pour-la-lune-menace-par-une-tempete-20220923

 

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Citation

Le décollage de la nouvelle méga-fusée de la Nasa pour la Lune, pour la très attendue mission test Artémis 1, ne pourra pas avoir lieu mardi 27 septembre comme annoncé, à cause de la formation d'une tempête.

Sous la menace de la tempête tropicale Ian, actuellement au sud de la Jamaïque, la Nasa doit préparer la fusée pour la rentrer à l'abri dans son bâtiment d'assemblage. La tempête devrait se renforcer en ouragan au cours des jours qui viennent et remonter via le golfe du Mexique vers la Floride, où se trouve le centre spatial Kennedy, d'où doit décoller la fusée.

Figaro

 

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Pffff : bande de couilles molles à la NASA !

Alors que c’était l’occasion rêvée de voir si le machin résiste à l’ouragan xD

Y a belle lurette que Musk aurait balancé son pétard, fut-il mouillé, contre vents et marées !

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Le 25/09/2022 à 06:46, Alain MOREAU a dit :

Y a belle lurette que Musk aurait balancé son pétard, fut-il mouillé, contre vents et marées !

 

T'es une quiche en orthographe grammaticale.

La bonne façon de l'écrire est "Y a belle lurette que Musk aurait balancé son pétard futile mouillé, contre vents et marées !"

 

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