Kaptain

Apollo 11, dernières secondes d'enfer...

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Impressionnant, surtout les bruit des réacteurs ;)

 

XaVs

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Super oui !

Dire qu'il y a des faibles d'esprit qui ne croient pas aux missions lunaires...Je débats avec pas mal d'entre eux sur les posts de la Nasa sur instagram. Ils vont loin dans l'ignorance et la bêtise...

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Invité iblack
Il y a 6 heures, AlbeAlbe a dit :

Ils vont loin dans l'ignorance et la bêtise.

 

La bêtise devient humaine si l'ignorance est entretenue...

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Oui, j'ai beau répondre à tous leurs arguments (les ombres "bizarres", pas d'étoiles dans le ciel, pourquoi il n'y a pas de poussière, comment ils ont fait pour traverser les ceintures de Van Allen, pourquoi on ne va plus sur la lune depuis...) mais rien n'y fait.

Certains en fait ont envie qu'on leur mente. Ils sont dans cet état d'esprit, que c'est forcément un complot et toute rationalité a disparu.

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Il y a 10 heures, AlbeAlbe a dit :

Certains en fait ont envie qu'on leur mente. Ils sont dans cet état d'esprit, que c'est forcément un complot et toute rationalité a disparu.

 

Pour en mesurer l'ampleur, il serait bon d'avoir des stats sur ceux qui ne croient pas aux marches lunaires. En France et aux US au moins. Est-il marginal ou assez répandu ?

Faudrait peut être ne pas un faire un fromage si ça représente moins de 20 % de la population ...

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Il y a 2 heures, BobMarsian a dit :

Pour en mesurer l'ampleur, il serait bon d'avoir des stats sur ceux qui ne croient pas aux marches lunaires. En France et aux US au moins. Est-il marginal ou assez répandu ?

 

 

En 2018, un sondage Ifop révélait ainsi que 16% des Français soutenaient «totalement» l’idée que les Américains n’étaient jamais allés sur la Lune. C’était aussi le cas de 7% des Américains en 2013. Ce «mensonge» aurait été diffusé par le gouvernement américain pour acter la supériorité des Etats-Unis sur la Russie dans leur course à la conquête spatiale et ainsi remporter la Guerre froide.

http://www.lefigaro.fr/sciences/on-n-a-pas-marche-sur-la-lune-10-arguments-face-aux-complotistes-20190716

 

 

On note que les jeunes sont plus sensibles aux théories du complot que leurs aînés : les moins de 35 ans sont ainsi deux fois plus nombreux que les plus de 35 ans (21%, contre 11%) à adhérer à au moins sept théories du complot.

Le sondage ifop 2018 :

https://www.ifop.com/publication/enquete-sur-le-complotisme/

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Quelques précisions supplémentaires dans l'article du Figaro :

 

Citation

La descente d’Armstrong et Aldrin, émaillée de problèmes radio et d’alarmes, a été la plus mouvementée de toutes les missions Apollo.

Après trois jours de voyage depuis Cap Canaveral, et une journée en orbite autour de la Lune, il est temps d’amorcer la phase critique d’Apollo 11: l’alunissage. Neil Armstrong et Buzz Aldrin ont pris place à bord du module lunaire Eagle, connu par le grand public sous le nom de LEM. Michael Collins est seul dans le module de commande, qui va rester en orbite autour de la Lune.

La séparation entre les deux vaisseaux s’est déroulée sans problème, et la dernière phase de la descente pour passer d’une vitesse de plus de 6 000 km/h en orbite jusqu’à l’arrêt au sol ne va durer que 12 minutes et demie. La manœuvre est courte, mais elle plonge les deux astronautes dans l’inconnu: c’est la seule partie de leur voyage qui n’a pas été défrichée par les missions Apollo précédentes. Quelques mois plus tôt, l’équipage d’Apollo 10 avait survolé le site d’atterrissage à 16 kilomètres d’altitude avec le LEM, mais sans se poser.

Ces dernières minutes avant l’arrivée ont bien évidemment été répétées à de nombreuses reprises par les deux hommes en simulateur, mais rien ne va se dérouler exactement comme prévu. Neil Armstrong et Buzz Aldrin ne savent notamment pas encore que leur trajectoire est un peu différente de celle qui a été prévue, et qu’elle va donc les emmener à quelques kilomètres au-delà de la cible visée. Pour ne rien arranger, leurs communications par radio avec la Terre vont être perturbées à plusieurs reprises par des interférences avec des protections métalliques placées au dernier moment sous les moteurs de contrôle d’attitude.

« Il y a tout un tas de gens qui commençaient à se sentir mal. Nous respirons de nouveau »

Charlie Duke à Houston

Et ce n’est pas tout, d’autres mauvaises surprises attendent les deux hommes. Pendant toute la descente, ils sont debout dans l’habitacle exigu du LEM, chacun face à une petite fenêtre triangulaire. Armstrong est à la place de gauche, celle du pilote, alors qu’Aldrin, à droite, gère l’ordinateur de bord et les communications avec Houston. Le début de la phase de freinage, à 16 km au-dessus de la surface, est engagé automatiquement par l’ordinateur. Les problèmes radio commencent peu après, avec une perte de signal annoncée par le centre de contrôle au bout de 30 secondes. C’est Mike Collins, toujours en liaison à Houston, qui relaie à Aldrin l’instruction de passer par l’une des antennes secondaires. Par la suite, Aldrin va devoir orienter manuellement l’antenne principale afin de garder le contact avec la Terre. À ce stade de la descente, Armstrong scrute la surface lunaire pour vérifier que des repères choisis à l’avance passent au bon moment sous le vaisseau. Au bout de 3 minutes, il repère Boot Hill, une petite colline, qui défile un peu trop tôt à son chronomètre. «Nous sommes un peu long» annonce-t-il à Aldrin, avant de le répéter un peu plus tard à Houston, sentant que le point d’atterrissage va dépasser la cible.

Au même moment, à cause de nouvelles interférences radio, les contrôleurs à Houston perdent une partie de la télémétrie qui leur permet de suivre la trajectoire du LEM et de vérifier que tout se déroule comme prévu. Mais Armstrong et Aldrin sont concentrés à bord, ils viennent de faire pivoter le LEM sur son axe, de manière à diriger le radar vers la surface. Ils attendent une info cruciale, l’altitude donnée par ce radar, de manière à corriger la trajectoire calculée par l’ordinateur de bord. Au bout de cinq minutes, Aldrin est soulagé: le radar «accroche bien!». Eagle est alors à 40.000 pieds, soit un peu plus de 12 km au-dessus de la surface, et la descente se déroule normalement.

La descente se poursuit parfaitement, même si les alarmes continuent de sonner à intervalles réguliers

Peu après, une série de bips stridents résonne dans le vaisseau. «Alarme programme», avertit Armstrong avec une pointe d’anxiété sensible dans sa voix. Puis il précise: «C’est (un code) 1202.» Après quelques mots échangés avec Aldrin, il demande à Houston: «Donnez-nous un avis sur l’alarme programme 1202.» L’inquiétude commence à poindre, car cette erreur émise par l’ordinateur de bord n’a jamais été rencontrée en simulateur. Moins de 30 secondes plus tard, Steve Bales, l’un des experts du programme de vol à Houston, donne un «go» sur l’alarme. Il juge que ce petit problème de mémoire dans l’ordinateur de bord n’aura pas d’effet sur le contrôle de la descente. C’est l’astronaute Charlie Duke, «capcom» chargé de faire la liaison radio entre Houston et Apollo 11, qui rassure l’équipage: «On est GO sur l’alarme.» La descente se poursuit alors parfaitement, même si les alarmes continuent de sonner à intervalles réguliers.

À 200 mètres d’altitude, Armstrong déconnecte l’ordinateur et prend les commandes en mode manuel. Il a repéré un gros champ de rochers au bord d’un grand cratère à l’endroit où le LEM va se poser. Il réduit immédiatement l’angle de freinage, et vise un point d’alunissage un peu plus loin. Régulièrement, Aldrin égrène l’altitude lue sur le radar «600 pieds», «540 pieds», «400 pieds». La concentration d’Armstrong, qui cherche un point d’arrivée par la petite fenêtre, est alors totale. Son rythme cardiaque grimpe jusqu’à 150 battements par minute, bien plus que ses 60 battements au repos. La poussière soufflée par la tuyère du moteur brouille les repères au sol, et rend difficile la perception de la vitesse et de l’altitude. Pour ne rien arranger, le détour choisi par Armstrong consomme du carburant, et la lumière rouge qui alerte qu’il ne reste plus que 5 % dans le réservoir s’allume. Neil reste calme et poursuit l’approche en manuel, vers le bord d’un petit cratère aux bords bien découpés, corrigeant une légère dérive latérale.

Le sol se rapproche, et Aldrin annonce: «Lumière de contact.» Eagle vient de toucher le sol lunaire. « OK, moteur coupé. » Ce sont les premiers mots d’un homme sur la Lune. Quelques instants plus tard, pour la postérité, Armstrong annonce: «Houston, ici la base de la Tranquillité. L’Aigle a atterri.» Soulagement à Houston: «Il y a tout un tas de gens qui commençaient à se sentir mal. Nous respirons de nouveau», transmet avec humour Charlie Duke à ses deux amis, alors que les applaudissements et les vivats résonnent dans la salle de contrôle.

Le LEM est à 6 km du point visé, mais cela n’a aucune conséquence. Le plan de vol prévoit alors un repos de cinq heures avant de se préparer à sortir. Mais les deux astronautes sont impatients et obtiennent de Houston d’accélérer le processus. Ils se reposeront après être entrés dans l’histoire. Après un peu plus de six heures de préparatifs pour leur sortie en scaphandre, ils ouvrent l’écoutille. Le 21 juillet, à 3 h 56 du matin (heure de Paris), Neil Armstrong pose le pied sur la Lune: «C’est un petit pas pour l’homme, un bond de géant pour l’humanité.» Le pari fou de Kennedy, poser un homme sur la Lune avant la fin de la décennie, est gagné. L’Amérique triomphe devant le reste du monde.

 

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Quel suspense à lire ce texte !!! Il a dû  leur falloir des nerfs solides. Ils ont quand même dû avoir une belle trouille  avec toutes ces péripéties pedant la descente :(

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Le 18/07/2019 à 13:17, AlbeAlbe a dit :

Dire qu'il y a des faibles d'esprit qui ne croient pas aux missions lunaires...Je débats avec pas mal d'entre eux sur les posts de la Nasa sur instagram. Ils vont loin dans l'ignorance et la bêtise...

 

Oui, être fier de remettre en cause la connaissance académique, c'est tendance ! Nous vivons l'ère de la revanche des mous du bulbe !

 

Il y a 18 heures, BobMarsian a dit :

Faudrait peut être ne pas un faire un fromage si ça représente moins de 20 % de la population ...

 

ça suffit à élire un président américain avec un QI d’huître, et il parait qu'un certain Boris se profile par ailleurs !

 

Il y a 15 heures, vaufrègesI3 a dit :

On note que les jeunes sont plus sensibles aux théories du complot que leurs aînés : les moins de 35 ans sont ainsi deux fois plus nombreux que les plus de 35 ans (21%, contre 11%) à adhérer à au moins sept théories du complot.

 

Je me demande s'il faut y voir une tendance liée à la culture du grand relativisme qui a bien noyauté l'enseignement en occident depuis un certain nombre de décennies !?

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Joyeux anniversaire ! :)


En utilisant des images  prises par la sonde LRO de la NASA, les scientifiques ont reconstitué la vue que Neil Armstrong avait par le hublot du module lunaire Apollo 11 alors qu'il guidait l'engin spatial vers son site d' "alunissage" (terme employé couramment à l'époque). 


En orbite autour de la lune depuis 2009, la sonde Lunar Reconnaissance Orbiter cartographie la Lune avec une résolution sans précédent, en aidant à identifier des sites d'atterrissage sûrs pour de futures missions lunaires robotiques ou humaines.

Les scientifiques ont utilisé des images prises par la caméra de LRO pour simuler la vue d'Armstrong par le hublot du module lunaire Eagle alors qu'il descendait sur la Lune le 20 juillet 1969.

 

L'atterrissage a eu lieu à 16h17 HAE (2017 GMT).

 

La seule image disponible de la descente finale d'Apollo 11 provenait d'une caméra 16 millimètres montée sur le hublot du côté de Buzz Aldrin à l'intérieur du module lunaire qui enregistrait la séquence à 6 images par seconde.

 

"L'équipe LROC a reconstitué les trois dernières minutes de la trajectoire d'atterrissage (latitude, longitude, orientation, vitesse, altitude) à l'aide des transcriptions d'altitude issues de l'enregistrement vocal", expliquent les scientifiques sur le site Web de LROC.  « A partir de ces informations de trajectoire, ainsi que des images topographiques de LROC (caméra à angle étroit) à haute résolution, nous avons simulé ce que Armstrong avait vu au cours des dernières minutes de la descente.

 

"Dès le début de la vidéo, Armstrong a pu voir que le point d'atterrissage prévu se trouvait sur le flanc rocheux nord-est d'un cratère de 190 mètres de diamètre, ce qui l'a amené à prendre le contrôle manuel et à faire voler le LEM horizontalement, à la recherche d'un point d'atterrissage sécurisé.

 

Armstrong était trop occupé à piloter le module lunaire pour discuter de cette dérive avec le contrôle de mission qui lui indiquait à ce moment combien de secondes de carburant restaient dans les réservoirs de propergol de l'engin spatial.

 

L’équipe LROC a également publié une vidéo en vis à vis, permettant de comparer la vidéo reconstituée simulant la vue d’Armstrong avec les images enregistrées à travers le point de vue d’Aldrin.


" Après avoir survolé les dangers représentés par le flanc rocheux du cratère occidental, Armstrong a repéré un endroit sûr, environ 500 mètres plus loin, où il s' est précautionneusement posé. " Juste avant d'atterrir, le LEM a survolé ce qui sera appelé plus tard le cratère de Little West (40 mètres de diamètre) qu'Armstrong a exploré et photographié au cours de son activité extra-véhiculaire.

 

" Naturellement, lors de l’atterrissage, Armstrong a pu se pencher en avant et tourner la tête pour mieux se positionner que le simple point de vue présenté ici. Cependant, notre film simulé vous permet de revivre ces moments historiques."

 

https://spaceflightnow.com/2019/07/20/scientists-reconstruct-what-neil-armstrong-saw-as-he-landed-on-the-moon/

 


 

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Vous aurez sans doute remarqué la petite bizarrerie  dans les dernières secondes...:)

Neil aurait pu être assez surpris ! O.o 

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Invité iblack

En marge de ce fil...

Ça me rappelle une anecdote, à l'époque mes parents m'ont rapporté qu'une de leur connaissance avait affirmée que les américains n'avaient pas pu "alunir" puisqu'il manquait un bout de Lune (en effet c'était presque le premier quartier) ;)

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Il y a 2 heures, Huitzilopochtli a dit :

Neil aurait pu être assez surpris !

 

Neil : "Bon dieu, va falloir se garer en double file !"

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Invité iblack
Il y a 3 heures, Huitzilopochtli a dit :

Vous aurez sans doute remarqué la petite bizarrerie  dans les dernières secondes...:)

 

En effet, alors que la "vraie" vidéo reste nette jusqu'au bout, les images produites par la simulation deviennent floues à partir de 100 pieds (30m).

Très curieux...

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Il y a 1 heure, Tournesol a dit :

Neil : "Bon dieu, va falloir se garer en double file !"

 

C'est bien cela. Bravo Tourny !

 

il y a 53 minutes, iblack a dit :

En effet, alors que la "vraie" vidéo reste nette jusqu'au bout, les images produites par la simulation deviennent floues à partir de 100 pieds (30m).

Très curieux...

 

iblack-out !

 

Tellement floues que tu n'as pas remarqué que sur la fin de cette reconstitution, on distingue d'abord assez nettement l'ombre du LEM déjà posé au sol alors qu'on est censé être encore en phase de descente, puis ensuite, on devine difficilement une tâche claire (mais trouble ;)) qui est en fait EAGLE déjà sur son aire (d'atterrissage).

Et maintenant tu vas peut-être me demander comme cela peut-être possible ?... :P

 

Modifié par Huitzilopochtli
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Invité iblack
il y a une heure, Huitzilopochtli a dit :

Tellement floues que tu n'as pas remarqué que sur la fin de cette reconstitution, on distingue d'abord assez nettement l'ombre du LEM déjà posé au sol alors qu'on est censé être encore en phase de descente,

 

Donc, ils sont pas allés sur la Lune ;)

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il y a 12 minutes, iblack a dit :

Donc, ils sont pas allés sur la Lune

 

C'est une option ! 

 

Kubrick se serait planté au moment du montage...;)

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Enfin nous y voilà :)

J'étais sûr que 50 ans après la vérité vraie allait éclater au grand jour ;)

Merci Huit. . . . . ( il avait pas un nom plus simple ) de nous la faire découvrir :)

Bonne soirée à vous,

AG

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Invité iblack

J'ai oublié, @Huitzilopochtli tu crois donc plus au virtuel (simulation) qu'au monde réel ?

Vais t'offrir le jeu de Nintendo "pokemon lune" ;)

 

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C'était une incroyable prouesse de technologie et humaine.

Et si le SEUL moteur pour revenir ne s'était pas allumé?

Plus de 400.000 personnes ont contribué  à cette aventure.

Ne pas oublier qu'un certain Allemand et son équipe ont eu beaucoup à  faire réaliser ce rêve!

Modifié par roul

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Dans le genre Johnny les nerfs d'acier (suite), il n'y avait aucune raison après avoir échappé à la mort de rentrer plus tôt du boulot… 

 

C'est vraiment des extra-terrestres qu'on a envoyé là-bas… :o

Modifié par Kaptain
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