biver

Mars... c'est parti pour la grande opposition!

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Pas faux pour l'absence de moteur, c'est au moment où on sent qu'on est aux portes de percevoir le détail ultime, qu'il faut être déconcentré par la remise au centre du champ et ce même pour des Gr non stratosphériques

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salut,

Pour ma part, la table équato je l'ai installé au bout de 3 observations avec le dobs 300mm. Mis en station vite fait à la boussole Mars quitte le champs de la bino à 300X en 2 min environ mais le gain est très appréciable. Avec la raquette je la ramène en douceur donc je suis monté à 450X quand la turbu se calmait, et plus de 1000X avec nikon Nav7 + powermat 5X ( là elle traversait vite le champ; juste pour joué et grappiller quelques détailles).

 

lolodobs le dévoreur de mondes 👽

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C'est vrai qu'à 1400x avec le LV 2.5mm qui n'a que 45° de champ apparent, les images sans suivi deviennent presque subliminales... (Mars qui fait 1/5e du champ le traverse en 8 secondes...).

Mais l'optimum par rapport au contraste me semblait être un peu en-dessous de 600-700x..

 

Sinon un autre dessin, dans de moins bonnes conditions, mais avec des contrastes moins renforcés:

 

mars200920.jpg

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@biver la non-motorisation de ton 400 au final c’est un choix délibéré? Car à 700x avec un 5 ou 6mm (xo, ,...), la traversée du champ reste quand même très courte, de l’ordre de 15 ou 16 seconde (si la planète traverse diamétralement ce qui n’est pas évident avec une monture altaz). J’imagine (corrige -moi si je me trompe) que même quelqu’un comme toi qui a 20 ou 30 ans de dessin astro derrière lui doit apprécier le confort du suivi n’est-ce-pas?

Modifié par AlSvartr

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Evidemment avec un suivi propre ce serait mieux... j'ai une sorte de table équatoriale que j'utilise pour des poses courtes au foyer, mais sous dimensionnée et pas assez bonne pour les fort grossissement (vibrations,...)

Mais la question c'est d'avoir la possibilité d'avoir une table équatoriale à demeure... pour le planétaire je sors et rentre le télescope en prenant l'ascenseur et roulant sur 20 à 300m dans la résidence... pas de possibilité d'installer la table équatoriale, surtout si parfois je dois déplacer le télescope pendant le dessin à cause des immeubles...

Nicolas 

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Ok je comprends mieux! Après j’imagine que tu as évalué la possibilité d’installer un stellarcat ou autre système du même type, nettement plus simple a déplacer que la TE. Si je pose ces questions c’est que quand je vois le niveau de détail de tes dessins dans des conditions somme toutes pas optimales, j’ose pas imaginer ce que tu gagnerais encore en détails par exemple peu contrastés. Mais bref ok j’ai mes réponses! Merci ;-)

Modifié par AlSvartr

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Salut Nicolas,

 

Il y a 2 heures, biver a dit :

pour le planétaire je sors et rentre le télescope en prenant l'ascenseur et roulant sur 20 à 300m dans la résidence

 

Même après avoir galéré pour l’installation du 400 la motiv est là! respect Mr Biver!

fouuuuuu ta mare Eritrheaum ou la "vache martienne" regorge de détails; y a qu'a voir l'Aromatum Pr ou les mamelles de la sus-dite vache pour s'apercevoir que l'oeil de lynx sait capter le moindre détail. 30 ans d'observation effectivement sa compte! Superbe boulot pour ce très beau dessin.

Perso je choppe plus le créneau météo, accuweather ou météoblue m'embrouille, mon ciel n'y est plus, fait ch...!

 

merci

 

lolodobs le dévoreur de monde 👽

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Nan mais le Nicolas,, personne ne joue dans la même cour en termes d'assiduité à l'oculaire : quand toi tu es ravi d'avoir fait quelques nuits dans le mois, lui -ce coquinou, se les coltine toutes dès lors qu'il y a un créneau météo, et cela depuis maintenant pas mal de décennies, ses archives perso sont monumentales.

Pi le Nicolas, il vient un peu d'une autre planète, ou d'une comète, mais il ne fonctionne pas comme nous aut' :D

En tout cas, jamais vu mieux -  Dolffus ?

 

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Serge, tu oublis Fred qui a un sacré coup d'oeil... voir sa production de 2018 avec la tempête... et on attend ses images suivantes de 2020...!

Voilà la suite avant l'arrivée du mauvais temps:

mars1809-210920.jpg.1e7cab4697b88c8ccea2ffd779ab9504.jpg

Et avec ses satellites, mais il me faut repeindre les aigrettes...

mars-sat220920.jpg.46bdd71e7f03eb35009501a41e1c34ec.jpg

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Salut Nicolas,

Mars riche en details; Avec les 2 satellites + aigrettes c'est superbe !

(Pfeuuuu sale temps maintenant...)

 

Merci

Lolodobs le dévoreur de monde 👽

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Le 25/09/2020 à 20:13, biver a dit :

pour le planétaire je sors et rentre le télescope en prenant l'ascenseur et roulant sur 20 à 300m dans la résidence...

 

Tu es absolument épatant Nicolas.

A croire que ta résidence réserve des horizons d'Est en Ouest bien dégagés car il m'avait traversé un moment

de faire la même chose de temps à autre avec mon petit Dob 203 dans le propre parking extérieur de ma résidence

afin de pouvoir me permettre de satisfaire une envie de pouvoir jeter un œil là haut, si ce n'est juste une-deux fois par mois.

J'ai juste un petit problème d'horizon... :)...c'est un euphémisme...

 

Le 25/09/2020 à 18:57, biver a dit :

C'est vrai qu'à 1400x avec le LV 2.5mm qui n'a que 45° de champ apparent,

 

Tu nous achèves Nicolas. Si tu regardes à travers des LV de 45-50° de champ apparent, bravo.

J'en ai eu deux. J'ai conservé uniquement le LV 10mm qui sert sur mon Dob avec une bonne Carl Zeiss 2x.

Ces oculaires sont très confortables sur le plan du relief d’œil mais ma foi, pour suivre une planète autour

de 700x dans un tel tuyau sans suivi et arriver à tout enregistrer, je suis sans voix.

 

Il y a 12 heures, serge vieillard a dit :

Pi le Nicolas, il vient un peu d'une autre planète, ou d'une comète, mais il ne fonctionne pas comme nous aut' :D

 

Je pense que nous sommes tous voués en terme d'humains à avoir des prédispositions pour quelque-chose.

Nul ne fonctionne comme son voisin et c'est très bien ainsi ; ceci constitue en somme la richesse d'une civilisation.

 

Le 24/09/2020 à 15:36, jldauvergne a dit :

tu peux faire ça, mais tu envois dans ce cas l'image dans des zones de coma. 
J'ai du mal à concevoir le planétaire sans moteur, il faut fixer l'image tellement longtemps. Nicolas est un acrobate. Clair qu'il y a une sacrée expérience. 

 

Les zones de coma sont variables en fonction du rapport F/D du Newton.

Certains oculaires à très large champ plat sont parfois épatants, même avec des Newton très ouverts.

J'ai entendu dire que certains amateurs avaient obtenus d'excellents résultats en appariant Paraccor + des oculaires de 100°,

surtout quand le Newton est au moins à F/D 4. C'est d'autant plus "planétaire" que le Paraccor agit comme une lentille de barlow à 15% au passage.

 

Le 24/09/2020 à 15:36, jldauvergne a dit :

J'ai du mal à concevoir le planétaire sans moteur, il faut fixer l'image tellement longtemps. Nicolas est un acrobate. Clair qu'il y a une sacrée expérience. 

 

C'est sûr que le suivi est incontournable pour le planétaire pour le commun des observateurs, surtout quand il faut observer dans des oculaires étroits.

Personnellement, passés les 250x, même pour juste de l'observation en dilettante, juste pour le plaisir de la contemplation, avec mon Dob 203, j'abandonne.

En plus, à cause du backfocus, c'est difficile sur la plupart des Dobs d'utiliser une bino standard ou une roue à filtres Wratten. Et sur ce plan, en termes d'équipement

comme la convivialité pour le visuel quand il s'agit de fixer longtemps l'image à plus de 300x, un Mewlon ou un simple SC sur équatoriale fait un peu mieux, c'est sûr.

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il y a 53 minutes, A-FIOCRET a dit :

Certains oculaires à très large champ plat sont parfois épatants, même avec des Newton très ouverts.

La coma et la courbure de champ sont deux défauts différents. 

 

 

il y a 54 minutes, A-FIOCRET a dit :

J'ai entendu dire que certains amateurs avaient obtenus d'excellents résultats en appariant Paraccor + des oculaires de 100°,

Sans moteur c'est sûr qu'il y a intérêt à corriger la coma et d'avoir un oculaire champ large. Les Ethos fonctionnent bien en planétaire. 

 

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Il y a 13 heures, biver a dit :

Serge, tu oublis Fred qui a un sacré coup d'oeil...

Tout à fait, indéniablement, Fred est sublime dans le très fin détai planétairel avec un style très doux, très beau. Disons que tu as l'antériorité de la très haute définition planétaire, et une production qui ne supporte pas la moindre comparaison avec nous aut' Et pi j'vous aime tous les deux !!!!! :D

 

A-FIOCRET, très sincèrement, ya le matériel, certes ici un excellent 400, d'autre fois juste un T200 en mode léger , mais surtout du "métier" derrière tout ça et une bonne dose de maitrise du sujet. Par exemple, en planétaire, 250x c'est franchement le minimum syndical, et pas vraiment le moment d'abandonner en si bon chemin. En dessous, ce sera bien difficile d'extirper de fins détails, juste une vue montrant les principales formations (qui peut être plaisante, agréable, gratifiante, etc.)

Modifié par serge vieillard
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Il y a 15 heures, serge vieillard a dit :

A-FIOCRET, très sincèrement, ya le matériel, certes ici un excellent 400, d'autre fois juste un T200 en mode léger , mais surtout du "métier" derrière tout ça et une bonne dose de maitrise du sujet. Par exemple, en planétaire, 250x c'est franchement le minimum syndical, et pas vraiment le moment d'abandonner en si bon chemin. En dessous, ce sera bien difficile d'extirper de fins détails, juste une vue montrant les principales formations (qui peut être plaisante, agréable, gratifiante, etc.)

 

Je ne disconviens pas Serge sur la nécessité de beaucoup grossir en planétaire et que le "métier" compte, en visuel comme en imagerie d'ailleurs.

En d'autres temps, j'ai déjà fait des observations intéressantes de Saturne à 400x dans un Célestron 8 mais c'était sans compter qu'il était motorisé

sur une monture allemande et que Saturne était à plus de 50° de hauteur au petit matin où la turbulence est fréquemment optimalement calme.

 

Merci de m'encourager en me disant que ce n'est pas le moment d'abandonner en si bon chemin car finalement, ma barrière des 250x avec mon

Dob ne tient pas compte d'une peur de grossir mais de savoir tenir ces agrandissements comme d'avoir la capacité de rendre ces observations à très

forts grossissements payantes en fins détails, quand le télescope n'est pas motorisé. Si on s'en tient à l'expérience de Nicolas, il faudrait bosser "normalement"

avec un T200 entre 320x et 500x, selon le contraste de la planète, pour épouser les ratios Biveresques. Avec un suivi de qualité, aucune crainte pour

pousser la jauge dans mon cas mais sans suivi, soyons honnêtes que le club des candidats à ce type d'acrobaties est réduit à seulement quelques membres.

Comme tu dis, il y a le matériel et puis, les hommes. Si sur le plan matériel, je peux me régler sur le bon ratio ; je ne suis pas (encore) celui qui sera capable de le tenir "utilement".

Il est important de connaître et de savoir reconnaître ses limites, même si parfois, on peut se surprendre quelques temps plus tard d'être capable de les dépasser. On verra bien.

 

 

 

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Une petite photo prise à la fin du dessin (avant la pluie), 16 x 1/15e s, retournée pour la vision oculaire:

 

mars101020-23h45m8-t407f34bocurv.jpg

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Il y a 14 heures, biver a dit :

Un autre dessin pas hyper détaillé

 

Nicolas le farceur :), nous sommes un bon 98% à en voir à l’œil systématiquement beaucoup moins que toi.

 

Il y a 14 heures, biver a dit :

la nuit dernière entre 2 averses

 

Quelle pugnacité dans cette période de vaches très maigres en ouvertures météorologiques.

On ignore ta période d'ouverture de tir entre les deux averses (45 min, 1h peut-être) mais franchement

dans ces cas bien précis où le temps presse, tu pourrais t'avérer tout autant redoutable face à un imageur

avec ce dessin exécuté en 38 min à peine. Là où l'imageur itinérant n'a pas le temps d'obtenir une image,

tu rafles tranquillement la mise :D A ce petit jeu, tu es indéboulonnable.

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oui, ce qui est remarquable c'est la mise en place du 400 pour si peu de temps ?! Je crois savoir qu'il n'est pas sous abri fixe pourtant ? Autant sortir une bonne petite apo et en prendre plein les yeux (si, si !) pour ce laps de temps, c'est possible et ça le fait bien - c'est d'ailleurs une des fonctions de la bestiole - autant manoeuvrer le 400, faut déjà être plus motivé !

 

Bravo pour les satellites que j'ai pas tentés  à ...100 mm, mais pour les formations ça valide qu'on a à peu près tous la même chose !

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Superbes dessins comme d'habitude Nicolas "l'extra-terrestre" !  :P

Pour les satellites, il me semblait justement avoir aperçu une "étoile" tout près de Mars au 450 il y a quelques semaines ! Cela pourrait donc t-il être un satellite ? 

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Il y a eu une étoile pas très loin de Mars il y a quelques semaine (je l'ai peut-être sur une photo rapide quand je voulais tenter les satellites), mais ce n'était qu'une étoile significativement plus brillante que Deimos.

Deimos, il faut quand même le chercher pour le voir, et il n'est jamais à plus de 3 diamètres de la planète.

Pour le visuel je parle de Deimos, qui se voit plus facilement (du moins avec mon dobson, ses aigrettes et son miroir pas toujours super propre) - bien qu'en photo (cf ci-dessus) Phobos sorte mieux...

Nicolas

Modifié par biver

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... et pour me contredire, la nuit dernière a offert un bon créneau entre 0h30 et 2h30, assez stable sans trop de passages voilés (qui par contre aidaient à voir olympus mons!) et sur la fin, quand la turbulence était bien calme, Phobos était assez bien visible comme une petite source ponctuelle (x576 à x1080), bien que superposé à une aigrette de diffraction de Mars, et sans faire sortir Mars du champ... Le bon seeing (luminosité du satellite concentrée dans sa tache d'airy) et le fait d'être pile à l'opposition (angle de phase mini) ont du aider... Pas vu Deimos qui était peut-être encore loin de son élongation maxi (et la buée intermitente sur l'oculaire n'aidait pas... )

Nicolas

Modifié par biver

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Salut Nicolas, 

Démos, phobos, Olympus Mons ...et tout les détails de la planète que tu dessines ! Y as même les aigrettes pour la vue oculaire, j'adore ! ( Et la petite photo qui montre les'' inter aigrettes'' qu'on voit aussi à oculaire). 

Super boulot 

Merci

Lolodobs le dévoreur de monde 👽

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    • Par Adamckiewicz
      Nuit prévue avec les copains du club, des dobsonneux (T300, T350, T610 et mon T400), et un photographe avec un newton 200mm.
      Col d'Issarbe, 1400m d'altitude. 9° en début de soirée, pas une seule plaque de neige en montant....
      Très peu d'humidité (50%) mais un ciel gâché en début de soirée par des cirrus et surtout des fumées d'écobuages.
      Les télescopes sont prêts vers 19h.
      La soirée commence avec une superbe lumière zodiacale qui s'étend presque jusqu'à Jupiter!
       
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      Je finis tranquillement par M5 qui éclate les rétines à 300x en binoculaire, avant de ranger le matériel.
       
      Encore une fois, et @jldauvergne sera content, le suivi a été un énorme apport cette nuit encore!!! (et quel bonheur de pouvoir aller siroter un coup, observer une nébuleuse dans le score des copains, soulager le chatouille de la vessie comme disait l'autre.... et retrouver sa cible encore dans l'oculaire  )
       
      et merci aux conseils de @serge vieillard sur le papier! C’est nickel, ça tient super bien pendant l’observation, et pas besoin de reprendre le dessin ensuite ( quelques retouches sur les étoiles et parfois un peu d’estompe). Et au scanner le rendu est mieux  
    • Par serge vieillard
      Yo !
      quel beau Soleil aujourd'hui, constellé de plein de petites protus. Voici en bas la plus remarquable, observée entre 13h30 et 14h locale. Juste au-dessus, un formidable champ de spicules affirmées, certaines commençant à apparaitre comme de petits jets, d'autres en arches en formation (à 15h locale)
       
       


    • Par xavierc
      Dobson Factory Mirrosphère 508/1920
      Dans le virage Est des Rencontres Astrociel, à la station de ski de Valdrôme (26)
       
      11 dessins : 10603 à 10613

      Si besoin, échelle de visibilité des objets : http://xcamer2.free.fr/astrodessins/Echelle_Ciel_Extreme.html

      Je suis opérationnel à 22h04, en avance sur la nuit totale.
      Il fait bon sans le manteau.
      Seuls Nicolas Biver et un autre astronome restent dans le virage, ça sent la fin des Rencontres Astrociel.
      Autre signe, la montée de la phase de la Lune. Le croissant lunaire est là mais caché par les arbres.

      Je regarde d'abord une galaxie du Serpent.

      Observation 10603 : NGC5921.
      Elle est assez faible à 85x.
      A 201x, son centre ponctuel et marqué ressort.
      Je remarque aussi deux difficiles renforcements en vision décalée VI4 à 5.
      Elle est trop sombre à 276x.


      Un groupe de jeunes visiteurs est passé.

      Je cible une nébuleuse planétaire d'Hercule.

      Observation 10604 : PK51+9.1.
      Je la remarque à 85x par sa forte réponse au filtre Oxygène 3 et sa teinte verdâtre car autrement elle est ponctuelle.
      Elle ne réagit quasiment pas au filtre HBêta.
      Elle est encore ponctuelle à 201x, mais toujours colorée.


      J'anime 20 minutes sur la nébuleuse de la Lagune pour le groupe passé qui ne trouvait plus personne pour montrer des objets dans les instruments.
      Puis je reprends mes observations, avec un amas globulaire du Sagittaire.

      Observation 10605 : NGC6642.
      Suffisamment brillant pour être vu au chercheur 9x50 comme très faible et un peu flou, il est à 85x assez faible, bleuté et semble résolu.
      Ses étoiles faibles à VI3 se distinguent mieux à 201x. Il est pas mal cet amas globulaire.


      Mes visiteurs vont voir mon voisin du nord.

      Je tourne le télescope sur une nébuleuse planétaire du Sagittaire.

      Observation 10606 : NGC6629.
      Considérablement faible, un peu floue et verdâtre à 201x, elle arbore un centre plus brillant malgré la très forte turbulence.
      Elle présente une forte réponse au filtre Oxygène 3 et une faible au HBêta, on ne peut pas être bon partout!


      Je fais un tour sur le parking côté nord-ouest pendant 20 minutes à 0h10, il y a plus de monde qui observe par là-bas.

      Je réobserve une nébuleuse planétaire du Dauphin, puis une autre dans la Flèche, dessinées les premières années avec ce Dobson.

      Observation 10607 : NGC6891.
      La nébuleuse est évidente à 85x, assez brillante, verte et fortement rehaussée par le filtre Oxygène 3, et faiblement en HBêta.
      A 631x, avec une turbulence forte de 4 sur 5, son étoile centrale se détache difficilement de la première zone, par contre pas d'anneau vu cette fois-ci dans cette zone contrairement à l'ancienne observation.


      Observation 10608 : NGC6879.
      Encore une nébuleuse tête d'épingle!
      Considérablement faible, elle est ponctuelle à 85x, puis un peu floue et verdâtre à 201x.
      A 631x, malgré la turbulence très forte, elle me semble plus floue que les étoiles alentours, y compris de même brillance.
      Elle m'est confirmée par sa réponse très forte au filtre Oxygène 3 et très faible au HBêta.


      La turbulence est décidément trop forte pour de bons résultats sur ces petits objets.

      Je fais une pause sur la bâche à 1h35, l'heure habituelle de mon coup de barre pendant ces vacances.
      Bien pratique et moelleuse cette bâche!

      Je pars à la chasse de galaxies Shakbhazian de Pégase et des Poissons.
      Elles ne sont pas indiquées sous ce nom de catalogue dans Sky Safari Pro, mais je les ai retrouvées dans ce logiciel avec leurs coordonnées précédemment en journée, et marque donc sur leurs fiches papier (des pdf de Rainer Vogel) le PGC équivalent. Du coup, la recherche est rapide dans le logiciel.

      Observation 10609 : Shakhbazian 361.
      Il n'y a rien à voir à 85x, poussons à 201x.
      Ah, je détache 3 galaxies du fond du ciel, et à 276x le compteur monte à 5.
      J'ai donc recensé PGC3090431 et PGC98459 vues VI2, PGC1538596 VI1 à 2, PGC1539366 VI4 vue qu'à 276x, et PGC1540666 très faible d'abord vue à 276x puis à 201x.


      Observation 10610 : Shakhbazian 4.
      Une des galaxies du groupe est vue à 85x, sinon tout le reste à 276x.
      Le groupe est difficile, seules 2 galaxies sont sûres, PGC1238686 VI4 et PGC1239527 VI3.


      Observation 10611 : Shakhbazian 40.
      Je repère à 85x plusieurs de ses membres.
      D'après les documents et Sky Safari Pro, c'est aussi Abell 193, dont au total je verrai 7 galaxies plus ou moins facilement à 276x :
      UGC967 VI3, PGC94306 très faible à VI1, IC1695 faible, PGC94352 et PGC94337 VI2, PGC94341 VI3 et PGC94311 très faible à VI1.


      Fatigué à 4h40, je dessine une galaxie des Poissons hors catalogues exotiques.

      Observation 10612 : NGC524.
      Condensée, bleutée, elle est assez faible à 85x, et très diffuse.
      Je note peu de traces de spirale à 201x.


      J'ai mal aux pieds avec les marches de l'escabeau.
      Je redéplace le télescope plus au nord pour enfin voir la comète P1 Nishimura dans les Gémeaux.

      Observation 10613 : comète C/2023 P1 Nishimura.
      Elle pête celle-là, découverte très récemment comme indiqué par Nicolas Biver le spécialiste des comètes.
      Dommage qu'elle plonge vers le Soleil!
      Elle est assez brillante à considérablement brillante et bleue à 85x, sur fond de ciel bleu aussi.
      A 201x, elle est diffuse, tout comme son noyau.


      Je remballe à l'aube à 5h30.
       
    • Par vaufrègesI3

       
       
       
               20 ans après l’atterrissage : comment les rovers jumeaux de la NASA ont changé la science martienne
       
                               
       
       
      https://mars.nasa.gov/news/9535/20-years-after-landing-how-nasas-twin-rovers-changed-mars-science/
       
       
       
      Ce mois-ci marque le 20ième anniversaire de l’atterrissage de Spirit et Opportunity sur Mars, dans le cadre d’une mission dont l’héritage s’étendra loin dans le futur.
      En janvier 2004, les rovers jumeaux de la NASA nommés Spirit et Opportunity ont atterri de part et d’autre de Mars, donnant le coup d’envoi d’une nouvelle ère d’exploration robotique interplanétaire. Ils sont arrivés de manière spectaculaire à trois semaines d’intervalle, chacun niché dans un groupe d’airbags qui ont rebondi sur la surface environ 30 fois avant de s’arrêter et de se dégonfler. La mission des rovers de la taille d’une voiturette de golf : rechercher des preuves que de l’eau a déjà coulé à la surface de la planète rouge.
      Leurs découvertes allaient réécrire les manuels de science, y compris la découverte d’Opportunity peu après l’atterrissage des célèbres « myrtilles » – des cailloux sphériques de l’hématite minérale qui s’étaient formés dans l’eau acide. Plusieurs années après le début de la mission, Spirit, imperturbable mais traînant maintenant une roue endommagée, a découvert des signes d’anciennes sources chaudes qui auraient pu être des habitats idéaux pour la vie microbienne il y a des milliards d’années (si tant est qu’il en ait jamais existé sur la planète rouge).
      Les scientifiques soupçonnaient que Mars avait depuis longtemps été radicalement différente du désert glacial qu’elle est aujourd’hui : des images orbitales avaient montré ce qui ressemblait à des réseaux de canaux sculptés par l’eau. Mais avant Spirit et Opportunity, il n’y avait aucune preuve que l’eau liquide avait formé ces caractéristiques.
      « Nos rovers jumeaux ont été les premiers à prouver l’existence d’une Mars primitive humide », a déclaré l’ancien scientifique du projet Matt Golombek du Jet Propulsion Laboratory de la NASA en Californie du Sud, qui a géré la mission Mars Exploration Rover. « Ils ont ouvert la voie à l’apprentissage d’encore plus de choses sur le passé de la planète rouge avec des rovers plus grands comme Curiosity et Perseverance. »
       
      Un héritage durable
       
      Grâce en partie à la science recueillie par Spirit et Opportunity, la NASA a approuvé le développement du rover Curiosity de la taille d’un SUV pour déterminer si les ingrédients chimiques qui soutiennent la vie étaient présents il y a des milliards d’années sur ce qui était autrefois un monde aquatique. (Le rover a découvert peu de temps après son atterrissage en 2012 qu’ils l’étaient.)
       
      Perseverance, qui est arrivé sur la planète rouge en 2021, s’appuie sur le succès de Curiosity en collectant des carottes de roche qui pourraient être apportées sur Terre pour vérifier les signes d’une vie microbienne ancienne grâce à la campagne Mars Sample Return, un effort conjoint de la NASA et de l’ESA (Agence spatiale européenne).
       
      Alors qu’ils travaillaient sur Spirit et Opportunity, les ingénieurs ont développé des pratiques d’exploration de la surface qui se poursuivent aujourd’hui, y compris l’utilisation de logiciels spécialisés et de lunettes 3D pour mieux naviguer dans l’environnement martien. Et après avoir perfectionné des années d’expertise au cours des voyages des rovers jumeaux sur la surface rocheuse et sablonneuse de Mars, les ingénieurs sont en mesure de planifier des trajets plus sûrs et plus longs, et de mettre rapidement en place les plans quotidiens beaucoup plus complexes nécessaires à l’exploitation de Curiosity et Perseverance.
       
      Les membres de l’équipe scientifique sont également devenus plus habiles dans leur rôle de géologues de terrain virtuels, s’appuyant sur des années de connaissances pour sélectionner les meilleurs moyens d’étudier le terrain martien à l’aide des « yeux » robotiques et des outils portés par leurs partenaires itinérants.
       
      Marathon martien
       
      Conçu pour durer seulement 90 jours, Spirit a atterri le 3 janvier ; Opportunity le 24 janvier. Les rovers d’exploration de Mars ont persévéré pendant des années – dans le cas d’Opportunity, près de 15 ans, pour finalement succomber à une tempête de poussière enveloppant la planète en 2018. Cette durabilité a dépassé les rêves les plus fous des scientifiques et des ingénieurs, qui ne s’attendaient qu’à une exploration localisée sur une distance ne dépassant pas 600 mètres.
       
      Au lieu de cela, grâce à leurs substituts robotiques à longue durée de vie, l’équipe a eu la chance de parcourir une grande variété de terrains martiens. Opportunity, le premier rover à parcourir une distance de la longueur d’un marathon sur une autre planète, couvrirait finalement près de 45 kilomètres au total – la distance la plus longue parcourue sur une autre planète.
       
      « C’était un changement de paradigme auquel personne ne s’attendait », a déclaré l’ancien chef de projet John Callas du JPL. « La distance et l’échelle de temps que nous avons parcourues ont été un saut de portée qui est vraiment historique. »
       
      La chance de voir tant de choses a été essentielle pour révéler que non seulement Mars était autrefois un monde plus humide, mais aussi qu’elle abritait de nombreux types d’environnements aquatiques différents – eau douce, sources chaudes, piscines acides et salées – à des moments distincts de son histoire.
       
      Une inspiration continue
       
      Les jumeaux itinérants ont également inspiré une nouvelle génération de scientifiques. L’une d’entre elles était Abigail Fraeman, qui était une lycéenne invitée au JPL la nuit de l’atterrissage d’Opportunity. Elle a pu observer l’excitation lorsque le premier signal est revenu, confirmant qu’Opportunity avait atterri en toute sécurité.
       
      Elle a poursuivi une carrière de géologue martienne, retournant au JPL des années plus tard pour aider à diriger l’équipe scientifique d’Opportunity. Aujourd’hui scientifique adjointe du projet Curiosity, Fraeman appelle de nombreux collègues proches de nombreuses personnes qu’elle a rencontrées la nuit de l’atterrissage d’Opportunity.
       
      « Les personnes qui ont fait fonctionner nos rovers jumeaux pendant toutes ces années forment un groupe extraordinaire, et il est remarquable de voir combien d’entre eux ont fait de l’exploration de Mars leur carrière », a déclaré Fraeman. « Je me sens tellement chanceuse de pouvoir travailler avec eux tous les jours alors que nous continuons à nous aventurer dans des endroits qu’aucun humain n’a jamais vus dans notre tentative de répondre à certaines des plus grandes questions. »
       
      Meilleurs résultats scientifiques
      https://mars.nasa.gov/mer/mission/science/results/
       
      'Myrtilles' martiennes
      https://mars.nasa.gov/resources/6944/martian-blueberries/
       
      Spirit détecte des preuves surprenantes d’un passé plus humide
      https://www.jpl.nasa.gov/news/mars-rover-spirit-unearths-surprise-evidence-of-wetter-past
       
       
       
    • Par xavierc
      Bonne année pour commencer!
       
      Dobson Factory Mirrosphère 508/1920
      Dans le virage Est des Rencontres Astrociel, à la station de ski de Valdrôme (26)
       
      11 dessins : 10592 à 10602

      Si besoin, échelle de visibilité des objets : http://xcamer2.free.fr/astrodessins/Echelle_Ciel_Extreme.html

      Je me suis installé à 21h50, le début de nuit nautique est tout juste passé, il va falloir attendre un peu pour que le ciel s'assombrisse bien.
      Mon premier sujet est un nuage obscur du Sagittaire déjà observé avec moins de diamètre.
      Je dessinerai d'abord le champ d'étoiles autour le temps qu'il se détache avec la nuit astronomique.

      Observation 10592 : Barnard 90.
      Le nuage obscur est sombre et aux limites floues à 85x.


      Je suis en tee-shirt au début.
      Pierre anime pour une visiteuse.

      Je dessine une nébuleuse planétaire du Sagittaire.

      Observation 10593 : NGC6565.
      Elle est visible à 85x, et répond très bien au filtre Oxygène 3, ce qui aide à la repérer.
      De plus elle a un diamètre apparent à ce grossissement.
      Elle est assez faible à considérablement faible à 201x.
      Il y a trop de turbulence pour grossir plus (turbulence forte de 5  sur 5).


      Pierre anime maintenant pour un groupe de public.

      Je regarde un amas globulaire du Sagittaire.

      Observation 10594 : NGC6553.
      Bleuté et assez brillant à 85x, il commence à se résoudre à 201x, toutefois limité par la turbulence de laquelle je me suis déjà plaint.


      Je connais un coup de barre à 23h30, me repose un peu puis passe à une galaxie du Serpent.

      Observation 10595 : NGC5936.
      La galaxie est vue facilement à 85x, considérablement faible.
      A 201x et 276x, une barre se distingue avec des nodosités.


      Je rends visite à quelques galaxies d'Hercule.

      Observation 10596 : NGC6555.
      Assez faible et diffuse à 85x, elle dévoile à 201x et 276x un centre discret et des nodosités dures.


      Observation 10597 : NGC6610.
      A 85x, elle est facile et assez brillante, bleutée ciel.
      A 201x, elle reste facile et condensée.


      Fatigué, je dors sur la bâche à 1h50, puis me relève à 2h25.
      J'avais bien besoin d'énergie pour dessiner des amas ouverts du Petit Renard!

      Observation 10598 : NGC6830.
      Tache floue faible au chercheur 9x50, l'amas ouvert est bien détaché à 85x, assez fourni à 201x.


      Observation 10599 : NGC6882.
      L'amas est pauvre mais rehaussé de trois étoiles brillantes colorées dont la jaune 19 Vul.


      Pierre anime encore pour une dame à 3h, quel charmeur! D'ailleurs des visiteurs jusqu'à cette heure, c'est rare.

      Je croque une galaxie de Pégase.

      Observation 10600 : NGC7217.
      Bleutée ciel et assez faible à 85x, elle affiche son centre bien plus brillant à 201x, mais je ne note pas de détails dans le diffus halo faible à VI1.


      Je pointe une galaxie d'Andromède.

      Observation 10601 : NGC214.
      La galaxie est assez faible à 85x, tandis qu'à 201x je soupçonne un bras VI5.


      Je termine par un groupe de galaxies Hickson de la Baleine.

      Observation 10602 : Hickson 13.
      Il n'est pas trop difficile pour un groupe Hickson.
      2 galaxies sont suspectées à 85x et une troisième est vue à 201x.
      PGC5732 est très faible, PGC5735 est VI1 et diffuse, et PGC5736 est VI2.


      J'ai mal aux pieds à 5h, à force d'être debout sur l'escabeau.
      L'aube est là, ainsi que la fatigue.
      Je regarde Jupiter et l'ombre de Io vers la Grande Tache Rouge, malgré la turbulence importante.
      Je remballe mes petites affaires à 5h06 et rebâche le télescope.
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