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By olivufu
Bonjour à tous,
Je vous fais part d'un petit face à face SSW - XW (fait avec mes modestes compétences) si cela peut, ou pas d'ailleurs, rendre service à certains(es) qui souhaiteraient un retour à leur sujet.
Pour moi, aucun du 10mm SSW vs 10mm XW n’a pu être mis en défaut.
5h sur ciel dégagé, bon seeing + 1h en diurne
C6 et C9 à f10.
Pupille de sortie : 1mm
Cibles : lune, trapèze M42 + nébuleuse, NGC2362, M105, NGC3389, NGC 884, algieba, M40, mars, M35 + diurne : arbres
En version courte : 83 degrés immersif avec un placement d’œil délicat VS 70 degrés plus resserré avec un placement d’œil plus facile. Le reste, c’est aussi bon dans les deux.
En version plus détaillée :
SSW : Le 10mm est très compact. Je ne détaille pas l’aspect esthétique, mais il est très plaisant, et tient bien en main malgré sa taille contenue. À côté du XW, il est tout petit (2/3 du XW en hauteur, et 3/4 en largeur). Sa bonnette est l’élément essentiel dans ce test puisque c’est à travers elle que tout peut se jouer (ou non) concernant le placement de l’œil et le plaisir de regarder à travers cet oculaire.
Elle se déplie totalement via un mouvement de rotation sur un peu plus de 90 degrés. Mécaniquement, aucun jeu. C’est parfaitement fluide et lorsque l’œil s’appuie dessus, rien ne bouge.
XW est beaucoup plus imposant et plus lourd. Il donne l’impression de sortir d’une autre époque face au SSW. Sa bonnette est démultipliée et il faut bon nombre de tour pour atteindre les 20mm de dégagement. Elle est très précise certes, mais c’est long, c’est long de la tourner;) Mécaniquement, c’est identique, parfaitement fluide et fiable (sur 6 heures d’essai seulement bien entendu).
SSW : Le placement de l’œil est délicat. C’est là que tout peut, peut-être, se jouer sur le choix de l’un ou de l’autre.
Bonnette rentrée à fond tout d’abord : c’est quasiment le seul moyen que j’ai trouvé pour avoir tout le champs avec un contour net. Mais on en profite pas forcément pleinement, car il faut promener l’œil pour regarder l’extrême périphérie. Si l’œil est bien placé, dans l’axe, aucun souci de haricot noir. En revanche, si on se désaxe un peu, il est possible de le voir. Idem en cherchant à se promener sur l’extrême périphérie. Ceci est probablement lié à la pupille de sortie de 1mm seulement sur mes instruments, car j’ai trouvé la ballade un peu plus facile (et le placement dans l’axe aussi) sur le 14mm, qui offre une pupille de 1,4mm.
Toujours bonnette rentrée, on peut poser l’œil sur la bonnette. J’aime poser l’œil, c’est probablement très subjectif. On est ainsi en pleine immersion dans ce SSW 10. Mais attention encore une fois, l’œil doit être bien placé. On peut aussi décoller l’œil, on perd en champs, mais le centre est toujours très visible et propre. En éloignant l’œil, on récupère hélas notre environnement physique (si vous avez de la PL autour de vous, elle risque de se voir. Dans le noir complet, cela ne m’a pas du tout gêné). En diurne, en revanche, c’est plus notable puisque l’environnement nous saute à l’œil si on le recule trop (pareil si on ouvre le deuxième œil hein). Mais la bonnette se déplie, et se déplie vite et bien d’ailleurs, ne l’oubliez pas. Il m’a fallu environ 20-25 degrés de rotation de bonette pour faire disparaître le haricot sur un œil un peu désaxé.
En résumé, soit on colle l’œil avec un plein champs très agréable et net (bien que la périphérie ne soit accessible qu’en vision périphérique seulement), mais attention alors au placement de l’œil, et à ne pas trop le ballader au risque de voir un haricot.
Soit on éloigne l’œil (avec ou sans l’aide de la bonnette, selon votre préférence à aimer appuyer l’œil ou non, et selon votre environnement) mais au risque de réduire assez vite le champs, et le contour net. Je ne sais pas pourquoi, mais j’aime voir le cercle périphérique du champs bien net. C’est aussi et surement très subjectif.
XW : Le placement de l’œil est au global plus facile.
Bonnette rentrée à fond tout d’abord : à l’inverse du SSW, c’est impossible de voir le disque du plein champs avec un contour net si on colle l’œil au 10mm. Je n’ai vu qu’un tout petit disque de lumière de 25 ou 30 degrès maximum. Disque que l’on peut promener dans le champs de lumière si on le souhaite pour tout voir. Mais quel intérêt ? je n’en ai pas trouvé. Pour en profiter pleinement, bonnette toujours rentrée on est d’accord, il m’a fallu éloigner mon œil d’environ 12-14mm (avec les inconvénients de l’environnement autour, surtout en diurne). L’œil en revanche se place un peu plus facilement dans l’axe. J’ai moins ressenti le souci du haricot noir. En revanche, si on se désaxe un peu, il est possible de le voir aussi. Encore une fois, 1mm seulement de pupille de sortie dans mes tests.
En résumé, si on aime poser l’œil, c’est rapé avec la bonnette rentrée.
Mais si on la sort, et qu’on dévisse longtemps, longtemps (mais une fois que c’est fait, à priori c’est fait) alors tout prend son sens, et on peut profiter du plein champs, avec contour net, et en posant l’œil sur l’oculaire. Donc plus de souci d’environnement. En revanche, l’aspect trou de serrure est alors plus marqué. On comprends bien qu’on a un œil dans un oculaire. C’est différent dans le SSW, mais plus pénible de bien garder l’œil au bon endroit, et dans l’axe.
J’ai pris autant de plaisir à avoir l’œil (droit me concernant) dans l’un et dans l’autre. Placer correctement mon œil et profiter du large champs du SSW n’est pas un souci. Mais il s’agit d’un gros investissement, que je souhaite durable, et j’imagine que dans le cadre d’un rassemblement d’ami, ou familiale, il sera nettement plus facile de faire aimer regarder dans le pentax. Mais si c’est que pour moi (car à la maison, la petite est trop petite, et madame n’est pas trop astro (en hiver, c’est plus que compréhensible)…alors les deux me plaisent.
Dès lors, j’hésite toujours : 83 degrés immersif avec un placement d’œil délicat VS 70 degrés plus resserré avec un placement d’œil facile.
Le XW permet de rester concentré davantage (je trouve) car le champs est un peu plus réduit. On est peinard, l’œil posé sur la bonnette (bien sortie quand même). On voit bien tout le champs, et le cercle périphérique est net. C’est un gros pépère, et nous aussi quand on regarde dedans. Mais on a un effet plus resserré qui nous rappelle bien que c’est un oculaire. On sent l’image légèrement plus éloignée de nous. Il sera en revanche facilement prêtable à tout le monde (enfant, lunetteux), c’est certain.
Le SSW est plus complexe, plus délicat. Mais offre plus de champs. Et reste facile pour qui aime regarder dans des oculaires….mais c’est moins évident pour tout le monde, sauf à sortir la bonnette, et alors là oui. Mais le champs se réduit.
Je me dis alors que la qualité optique va faire la différence…..
Et boom, rien, mais alors rien. Si je chipote un peu, avec mes maigres compétences et après 1 heure au moins passée uniquement sur la lune (autant se péter directement la pupille dès le début), je repère peut-être un contraste de 5% meilleur sur le pentax. Et encore…… Pour le reste, rien, j’ai pourtant cherché. Mon objectif n’était pas tant d’observer, mais de les différencier pour en choisir un. Rien. Les aberrations éventuellement repérables autours de la lune, identiques. La courbure ? quasi identique. Les étoiles défocalisées sont identiques à 65 degrès en périphérie sur les deux. Si on va au bout sur le 83 degrès du SSW, évidemment cela s’empire un peu, mais disons que ces 13 degrès de plus ne sont là que pour l’immersion globale. Il ne faut pas vraiment espérer les exploiter à 100% du potentiel qu’offrent les 50 degrés centraux. Avec le réducteur .63, aucune différence non plus. Alors j’ai peut-être tué ma meilleure nuit à tester, car c’était bien hier. Mais bon j’ai quand même fait 5 heures sur le ciel
Les amas, ou autre discrètes galaxies ne m’ont pas non plus permis de trouver un delta notable entre les deux. Rien.
Côté mécanique, rien, c’est super des deux côtés.
Mon bilan global ?
Comme c’est un 10mm sur un SCT, il me permettrait de faire du planétaire, des amas, des galaxies éventuellement (je connais encore peu), des splits de doubles, des nébuleuses planétaires ou autres nébuleuses pas trop grandes. M42 était superbe hier dans les deux !
C’est le 1XD, donc optimum à priori, à la condition que je puisse le sortir régulièrement sur nos ciels.
Donc est-ce que j’ai besoin de 83 degrés ? non clairement. Mais le SSW est plus petit, plus léger, assez fun, et surtout moins cher. Alors j’hésite encore…… et je n’ai pas trouvé la moindre réponse à mon hésitation.
Planétaire : avantage de 1% au pentax car j’y resterais peut-être plus concentré dans ce pépère….et disons qu’il ait plus de contraste (vous vous souvenez ? les 5% hyper subjectifs de mon œil de débutant)
Amas : avantage au SSW pour le champs
Lune : Le SSW donne plus de champs, le XW donne plus de confort pour une longue session de cratères. Match nul
Les doubles : match nul
Le prix : le SSW
La compaticité (ou à défaut un moindre déséquilibre sur un instrument équilibré) : le SSW
Le relief d’œil et le placement : le XW est plus facile, mais quand on prends en main le SSW, c’est kifkif (mais pas pour toutes les personnes qui mettront leur œil dedans).
Alors là je me suis dis : tiens j’ai le SSW 14, sont-ils parafocaux ? ben non loupé. J’ai du retoucher assez largement la MAP. Et merde…
Seconde sortie :
Un seul objectif : tester QUE le confort, et uniquement le confort. Point.
Victoire de XW.
J'ai tout tenté pour préférer SSW, moins cher et plus compact, mais XW est plus confort sur mon oeil.
Je me suis même offert le luxe d'un dernier test : la barlow.
Ils n'ont pas bronché la moindre seconde.
J'ai halluciné sur la lune (sans ND). Par contre derrière, j'ai dansé la java avec ma pupille droite de 2mm, et ma pupille gauche de 6mm 😂
Merci d’avoir lu
olivier
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By FroggySeven
Je n'arrive pas à comprendre le schéma. Comment peut-on séparer l'image en deux en utilisant un prisme comme deux miroirs très rapprochés, alors que le faisceau ne semble pas collimaté à l'infini à ce niveau.
Ou alors, si, il est bien collimaté à l'infini ?
C'est moi qui comprend mal le schéma ?
Question subsidiaire : ça fonctionne toujours comme cela les binos;
avec un prisme qui "coupe" le faisceau image ?
D'avance merci pour votre aide
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By Arnaud T60
Bonjour à tous
je souhaite remplacer mon miroir secondaire sur mon tube Geoptik Formula 25. A première vue celui en place est collé . Quelle type de colle pour le nouveau serait il judicieux d'utiliser pour fixer le nouveau ??
D'avance merci
Arnaud
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By yapo
Salut,
je voulais comparer mes vieux filtres coulant 31.75 à des nouveaux en 50.8mm sur mon Dobson avec un porte-filtre interne. Le PO est en coulant 50.8 et les oculaires un peu des deux. A 83x (coulant 50), j’ai du vignettage avec un vieil OIII en 31.7 et à 271x (coulant 31.7), j’ai un affaiblissement général par rapport à un récent OIII.
Est ce l’évolution optique normale ou alors il y a aussi un affaiblissement général de l’image à faible G que je n’ai pas remarqué ? Ou bien l’ancienneté du filtre est-elle à considérer ?
merci d’avance de vos lumières (mes notions d’optique sont limitées à des considérations pratiques...) !
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By CPI-Z
Convertir une image front-d'onde en PSF est peut-être un sujet qui peut intéresser certains.
WinRoddier, DFTFringe, Aberrator ... donne directement la PSF en fonction d'un front-d'onde donné. Mais comment cette PSF est construite ?
Vous avez certainement déjà vu ce post où l'on voit l'influence de l'obstruction sur la tache de diffraction (PSF)
http://www.astrosurf.com/viladrich/astro/instrument/sensitivity/spider-diffraction.htm
En fin de page de ce lien vous trouverez la phrase :
"The previous images were calculated with Iris software using the formula" : PSF = [ Module FFT (Aperture) ]^2
Autrement dit, le module au carré de la transformée de Fourier de l'image de la pupille donne la PSF, c'est utiliser pour retrouver l'impact des obstructions des miroirs secondaires, araignée ...
Alors j'ai fais le test avec IRIS (<fftd) et effectivement cela fonctionne
J'ai voulu utiliser la même méthode pour un front déformé et comme WinRoddier permet de faire des simulations je suis parti d'une coma pure car la PSF est bien déformée (voir la capture d'écran WinRoddier plus loin).
En utilisant la transformation de Fourier d'IRIS en appliquant directement la commande <fftd sur l'image front-d'onde ci-dessous, voici ce que j'obtiens
On est très loin du résultat escompté produit par WinRoddier et l'image ne ressemble pas à celle d'une coma.
Je peux donc dire que dans ces conditions avec IRIS la formule PSF = [ Module FFT (Aperture) ]^2 ne fonctionne pas pour un front-d'onde déformé , sait à dire lorsque tous les points de la surface d'onde ne sont pas en phase, comme au travers d'une optique imparfaite ou via les turbulences atmosphériques ...
La notion de phase ou de différence de marche optique manque dans cette application FFT directe de l'image.
Dans la littérature j'ai trouvé des formules comme celles-ci
ainsi que des tableaux comme cela qui résume les transformation
Ayant fait plusieurs essais sans résultat et ne sortant pas de sup-optique pour interpréter ces formules j'étais bloqué.
J'ai alors contacté plusieurs personnes dont l'observatoire de Nice et celui de Paris.
Nice m'a renvoyé vers 2 astro-amateurs réputés, mais au final le résultat n'était pas au RDV.
L'observatoire de Paris m'a répondu en la personne de Monsieur Anthony Boccaletti qui avec patience et courtoisie m'a bien aidé. Je ne peux donc que le remercié une nouvelle fois ici.
En fait quand on sait c'est relativement simple.
Voici l'exemple, j'ai choisie un front déformé de coma pure car la PSF résultat est bien dissymétrique comme dans le cas général des tavelures mais en plus simple.
WinRoddier permet de faire des simulations
L'image du front d'une coma pure sera toujours la même, ce qui change sera l'amplitude de la déformée, son PTV, ici il est de 848 nm pour la longueur d'onde de 490nm et le terme Z8(3,-1) est de 150nm
848 / 490 = 1.73 donc le PTV exprimé en rapport d'onde est de 1.73
La différence de marche optique (ddm) entre le point le plus en avance et le point le plus en retard est de 1.73 onde
Voici l'image front-d'onde :
Avec IRIS on peut soustraire la constante correspondant au fond de l'image, le fond devient 0 (zéro), ainsi les pixels positifs on une ddm en avance de marche et les pixels négatifs sont en retard de marche.
donc le ddm d'un pixel de l'image par la règle de trois est :
ddm = valeur pixel * 1.73 / 251
La phase s'écrit phi = valeur pixel * 2 * pi * 1.73 / 251
L'image phi est alors proportionnelle à l'image ddm et celle de départ.
L'image pupille est simplement remplie de 1 dans la pupille et de 0 hors de la pupille :
Iris permet de transformer une image en tableau avec la commande < export_asc [nom] qui produit le fichier nom.asc
Il s'ouvre avec l'éditeur de texte et se rentre facilement dans un outil type tableur excel
Il y a 3 colonnes, les 2 coordonnées des pixels et sa valeur, (x , y, valeur), on peut ainsi faire les calculs nécessaires et recréer l'image résultat. La commande < import_asc [nom] dans IRIS
Ainsi l'image phi est la même que l'image d'entrée (proportionnelle), sauf qu'au lieu d'avoir un PTV en pixel de 251, le nouveau PTV en pixel va de -5.43 à +5.43 pour cet exemple
La formule de la littérature peut s'écrire PSF = | FFT ( A*exp( i phi)) |² ou A est la fonction pupille. Le | |² correspond au module de la FFT au carré ce qui confirme la formule de départ lorsque le front est plan (phi = 0), sans ddm
Mais qu'en est-il du exp( i phi)
i c'est le nombre complexe imaginaire tel que i² = -1
et exp( i phi) = cos(phi) + i*sin(phi)
Dans le tableur il suffit de calculer en fonction de la valeur de la colonne phi, une colonne cos(phi) et une autre sin(phi). toutes les valeurs seront alors comprises entre -1 et 1
Et comme les valeurs pixels ne peuvent être que des nombre entier il faut les multiplier par une constante par exemple 30000 pour remplir la plage d'IRIS 16 bits (32767 max)
On peut ainsi créer les images cos(phi) et sin(phi)
cos(phi) et sin(phi)
cos(phi)_30000.fit et sin(phi)_30000.fit
Détail qui a son importante :
sin(0) = 0 donc le fond reste à zéro
cos(0) = 1 donc tous les points du fond qui étaient à zéro passent à 1. Et multiplier par 30000 ils passent à 30000. Il faut alors multiplier cette image cos par l’image pupille (constituée de pixels 0 et 1), multiplier par 0 pour retrouver le fond à zéro, le reste est multiplier par 1 pour que l’image cos reste inchangées dans la zone pupille.
Je fait simplement remarquer ici qu’une FFT est indépendante de l’intensité des pixels dans la mesure où les 2 images de même format sont proportionnelle en intensité.
Mais que faire de ces 2 images ? On en cherche qu'une la PSF !
De plus le module d'une FFT donne toujours une image symétrique alors qu'une PSF dans le cas général pour un front non plan est dissymétrique (exemple la PSF de la coma pure)
Il reste que la solution de faire une FFT-1 la fonction inverse de la FFT qui à partir de 2 images l'une réel ou de fréquence, l'autre imaginaire ou de phase, donne une image résultat unique.
Il est précisé également que le fond à zéro doit être agrandi au minimum à un format couvrant 2 fois le diamètre de la pupille (< padding dans IRIS)
Et il faut que les images soit centrer pour une FFT-1 (fonction ffti dans IRIS)
Au final voici ce que l'on obtient avec les 2 images au 2048 x 2048 :
Capture d'écran dans ImageJ :
On retrouve donc bien la PSF recherchée .
En fait la formule de départ dans la littérature pour des novices comme moi aurait pu s'écrire
L'image PSF est la transformée de Fourier inverse mise au carré, du couple d'images ( A*cos(phi) , sin(phi)) où phi est la phase en chaque point de l'image front-d'onde et A l'image pupille (0,1) PSF = [ FFT-1[ A*cos(phi) , sin(phi)] ]²
CPI-Z
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