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By Astreau
Bonjour à tous
Le porte oculaire de mon Dobson flextube 355 skywatcher fait des siennes. Depuis hier soir la molette génère de la résistance à la rotation et surtout le porte oculaire ne tient plus et à tendance à tomber ou coulisser librement dans son support.
A votre avis c'est réparable ou il vaut mieux commander un nouveau PO ? Je n'ai pas trouvé sur le site de SW une notice ou manuel indiquant le mode de démontage ou nettoyage donc je n'ose pas intervenir sur les vis pour voir si le pb peut être résolu.
Merci d'avance de votre retour éclairé.
une photo ci jointe du modèle
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By airbus340
Bonjour à tous ,
Depuis ce soir j'ai un pb de conversion des fichiers .fit issue de ma 294 MC pro , sous SIRIL
Je décoche "liens symboliques " comme toujours ( je ne sais d'ailleurs pas ce que c'est ) je coche "dématricage " puis je lance ...et là :
De quoi cela peut il bien venir ? help...
Ph
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By Theta Coxa
Bonjour tout le monde,
J'ai récemment sollicité l'aide du forum pour établir une gamme d'oculaires.
Puisque le post que j'avais créé a été l'occasion de récupérer des avis d'une grande aide, et qu'il était dans la section "astronomie pratique", j'ai décidé d'en faire un petit retour sans prétention ici.
De cette façon, ceux qui se poseraient les mêmes questions que moi pourront avoir un petit bilan détaillé des enseignements que je tire de cette recherche, et profiter des différents retours des membres.
I. Mon setup
> Télescope : Sky-Watcher Dobson 305/1500
> Lieu d'observation principal : Sud-Est de la France, zone urbaine, bord de mer
> Utilisation : usage perso, animation avec du public, initiations
> Cibles : planétaire, CP (hors nébuleuses non planétaires), Lune
II. Les limites du choix
a) limites personnelles
Je suis parti sur un budget d'environ 500€. Vous allez le voir, je me suis "un peu" lâché, à l'occasion de bonnes affaires dans les petites annonces. En effet, les oculaires se revendent d'occasion sans perdre trop de leur valeur pour peu qu'ils soient bien entretenus.
J'ai donc préféré retarder la commande du scope lui-même pour pouvoir commencer avec un bon matériel.
J'ai préféré également ne pas opter pour une solution à base de Barlow. La principale raison, c'est que je ne voulais pas ajouter une inconnue à l'équation de l'optique. En effet, selon les marques, modèles, utilisateurs, etc... la qualité d'observation peut être altérée. De plus, je n'ai pas encore l'habitude d'utiliser ces instruments, et préfère me faire la main, en tester quelques unes, avant de me décider.
La solution alternative pour atteindre une plage de grossissement qui couvre les différents objets accessibles à l'instrument, c'est d'investir un peu plus d'argent pour acheter des oculaires de courte focale.
b) limites techniques et théoriques
Il y a ici deux facteurs importants à noter, qui pourront vous aider dans le choix de votre gamme d'oculaires :
> Le grossissement maximum (Gmax) : en théorie, il ne doit pas dépasser 2 fois le diamètre de l'ouverture de votre instrument (ici, 2x305 soit 610). Cependant, pour dépasser 300x, il faut réunir un certain nombre de conditions (turbulence atmosphérique clémente, instrument bien collimaté, miroir en température, oculaires de qualité). C'est à chacun de définir donc l'utilité qu'il pourra avoir d'oculaires permettant de dépasser cette limite.
> La pupille de sortie (PPS) : c'est la taille du faisceau lumineux qui vient frapper votre oeil. Si le faisceau est plus grand que la pupille de l'oeil de l'observateur, celui-ci ne pourra obtenir une image satisfaisante. Plus le grossissement est faible, plus elle grandit. Elle contraint le grossissement minimum utilisable par le télescope. Un jeune observateur pourra accéder à des PPS allant jusqu'à 7mm. En revanche, un observateur plus âgé (aux alentours de 60 ans) ne pourra profiter que jusqu'à une PPS de 5mm environ (la décroissance de la taille de la pupille au cours de l'âge étant différente pour chacun). A noter que si la PPS est élevée, l'image sera plus lumineuse. Il s'agit donc de trouver un compromis selon qui va observer quel objet.
> Le Champ Apparent (Ca) : Il est lié à l'oculaire. Il détermine la taille des objets qui vont pouvoir rentrer (ou non) dans l'oculaire, mais aussi, pour les Dobson sans suivi, de garder en vue l'objet plus ou moins longtemps sans devoir recentrer l'image.
> Le Champ Réel (Cr) : Il est la portion de ciel que vous verrez à travers l'oculaire dans votre instrument. Il dépend donc de l'association d'un oculaire avec un instrument.
On a donc ici :
Gmax (théorique) = 610x, bien qu'on notera encore que ce G n'est accessible que grâce à des occasions particulières
Gmin contraint par une PPS max aux alentours de 5-6mm
III. Le vif du sujet
Les autres critères permettant de faire un choix sur les oculaires seront abordés dans cette partie.
a) le choix du fabricant : sur cette partie, j'aimerais compiler plus d'avis différents pour en faire une synthèse pertinente. Pour le moment, j'ai lu tout et son contraire. En revanche, il apparaît que la gamme Explore Scientific à 82° de Ca semble un bon rapport qualité-prix.
Si vous avez un retour à faire, ou bien si vous connaissez un fil où la discussion amène des points notables et le plus objectif possible, merci de me les transmettre (en réponse ici ou par MP).
b ) mes choix
Ce premier tableau présente les achats que j'ai effectués dans la première salve :
On peut remarquer qu'il me manque clairement un (ou deux ) oculaire pour atteindre un grossissement fort.
Également, on remarque que le 18mm ressemble beaucoup (trop ?) au 24mm. Seulement, le vendeur m'a paru fort sympathique, et a convenu d'une petite réduction sur un lot, j'ai donc pas hésité, quitte à avoir plus de matériel que nécessaire (vive le confort).
Pour étoffer la gamme et atteindre enfin quelque chose de complet, j'ai préparé un second tableau.
Ici, rien de définitif, seulement des calculs pour y voir plus clair. On remarque que si le 30mm rejoint la famille, l'écart entre lui et le 18mm seront significatifs, et donc en ajoutant un oculaire, on enlève un quasi-doublon (quel heureux hasard).
IV. Bilan
J'étais parti sur un budget d'environ 500€. J'ai choisi la gamme ES en 82°. Le lot de trois oculaires (8,8mm, 14mm, 18mm) m'est revenu 375€. Le 24mm neuf, lui, 260€. J'ai donc dépassé de 135€, et ce, sans avoir de courte focale.
Pour optimiser le budget en gardant mes choix et contraintes, je pense que remplacer le 18mm par un 4.7mm ou 6.7mm serait bien plus utile. Cependant on resterait aux environs de 650€ pour 4 oculaires. C'est un budget important à prévoir quand on considère un investissement dans un setup astro. J'ai eu la chance de pouvoir coller mon oeil dans un assez grand nombre de combinaisons d'oculaires+scope différents, et je ne regrette pas d'avoir mis le paquet. Ça fait vraiment la différence sur la qualité de ce qu'on observe. Il ne faut en effet pas oublier que, si le télescope concentre les rayons lumineux d'une grande surface, c'est véritablement l'oculaire qui capture (et définit donc) l'image.
En envisageant de prendre les trois oculaires complémentaires pour avoir une gamme de 7 donc, on ajoute 585€ au budget initial (le 30mm seul coûte 319€). Ça fait au total l'équivalent du prix d'un instrument. Bon, par contre, je pense qu'avec ça vous seriez vraiment imparables niveau équipement.
Comme toujours en astro, il n'y a pas de "recette miracle" qui vous permettrait d'avoir la solution parfaite. Et comme toujours, c'est le budget qui définit souvent la contrainte principale. Pour environ 600€, vous pouvez vous constituer une gamme d'oculaires vraiment pertinente.
J'apporterais à ce post un complément dès lors que je pourrais tester en conditions réelles la combinaison des oculaires avec mon instrument. Rendez-vous pour cela fin janvier (si tout va bien).
Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas, si j'ai manqué de clarté, n'hésitez pas, si vous avez des informations complémentaires à ajouter, n'hé-si-tez pas !
V. Annexes / Bonus
Voici les quelques formules que vous pourrez utiliser pour faire les différents calculs liés au choix de vos oculaires :
G = F/f Cr = Ca/G PPS = D/G
Les limites à garder en tête :
G < 2D 1 < PPS < 5-6-7 (selon l'observateur)
Le mot "oculaire" a été utilisé 22 fois dans ce message.
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By marc jousset
Bonsoir,
J'ai réalisé une petite amélioration sur mon Planewave CDK12.5. Ce scope me donne entièrement satisfaction optiquement.
Mais avec le temps la motorisation du focuser montre des signes de faiblesse sous forme de jeu ds les déplacements axiaux du crayford.
Ce jeu ne permettait plus une répétabilité correcte en positionnement absolu, un backlash non constant et donc au final exit l'autofocus...
Après examen de la source du pb, j'ai conçu un nouveau support du moteur du crayford et corrigé une erreur de conception de la part de PW qui avait conçu au plus cheap...
Les trois nouvelles pièces ont été usinées selon mes plans avec brio par Skyméca. Merci Didier !
Pour ceux qui ont ce scope CDK12.5, le nouveau bracket permet de retrouver un positionnement répétable, précis et surtout fiable ds le temps !
La page : http://astrosurf.com/jousset/page_technique/bracket_focuser_CDK.htm
Bien cordialement,
Marc
http://astrosurf.com/jousset/
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By dfremond
Bonjour
J'ai un flextube et, comme beaucoup de ceux qui en possedent, j'ai des soucis de saccade survenant (surtout) dans le mouvement azimutal en poursuite sidérale, et seulement à cette vitesse. Quand je mets en vitesse rapide, les saccades, accompagnées d'un petit craquement, disparaissent et reprennent dés l'entrainement de poursuite "normal" repris. J'ai remarqué de nombreux topics en parlant sur differents sites d'astronommie amateur, sans trouver de solutions claires. A noter que le bruit n'est pas constant, et un peu capricieux, et réapparait souvent au moment le plus embetant. Ce n'est pas le bruit qui est le souci, mais c'est qu'il y a une saccade dans l'entrainement et que ça donne une trainée à ce moment pendant la capture. Surtout à forte focale, donc tres gènant en astrophoto planétaire...... J'avais cru, à un moment, qu'il s'agissait d'un souci dû au joint en mousse qui entourre le mecanisme et le protege, au niveau du socle, car ça fait vraiment penser à du plastique qui colle, mais ce n'était pas ça. J'ai demonté le socle et ses differentes pieces (deux plaques d'alu circulaires, avec entre les deux un grand roulement à rouleaux en plastique(et roulements metaliques bien sur). J'ai longtemps etait persuadé que ça venait de là car le graissage a diminué le phénomene. Maintenant je sais pourquoi! Mais ce n'était pas la solution.
Le probleme residait dans les roulements de la vis sans fin! et à cause d'un mauvais réglage du mecanisme de débrayage!! Un trop fort ou trop faibel serrage porvoque des saccades, soit en exagerant le frottement au niveau des roulements, soit en provoquant de petits débrayages intempestifs! CE REGLAGE EST FONDAMENTAL! Il a fallu que je démonte "la boite de vitesse", le reducteur du moteur, pour m'en rendre compte. C'est sous le gros capot noir a démonter.
On se retrouve avec le bloc moteur fixé sur la boite reducteur, elle meme fixée avec deux vis sur un support metallique, et sur l'"axe de la vis sans fin.
Pour avoir accés facilement aux reglage de la vis de debrayage (en noir), il faut d'abord devisser la boite reductrice du support en enlevant deux vis et en le basculant vers le haut
il faut se munir d'une clé de 10 une cle de 11 et une clé allen .
D'abord, il faut regler l'amplitude du debrayage pour qu'elle soit suffisante pour libérer la roue dentée, en le controlant à la main. ensuite la bloquer avec le contre écrou.
ensuite, il faut regler la tension du ressort, et controler la dureté du debrayage en forçant sur la monture. il faut qu'il y ait une certaine résistance.
ensuite, remontage du bloc moteur-reducteur sur son support, avec les deux vis.
Quand j'ai démonté le boitier du reducteur (j'ai tout demonté... je n'ai pas fait de photo sur le moment, et il etait trop tard pour en faire une fois remonté), j'ai enlevé tous les pignons, sauf celui qui est solidaire de la vis sans fin. Meme en ayant bien graissé l'axe, et en ayant liberé le frein pour désolidariser le scope de l'entrainement, j'ai remarqué que faire tourner ce pignon avec ,la main, provoquait exactement les saccades à basse vitesse, et elles disparaissaient a grande vitesse! Le probleme se situe donc sans aucun doute dans cette piece! Il y a quelquechose de collant dans l'axe. J'ai tout graissé, et malgré tout il y avait encore du 'collage" Je me suis interessé ensuite au mecanisme de debrayage , avec son ressort, dont le role et de faire patiner la vis sans fin en l'ecartant si le telescope resiste trop pour ne pas tout casser. Il y a une vis Allen dont le role et de definir la distance de debrayage, pour laisser la vis sortir des dents et patiner. Il y a aussi un ecrou et un contre ecrou pour tendre le ressort. C'est là que ce situe , entre-autre, le probleme. Si le ressort est trop serré, il ecrase la vis sur ses roulements, et ça colle, donne des saccades. si elle n'est pas assez serrée, les petites variations de resistances du plateau tournant, provoquent des debrayages partiels, et des saccades aussi dans l'entrainement. Tout est encore exageré si le plateau resiste trop, d'ou l'amélioration quand on le graisse. Ce reglage de vis de débrayage est fondamental. Maintenant je n'ai AUCUN soucis, en tout cas "indoor". J'espere le constater aussi lors de ma prochaine session.
Mais j'avais tellement galeré pour trouver que je souhaite paratager cette decouverte avec ceux qui auraient ce problème. Bon, vous êtes responsables, ne démontez que si vous vous sentez capable de tout remonter correctement. Mais l'amélioration est vraiment efficace chez moi!
Bon courage si ça vous tente! Et bon ciels!
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