etoilesdesecrins

T300 : Mars toujours turbulente !

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C'est sûr que la turbu dans les gros .  . .

Mais ça reste un joli souvenir :)

Bonne soirée,

AG

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Salut !

 

Avec les gros diamètres il faut respecter une longue mise en température et surtout utiliser les filtres colorés, sinon le disque martien envoie trop lumière et on perd en contraste sur les formations sombres. Pour mes dessins je ne me passe plus des filtres orange 21 et rouge 23 (que je viens de recevoir).

 

Sinon j'ai moi aussi dessiné à la L125 la "palme" dont tu parles, elle est bien visible en ce moment, une vraie patte d'oie !

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Bonjour, 

C'est dommage que la turbulence t'ai empêché d'exploiter ton 300. Le jet que tu as perçu partant de Sinus Sabeus, vers le bas ressemble à un des 2 éléments hors zone sombre que j'avais perçu le 30. Je ne l'ai pas retrouvé le lendemain.

Chouette dessin, vu les conditions.

Bon ciel. 

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Salut Etoiles,

merci pour ce récit détaillé !

Je trouve que sur Mars il y a un effet de palier de la turbu : quand elle est d'un niveau 'moyen ou mieux', la vue est plus riche et nuancée sans filtre et la forte luminance dont parle Laurent n'est pas gênante (et au contraire elle est un atout) ; mais dès qu'elle descend sous un "certain" seuil les contrastes sont délavés et le filtre orange ou rouge améliore franchement la visibilité des détails.

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Hello ! 

Belle observation...et dommage pour le seeing.

Le résultat est quand même intéressant, les formations principales sont plus que reconnaissables :)

 

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On voit sur les dessins de Serge et Nicolas (j'en oublie peut-être, désolé ...) que la branche du milieu de la patte d'oie, se sépare en 2 pour former une fourche, ou langue se serpent. Je l'ai pas perçue ni représentée, pénible cette turbu ou alors les yeux qui flanchent... :P

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il y a 9 minutes, etoilesdesecrins a dit :

pénible cette turbu ou alors les yeux qui flanchent...

 

Depuis le retour de l'anticyclone et du vent de nord-est, la turbu ruine tout... :(

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En effet, fichu flux d'est... la dernière fois que c'était bon ici en Vendée c'était mardi soir, juste avant qu'il ne s'installe.

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il y a 57 minutes, fred-burgeot a dit :

En effet, fichu flux d'est... la dernière fois que c'était bon ici en Vendée c'était mardi soir, juste avant qu'il ne s'installe.

Bon Fred, ça va, arrête de t'en prendre à l'Est...! Ici on aime le Moscou - Paris de janvier février qui nous sert des nuits fabuleuses par des températures sibériennes! :D:D

Viens un peu chez nous dessiner le Casque de Thor par -8°C !! :D:D

 

Patrice, qui te châtie bien...

Modifié par Rastaman
erreur sur la personne
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Le 04/11/2020 à 10:30, fred-burgeot a dit :

Je trouve que sur Mars il y a un effet de palier de la turbu : quand elle est d'un niveau 'moyen ou mieux', la vue est plus riche et nuancée sans filtre et la forte luminance dont parle Laurent n'est pas gênante (et au contraire elle est un atout) ; mais dès qu'elle descend sous un "certain" seuil les contrastes sont délavés et le filtre orange ou rouge améliore franchement la visibilité des détails.

 

J'ai constaté la même chose, c'est pour ça que je tente toujours d'abord sans filtre rouge, mais ce dernier n'est jamais bien loin et a déjà sauvé des nuits martiennes.

 

Et c'est vrai qu'actuellement ça turbule beaucoup ici, et pas dû qu'au balcon confiné.

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.... fô faire sa cuisine selon les circonstances

mais tu sembles souvent affecté d'une forte turbulence. Où est ton site d'observation exactement ? au regard de ton pseudo, on se doute que c’est dans les montagnes où généralement le seeing n’est pas terrible - sauf en des lieux bien localisés.

Cela étant, force est de constater que ton dessin contient une foule de détails valables, tout comme ta description. Par exemple, je note que tu marques bien le coude du sinus, c'est un joli détail et ça prouve qu'on voit au minimum de belles choses. ET si celui-si est perçu, il est probable qu'il peut y en avoir d'autres, notamment dans les zones les plus sombres et contrastées, par exemple sur le bord de la grande syrte.

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Pas situé en montagne, le pseudo fait hommage aux nuits passées en bivouac là-haut, en rando, pas forcément pour de l'astro.

Par contre mon site est entre St Etienne et Lyon,  à flanc de coteau exposé aux vents dominants ouest-est, côteau dominant une petite vallée de même orientation. Donc pas top au niveau effet Venturi ...

Et avec un peu d'altitude (550 m environ), c'est souvent plus venté qu'en bas.

Modifié par etoilesdesecrins

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Ca y est ! J'ai enfin eu des conditions dignes de ce nom hier soir sur Mars ! Comme c'était stable en début de soirée à la lunette sortie vite fait,n et surtout comme ça se dégageait, j'ai monté vite fait le T300 pour du ciel profond. Au bout de 3/4 objets cela s'est recouvert ne laissant guère que Mars dégagé ! Tant mieux finalement car j'étais tiraillé entre le ciel profond et tester Mars avec cette faible turbulence.

Quelle vue !! Effectivement rien à voir avec les précédentes tentatives turbulentes. C'était déjà chouette à la lunette en début de soirée, mais Mars m'en a vraiment mis plein les yeux au 300 ! Les trous de turbu étaient fréquents et assez longs, ce qui fait qu'en plus d'un "socle" de détails de nouveaux se montraient souvent, certes furtifs, avec cette sensation de luxuriance temporaire souvent décrite.

Si la lulu montre une image plus fine la plupart du temps, quand les conditions sont réunies le 300 permet d'accéder à une autre dimension. Cela reste assez net et lumineux même à 270 X.

Ca n'avait encore rien à voir quand même avec vos prouesses aux T400, mais la claque a été telle que j'allais démonter les tubes sans enlever la jupe avant (mise pour le ciel profond) !!

Modifié par etoilesdesecrins
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Salut

Oui, ce soir et hier soir, c'était pas mal au niveau turbulence, du moins dans l'ouest lyonnais !

Le 320x passait très bien au 250 et j'ai regretté de ne pas avoir pu pousser un peu plus !

http://www.astrosurf.com/topic/141521-mars-dobson-250/

 

Quel contraste avec le week end passé où l'on ne distinguait même pas le disque dans la soupe turbulesque !

Modifié par crabe

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    • Par vaufrègesI3

       
       
       
               20 ans après l’atterrissage : comment les rovers jumeaux de la NASA ont changé la science martienne
       
                               
       
       
      https://mars.nasa.gov/news/9535/20-years-after-landing-how-nasas-twin-rovers-changed-mars-science/
       
       
       
      Ce mois-ci marque le 20ième anniversaire de l’atterrissage de Spirit et Opportunity sur Mars, dans le cadre d’une mission dont l’héritage s’étendra loin dans le futur.
      En janvier 2004, les rovers jumeaux de la NASA nommés Spirit et Opportunity ont atterri de part et d’autre de Mars, donnant le coup d’envoi d’une nouvelle ère d’exploration robotique interplanétaire. Ils sont arrivés de manière spectaculaire à trois semaines d’intervalle, chacun niché dans un groupe d’airbags qui ont rebondi sur la surface environ 30 fois avant de s’arrêter et de se dégonfler. La mission des rovers de la taille d’une voiturette de golf : rechercher des preuves que de l’eau a déjà coulé à la surface de la planète rouge.
      Leurs découvertes allaient réécrire les manuels de science, y compris la découverte d’Opportunity peu après l’atterrissage des célèbres « myrtilles » – des cailloux sphériques de l’hématite minérale qui s’étaient formés dans l’eau acide. Plusieurs années après le début de la mission, Spirit, imperturbable mais traînant maintenant une roue endommagée, a découvert des signes d’anciennes sources chaudes qui auraient pu être des habitats idéaux pour la vie microbienne il y a des milliards d’années (si tant est qu’il en ait jamais existé sur la planète rouge).
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      Un héritage durable
       
      Grâce en partie à la science recueillie par Spirit et Opportunity, la NASA a approuvé le développement du rover Curiosity de la taille d’un SUV pour déterminer si les ingrédients chimiques qui soutiennent la vie étaient présents il y a des milliards d’années sur ce qui était autrefois un monde aquatique. (Le rover a découvert peu de temps après son atterrissage en 2012 qu’ils l’étaient.)
       
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      Alors qu’ils travaillaient sur Spirit et Opportunity, les ingénieurs ont développé des pratiques d’exploration de la surface qui se poursuivent aujourd’hui, y compris l’utilisation de logiciels spécialisés et de lunettes 3D pour mieux naviguer dans l’environnement martien. Et après avoir perfectionné des années d’expertise au cours des voyages des rovers jumeaux sur la surface rocheuse et sablonneuse de Mars, les ingénieurs sont en mesure de planifier des trajets plus sûrs et plus longs, et de mettre rapidement en place les plans quotidiens beaucoup plus complexes nécessaires à l’exploitation de Curiosity et Perseverance.
       
      Les membres de l’équipe scientifique sont également devenus plus habiles dans leur rôle de géologues de terrain virtuels, s’appuyant sur des années de connaissances pour sélectionner les meilleurs moyens d’étudier le terrain martien à l’aide des « yeux » robotiques et des outils portés par leurs partenaires itinérants.
       
      Marathon martien
       
      Conçu pour durer seulement 90 jours, Spirit a atterri le 3 janvier ; Opportunity le 24 janvier. Les rovers d’exploration de Mars ont persévéré pendant des années – dans le cas d’Opportunity, près de 15 ans, pour finalement succomber à une tempête de poussière enveloppant la planète en 2018. Cette durabilité a dépassé les rêves les plus fous des scientifiques et des ingénieurs, qui ne s’attendaient qu’à une exploration localisée sur une distance ne dépassant pas 600 mètres.
       
      Au lieu de cela, grâce à leurs substituts robotiques à longue durée de vie, l’équipe a eu la chance de parcourir une grande variété de terrains martiens. Opportunity, le premier rover à parcourir une distance de la longueur d’un marathon sur une autre planète, couvrirait finalement près de 45 kilomètres au total – la distance la plus longue parcourue sur une autre planète.
       
      « C’était un changement de paradigme auquel personne ne s’attendait », a déclaré l’ancien chef de projet John Callas du JPL. « La distance et l’échelle de temps que nous avons parcourues ont été un saut de portée qui est vraiment historique. »
       
      La chance de voir tant de choses a été essentielle pour révéler que non seulement Mars était autrefois un monde plus humide, mais aussi qu’elle abritait de nombreux types d’environnements aquatiques différents – eau douce, sources chaudes, piscines acides et salées – à des moments distincts de son histoire.
       
      Une inspiration continue
       
      Les jumeaux itinérants ont également inspiré une nouvelle génération de scientifiques. L’une d’entre elles était Abigail Fraeman, qui était une lycéenne invitée au JPL la nuit de l’atterrissage d’Opportunity. Elle a pu observer l’excitation lorsque le premier signal est revenu, confirmant qu’Opportunity avait atterri en toute sécurité.
       
      Elle a poursuivi une carrière de géologue martienne, retournant au JPL des années plus tard pour aider à diriger l’équipe scientifique d’Opportunity. Aujourd’hui scientifique adjointe du projet Curiosity, Fraeman appelle de nombreux collègues proches de nombreuses personnes qu’elle a rencontrées la nuit de l’atterrissage d’Opportunity.
       
      « Les personnes qui ont fait fonctionner nos rovers jumeaux pendant toutes ces années forment un groupe extraordinaire, et il est remarquable de voir combien d’entre eux ont fait de l’exploration de Mars leur carrière », a déclaré Fraeman. « Je me sens tellement chanceuse de pouvoir travailler avec eux tous les jours alors que nous continuons à nous aventurer dans des endroits qu’aucun humain n’a jamais vus dans notre tentative de répondre à certaines des plus grandes questions. »
       
      Meilleurs résultats scientifiques
      https://mars.nasa.gov/mer/mission/science/results/
       
      'Myrtilles' martiennes
      https://mars.nasa.gov/resources/6944/martian-blueberries/
       
      Spirit détecte des preuves surprenantes d’un passé plus humide
      https://www.jpl.nasa.gov/news/mars-rover-spirit-unearths-surprise-evidence-of-wetter-past
       
       
       
    • Par guy03
      Bonjour
      Je pensais que pour revoir Mars il fallait attendre 2025 ....mais non 2024 sera parfait!!!  Mars sera bien visible (et trés haute!!) dans le ciel à partir d'octobre. Son mouvement apparent va ralentir. Elle sera en opposition mi janvier 2025. Bon on est pas au mois d'octobre encore mais j'ai hâte de l'observer et lui tirer le portrait. Son diamètre apparent sera pas énorme mais on grossira avec les oculaires et les barlows!

    • Par Sauveur
      Salut 
       
      une petite Mars avant dodo 😉
       
       

    • Par phenix
      salut  les astrams 
       
      voici  la conjonction  lune venus et mars le 21.06.2023
      une petite compo de 2 images au 1000d  et sigma 150 f2.8  sur staraventurer
      2 single  shot  de  8 sec  a 800 iso  
      petit traitement vite fait avec toshop  et assemblage  avec  ice  
       
      bon cieux 
      serge

    • Par phenix
      nouvelle version de mars et m44 du 02.06.23
      j ai enlevé la vilaine trame de l image initiale , assombrit le fond du ciel  ( trop  ? ), et augmenté un peu les couleurs
       

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