Christophe Pellier

Mars, ses filtres, ses images, en spectroscopie

Messages recommandés

Bravo Christophe,

 

Une étude super complète et très intéressante, de l'astronomie comme j'aime ;)

Merci et bravo pour ton travail...

Xavier

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Merci Xavier ! J'aurais du monter ce spectro quand Vénus était visible au printemps :( enfin bon, et l'année prochaine je pourrais attaquer sérieusement Jupiter et Saturne.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Super intéressant Christophe ! :) 

 

Il y a quand même quelques trucs que je ne pige pas

 

il y a 49 minutes, Christophe Pellier a dit :

D'abord le spectre en couleur de la planète, seul. Le spectre brut de Mars est corrigé de la réponse instrumentale et atmosphérique à l'aide du spectre d'une étoile bleue. Ce spectre est un spectre solaire réfléchit par les propriétés de la planète et partiellement absorbé par notre propre atmosphère. C'est à lui que nous avons affaire quand on fait des images...

 

Tu écris "corrigé de la réponse atmosphérique" mais pour autant le spectre obtenu est affecté des propriétés d'absorption de l'atmosphère ==> donc en quoi consiste la correction dont tu parles si ça n'enlève pas les raies d'atmosphérique ?

 

Et dans le graphique sur la Mars Color spectrum / comparaison avec le spectre solaire ==> on retrouve le spectre du Soleil en haut et celui de la planète à l'intérieur ... mais la légende et les couleurs associées Solar / Earth et Planetary vs les couleurs de courbes sont un peu déroutants ... en fait les légendes & couleurs correspondent au texte O2/H2O, H-alpha etc ... les couleurs de courbes n'ont rien à voir ?

 

Mais sinon le reste est très parlant ! :) 

 

JP

 

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Merci JP, très bonnes remarques....

il y a 2 minutes, JP-Prost a dit :

Tu écris "corrigé de la réponse atmosphérique" mais pour autant le spectre obtenu est affecté des propriétés d'absorption de l'atmosphère ==> donc en quoi consiste la correction dont tu parles si ça n'enlève pas les raies d'atmosphérique ?

Bien vu. En fait le traitement élimine l'absorption globale (par exemple dans le proche UV, mais aussi la transparence relative depuis mon site au moment où j'ai fait l'observation) mais pas les raies étroites du dioxyde d'oxygène et de la vapeur d'eau.

il y a 4 minutes, JP-Prost a dit :

Et dans le graphique sur la Mars Color spectrum / comparaison avec le spectre solaire ==> on retrouve le spectre du Soleil en haut et celui de la planète à l'intérieur ... mais la légende et les couleurs associées Solar / Earth et Planetary vs les couleurs de courbes sont un peu déroutants ... en fait les légendes & couleurs correspondent au texte O2/H2O, H-alpha etc ... les couleurs de courbes n'ont rien à voir ?

Oui :( j'aurais du choisir une autre couleur pour les raies terrestres. La courbe bleue qui délimite le spectre de Mars a été choisie par le logiciel de graphique, je n'ai pas la main dessus. J'aurais du prendre du vert pour les raies terrestres. Je vais peut-être le refaire.

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

OK super, merci pour les explications Christophe

Pour les couleurs : peut-être passer tout ce qui concerne Mars en bleu (y compris le texte Red reflectance etc .. ?) et la Terre en vert effectivement

Dommage le Soleil en orange, la Terre en Bleu et Mars en rouge ça aurait été logique xD

 

Je commence à comprendre :) mais je pars de loin sur ces sujets ... :) 

 

JP

Modifié par JP-Prost
  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
à l’instant, JP-Prost a dit :

mais je pars de loin sur ces sujets ... :) 

T'as pas idée du temps que ça m'a pris pour en arriver là :| y'a eu un gros travail d'apprentissage...

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 2 heures, Christophe Pellier a dit :

Bon au final aucune surprise dans cette analyse contrairement à ce que j'avais fait sur Vénus, néanmoins c'est toujours très pédagogique de montrer ce type d'observation en plus des images !

 

Je ne me souviens pas de la surprise pour Vénus. C'était quoi ? L'identification de la phosphine ?

Bon, trêves de plaisanteries, j'y connais rien en spectro mais c'est chouette de voir ce genre de manip qui sort des sentiers battus.

 

jf

  • Haha 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Merci les gars,

il y a 36 minutes, jfleouf a dit :

C'était quoi ? L'identification de la phosphine ?

ah ah non, juste expliquer pourquoi certains filtres UV semblaient donner de meilleurs résultats que d'autres pourtant réputés plus performants !

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Top la dernière avec la planète la je comprend :P

 

Bon ciel

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Merci à toi pour ce sujet intéressant et pédagogique !

bon ciel 

Fabien

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Tres interessant! Merci Christophe!

 

Il y a 16 heures, Christophe Pellier a dit :

L'idée c'était de faire le même travail que sur Vénus au printemps dernier, faire un spectre et regarder concrètement ce qu'on voit avec les filtres...

 

Tu aurais le lien de ce post que j'ai loupé?

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Le dernier graphique est très parlant, c'est très pédagogique, bravo pour ce travail. 

Le RG610 est bien situé, car dès que ça dérape en rgb avec l'asi224, le RG610 prends la relève sans difficulté (beaucoup de lumière et moins de TURBULENCE) plus efficace qu'un W25.

J'ai un UHC-e et sa réponse semble intéressante, j'avais utilisé en 2003 un O3 sur mars et cela donné des images très contrasté avec une Tuocam vestapro de la grande epoque 😊

Arno 

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Merci Arno,

Le OIII devait avoir une fuite dans l'IR non ?

Il y a 1 heure, dfremond a dit :

Tu aurais le lien de ce post que j'ai loupé?

Ici Daniel:

 

  • Merci 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Super intéressant comme post ;o) on apprend beaucoup de choses, même si je n'ai sans doute pas tout saisi  ;o)

Comme Sauveur, je trouve le montage avec les photos de la planète super didactique ;o)

  • J'aime 2

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Tout ce que j'aurai voulu etre capable d'expliquer !

Merci Christophe.

 

Aussi pour orienter les observateurs imageurs vers une plus juste colorimétrie, car souvent c'est un peu voir  tres loin des vraies couleurs. En spectro c'est interdit !

 

Pierre

 

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Merci Elie !

Merci Pierre,

Il y a 3 heures, pierre2nice a dit :

Aussi pour orienter les observateurs imageurs vers une plus juste colorimétrie, car souvent c'est un peu voir  tres loin des vraies couleurs. En spectro c'est interdit !

En fait, je ne pense pas que ce type d'analyse puisse servir à la colorimétrie des images - sauf à prouver qu'Uranus est effectivement moins bleue que Neptune, par exemple (cf mes travaux sur ces deux planètes). Si le spectre de couleur, sur le principe, dévoile bien la "réalité" du flux qui nous arrive, il resterait à le faire correspondre à la vision humaine... et c'est toujours là que les problèmes commencent :D 

Après si c'est pour dire que Mars est orange et pas bleuâtre - parce qu'on peut voir des traitements comme ça de temps à autre - alors, oui...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Bonjour,

 

Super article, merci pour le partage ! Quelle est l'hypothèse qui tient la corde pour l'absorption dans l'infrarouge ?

 

 

Florian

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Merci Florian,

il y a 34 minutes, Spadge a dit :

Quelle est l'hypothèse qui tient la corde pour l'absorption dans l'infrarouge ?

Je suis retourné voir un vieil article réalisé à partir de données HST qui montre cette absorption et je lis dans les conclusions "bright regions are spectrally flat in the near-IR while dark regions are "blue", en Français, le spectre des régions brillantes (les déserts orange) est neutre dans le proche IR alors que celui des régions sombres diminue vers le bout de l'IR ("bleu", c'est à dire juste plus brillant à 700 qu'à 1000 nm par exemple). C'est donc certainement une histoire de minéralogie. Et les régions sombres doivent dominer le spectre, surtout qu'on est ici face à l'hémisphère de Syrtis Major.

Si j'ai l'occasion quand on fera face à Tharsis, je renterai l'expérience, en toute logique on devrait avoir une absorption IR plus faible...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
il y a 13 minutes, Christophe Pellier a dit :

Je suis retourné voir un vieil article réalisé à partir de données HST qui montre cette absorption et je lis dans les conclusions "bright regions are spectrally flat in the near-IR while dark regions are "blue", en Français, le spectre des régions brillantes (les déserts orange) est neutre dans le proche IR alors que celui des régions sombres diminue vers le bout de l'IR ("bleu", c'est à dire juste plus brillant à 700 qu'à 1000 nm par exemple). C'est donc certainement une histoire de minéralogie. Et les régions sombres doivent dominer le spectre, surtout qu'on est ici face à l'hémisphère de Syrtis Major.

Si j'ai l'occasion quand on fera face à Tharsis, je renterai l'expérience, en toute logique on devrait avoir une absorption IR plus faible...

 

Effectivement, ce serait intéressant de voir la variation du spectre en fonction de la région (et peut-être de la LS). J'avais regardé rapidement côté atmosphère, il y a la vapeur d'eau qui absorbe un peu en IR mais la quantité doit être trop faible (je ne suis pas du tout spécialiste).

 

Merci en tout cas !

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant



  • Contenu similaire

    • Par vaufrègesI3

       
       
       
               20 ans après l’atterrissage : comment les rovers jumeaux de la NASA ont changé la science martienne
       
                               
       
       
      https://mars.nasa.gov/news/9535/20-years-after-landing-how-nasas-twin-rovers-changed-mars-science/
       
       
       
      Ce mois-ci marque le 20ième anniversaire de l’atterrissage de Spirit et Opportunity sur Mars, dans le cadre d’une mission dont l’héritage s’étendra loin dans le futur.
      En janvier 2004, les rovers jumeaux de la NASA nommés Spirit et Opportunity ont atterri de part et d’autre de Mars, donnant le coup d’envoi d’une nouvelle ère d’exploration robotique interplanétaire. Ils sont arrivés de manière spectaculaire à trois semaines d’intervalle, chacun niché dans un groupe d’airbags qui ont rebondi sur la surface environ 30 fois avant de s’arrêter et de se dégonfler. La mission des rovers de la taille d’une voiturette de golf : rechercher des preuves que de l’eau a déjà coulé à la surface de la planète rouge.
      Leurs découvertes allaient réécrire les manuels de science, y compris la découverte d’Opportunity peu après l’atterrissage des célèbres « myrtilles » – des cailloux sphériques de l’hématite minérale qui s’étaient formés dans l’eau acide. Plusieurs années après le début de la mission, Spirit, imperturbable mais traînant maintenant une roue endommagée, a découvert des signes d’anciennes sources chaudes qui auraient pu être des habitats idéaux pour la vie microbienne il y a des milliards d’années (si tant est qu’il en ait jamais existé sur la planète rouge).
      Les scientifiques soupçonnaient que Mars avait depuis longtemps été radicalement différente du désert glacial qu’elle est aujourd’hui : des images orbitales avaient montré ce qui ressemblait à des réseaux de canaux sculptés par l’eau. Mais avant Spirit et Opportunity, il n’y avait aucune preuve que l’eau liquide avait formé ces caractéristiques.
      « Nos rovers jumeaux ont été les premiers à prouver l’existence d’une Mars primitive humide », a déclaré l’ancien scientifique du projet Matt Golombek du Jet Propulsion Laboratory de la NASA en Californie du Sud, qui a géré la mission Mars Exploration Rover. « Ils ont ouvert la voie à l’apprentissage d’encore plus de choses sur le passé de la planète rouge avec des rovers plus grands comme Curiosity et Perseverance. »
       
      Un héritage durable
       
      Grâce en partie à la science recueillie par Spirit et Opportunity, la NASA a approuvé le développement du rover Curiosity de la taille d’un SUV pour déterminer si les ingrédients chimiques qui soutiennent la vie étaient présents il y a des milliards d’années sur ce qui était autrefois un monde aquatique. (Le rover a découvert peu de temps après son atterrissage en 2012 qu’ils l’étaient.)
       
      Perseverance, qui est arrivé sur la planète rouge en 2021, s’appuie sur le succès de Curiosity en collectant des carottes de roche qui pourraient être apportées sur Terre pour vérifier les signes d’une vie microbienne ancienne grâce à la campagne Mars Sample Return, un effort conjoint de la NASA et de l’ESA (Agence spatiale européenne).
       
      Alors qu’ils travaillaient sur Spirit et Opportunity, les ingénieurs ont développé des pratiques d’exploration de la surface qui se poursuivent aujourd’hui, y compris l’utilisation de logiciels spécialisés et de lunettes 3D pour mieux naviguer dans l’environnement martien. Et après avoir perfectionné des années d’expertise au cours des voyages des rovers jumeaux sur la surface rocheuse et sablonneuse de Mars, les ingénieurs sont en mesure de planifier des trajets plus sûrs et plus longs, et de mettre rapidement en place les plans quotidiens beaucoup plus complexes nécessaires à l’exploitation de Curiosity et Perseverance.
       
      Les membres de l’équipe scientifique sont également devenus plus habiles dans leur rôle de géologues de terrain virtuels, s’appuyant sur des années de connaissances pour sélectionner les meilleurs moyens d’étudier le terrain martien à l’aide des « yeux » robotiques et des outils portés par leurs partenaires itinérants.
       
      Marathon martien
       
      Conçu pour durer seulement 90 jours, Spirit a atterri le 3 janvier ; Opportunity le 24 janvier. Les rovers d’exploration de Mars ont persévéré pendant des années – dans le cas d’Opportunity, près de 15 ans, pour finalement succomber à une tempête de poussière enveloppant la planète en 2018. Cette durabilité a dépassé les rêves les plus fous des scientifiques et des ingénieurs, qui ne s’attendaient qu’à une exploration localisée sur une distance ne dépassant pas 600 mètres.
       
      Au lieu de cela, grâce à leurs substituts robotiques à longue durée de vie, l’équipe a eu la chance de parcourir une grande variété de terrains martiens. Opportunity, le premier rover à parcourir une distance de la longueur d’un marathon sur une autre planète, couvrirait finalement près de 45 kilomètres au total – la distance la plus longue parcourue sur une autre planète.
       
      « C’était un changement de paradigme auquel personne ne s’attendait », a déclaré l’ancien chef de projet John Callas du JPL. « La distance et l’échelle de temps que nous avons parcourues ont été un saut de portée qui est vraiment historique. »
       
      La chance de voir tant de choses a été essentielle pour révéler que non seulement Mars était autrefois un monde plus humide, mais aussi qu’elle abritait de nombreux types d’environnements aquatiques différents – eau douce, sources chaudes, piscines acides et salées – à des moments distincts de son histoire.
       
      Une inspiration continue
       
      Les jumeaux itinérants ont également inspiré une nouvelle génération de scientifiques. L’une d’entre elles était Abigail Fraeman, qui était une lycéenne invitée au JPL la nuit de l’atterrissage d’Opportunity. Elle a pu observer l’excitation lorsque le premier signal est revenu, confirmant qu’Opportunity avait atterri en toute sécurité.
       
      Elle a poursuivi une carrière de géologue martienne, retournant au JPL des années plus tard pour aider à diriger l’équipe scientifique d’Opportunity. Aujourd’hui scientifique adjointe du projet Curiosity, Fraeman appelle de nombreux collègues proches de nombreuses personnes qu’elle a rencontrées la nuit de l’atterrissage d’Opportunity.
       
      « Les personnes qui ont fait fonctionner nos rovers jumeaux pendant toutes ces années forment un groupe extraordinaire, et il est remarquable de voir combien d’entre eux ont fait de l’exploration de Mars leur carrière », a déclaré Fraeman. « Je me sens tellement chanceuse de pouvoir travailler avec eux tous les jours alors que nous continuons à nous aventurer dans des endroits qu’aucun humain n’a jamais vus dans notre tentative de répondre à certaines des plus grandes questions. »
       
      Meilleurs résultats scientifiques
      https://mars.nasa.gov/mer/mission/science/results/
       
      'Myrtilles' martiennes
      https://mars.nasa.gov/resources/6944/martian-blueberries/
       
      Spirit détecte des preuves surprenantes d’un passé plus humide
      https://www.jpl.nasa.gov/news/mars-rover-spirit-unearths-surprise-evidence-of-wetter-past
       
       
       
    • Par guy03
      Bonjour
      Je pensais que pour revoir Mars il fallait attendre 2025 ....mais non 2024 sera parfait!!!  Mars sera bien visible (et trés haute!!) dans le ciel à partir d'octobre. Son mouvement apparent va ralentir. Elle sera en opposition mi janvier 2025. Bon on est pas au mois d'octobre encore mais j'ai hâte de l'observer et lui tirer le portrait. Son diamètre apparent sera pas énorme mais on grossira avec les oculaires et les barlows!

    • Par Sauveur
      Salut 
       
      une petite Mars avant dodo 😉
       
       

    • Par phenix
      salut  les astrams 
       
      voici  la conjonction  lune venus et mars le 21.06.2023
      une petite compo de 2 images au 1000d  et sigma 150 f2.8  sur staraventurer
      2 single  shot  de  8 sec  a 800 iso  
      petit traitement vite fait avec toshop  et assemblage  avec  ice  
       
      bon cieux 
      serge

    • Par phenix
      nouvelle version de mars et m44 du 02.06.23
      j ai enlevé la vilaine trame de l image initiale , assombrit le fond du ciel  ( trop  ? ), et augmenté un peu les couleurs
       

  • Évènements à venir