Toujours avec le TAC sur le plateau de Calern, M 51, pendant que le Premier Quartier déclinait vers l'ouest...
Télescope de 400 mm, 2000 mm de focale, Nikon D810 A, 120 x 30 sec, soit 1 heure de pose à 2000 ISO. Pas de DOF.
Pré traitement Siril.
Traitement que je trouve magnifique de @frédogoto ...
Encore merci à Bruno Mongellaz et à l'Argetac pour leur accueil sur le plateau !
Grosse lune, poussières dans l'atmosphere, mais c'est pas grave, de toutes façons depuis le balcon le ciel est pourri
test de la technique sur NGC3242, the ghost of Jupiter, nébuleuse planétaire située dans la constellation de l'Hydre.
ASI533 + L-Pro au foyer d'un C8 (nouveau tube )
enregistré en fits avec NINA, raw16 (j'ai oublié de passer en 8bits),
bin2x2 (0.77"/px d'echantillonnage),
gain 450, 1s de pose, -15°C
moulinette avec SIRILsur les 1590 images, j'ai gardé 1202x1s via une selection pas trop méchante en FWHM et rondeur
101 darks, 101 flats, 101 darkflats
autoguidage avec dithering toutes les 30 images
j'ai mis un petit peu d'ondelettes à trous et de déconvo
crop 100%
Pas totalement certain du focus fait à l'oeil sur une étoile; j'ai pas encore de bathinov/hartmann ou autre masque
Pas totalement convaincu de la collimation, meme si à l'oeil sur une étoile délocalisée ça avait l'air bien concentrique
Pas totalement confiant dans les choix des paramètres de prise de vue... (il y a une relation entre echantillonnage et temps de pose ? )
Avant de refaire ça proprement avec 10-20-30k images, suis-je dans la bonne direction ?
Bonjour, la semaine dernière, mon pote Denis alias @AstroHub me fait part de son intension d'imager avec le C14 du club le parachute d'Andromède en technique poses courtes, trouvant son idée originale, j'ai également pointé le même soir pendant 1 heure le télescope sur cette cible en réalisant des poses fragmentées de 60 secondes, donc en pose longue, le seeing était à 2.2".
J'ai gardé les 30 meilleures poses, et traité l'image en drizzle x 3 car mon échantillonnage natif étant de 0.63" / px, il est bien insuffisant pour ce genre de défi.
Le parachute n'est pas résolu, mais on détecte quand même quelque chose, sur l'image grand champ cela apparait comme un objet non stellaire, en grandissant on distingue vaguement la forme particulière de l'objet et je détecte le mirage le moins brillant.
Astrosib 360 + STL 11000, traitement pixinsight drizzle x 3 et photoshop.
L'image de champ, le parachute est au dessus de la flèche :
Cette fois, nous avons fait un autre test afin de connaître les limites réelles de notre set-up, il semble que nous l’avons atteint avec ce champ de petites galaxies dans le Pavo
Ce champ contient de nombreuses petites galaxies mais 5 sont plus notables et sont disponibles en médaillon"
Trio de Galaxy « Masque du Diable »
Il s’agit d’un superbe triple système NGC 6769-71, situé dans la constellation méridionale de Pavo (le Paon) à une distance de 190 millions d’années-lumière. Les deux galaxies supérieures, NGC 6770 (à droite) et NGC 6769 (à gauche), sont de luminosité et de taille égales, tandis que NGC 6771 (supérieur) est environ deux fois moins lumineux et légèrement plus petit. Les trois galaxies possèdent un renflement central d’une luminosité similaire. Ils se composent d’étoiles âgées et rougeâtres et celle de NGC 6771 est remarquable pour sa forme « boxy », une occurrence rare parmi les galaxies. NGC 6769 est une galaxie spirale avec des bras en spirale très étroitement enroulés, tandis que NGC 6770 a deux bras en spirale majeurs, dont l’un est assez droit et pointe vers le disque externe de NGC 6769. NGC 6770 est également particuliere en ce sens qu’elle présente deux voies sombres relativement droites et un arc plus faible qui se courbe vers la troisième galaxie, NGC 6771. Il est également évident que les étoiles et le gaz ont été dépouillés du MBAC 6769 et du MBAC 6770, commençant à former une enveloppe commune autour d’eux, sous la forme d’un masque du diable. Il y a aussi un faible soupçon d’un pont fragile entre 6769 et 6771. Toutes ces caractéristiques témoignent d’une forte interaction gravitationnelle entre les trois galaxies. L’apparence déformée de la voie de poussière de NGC 6771 pourrait également être interprétée comme une preuve supplémentaire d’interactions. De plus, NGC 6769 et NGC 6770 reculent devant nous à une vitesse similaire d’environ 3 800 km/s - un décalage rouge d’un peu plus de 0,01 - tandis que celle de 6771 est légèrement plus grande, soit 4 200 km/s. Aussi dramatique et destructeur que cela puisse paraître, un tel événement est aussi un enrichissement, un véritable baby-boom. Une catastrophe cosmique comme celle-ci entraîne normalement la formation de nombreuses nouvelles étoiles. ...
C’est ce qui est évident en raison de la nature bleuâtre des bras en spirale de 6769 et de 6770 et de la présence de nombreux sites de régions formant des étoiles
IC 4836 une Galaxie Spirale Barrée
IC 4845 une autre Galaxie Spirale Barrée
Full et détails sur Astrobin : Field of small galaxies in the Pavo 'NGC 6769-6770-6771, IC 4836, IC 4842, IC 4845