Daniel Malaise

Mon premier instrument d'observation astronomique

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Cette photo est la seule qui a été prise du premier instrument d'observation astronomique que j'ai développé et fabriqué, à la fin des années 1960.

 

Il s'agissait d'un spectrophotomètre qui servait à prendre des profils de comète dans différents domaines spectraux qu'on pouvait sélectionner, par exemple les radicaux libres remarquables CN, C2, C3.

 

C'est un instrument que j'avais conçu au cours de ma thèse de doctorat et ensuite fabriqué à IAL Space à Liège. Il était installé à l'Observatoire de Haute-Provence. Malheureusement, le planning de l'observatoire était chargé, et il était difficile d'avoir du temps d'observation pour des phénomènes aléatoires comme les comètes...

 

Heureusement, j'ai reçu une offre de l'Observatoire Ondřejov, à proximité de Prague en République Tchèque, pour installer l'instrument là-bas, où j'ai travaillé avec Jan Hekela entre 1969 et 1974. Ce fut une très belle période et j'ai eu la chance de découvrir le mode de vie tchèque.

 

Vous pouvez lire l'article et d'autres sur mon blog d'astronomie.

 

Profitez de la vie et restez en bonne santé!

 

cover-image-article-astronomy-02.jpg

Modifié par Daniel Malaise
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très intéressant

 

( j'ai aussi fait un doctorat en spectro atomique)

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Merci pour le message.

(pour le mode de vie Tcheque tu parles des filles ? Elles sont canons!!)

Quand je vais à Prague j'aime bien avoir ma table à la Kavarna Slavia... humm les plats et les gateaux...

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Très intéressant !

Et quel CV, merci et bravo Daniel :) 

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Bien vu Alef ;), connaisseur on dirait... je suis grillé! Aussi mon collègue Jan avait, il est vrai, une approche des choses fort intéressante, "à la tchèque"" 9_9, et je dois dire que cela permettait de faire de belles rencontres... Mais je me suis fait avoir au final... J'en ai ramené mon épouse xD

 

Merci Penn! Je suis content de voir les réactions positives, cela m'encourage à continuer mon blog, je compte y publier une petite contribution scientifique de temps à autre, issue de mes archives ou d'activités plus récentes, et d'ailleurs pas que sur l'astronomie...

 

Je trouve ces échanges très intéressants!

 

Bonne soirée à tous,

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Merci Daniel pour ton message.

Si tu veux être informé sur l'actualité amateur des comètes il y a une liste sur les comètes en ProAm si ça t’intéresses : cometes@groups.io

Il y a Nicolas Biver (Pro) qui travaille à l'observatoire de Meudon qui est super sympa, passionné et qui fait des photos & dessins superbes.

 

Ton blog est très bien, tu as du matériel en amateur pour suivre les comètes ? Photos ? Spectro ? Radio ?

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Nicolas Biver je ne le connais pas. Il est né en 1969 je crois, cette année-là je venais de finir ma thèse de doctorat, c’est l’époque de la photo à l’observatoire de Haute-Provence.

 

Sur ton conseil je me suis renseigné et j’ai trouvé une de ses publications sur la spectroscopie cométaire, datée de 2010, et effectivement le travail qu’il fait correspond tout à fait à ce que je faisais à l’époque.

 

L’article est très bien fait, bien détaillé, avec de très belles illustrations ; ce sont des images qui sont assez difficiles à faire. Et très complet, il couvre tout le domaine électromagnétique.

 

A Meudon j’ai travaillé avec Eric Gérard et avec Françoise Praderie et j’ai donné un cours d’astrophysique. J’allais à l’IAP aussi, les deux institutions sont liées. J’ai aussi connu Crovisier et j’étais dans le jury de doctorat de Festou.

 

Pour ta question concernant mon suivi actuel des comètes : je suis retraité, la dernière comète que j’ai observée c’est le noyau de la comète de Halley avec la caméra HMC dont j’ai été l’une des chevilles ouvrières…

 

Après j’ai commencé à faire du spatial et donc j’ai dû choisir entre l’astrophysique classique, les comètes, et l’activité spatiale. Et comme celle-là était en plein développement et que j’avais été aux États-Unis pour ça, j’ai fait le spatial.

 

Merci pour tes encouragements pour mon blog ! J’ai entrepris de partager petit à petit certains éléments de mes archives qui peuvent intéresser les amateurs et/ou susciter de belles discussions.

 

A bientôt j’espère,

 

Daniel Malaise

Science lovers blog

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Merci pour ton message.

A la retraite ça te tentes d'acheter un telescope + monture +CCD et de shooter le ciel ? C'ets le pied ^_^

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Ne t'en fais pas, le ciel et les étoiles m'intéressent toujours autant, c'est juste que je n'étudie plus les comètes avec autant d'attention qu'auparavant...

 

Mais j'ai des petites choses que je fais encore en observant le ciel évidemment, je reste astronome avant tout...

 

Je t'en dirai + dès que possible =) Il n'y aura pas que des archives sur mon blog en effet...

 

A bientôt,

 

Daniel

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Et surtout on peut aider si tu as un projet : en photos, spectro, avec les amateurs on peut avoir pleins de données :).

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    • Par RIGEL33
      De son nom officiel 12P/Pons-Brooks, cette comète est la 12ème à avoir été classée comme comète périodique, du fait de son voyage dans le système solaire qui la ramène à proximité du Soleil tous les 71 ans environ. On l’observe depuis au moins 1385 mais ce n’est que très récemment qu’on a découvert ses différents passages. Il est possible que la comète ait été enregistrée dans des sources chinoises en septembre 245.
       
      C’est une comète cryovolcanique de type Halley. Ce sont Jean-Louis Pons (astronome français) qui la découvre en 1812, et William Robert Brooks (astronomie américain) qui la redécouvre en 1883, qui auront la paternité de sa découverte.
       
      Son périhélie (approche au plus près du Soleil) se fera le 21 avril prochain. Plus elle se rapproche, plus le rayonnement solaire fissure son noyau d'environ 30 km de diamètre. Ce dernier est entouré d'une coma constituée de glace et de gaz qui s’échappe du noyau. Suite à un sursaut en octobre 2023, cette coma a formé deux « cornes » la qualifiant de "comète du diable". Les éruptions (sursauts) qu’elle subit au fur et à mesure de son approche, la rendent de plus en plus visible dans le ciel nocturne.
       
      12P/Pons-Brooks est probablement la comète responsable de la pluie d’étoiles filante des kappa-Draconides, active du 29 novembre au 13 décembre, ce qui lui a valu l’autre surnom de la « Mère des Dragons ».
       
      Enfin les bonnes conditions météo de cette mi-avril m’ont permis d’aller sur notre site d’observation à Saucats pour l’imager. Il était grand temps car avec la Lune croissante et le passage de la comète dans l’hémisphère sud, nous n’aurons plus l’occasion de la revoir avant son prochain périhélie en 2094 ;
       
      Poses uniques de 2 s prisent le 11 avril 2024 à Saucats (33). Canon 40D défiltré avec objectif Samyang 85 mm, ouvert à f/1.4, ISO 1600 – Camera RAW
       

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      Avec les satellites de passages…

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      Version annotée

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
       
      Poses uniques de 2 s prisent le 12 avril 2024 à Saucats (33). Canon 400D avec objectif Samyang 85 mm, ouvert à f/1.4, ISO 1600 – Camera RAW
       

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      Avec le public venu en profiter

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
       
      Avec le public venu en profiter (annotée)

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
    • Par serge vieillard
      Yo !
       
      de retour à la maison, après un formidable périple mexicain, dont le prétexte était cette éclipse prometteuse du 8 avril. Prometteuse car de longue durée, pensez-donc 4mn27s à l’endroit choisi, bien loin des 62 secondes de l'an passé en Australie, qui plus est avec une activité solaire bien musclée et avec des statistiques météo en ces contrées tout autant prometteuses - mais qui ne se concrétisa pas à l'optimum, comme on va le voir.
      Voyage organisé de longue date avec les copains, avec comme approche sur la ligne de centralité de fuir le Texas, de ne pas tenter le nord de l'Amérique dont les prévisions n'étaient pas folichonnes, et d’envisager un périple hors des sentiers battu en Basse Californie où l'on observerait le phénomène de l'autre côté de la Mer de Cortes à Mazatlan - ou dans l'arrière pays si nécessaire - site quasi au maximum de durée avec les meilleurs statistiques météo.
      Commençons donc ce récit par ce point d'orgue de l'éclipse, le reste suivra au fil du temps.
      Quinze jours auparavant, les premières prévisions météo montraient une dépression sur l'Amérique du Nord d'où s'enroulait une large trainée nuageuse se superposant diaboliquement avec la trajectoire de l'éclipse sur le continent, configuration des plus fâcheuses laissant à penser que les dieux nous boudaient et qu'il fallait remédier à ces disgrâces par des offrandes et libations de circonstances, ce qui fut pieusement fait à grand coup d'apéro désormais pleinement justifiés. Que ceux qui médisent sur la fiabilité des métrologues soient immolés car ces prévisions tinrent bon et s’affirmèrent jusqu'au jour J - à notre grand dam. C'est ainsi que la veille au soir, nous n'étions toujours pas déterminés à savoir où nous irons observer. Deux solution se présentaient, excluant la troisième qui était de rester sur la ville de Mazatlan : (A) aller vers le sud, le long du littoral pile sur la ligne de centralité, ce qui faisant gagner 10 secondes de totalité et nous écartait un peu de cette bande coquine de nuages d'altitude,  (B) ou entrer dans les terres et gagner en altitude un peu avant Durango où une trouée semblait se dessiner - ce qui fut le cas. Aussi à l'aube faute d'avoir choisi, nous allâmes d'abord en A, découvrant un environnement de lagunes sauvages plein de jolis volatiles et de cultures de piments dont on pouvait lire qu'ils étaient les "mejor del Pacifico", mais avec un ciel perfectible qui nous fit prendre la décision de partir illico en B. C'est ainsi que par une route rapide, nous nous enfonçâmes rapidement dans l'arrière pays montagneux, jusqu'à - Caramba, consternation et merdum - être bloqués par une interminable queue de gros bahuts à l'arrêt pour cause d'accident et incendie dans un tunnel à quelques dizaines de kilomètres de là. Et là, on se trouve tout à coup bien couillon, pris au piège, dans l’expectative. Après un instant de sidération, nous la jouâmes à la mode mexicaine, à savoir remonter la file de camion à contresens jusqu'à l'une des rares bretelles d'accès, elle aussi prise à contre-sens, pour se sortir de ce pétrin. Mais de là, la route alternative pour se rendre à destination était bien plus tortueuse, moins roulante, plus longue et ne nous permettait plus d'arriver à temps, d'où la sage décision de rester sur place et s'installer tranquillement, car rien n'est plus important que de soigner l’installation où l'improvisation et l'à-peu-près ne sont pas de mise en ces circonstances. Pour ma part, ce sera la Swaro 80ED qui fait merveille sur ce sujet, un filtre astrosolar bricolé "maison"  bien rodé lors des précédentes éclipses, les feuilles de papier où les gabarits de diverses dimensions ont été préalablement tracés, les crayons en double en cas de casse, le positionnement de chaque bidule où le geste doit être machinal et ergonomique.
      Ainsi, dans un joli paysage montagneux planté de conifères, nous regardâmes avec quelques autres spectateurs le ciel se faire envahir de cirrus échevelés, mâtinés d'autres d'aspect pommelés, toutefois pas suffisamment denses pour masquer le Soleil, mais juste un peu chiants pour une observation optimale.
      Bien que parfaitement compréhensible, je trouve extraordinaire la précision des phénomènes astronomiques. Une petite application fort bien faite me donne tous les paramètres de l'éclipse pour un endroit donné et pile à C1, soit 9h52mn38s, l'on observe la première morsure de la Lune sur la Soleil, l'émotion devient palpable, le tension monte, les commentaires vont bon train. Je fais un dessin toutes les 20mn de l'avancé du phénomène, note la présence de deux groupes de tâches qui inexorablement se feront grignoter par l'avancée de la Lune. A T-10mn, l'on sent physiquement un changement de température, de luminosité et à l'oculaire, le Soleil n'est déjà plus qu'une jolie griffe. A T-5mn, on entre dans le vif du sujet et je lance mon compte-à-rebours enregistré, aide précieuse qui permet une relative sérénité en ces instants où le temps semble s’emballer, ou être suspendu, ou en tout cas se déroule de façon étrange dans nos esprits totalement perturbés. L'on devient des animaux, on regarde hébétés de toute part les changements envahir l'espace, les couleurs, l’assombrissement progressif qui se fait de plus en plus intense, preuve d'une éclipse de longue durée. Le crépuscule s'affirme fortement comme je ne l'ai encore jamais perçu. T-1mn, l'on perçoit les premiers grains de Bailly, le découpage  en petits tronçons aux extrémités de la très fine griffe du aux reliefs lunaires. Ça vacille, on perçoit déjà Vénus à droite, Jupiter plus loin à gauche, à T-30s on à la sensation de la présence de la couronne à l'opposé de la disparition éminente du Soleil, à T-10s je retire le filtre et regarde le monde environnant se faire engloutir par cette nuit si particulière, 9-8-7-6-5-4-3-2-1 TOPPPPPPPP !!!!! Hop punaise de-diou, quel spectacle !!!! Ça fuse de toute part, ça irradie, c'est fort, contrasté, étendu, magnifié par ces nuées d'altitude, bien qu'à 70° de hauteur, le Soleil noir me semble gros comme le ferait un plein Lune à son lever sur l'horizon, c'est magnifique, on en tremble. En mode automatique, je trace les principales lignes de la couronne, le trait est bien tremblotant, il faut se faire violence, s'appliquer. Délicate besogne car l’assombrissement est tel que je ne vois pas bien mon travail sur le papier. L'observation à l'oculaire n'est pas aisée car le contraste est tout de même atténué par ces voiles d'altitude. Je note les nombreuses protus du côté où le Soleil vient de disparaitre quand déjà quelques coquines énormes pointent leur nez à l'opposé. Ces 4mn27s sont un vrai luxe pour le dessin et quelque part, je m’apercevrais par la suite qu'elle ne m'oblige pas à une concentration maximale, on peut dire que j'étais davantage en dilettante. Je prends mon temps, reviens sur un détail, repasse autre part, affirme un contour, une lueur. Déjà la sortie s'annonce avec comme fleurons deux magnifiques protus d'un rose électrique incomparable, 5-4-3-2-1 FINI !!!!! Une sortie grandiose avec quelques diamants joliment répartis entre ces deux flammes, un régal !
      Reste à peaufiner ce dessins que voilà :
       

       
      La suite à venir, restez à l'écoute
    • Par Bungert
      Bonsoir à tous,
       
      Le beau ciel du 10 avril fut bref. La comète ne s'est pas montrée depuis, et devant cela s'annonce couvert... .
      Je n'attends pas pour rassembler les furtives apparitions de C 12P sur une planche.
      Le 10 au soir :  la Lune, Jupiter et Uranus accompagnaient le couchant de la voyageuse.
      Daniel Skywalker a fait un mp4 avec 50 vues;  (après les photographies,  je ne sais pas si le mp4 passe ici (?) ).
       
      La nuit du 10 au 11 fut transparente (mais seulement SQM 20,80). Le T310N Marcon a imagé jusqu'à l'aube, dont  Y CVn la rouge.
      Une étoile parmi les étoiles que nous contemplons  avec tristesse, Michel a suivi Alain et Gérard au firmament.
       
      Merci Daniel Skywatcher pour les empilements et le petit film.
      Bon ciel.
      f.
       
      Premier avril

       
      4 avril

       
      5 avril

       
      9 avril (le jour d'après !) Un barre nuageuse défile du Sud vers le Nord et masque Jupiter et la comète. Le croissant lunaire apparait dessous

       

       

       

       
      Ah ces nuages...la Lune et là.

       
      Enfin, mais c'est bas sur l'horizon.

       

       
      Le 10 :  beau ciel

       

       
      C 12P les 4, 5, 9, 10 avril.

       
      Y CVn le 11 au matin pour clore la nuit.

       
       
       
      Là ça devrait fonctionner :
       
      Z 4 12p_down.mp4
    • Par Sauveur
      Bonsoir !
       
      Bon ce soir c'est voilé d'ou un peu de temps pour posté pas de juju pour ce soir
       
      bon des images bruité peu de temps de pose et j'ai pas assez bossé 
       
      au Sony objo 200 c'est bruité je pense que l'iso  100 c'est vraiment pas top je ne vous l'avais pas présenté
       

       
      ca c'etait le 11
       

       
      Le 12
       

       
       
      C-2023 A3 (Tsuchinshan-ATLAS) r pp  result_3060s
       

       
      crop
       

       
      hier en mode compo 571Mc en fichier ser 350ms gain a fond sans refroidissement c'était la surprise de la voie encore Ser traité Siril Asi3 pour le terrain
       
      c'est la dernière pour ma part
       

       
       
      Bon désoler je m'embrouille un peu car cp Juju comete lune  seestar du coup j'oublie et j'en oublie que je capture et traite vite fais puis je sais plus ou elle sont au moment de posté 
       
      Je vais demandé des vacances  
    • Par grelots
      Bonjour
      Après pas mal d'années d'absence sur ce forum...
      Je reviens parmi vous, ça doit être le double effet de l'éclipse...
      Je n'ai jamais vraiment lâché l'astronomie mais plus trop en pratique...
      Me suis même remis a observer le soleil ce Week-end. J'ai ressorti mon vieux PST qui fait encore le job et mon petit 127 avec un filtre pour un chouette spectacle
      J'ai toujours mon vieux Orion XX14i qui sèche dans une pièce en bas et je me pose la question de m'en séparer, je n'ai plus le courage de le charger dans la voiture le monter et le démonter... Trop lourd
      Je songe sérieusement a m'en séparer, je suis sur qu'entre de bonnes mains il ferait encore des miracles...
      J'aimerai me diriger vers de grosses jumelles, et en farfouillant sur le net j'ai vu que la famille des bino s'était pas mal agrandi avec de nouveau venu sur le marché... Explore scientific...
      Une petite idée du diamètre, 120mm me parait un bon compromis car 150mm est inaccessible pour moi...
      Quid de la qualité? Les APM 120mm APO, qui sont, à priori ce qui se fait de mieux dans la gamme, sont aussi hors budget, même en vendant le dob plus tout les gros cailloux qui vont avec...
      Alors une 120mm semi Apo?!
      Y a t_il eu des test comparatifs sur les APM semi APO et leur cousine chez Explore Scientific?
      J'ai lu qu'il fallait les régler pour améliorer leur qualité?!
      Certains d'entre vous ont ils pu comparer ces modèles? Faire des essai?
      Voilà impatient de découvrir vos retour...
      Amitiés
       
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