COM423

6P/d'Arrest, la diffuse

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Bravo, bien capté malgré des conditions défavorables : fort basse en tout début de nuit avec une brillance très loin de celle atteint en 1995 (je l'avais vu aux J80x12 à l'époque). Je l'ai vu aussi en 2008 à mag 12 dans un TN 250.

Cette fois, je l'ai tenté au TN 560 il y a peu mais sans succès (ciel pas top). Résultat : rien de sûr. Elle est loin d'être à la mag 11-12 comme certaines sources le disent !! Comme elle est très diffuse, son faible contraste n'arrange pas du tout les choses ! Peut-être aurais-je pu voir son noyau, mais dans tous les cas faible, et dans un environnement stellaire assez gênant (on est proche de la Voie lactée) source de confusions avec les nombreuses petites étoiles.

 

Même si elle monte encore en éclat le mois prochain, ce sera pour encore plus rasé l'horizon (10° chez nous) en tout début de nuit. Il faut dire qu'elle se promènera en plus par une déclinaison de -30° environ... Ce sera une belle perf que de l'avoir en visu avec quoi que ce soit... sauf depuis des latitudes beaucoup moins nordiques que "chez nous", comme à la Réunion par exemple.

 

Cette périodique  n'a jamais de passage très favorable, faute à une période de 6,5 ans, où elle est soit visible en tout début de nuit, soit en toute fin de nuit, traînant toujours dans des déclinaisons bien australes et comme sa période de brillance maximale est assez courte (c'est classique pour les vieilles périodiques), cela limite les moments vraiment favorables en visu.

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Merci Alexandre pour ce retour visuel bien intéressant.

 

J'avoue que je me demandais quelle pouvait être sa magnitude du moment, je suis resté sur la comparaison de 1995 où en CCD je l'aurais donnée à la magnitude 13 alors que je l'avais vue aux jumelles, voire au chercheur près de 5 magnitudes plus "brillante" sous un ciel de montagne avec une large coma qui n'était pas détectée en CCD avec le petit champ que je couvrais à l'époque...

 

Il est vrai que cette fois, en plus d'être basse elles est dans un champ bien trop riche en étoiles qui ne facilitent vraiment pas les choses.

 

Je ne sais pas, à ce stade, si la bonne détection de la faible coma est liée au capteur CMOS ou simplement au plus grand champ couvert ?

Modifié par COM423

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belle exploit pour moi :x

 

Bravo 

 

tu devrait nous faire des gif avec genre un petit jeu a qui la vois :P

 

Comme un ami Italien Costanzo 

 

bonne journée

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11 minutes ago, Sauveur said:

tu devrait nous faire des gif avec genre un petit jeu a qui la vois :P

Oui, c'est sympa de voir ces petites boules floues se déplacer dans un champ étoilé.

Par contre, je n'y connais que dalle en vidéo... :(

Bon ciel !

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6P/d'Arrest est l'archétype de la comète avec une courbe de lumière très asymétrique et une coma très diffuse. En 1995 son maximum d'éclat absolu était 1mois 1/2 après le périhélie, avec une montée très rapide avant et baisse plus lente. Elle développe une coma (gazeuse) large qui est peu visible au début puis lorsqu'elle se voit(voyait) aux jumelles cela faisait un gros écart entre les estimations de magnitude aux jumelles et au télescope. Cette année elle est en plus très basse (-32°) lorsqu'elle devrait être à son maximum d'éclat...:|

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2 minutes ago, biver said:

Cette année elle est en plus très basse (-32°) lorsqu'elle devrait être à son maximum d'éclat...

C'est pour çà que je ne voulais pas la louper début septembre, ce sera sans doute ma dernière obs pour ce passage du coup

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La c'est plus l'expérience d'observateur de comètes dont tu (Alexandre), vous faites partie!

J'avais fait cette petite compilation en 1995, et comme la distance est proche de 1 UA cette année, on est pas loin d'avoir m1=mh:

 

6pmh.jpg

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Il y a 21 heures, COM423 a dit :

Je la suis depuis quelque mois sous un aspect quasi-stellaire

 

Je confirme, une image du mois de Mai au RH200 - objet stellaire de mag >18

 

web_6P_20210531.jpg.d020a49b0fe3eccfd8c975dcf12646b4.jpg

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On a beau le savoir, une montée d'éclat si abrupte surprend toujours ;)

En tout cas, je suis très content d'avoir pu la choper avec un aspect de comète :) car je ne suis pas certain de pouvoir l'imager au ras de ma colline au SW quand la Lune sera partie...

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Bien joué. :)

 

Question : quoi comme magnitude la bestiole lors de ta prise ?

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1 minute ago, fljb67 said:

Question : quoi comme magnitude la bestiole lors de ta prise ?

Pour l'instant, je cherche comment mesurer çà de façon propre et je galère...

  • Astrometrica plante sous Linux (dans Wine) et j'ai peur que çà ne mesurerait que le centre (m2)
  • Avec Siril, je ne sais pas comment lui fixer la constante des magnitudes sur le compositage cométaire, à partir du compositage stellaire, vu que c'est prévu de le faire à partir d'une étoile de l'image, or je n'ai que des traits...

A priori, elle devait être aux alentours de la magnitude 12, mais comme c'est un objet diffus et étendu çà ne fait pas une magnitude surfacique en rapport...

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il y a 6 minutes, COM423 a dit :

.... magnitude 12, mais comme c'est un objet diffus et étendu çà ne fait pas une magnitude surfacique en rapport...

 

En effet, la magnitude surfacique est un facteur très important ... et j'en sais quelque chose avec certaines nébuleuses planétaires.^^

 

Modifié par fljb67
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Il y a 22 heures, COM423 a dit :

Elle reste assez discrète (...)

 

C'est peu de le dire, tu as des yeux de lynx !

Merci pour le partage :) 

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53 minutes ago, Pulsar59 said:

Bigre, bien joué, car elle est vachement discrète !

Sur une pose individuelle, oui c'est sûr...

 

51 minutes ago, Penn said:

C'est peu de le dire, tu as des yeux de lynx !

Avec une carte de repérage, on sait où regarder : çà aide beaucoup ;)

C'est sûr qu'au premier abord, on ne la remarquerait même pas...

 

Avec le recul, je commence à savoir repérer les petites tâches vertes sur l'écran du smartphone en direct de l'ASIAIR, j'essaie ensuite de vérifier leur déplacement d'une pose à l'autre.

Pour le compositage, c'est juste la magie des maths : on indique à Siril la variation calculée de sa position et elle apparaît magnifiée sur le compositage :)

 

Merci encore à tous pour vos commentaires sympas !

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Le ‎14‎/‎09‎/‎2021 à 21:08, COM423 a dit :

Pour ma part, je me souviens de son passage de 1995 observée à la fois visuellement (comète large et diffuse  de magnitude 8) et en CCD où je ne voyais que le coeur et la mesurait alors de magnitude 12 à 13...

il suffit de demander

d'Arrest le 27 août 1995 à 0h45 TU  10 min de pose sur fujichrome 400 iso (développement personnel, poussé à 1000 iso )  au télé Pentax 42 mm à vis de 300 mm ouvert à F/4

mag 7,5   coordonnées   alpha 0h29,6  décli -23°03'

 

IMGP8054.JPG

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Génial :)

çà ne nous rajeunit pas tout çà, mais c'est bon de faire remonter de bons souvenirs !

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Il y a 12 heures, COM423 a dit :

çà ne nous rajeunit pas tout çà, mais c'est bon de faire remonter de bons souvenirs

effectivement ça fait déjà 26 ans, mais les clichés argentiques bien conservés sont encore en excellent état;

le plus difficile est de retrouver nos anciens clichés, comme quoi un classement rationnel est primordial

amicalement

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    • Par serge vieillard
      Yo !
       
      de retour à la maison, après un formidable périple mexicain, dont le prétexte était cette éclipse prometteuse du 8 avril. Prometteuse car de longue durée, pensez-donc 4mn27s à l’endroit choisi, bien loin des 62 secondes de l'an passé en Australie, qui plus est avec une activité solaire bien musclée et avec des statistiques météo en ces contrées tout autant prometteuses - mais qui ne se concrétisa pas à l'optimum, comme on va le voir.
      Voyage organisé de longue date avec les copains, avec comme approche sur la ligne de centralité de fuir le Texas, de ne pas tenter le nord de l'Amérique dont les prévisions n'étaient pas folichonnes, et d’envisager un périple hors des sentiers battu en Basse Californie où l'on observerait le phénomène de l'autre côté de la Mer de Cortes à Mazatlan - ou dans l'arrière pays si nécessaire - site quasi au maximum de durée avec les meilleurs statistiques météo.
      Commençons donc ce récit par ce point d'orgue de l'éclipse, le reste suivra au fil du temps.
      Quinze jours auparavant, les premières prévisions météo montraient une dépression sur l'Amérique du Nord d'où s'enroulait une large trainée nuageuse se superposant diaboliquement avec la trajectoire de l'éclipse sur le continent, configuration des plus fâcheuses laissant à penser que les dieux nous boudaient et qu'il fallait remédier à ces disgrâces par des offrandes et libations de circonstances, ce qui fut pieusement fait à grand coup d'apéro désormais pleinement justifiés. Que ceux qui médisent sur la fiabilité des métrologues soient immolés car ces prévisions tinrent bon et s’affirmèrent jusqu'au jour J - à notre grand dam. C'est ainsi que la veille au soir, nous n'étions toujours pas déterminés à savoir où nous irons observer. Deux solution se présentaient, excluant la troisième qui était de rester sur la ville de Mazatlan : (A) aller vers le sud, le long du littoral pile sur la ligne de centralité, ce qui faisant gagner 10 secondes de totalité et nous écartait un peu de cette bande coquine de nuages d'altitude,  (B) ou entrer dans les terres et gagner en altitude un peu avant Durango où une trouée semblait se dessiner - ce qui fut le cas. Aussi à l'aube faute d'avoir choisi, nous allâmes d'abord en A, découvrant un environnement de lagunes sauvages plein de jolis volatiles et de cultures de piments dont on pouvait lire qu'ils étaient les "mejor del Pacifico", mais avec un ciel perfectible qui nous fit prendre la décision de partir illico en B. C'est ainsi que par une route rapide, nous nous enfonçâmes rapidement dans l'arrière pays montagneux, jusqu'à - Caramba, consternation et merdum - être bloqués par une interminable queue de gros bahuts à l'arrêt pour cause d'accident et incendie dans un tunnel à quelques dizaines de kilomètres de là. Et là, on se trouve tout à coup bien couillon, pris au piège, dans l’expectative. Après un instant de sidération, nous la jouâmes à la mode mexicaine, à savoir remonter la file de camion à contresens jusqu'à l'une des rares bretelles d'accès, elle aussi prise à contre-sens, pour se sortir de ce pétrin. Mais de là, la route alternative pour se rendre à destination était bien plus tortueuse, moins roulante, plus longue et ne nous permettait plus d'arriver à temps, d'où la sage décision de rester sur place et s'installer tranquillement, car rien n'est plus important que de soigner l’installation où l'improvisation et l'à-peu-près ne sont pas de mise en ces circonstances. Pour ma part, ce sera la Swaro 80ED qui fait merveille sur ce sujet, un filtre astrosolar bricolé "maison"  bien rodé lors des précédentes éclipses, les feuilles de papier où les gabarits de diverses dimensions ont été préalablement tracés, les crayons en double en cas de casse, le positionnement de chaque bidule où le geste doit être machinal et ergonomique.
      Ainsi, dans un joli paysage montagneux planté de conifères, nous regardâmes avec quelques autres spectateurs le ciel se faire envahir de cirrus échevelés, mâtinés d'autres d'aspect pommelés, toutefois pas suffisamment denses pour masquer le Soleil, mais juste un peu chiants pour une observation optimale.
      Bien que parfaitement compréhensible, je trouve extraordinaire la précision des phénomènes astronomiques. Une petite application fort bien faite me donne tous les paramètres de l'éclipse pour un endroit donné et pile à C1, soit 9h52mn38s, l'on observe la première morsure de la Lune sur la Soleil, l'émotion devient palpable, le tension monte, les commentaires vont bon train. Je fais un dessin toutes les 20mn de l'avancé du phénomène, note la présence de deux groupes de tâches qui inexorablement se feront grignoter par l'avancée de la Lune. A T-10mn, l'on sent physiquement un changement de température, de luminosité et à l'oculaire, le Soleil n'est déjà plus qu'une jolie griffe. A T-5mn, on entre dans le vif du sujet et je lance mon compte-à-rebours enregistré, aide précieuse qui permet une relative sérénité en ces instants où le temps semble s’emballer, ou être suspendu, ou en tout cas se déroule de façon étrange dans nos esprits totalement perturbés. L'on devient des animaux, on regarde hébétés de toute part les changements envahir l'espace, les couleurs, l’assombrissement progressif qui se fait de plus en plus intense, preuve d'une éclipse de longue durée. Le crépuscule s'affirme fortement comme je ne l'ai encore jamais perçu. T-1mn, l'on perçoit les premiers grains de Bailly, le découpage  en petits tronçons aux extrémités de la très fine griffe du aux reliefs lunaires. Ça vacille, on perçoit déjà Vénus à droite, Jupiter plus loin à gauche, à T-30s on à la sensation de la présence de la couronne à l'opposé de la disparition éminente du Soleil, à T-10s je retire le filtre et regarde le monde environnant se faire engloutir par cette nuit si particulière, 9-8-7-6-5-4-3-2-1 TOPPPPPPPP !!!!! Hop punaise de-diou, quel spectacle !!!! Ça fuse de toute part, ça irradie, c'est fort, contrasté, étendu, magnifié par ces nuées d'altitude, bien qu'à 70° de hauteur, le Soleil noir me semble gros comme le ferait un plein Lune à son lever sur l'horizon, c'est magnifique, on en tremble. En mode automatique, je trace les principales lignes de la couronne, le trait est bien tremblotant, il faut se faire violence, s'appliquer. Délicate besogne car l’assombrissement est tel que je ne vois pas bien mon travail sur le papier. L'observation à l'oculaire n'est pas aisée car le contraste est tout de même atténué par ces voiles d'altitude. Je note les nombreuses protus du côté où le Soleil vient de disparaitre quand déjà quelques coquines énormes pointent leur nez à l'opposé. Ces 4mn27s sont un vrai luxe pour le dessin et quelque part, je m’apercevrais par la suite qu'elle ne m'oblige pas à une concentration maximale, on peut dire que j'étais davantage en dilettante. Je prends mon temps, reviens sur un détail, repasse autre part, affirme un contour, une lueur. Déjà la sortie s'annonce avec comme fleurons deux magnifiques protus d'un rose électrique incomparable, 5-4-3-2-1 FINI !!!!! Une sortie grandiose avec quelques diamants joliment répartis entre ces deux flammes, un régal !
      Reste à peaufiner ce dessins que voilà :
       

       
      La suite à venir, restez à l'écoute
    • Par Bungert
      Bonsoir à tous,
       
      Le beau ciel du 10 avril fut bref. La comète ne s'est pas montrée depuis, et devant cela s'annonce couvert... .
      Je n'attends pas pour rassembler les furtives apparitions de C 12P sur une planche.
      Le 10 au soir :  la Lune, Jupiter et Uranus accompagnaient le couchant de la voyageuse.
      Daniel Skywalker a fait un mp4 avec 50 vues;  (après les photographies,  je ne sais pas si le mp4 passe ici (?) ).
       
      La nuit du 10 au 11 fut transparente (mais seulement SQM 20,80). Le T310N Marcon a imagé jusqu'à l'aube, dont  Y CVn la rouge.
      Une étoile parmi les étoiles que nous contemplons  avec tristesse, Michel a suivi Alain et Gérard au firmament.
       
      Merci Daniel Skywatcher pour les empilements et le petit film.
      Bon ciel.
      f.
       
      Premier avril

       
      4 avril

       
      5 avril

       
      9 avril (le jour d'après !) Un barre nuageuse défile du Sud vers le Nord et masque Jupiter et la comète. Le croissant lunaire apparait dessous

       

       

       

       
      Ah ces nuages...la Lune et là.

       
      Enfin, mais c'est bas sur l'horizon.

       

       
      Le 10 :  beau ciel

       

       
      C 12P les 4, 5, 9, 10 avril.

       
      Y CVn le 11 au matin pour clore la nuit.

       
       
       
      Là ça devrait fonctionner :
       
      Z 4 12p_down.mp4
    • Par Sauveur
      Bonsoir !
       
      Bon ce soir c'est voilé d'ou un peu de temps pour posté pas de juju pour ce soir
       
      bon des images bruité peu de temps de pose et j'ai pas assez bossé 
       
      au Sony objo 200 c'est bruité je pense que l'iso  100 c'est vraiment pas top je ne vous l'avais pas présenté
       

       
      ca c'etait le 11
       

       
      Le 12
       

       
       
      C-2023 A3 (Tsuchinshan-ATLAS) r pp  result_3060s
       

       
      crop
       

       
      hier en mode compo 571Mc en fichier ser 350ms gain a fond sans refroidissement c'était la surprise de la voie encore Ser traité Siril Asi3 pour le terrain
       
      c'est la dernière pour ma part
       

       
       
      Bon désoler je m'embrouille un peu car cp Juju comete lune  seestar du coup j'oublie et j'en oublie que je capture et traite vite fais puis je sais plus ou elle sont au moment de posté 
       
      Je vais demandé des vacances  
    • Par phenix
      hello les astrams
       
      voila  c était   ma  dernière sortie pour voir la comète 12p pons brooks , avant hier soir , 11.04 .
      elle est vraiment très basse sur l horizon ouest .
      j ai pris un peu de hauteur a st Vallier , pour avoir un ciel   propre  
       
      one shot sur la cendrée et les pléiades , addition de 3 poses de 6 sec pour pons brooks , avec as 3
      pano avec ice 
       
      canon eos 7d  +  sigma 85 mm  f/2
      iso 1600  
       
      bon weekend   a  toutes  et  tous  
      serge

    • Par Blink
      Et bien voilà !
       
       
      Hier soir 21h45
      Lu 102/520 + A7S
      Stack sur Siril de 6 poses de 15 sec à 1600 ISO
       
       
       

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