mak178

fixation barres serrurier

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Bonsoir,


J'ai un Dobson 450mm x 2000mm que je tente de rendre un peu plus pratique.

Après quelques modifications permettant de le séparer en éléments d'un poids acceptable pour le transport et le montage (quoi que) j'ai.

base fourche : 15 kg

barillet avec miroir : 27Kg

Contrepoids : 16 kg

partie axe qui supporte le barillet : 12 kg

cage secondaire : 12 kg

barres serruriers : 2.5 kg
J'ai fait un test de démontage seul (15 min) et remontage (30 min), mais le remontage de la partie secondaire et barres serrurier, est très délicate.

Soit j'assemble la cage secondaire sur la partie comportant les axes au sol, et c'est alors trop lourd pour mon dos, soit le positionnement de la cage secondaire, est carrément risquée.
J'ai bien quelques vagues idées pour améliorer ça, mais je serait intéressé par des exemples de montage des barres d'un tube serrurier pour pouvoir assembler la cage secondaire sans risque.

 

Petite précision : les barres sont en alu et pas interchangeables.

 

J'ai pour le moment écarté la solution de tout refaire (sinon j'aurai juste acheté des miroirs)

 

Autre sujet : y a il une astuce pour positionner très précisément un repère au centre d'un miroir ?

 

Alors par avance merci pour toute suggestions, et.

Tous mes vœux pour cette année 2023

 

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Bonsoir,

une photo de l'instrument serait bienvenue pour suggerer des solutions.

Si le télescope est trop haut pour monter la cage secondaire, on peut trouver un moyen de le maintenir incliné le temps de fixer la cage. 

 

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Posted (edited)

Soit mettre simplement une cale en bois tendre entre l’arête basse de la caisse primaire et le rocker, doit faire un trou qui traverse la caisse et le rocker sur le côté en position télescope penché à 45°., dans lequel on glisse une tige de bois.

Edited by Adamckiewicz

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Posted (edited)

....Ou une sangle, une corde...

- 12 kg une cage, ya de quoi reconsidérer la chose, c’est trop pénalisant ainsi.

- Il y a plein de solutions pour la fixation des tubes, des pratiques et rapides, d'autres mal foutues et pénibles, d'autres encore bancales ou manquant de rigidité. Vaste débat !!!!

 

Quelques pistes :

. J'aime les solutions où l'on réunit les tubes entre eux, 2 par 2 en compas par exemple, très pratique et rapide...

. Gaffe à la rigidité des éléments de fixation et d'articulation. Chercher la compacité au maximum, diminuer les entraxes, etc.

. Sur des gros trucs, c'est bien d'avoir des systèmes de prépositionnement, qui permettront une mise en place facile et correcte avant fixation et serrage. Ça peut être des pions, des butées, des détrompeurs, des encastrements dans des formes, etc.

. C'est bien les systèmes de fixation manoeuvrables à la main sans outils, déjà en place, comme des vis imperdables avec des gros boutons de manoeuvre.

. important de faire en sorte qu'il n'y ait pas de jeu entre les vis et les divers organes qui s'y rattachent. Pour cela, rien ne vaut les portées coniques, pratique trop peu usitées dans nos constructions et pourtant Ô combien efficaces. C'est le même principe que les vis qui servent à fixer les roues de bagnoles, ya pas mieux.

. Etc....

 

les sources amateurs montrent bine des pistes à suivre

 

Edited by serge vieillard

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Oui. 12kg pour une cage qui pourrait en faire 4 ou 5 voire moins c’est dommage, d’autant que ça implique 16kg de contre poids à se trimballer à chaque fois…. Ça vaut le coup de se pencher sur la question au risque de se décourager de sortir ce télescope….

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Oui montre nous ta cage. 

On t'aurait bien montré ce qui se fait chez les artisans mais la pub est interdite sur ce forum ... Tu va devoir chercher des exemples tout seul sur internet. 

Edited by spider_cochon

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le top c'est les vis imperdables avec les poignées ou boutons indexables. Mais oui montre nous ta cage ;)

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Tu peux aussi voir des cages secondaires sur le site altaz : http://astrosurf.com/altaz/ le mien (c'est le 500) avait une cage qui pesait 6,3kg. Et pourtant ce n'était pas un ultra léger !

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Tubes reliés en haut avec de écrous qui servent d’indexation et une molette imperdable

2D12942C-EA39-452C-A14F-7432CDAA8A02.thumb.jpeg.f1ce8c8a5292eeabd81547ec1dcaa3c5.jpeg

 

et sur la cage une platine qui permet de poser tranquillement la cage sur les tubes sans avoir à serrer en même temps. Ça peut fonctionner même si le tube était orienté à 45°Sur un grand télescope.

(modele tiré de magnitude78) 

 


6C37588F-2CC6-4048-BD46-77E5844E0EAA.thumb.jpeg.d8d40e1b053ca1cf08bf900d061d7557.jpeg

 

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Adamckiewicz : Bien vu ton système, simple et efficace, c'est ingénieux !

Sur mon 500, je jouais seulement sur le parallélisme de la plaquette de jonction avec la cage secondaire mais il y avait toujours de la retouche de collimation à faire. Ton idée est bien meilleure.

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il y a 38 minutes, olivier a dit :

il y avait toujours de la retouche de collimation à faire

y aura toujours de la collim à refaire :) 

J'ai meme pas identifié mes tubes donc je peux inverser entre la paire du haut et celle du bas (ceux des cotes ne sont pas intervertibles) et la collim est pas parfaite mais le point tombe sur la pastille ou au bord et le retour arrive presque centré ( je fais environ 1/8 de tour de vis de collim du primaire)

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Oui, de toute façon sur un appareil démontable il y aura toujours des retouches à faire, ça va jouer surtout sur l'ampleur de ces retouches et là le système est franchement bon. 1/8 de tour c'est peu.

C'est aussi l'ensemble de ton travail que j'ai trouvé excellent sur le post dédié !

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.... et l'on peut le compléter par un serrage avec écrou conique, ce qui garanti un bien meilleur positionnement et l'absence totale de jeu. Voir aussi sur MAGNITUDE 78 le T600-ACA :

http://www.astrosurf.com/magnitude78/telescopes/T600-ACA/fabrication.html

et le principe dans cette page :

http://www.astrosurf.com/magnitude78/telescopes/T600-ACA/principes.html

c'est un concept mécanique qui creuse l'écart, c'est celui qu'utilise Fred Géa sur ses constructions qui nous a fortement inspiré et convaincu.

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il y a 17 minutes, serge vieillard a dit :

et l'on peut le compléter par un serrage avec écrou conique

Oui mais j’ai pas réussi à trouver de solution sans usinage :( 

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Bonsoir,

pas mal du tout le système de positionnement M78 je vais sans doute m'en inspirer

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Il y a 23 heures, Adamckiewicz a dit :

Oui mais j’ai pas réussi à trouver de solution sans usinage

Pour l'appui conique partie femelle, un coup de fraise à 45° le fait très bien. Sinon on peut faire usage de rondelles coniques en laiton ou en inox, selon ce qui est recherché.

Il est vrai que pour la partie mâle, je ne connais pas de solutions toutes prêtes d'emploi achetées sur étagère, il faut faire un usinage sur un écrou, une douille fileté, etc...

On pourrait le faire en perçant-taraudant la partie sphérique d'un écrou borgne et on obtiendrait un contact sphère-cône tout autant efficace.

 

Mais j'insiste sur ce détail qui est un vraiment un avantage certain, on n’est pas dans le gadget  ! Ça assure un positionnement précis et un blocage SANS JEU résiduel, et  qui fait que même si on tirait dessus, ça ne pourra pas se déboiter. Quand je regarde le montage de bien des structures, on s’aperçoit souvent que toutes les attaches ne sont pas à fond dans leur logement, genre ça tape ici mais ça  décolle par là. Ce sont tous ces p'tits détails qui accumulés font la différence entre un bon télescope et un excellent.

Bref au regard de la réalisation, c’est assez simple pour un bénéfice certain - ce dont on peut se foutre, mais bon.....

le p'tit schéma pour saisir le truc (extrait du site M78) :

p-structure16.jpg

De gauche à droite : 1- On ne guide JAMAIS sur la partie filetée d'un axe ou d'une vis. 2- On peut utiliser des vis dont seule l'extrémité est filetée. 3- Ou bien, on peut manchonner la partie en contact avec les alésages traversés. 4- On peut utiliser un appui conique avec un écrou approprié. C'est la solution retenue pour ce télescope.

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Tout à fait d’accord :)

 pour oué la partie femelle c’est facile. La partie mâle les rondelles conique ça va pas. 
par contre je reverrai mes attaches hautes en collant des ecrous sur mes plaquettes alu qui relient les tubes, pour remplacer mes boulons par des boulons à filetage partiel ce sera plus propre et plus efficace :) 

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ha j'y pense, sur le T600-ACA, on a fait la partie mâle en solidarisant une rondelle conique à un écrou (collage)

f-corniere05.jpg

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il y a 7 minutes, Adamckiewicz a dit :

on se refait pas !

Il reste toujours quelque chose ... .:)

Cela dit, sur la première image, c'est le serrage du 600. Le carré noir serre de boulon (long de 5 cm pour une bonne assise sur l'anneau) et est boulonné lui-même sur l'anneau. La tête pose à l'intérieur sur le boulon aplati (lui-même collé) de la vis en dessous. Ainsi la tête est toujours parfaitement positionnée et la grosse vis de serrage tourne sans produire aucune usure.

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    • By christian viladrich
      Salut à tous,
       
      Juste pour le fun, je me suis amusé à mesurer la courbe de transmission de ma vénérable fluo 55 mm f/8 qui date de 1988 (environ ...). Elle a fait pas mal d'éclipses de Soleil celle-là
       
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      C'est pas mal du tout pour l'époque.
       
      Le zoom entre 800 et 1000 nm montrent les oscillations de transmission résultant du traitement multi-couches.
       
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      Fait juste que je trouve un moyen de ne pas abîmer la lame lors de la mesure ...
       
    • By _Fred_
      Bonsoir,
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    • By christian viladrich
      Salut à tous,
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      A noter que le site Internet de Siebert indique la transmission suivante pour ses Barlow UV :

       
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    • By Arnaud17
      Bonjour à toutes et à tous,
       
      Je suis en train de chercher un Newton de 300-350mm ouvert à f/4. J’ai vu que Teleskop Service propose une gamme appelée ONTC avec miroir chinois de GSO « testé ». Le tube est en carbone et le PO est à sélectionner parmi une gamme assez vaste. Quelqu’un a-t-il déjà utilisé / testé un instrument de cette gamme? Quel retour quant à la qualité optique et mécanique ? Je prévois une utilisation assez large de l’instrument : en spectro basse résolution avec un Alpy, en ciel profond avec un Wynne ASA et en planétaire avec un Powermate x4.
       
      Merci pour votre retour si vous avez effectivement eu un télescope de cette gamme en main.
       
      Arnaud
    • By bricodob300
      Bonsoir
      Je viens de trouver sur le net la modification qu'avait apporté Clyde Bone à  la très  ancienne formule optique  de Mersenne :
      Je trouve cela vraiment intéressant,  particulièrement le fait que la partie du ciel hors axe soit accessible au miroir de renvoi Nasmith et vienne se "superposer " à l'image issue du primaire dans le réfracteur. 
      En plus d'être intéressant je trouve cela marrant : un réflecteur qui fonctionne mieux s'il on lui colle un refracteur au cul, de quoi en réconcilier certains... (ou pas)
      Pour ceux qui maitrisent les logiciels de design optiques,  je serai curieux de connaître la tolerance des delta de fd, bien que  le secondaire peut être la calote de l'outil du primaire si je ne dis pas de bêtises ...
      Et autre question : j'imagine que ce qui détermine le projet et donc la taille des miroirs va être le rapport fd du réfracteur, peut on faire confiance au fabricant s'il affirme que la lunette est à fd 5 c'est bien du 5 et non 5.1 ou 4.9 ? Car 2 champs qui se superposent ça ne doit pas être évident 
      On peut lire un peut plus loin qu'il lui faut pas loin d'une journée pour la collim ! Mais lors de rencontres astro qui dures plusieurs jours, cela en vaut la peine, quelle persévérance ! Pour simplifier un peu, il me semble qu'on pourrait se passer du deuxième miroir plan en acceptant que le réfracteur soit orthogonal au telescope, de plus cela ferai une surface de moins...
      Qu'en pensez vous ?
       
       
      Source : https://televue.com/televueopticstalk/2019/07/11/clyde-bone-and-his-two-unusual-mersenne-telescopes/
       
      (Traduction approximative )
       
      Bases du télescope Mersenne de Clyde
      La lumière est collectée par un grand miroir primaire parabolique (1) situé au bas de l'instrument qui produit un cône de lumière vers le haut, comme dans un réflecteur newtonien.
      Un miroir secondaire paraboloïde convexe de rapport focal égal au primaire (2) est carré dans le tube vers le haut. Les foyers de ces deux miroirs coïncident (confocal). Cela amène les cônes de lumière à « annuler » leur sortie du secondaire et à devenir un cylindre (rayons parallèles) de lumière.
      Ces rayons parallèles se dirigent vers le miroir primaire mais sont interceptés par un miroir plat diagonal devant le primaire (3). Cela reflète la lumière à angle droit sur l’axe d’altitude de la monture.
      Un dernier miroir plat à l'extérieur du tube (4) réfléchit à nouveau la lumière à angle droit parallèle au sol. Cette fonctionnalité permet de visualiser depuis une position assise, quelle que soit la hauteur de visée de la lunette. Ceci est souvent appelé une conception Mersenne-Nasmyth.
      Enfin, la lumière traverse un réfracteur à champ plat à 4 éléments f/5 (5) qui « voit » les rayons parallèles comme une lumière venant de l'infini ─ comme si on regardait directement le ciel ─ et un L'oculaire est utilisé pour agrandir l'image du réfracteur (6).
      Étant donné que les rayons lumineux entrant dans le réfracteur sont parallèles, le rapport focal final est le même que celui du réfracteur - f/5 dans ce cas.
      Alors, qu'est-ce que ça fait
      de regarder à travers l'un
      de ces télescopes ?
      "En fait, c'est assez
      normal jusqu'à ce que vous
      commenciez à faire un panoramique.
      Ensuite, c'est magique.
      – David Nagler
      Une autre caractéristique est qu'à faible puissance, le réfracteur « voit » la lumière hors axe (lignes brunes dans le diagramme) passant autour du secondaire, rebondissant à travers les méplats et dans l'objectif du réfracteur sans rencontrer le miroir primaire ou secondaire. Cette lumière « périphérique » est essentiellement ce que le réfracteur « verrait » s’il était dirigé uniquement vers le ciel. Le résultat est une cible fortement agrandie au centre d’un champ de faible puissance ! Le système agit comme son propre chercheur ! David Nagler décrit la superposition des champs de faible et de forte puissance comme se mélangeant presque imperceptiblement — jusqu'à ce que vous déplaciez la lunette pendant l'observation. L’effet est alors « époustouflant ». En effectuant un panoramique, vous voyez des objets se déplacer lentement au bord du champ, puis passer soudainement à une « explosion d'ouverture » rapide dans le champ central de haute puissance.
      Bases du télescope Mersenne de Clyde
      La lumière est collectée par un grand miroir primaire parabolique (1) situé au bas de l'instrument qui produit un cône de lumière vers le haut, comme dans un réflecteur newtonien.
      Un miroir secondaire paraboloïde convexe de rapport focal égal au primaire (2) est carré dans le tube vers le haut. Les foyers de ces deux miroirs coïncident (confocal). Cela amène les cônes de lumière à « annuler » leur sortie du secondaire et à devenir un cylindre (rayons parallèles) de lumière.
      Ces rayons parallèles se dirigent vers le miroir primaire mais sont interceptés par un miroir plat diagonal devant le primaire (3). Cela reflète la lumière à angle droit sur l’axe d’altitude de la monture.
      Un dernier miroir plat à l'extérieur du tube (4) réfléchit à nouveau la lumière à angle droit parallèle au sol. Cette fonctionnalité permet de visualiser depuis une position assise, quelle que soit la hauteur de visée de la lunette. Ceci est souvent appelé une conception Mersenne-Nasmyth.
      Enfin, la lumière traverse un réfracteur à champ plat à 4 éléments f/5 (5) qui « voit » les rayons parallèles comme une lumière venant de l'infini ─ comme si on regardait directement le ciel ─ et un L'oculaire est utilisé pour agrandir l'image du réfracteur (6).
      Étant donné que les rayons lumineux entrant dans le réfracteur sont parallèles, le rapport focal final est le même que celui du réfracteur - f/5 dans ce cas.
      Alors, qu'est-ce que ça fait
      de regarder à travers l'un
      de ces télescopes ?
      "En fait, c'est assez
      normal jusqu'à ce que vous
      commenciez à faire un panoramique.
      Ensuite, c'est magique.
      – David Nagler
      Une autre caractéristique est qu'à faible puissance, le réfracteur « voit » la lumière hors axe (lignes brunes dans le diagramme) passant autour du secondaire, rebondissant à travers les méplats et dans l'objectif du réfracteur sans rencontrer le miroir primaire ou secondaire. Cette lumière « périphérique » est essentiellement ce que le réfracteur « verrait » s’il était dirigé uniquement vers le ciel. Le résultat est une cible fortement agrandie au centre d’un champ de faible puissance ! Le système agit comme son propre chercheur ! David Nagler décrit la superposition des champs de faible et de forte puissance comme se mélangeant presque imperceptiblement — jusqu'à ce que vous déplaciez la lunette pendant l'observation. L’effet est alors « époustouflant ». En effectuant un panoramique, vous voyez des objets se déplacer lentement au bord du champ, puis passer soudainement à une « explosion d'ouverture » rapide dans le champ central de haute puissance.
      @lyl

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