Diabolo

Sur inter, A quoi servent les vols habités dans l'espace?

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Sujet du téléphone sonne de ce mercredi, à 19:20 : "A quoi servent les vols habités dans l'espace?"

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Réponse : à rien

Ben quoi ? J'ai la flemme d'argumenter, laissons Superfulgur s'en charger.

Cela dit, a quel point de vue? Est-ce que le vol habité à une justification scientifique? Selon moi, non.
Après, je crois qu'il est légitime de penser qu'il peuvent être une source de revenu, une source de plaisir, ou autre que sais-je.

Désolé, plus fort que moi, fallait que je réponde

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Et oui, y'a eu des emissions "le téléphone sonne" bien plus passionnantes... c'est le moi d'aout aussi chez les intervenants, même ceux à l'antenne sont en vacances

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C'est ça :

[Ce message a été modifié par Fourmi103 (Édité le 08-08-2007).]

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Les vols habités ne sevent à rien, certes ! Mais l'astronomie encore moins !
A méditer avant tout jugement péremptoire...

[Ce message a été modifié par jackbauer (Édité le 08-08-2007).]

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Vaste sujet, pas si simple à aborder, quoi que l'on en pense.

Afin d'alimenter sereinement le débat, je vous propose des extraits d'un discours de Michel SERRES, Académicien et philosophe, qui s'est risqué à fouiller la question lors d'un discours pour les 40 ans du CNES.

(Je vous conseille le discours complet sur le lien qui suit le texte)
*************************
"La question de savoir si nous devons ou non lancer dans l'espace hommes ou femmes se décompose en un arbre de décision où se croisent des problèmes économiques, financiers, militaires, scientifiques et techniques… consacrés au comment faire.
Un second embranchement de l’arbre porte l’interrogation : pourquoi le faire ? Pour des motivations sottes comme le prestige, mais intelligentes, aussi bien, comme l'exploration de l'univers, la connaissance de notre environnement au large, et la sortie aventureuse vers de nouvelles frontières, dont l'audace peut susciter un enthousiasme pédagogique envers l’un des rares projets contemporains d’une société qui n’en a plus.

Si la sagesse décidait, elle balancerait les deux questions: de quelle manière et dans quel but ? Considéré dans son ensemble, l'arbre aboutit à la réponse: oui ou non.

A supposer une réponse positive, elle met les spationautes en risque et donc occasionne un ensemble d'études biomédicales concernant leur adaptation à des contraintes d'accélération, de respiration hypoxique en atmosphère artificielle et confinée, de gradients thermiques forts, de rythmes de sommeil et de veille bouleversés, de réceptions sensibles inusitées par peau, ouïe, vue, odorat et goût, de vie en impesanteur, etc…. Les conclusions de ces travaux redéfinissent les limites, haute et basse, de la fenêtre de survie et servent à construire force boites pour aider squelette, cœur et corps à résister à la sévérité du nouvel environnement. Hors du scaphandre, point de salut. Qui se souvient que ce mot désigne "un homme dans un bateau"?

Que faire sans corps?
Cette attention portée à la santé du corps lancé dans d'autres conditions permet, alors, de reconsidérer l'arbre de décision et de le réduire à une question unique et d'autant plus passionnante qu'elle ne concerne pas seulement les techniques spationautiques, mais la culture et la société dans laquelle nous venons d'entrer depuis un demi-siècle, avec les réseaux de communication: que pouvons-nous faire et que ne pouvons-nous pas faire sans le corps ?
Certes les sondes Explorer et Voyager ou le télescope Hubble nous envoient des images de planètes, de galaxies et d'étoiles naissantes, mais, de plus, le géologue H. Schmitt, en personne, ramène de la surface lunaire 116 kg de roches, pendant que ses confrères amarrent les vaisseaux spatiaux entre eux. La question reprend: quelle connaissance peut-on acquérir, quelle manipulation peut-on expérimenter, quels travaux peut-on exécuter, à distance, en l’absence du corps ?

S’ouvre alors un débat de robotique sur la différence entre le corps et la machine, l'intelligence artificielle et l'intuition humaine, le traitement du signal et les temps de réaction devant une situation inattendue, bref, dix questions afférant à diverses disciplines, dont les sciences cognitives. Encore une fois, jusqu'où pouvons-nous aller sans présence réelle?

Corps-objet, corps-sujet
Le spationaute ne se réduit donc pas, et de loin, à ce corps-objet dont médecine et biologie fixent les limites d'adaptation, aident les performances au moyen d'adjuvants ou de prothèses orthopédiques et redéfinissent la fenêtre de survie, mais son corps définit les extrêmes limites de ce que n’accomplissent pas, pour le moment, réseaux et logiciels.

Voilà un corps-sujet, porteur de la première intelligence, actif à l'origine de la cognition, réactif en des circonstances limites. Geste inimitable, adaptabilité sensitive multiple, souplesse des muscles et des articulations, mimétisme raffiné, action foudroyante et intuition soudaine… charme d’une femme, charisme de l’éloquence… Oui, certes, tel robot peut se substituer à lui, pour telle ou telle tâche, oui encore, tel ordinateur peut calculer, organiser, décider à sa place, oui, toujours, nous pouvons commander de la Terre telle manipulation, avec un bras et un temps de réaction plus longs, voilà tout, mais la question résiduelle, au delà de ces substitutions, consiste à la retourner : que ne pouvons-nous pas faire sans lui ? Réponse : l’imprévisible instantané, la plus petite boucle entre réception sensible et réponse musculaire, plus je ne sais quelle allure et quelle communauté.

Par miniaturisation et connexion d'un nombre énorme de circuits, pourrons-nous, quelque jour, simuler un cerveau ? Peut-être. Mais remplacer le corps ? L'intelligence me paraît en fin de compte une fonction dont le sujet ou le support occupe tout le corps et non pas seulement le système nerveux : sa masse continue de comprendre quand on croit avoir tout saisi et assimile encore alors que l'on croit avoir tout oublié. Que faire sans lui ? Tout sauf un résidu d'essentiel. Sans lui, que penser ? Tout le formel, mais quoi au sujet du réel ? Aux frontières donc de ces performances, reste la question de la connaissance par chair, bref de l'expérience.

Voici presqu’un siècle, Bergson demandait un supplément d’âme à une civilisation qui s’enfonçait à ses yeux dans la matière ; devons-nous demander à notre culture d’images, de messages et d’information un supplément de corps ? Lorsque les réseaux, en effet, se chargent du savoir et du travail, le bien le plus rare dont, bientôt, le prix montera au zénith, devient son expérience. Notre nouvelle culture se définit donc par cette inversion des anciens rapports de l’esprit et du corps. Quand nous abandonnons les vols habités nous disons : ils coûtent trop cher. À l’inverse de cette évidence plate, le calcul à ces limites évalue le prix de l'Incarnation"
************************
http://www.cnes-tv.net/dossiers/Dossier_40_ans/Discours/serres.htm

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Je propose un petit jeu:

Imaginons que la réponse à la question "à quoi servent les vols habités" rencontre un consensus et que l'on décide qu'elle est : rien! Et qu'on laisse tomber les vols habités.

Je ne donne pas longtemps avant que la question suivante se pose: A quoi servent les vols inhabités?

Et la réponse pourrait être: Cela sert à dépenser des sous inutilement, juste pour que des scientifiques accumulent des connaissances superflues sur des lieux inhabitables et inaccessibles où l'homme n'ira jamais puisqu'on l'a décidé!
Il faut se méfier de l'argument utile/inutile!

Pour moi s'attaquer aux vols habités doit se faire de façon mesurée car une victoire totale sur ce point pourrait avoir un effet boomerang sur les vols inhabités. Donc l'enjeu c'est la répartition juste des efforts financiers entre les deux domaines, pas la disparition de l'un aux dépends de l'autre. Le sort des deux est lié finalement, du moins à mon avis...

[Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 09-08-2007).]

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Il est vrai que limiter le débat à utile / inutile , sans par ailleurs avoir forcément ( tout au moins dans mon cas ) tous les paramêtres sous la main , par exemple , quelles peuvent être les recherches spécifiques pouvant être menées à bien dans ce labo bien haut perché et quelles seront leurs retombées éventuelles ( attention aux retombées quand les labos sont perchés si haut ! ), est un peu réducteur .

Est-il bien utile que je possède du matériel d'astro amateur ?
Vraisemblablement non , mais cela me fait plaisir .

En ai-je les moyens ? N'ayant pas subi d'insultes récentes de la part de mon épouse , je me crois enclin à penser que ces folles dépenses ne l'ont pas amené à tailler des coupes sombres dans sa garde-robe et par voie de conséquence , j'avais les moyens de me payer mes jouets .

Avons-nous les moyens de financer l'ISS et autres vols habités sans tailler des coupes sombres dans d'autres programmes spaciaux ou scientifiques ...

Ben là , c'est une autre question et je n'en sais foutrement rien .

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les vols inhabité servent a faire une science rentable (investissement vs datas collecté)
les vol habité servent une couteuse technique

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A mon humble avis cette question est essentiellement politique puisqu'elle engage les états.

Question politique aussi, puisque les budgets des vols habités sont des budgets d'états : 170 milliards pour aller sur la Lune, 100 milliards pour faire voler la navette, 100 milliards pour construire l'ISS.

C'est aux états, donc, en principe pour les nations plus ou moins démocratiques, aux citoyens, à leurs instances représentatives, etc, de décider de l'opportunité d'envoyer des gens dans l'espace en leur proposant des clés de lecture de l'espace, de ces enjeux, etc.

Dans un monde idéal, les partisans des vols habités pourraient financer le voyage de l'homme sur Mars, et les partisans de l'exploration scientifique, pourraient financer la construction d'un télescope de recherche d'exoterres, par exemple.


Dans les faits, dans la réalité, les budgets ne permettent pas de tout faire, en témoigne, par exemple, la douloureuse affaire Galileo ou encore les problèmes dans lesquels patauge la Nasa actuellement, qui n'arrive pas à construire le successeur de Saturn 5...

On peut donc s'interroger sur l'utilité de telle ou telle mission, jauger des résultats, se projeter dans le futur et se demander quelles missions, quelles technologies seraient à développer et, in fine, s'interroger sur la présence de l'homme dans l'espace.

S

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Du côté du tourisme spatial (suborbital): dramatique nouvelle et gros retard (voir coup d'arrêt) en perspective chez Virgin Galactic avec l'explosion du 27 juillet chez Scaled Composites en Californie (3 morts & 3 blessés !) lors d'un essai du moteur-fusée du SpaceShipTwo ...
De quoi en refroidir une bonne quantité de candidats astronautes fortunés en mal de sensations qui s'y voyaient déjà !
http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=4355

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Ah le tourisme spatial...

EADS a fait sensation voici quelques semaines en annonçant une autre baltringuerie du même tonneau que SS2. Certains confrères, comme un type du Figaro, dont j'ai oublié le nom, Messadier, quelque chose comme çà qui doit confondre le métier de journaliste avec celui d'attaché de presse, avait sans nuance titrer la dessus, sur les promesses du tourisme spatial etc.

Il y a juste d'infimes détails qui grattent un peu qu'il avait omis de mentionner : qui allait payer la note abracadabrantesque de 1 milliard d'euros ? Par quel miracle EADS, qui a actuellement d'autres chats à fouetter, allait pouvoir développer ce truc en 4 ans, comme promis dans ses brochures ? Et enfin, last but not the least, personne n'avait remarqué que le projet en l'état (en gros un avion fusée) ne pouvait pas voler...

Devant les réactions hilares des ingénieurs, EADS a remisé sa belle maquette, et plus personne ne parle de ce truc...

Reste l'association montée par Jean Pierre Haigneré, qui vise aussi à envoyer les gens en apesanteur, notre ami astronaute fait actuellement un intense lobying pour que les états crachent au bassinet pour faire voler son joujou...

S

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Les adversaires des vols habités s’appliquent à démarquer clairement ceux-ci de l’exploration scientifique. Rien de surprenant, on fait référence ici à ce qui se fait depuis Apollo, et à l’ISS en particulier, ce gâchis monumental.

Pas besoin d’être grand clerc en la matière pour abonder dans leur sens sur ce point. Là effectivement, on est exclusivement guidé par des considérations politiques. Pour la France, des engagements à tenir pour des raisons de réciprocité (dans d’autres domaines sans doute), l’incompétence probable des décideurs, une forme de servilité aussi peut être. Autant d’éléments bien étrangers à l’intérêt scientifique.

On n’y trouve même pas ce « supplément d’âme » dont parlait Bergson, tant les interminables circonvolutions de l’ISS, ce meccano spatial en orbite basse, ne laissent guère de place aux désirs de rêve et d’évasion que suscite généralement le spatial dans l’imaginaire de l’espèce humaine.

Il faut se souvenir que, dès le début de l’ère de la "conquête spatiale", les satellites, sondes, et autres robots participaient aussi à des objectifs politiques majeurs. Aujourd’hui encore, les états dépensent toujours encore plus d’argent pour ces engins que pour les vols habités.
Quelle qu’en soit la finalité, scientifique ou non, le spatial demeure éminemment stratégique pour toutes sortes de raisons : connexions militaires, drainage de crédits pour la R&D sur de hautes technologies porteuses d’une forme d’indépendance économique dans de nombreux domaines, affichage d’une image dynamique pour le pays, nécessité de rester dans le giron des pays aptes à œuvrer dans tous les domaines du spatial, civils et militaires.

La difficulté pour le vol habité c’est, en particulier, l’héritage des errements de l’ISS, et l’absence d’un positionnement de cette activité sur des objectifs réalistes et véritablement scientifiques, sans nécessairement renier pour autant la plus value que constitue « la part du rêve ».

Il faut entendre aussi par là que le scénario américain consistant à un retour sur la lune avant d’envisager Mars, ceci étalé sur 30 à 40 ans (50 ?), sans avoir creusé véritablement le pourquoi de chaque étape, et sans communiquer les objectifs précis, est à même de laisser songeur: Que va-t-on faire exactement sur la Lune, et quel est l’apport de cette étape pour Mars ??

Mars recèle un énorme potentiel d’acquisition de données permettant de mieux comprendre notre bonne vielle terre et de mieux appréhender l’univers. Et, miracle, elle est là, à notre portée.
L’ISS a fait perdre 25 ans et a décrédibilisé le vol habité. Désormais, on prend le même chemin avec les phantasmes des bases lunaires, de l’exploitation de l’hélium 3, des télescopes sur la face cachée…etc…

Encore une fois, les politiques, les intérêts militaro-industriels (il est à craindre qu'ils soient les mêmes), embrouillent cette entreprise.

Par ailleurs, on se berce d’illusions en imaginant que, en supprimant le vol habité, les budgets seraient automatiquement reversés dans la cagnotte des vols robotiques.
Ils ne récolteraient que des miettes, et il y a tout lieu de parier que la plus grosse part serait reversée aux militaires.

Malgré l’apport des sondes, rovers et autres landers, il est bien certain que Mars ne livrera jamais tous ses secrets sans l’envoi des hommes sur le terrain.
C’est un des très rares objectifs que peut revendiquer et justifier le vol habité pour nos générations et celles immédiatement à venir.
Et il n’est pas raisonnable, aujourd’hui, de postuler sur d’autres objectifs à moyen ou long terme, sans un « saut » scientifique et technologique majeur même si, pour ces futures et sans doute lointaines avancées majeures, il n’est pas déraisonnable de demeurer optimiste.

Le discours de Michel Serres ci-dessus est empreint d’une certaine emphase certes, mais il pose quelques bonnes questions : « Quand nous abandonnons les vols habités nous disons : ils coûtent trop cher. À l’inverse de cette évidence plate, le calcul à ces limites évalue le prix de l'Incarnation ».

Que valent réellement nos robots spatiaux pour l’humanité, qui peut croire que seul l’intérêt scientifique a droit de préemption pour ces entreprises humaines ? Que sont les coûts de ces entreprises et du vol habité en rapport de nos richesses et du potentiel global de l’humanité, de toutes les gabegies dont les exemples sont surabondants, et pourtant souvent peu dénoncés ?

Le vol habité vers Mars, ne serait-ce pas une opportunité de concevoir une mission internationale débarrassée des oripeaux des nationalismes, des arrières pensées de domination de l’espace, des égoïsmes de tout poil ?
On n’en prend actuellement pas vraiment le chemin mais, en dépit de tout, une chose est claire, et ce n’est pas de l’utopie : Un jour prochain, des hommes iront fouler le sol de Mars. Parions et espérons que ce « supplément d’âme » pourrait annoncer une vision plus apaisée de nos relations humaines et un nouvel élan au respect de notre planète Terre. Un monde - presque - idéal

Sinon....

[Ce message a été modifié par vaufrèges (Édité le 14-08-2007).]

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Non mais vous plaisantez j'espère !
Avant de se poser la question sur la conquète humaine de l'espace, il faudrait d'abord s'interroger sur ce que nous apporterions dans ce milieu... La pire des choses !
Regardez un peu en arrière...
Les découvertes de l'homme sont toujours faites ou imaginées par des scientifiques, ensuite par des avanturiers à la solde des divers pouvoirs en place dans les pays colonisateurs. Au début c'est la poignée de main, ensuite se sont des massacres, et pour peu que les indigènes soient plus faibles que nous et bons à manger ...
Posont nous la question avant de " conquérir " un nouveau milieu. Qu'avons nous fait de nos conquètes ?
Les indiens en ont ils tirés bénéfice ? et les incas ?
Nous avons exploré les océans : y a t-il plus de diversité maintenant ? bien au contraire ! Que fait-on au autres races intelligentes comme les dauphins ? on leur pique tout leur thon et on les extermine dans nos filets !
Que fait-on aux baleines...miam miam !
Aller dans l'espace ? découvrir la vie sous les glaces d'Europe ? pourvu que çà n'arrive jamais ! on serait capable de l' exploiter pour manger !
Nous nous comporterions vite comme des nuées de sauterelles, comme des parasites, tout en continuant à faire les sentimentales, et surtout à ce donner de bonnes raisons !
Ne rêvez pas, les extraterrestres dans "independance day", çà finirait par être nous ! Jamais les philosophes ne font de "conquètes" ! Nous finirions, avec nos bonnes intentions, par refiler la chtouille à l'Univers !
J'éspère de tout mon coeur que quelque extraterrestre plus évolué nous fasse le même traitement, ou qu'une bonne supernova finisse par mettre un terme au cauchemar que nous avons l'honneur de représenter !
Désolé, mais nous ne méritons pas l'expension.
L'Univers, c'est beau de loin, mais avec nous dedans, se serait loin d'être beau !

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La vérité est tellement moche à regarder que nous preferons ne pas la voir. Allez, mettez vous 10 secondes dans la peau d'un extraterrestre qui doit analyser notre bilan global avant d'agir envers nous. A sa place, que feriez vous ? Vous viendiez en toute confiance ?

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quote:
La vérité est tellement moche à regarder que nous preferons ne pas la voir.

Pourquoi tu dis "nous"? C'est TA vision subjective des choses.

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Moi, M'ssieur, je sais :
A faire parler les mouches sur ce forum

BZZZZzzzzzz, loin je suis déjà.

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