Sjoerd Rutten

Le Soleil et la météo

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Un exemple d'information biaisée:

1- Le message alarmiste: STATION TROLL, Antarctique (Reuters) - Les scientifiques sonnent l'alarme concernant le danger de fonte rapide des glaces de l'Antarctique, qui ferait monter le niveau des océans du globe, a déclaré dimanche le Premier ministre norvégien, Jen Stoltenberg, au terme d'une visite sur ce continent. "C'est alarmant. Les sonnettes d'alarme retentissent. Le fait que les décideurs feignent d'ignorer ces signaux est irresponsable", a estimé Stoltenberg dans une interview à Reuters, à la fin d'une visite de deux jours dans la station scientifique norvégienne Troll, dans l'est de l'Antarctique.

2- Peut-être une explication scientifique: (Source Le Figaro). Un volcan subglaciaire serait en partie à l'origine de la diminution de l'épaisseur de la calotte à l'ouest du continent.

Un volcan actif sous l'Antarctique ? Loin de relever de la science-fiction, cette hypothèse vient d'être démontrée dans un article publié hier dans Nature Géoscience. Ce volcan subglaciaire aurait même produit une importante éruption volcanique voici deux mille ans. (...)

Cette découverte apporte une piste d'explication à la fonte du glacier de l'île de Pine. «L'écoulement du glacier vers la côte s'est accéléré au cours des décennies récentes et il est possible que la chaleur provenant du volcan ait participé à cette accélération», avance le professeur David Vaughan, coauteur de l'étude.

Pourtant, poursuit ce dernier, «je ne peux pas expliquer la fonte plus générale des glaciers de l'Antarctique Ouest qui contribue à la hausse globale du niveau des mers à hauteur d'environ 0,2 millimètre par an. Ce changement a probablement son origine dans le réchauffement des eaux océaniques ».

Car si la calotte polaire est plutôt stable dans la partie est de l'Antarctique, il n'en va pas de même à l'ouest. Ce phénomène s'accélère même, comme l'ont montrée Éric Rignot et ses collègues du Jet Propulsion Laboratory en Californie, par des travaux publiés la semaine dernière dans la même revue. Grâce à des données d'interférométrie radar obtenues par satellite, couvrant 85 % des côtes du pôle Sud, ils ont pu calculer que la fonte des glaces de l'Antarctique Ouest a représenté 132 milliards de tonnes en 2006, contre 83 milliards en 1996, soit une hausse de 75 % en dix ans.

La cerise sur le gâteau : Le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec) prédit, à terme, une augmentation de l'épaisseur de la calotte polaire, du fait d'une hausse attendue des précipitations neigeuses à l'est.

On voit tout et son contraire quand on analyse les infos sur le climat. Alors les annonces comme celle d'Al Gore sur la fonte en 5 ans de toutes les glaces de l'Arctique c'est plus du spectacle que de la science!

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Euh, c'est quoi l'Est et l'Ouest de l'Antarctique?

[Ce message a été modifié par Claude PEGUET (Édité le 25-01-2008).]

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Ciel! Je vois que le petit Gaulois est sorti d'hibernation, sans doute encore un signe évident du réchauffement!

Pourtant la sortie du nouvel Astérix était prévue pour le 30...

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Pour l'Antarctique ce qui est prétendu est faux et archifaux, la péninsule Antarctique est concernée semble t il par un recul glaciaire avec un effondrement spectaculaire comme celui de la plateforme Larsen B, mais en aucun cas l'Est de l'Antarctique, pas plus qu'il n'est sérieux de predire un effondrement de la grande barrière de Ross ou de celle de Wedell, la pénisule Antarctique ne représente que 4% de la surface totale du continent blanc.

Toutes les données indiquent au contraire un refroidissement de 96% de l'Antarctique.

Quant à une anomalie de temperature due à des flux particuliers faisant grimper les T° moyennes de 5° cela n'a strictement aucun impact sur l'Inlandsis et n'est pas comparable à ce qui se passe en Arctique.

Quant on a -55° au lieu de -60° on est trés trés loin d'une fonte des glaciers de l'Antarctique.

Il y a donc bien alarmisme totalement infondé.

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L'article du professeur russe Oleg Sorokhtine, chercheur à l’Institut d’océanologie de l’Académie russe des sciences (source: RIA NOVOSTI):

Le conseil que j’ai à vous donner est univoque : "préparez vos bottes de feutre", comme disent les Russes. A l’heure actuelle, nous traversons le point culminant de l’une des périodes de réchauffement provisoires, qui avait commencé au XVIIe siècle, lorsqu’il n’était pas encore question de l’influence anthropique sur le climat représentée par les émissions de gaz à effet de serre.

L’augmentation des températures est provoquée par des facteurs purement naturels et ne dépend nullement des gaz à effet de serre. Les vraies raisons de ces changements climatiques sont liées à l’inégalité du rayonnement solaire, à la précession (changement de direction de l’axe de rotation de la Terre), à l’instabilité des courants océaniques, à l’alternance des processus de dessalement et d’ensalement des eaux de surface de l’océan Glacial Arctique, etc. Mais ce sont l’activité solaire et la luminosité qui constituent les facteurs les plus importants. Plus ces indices sont importants, et plus la température est élevée.

Les astrophysiciens étudiant l’activité solaire ont mis en évidence deux variantes dans ce type de cycles, l’un de onze ans et l’autre de deux siècles. Ces cycles sont dus aux changements de diamètre et de surface de radiation du Soleil. A en juger par les dernières informations recueillies (je m’appuie sur les données fournies par Khabiboulla Abdoussamatov, chef du laboratoire d’études spatiales de l’observatoire de Poulkovo), nous avons déjà dépassé le point culminant de réchauffement, et une période de refroidissement sensible commencera d’ici 2012. Des phases d’activité solaire très basse, accompagnées d’une forte baisse des températures, sont à attendre vers 2041. Cette période de climat frais durera au moins 50-60 ans.

Cependant, les écologistes ne sont pas d’accord avec moi. Ils défendent la théorie des prétendus "gaz à effet de serre". Ces gaz, notamment le peroxyde d’azote, réchauffent l’atmosphère, en retenant la chaleur près de la surface de la planète. Cette idée a été formulée déjà à la fin du XIXe siècle par le physicien et chimiste suédois Svante Arrhenius, prix Nobel de physique, et a été acceptée par tous sans preuves, sans vérifications sérieuses. Ce point de vue prédomine de nos jours, il influe sur les décisions d’importantes organisations internationales qui se basent sur cette théorie en adoptant différents documents, notamment le Protocole de Kyoto à la Convention-cadre des Nations unies sur les Changements climatiques, signé par environ 150 pays. Voilà un bel exemple de la manière dont une hypothèse scientifique peut s’immiscer tout naturellement dans la grande politique et l’économie.

Les auteurs et partisans du Protocole de Kyoto s’appuyaient sur des idées fausses. Comme résultat, les gouvernements des pays industrialisés se voient dans l’obligation de dépenser des sommes colossales pour lutter contre l’influence anthropique sur l’atmosphère. Mais jusqu’à quel point cette approche est-elle justifiée ? Ne nous battons-nous pas contre des "moulins à vent" ?
Il est peu probable que l’augmentation des températures soit à imputer à "l’effet de serre", du moins, ce n’est pas scientifiquement prouvé. Le scénario classique du "réchauffement dû à l’effet de serre" est trop simple pour correspondre de fait à ce qui se passe réellement. En réalité, des processus beaucoup plus complexes se déroulent dans l’atmosphère, et surtout dans ses couches denses. Ainsi, plutôt que de rayonner, la chaleur dans l’espace est transportée par des flux de masses d’air, ce qui constitue un mécanisme tout à fait différent et qui n’entraîne pas de réchauffement global.

L’absence de rapport entre la température de la troposphère (qui est la partie inférieure et la plus dense de l’atmosphère) et la concentration de gaz à effet de serre est prouvée théoriquement, mais aussi empiriquement. En effet, l’étude d’échantillons de glace de l’Antarctique (les carottes ont été prélevées dans des puits forés à proximité de la station russe Vostok) n’a pas démenti l’existence d’un rapport entre les paramètres tels que la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère et le changement de sa température. Il importe cependant de savoir ce qui en est la cause et ce qui en est la conséquence.

Il a été établi que la courbe des variations de température dépassait toujours légèrement les changements de concentration du dioxyde de carbone (CO2). C’est donc la hausse des températures qui serait la cause. La chaleur réchauffe la couche supérieure de l’océan, ce principal conservateur du gaz carbonique (qui en recèle 60 à 90 fois plus que l’atmosphère), et un "effet champagne" se produit. Si la bouteille est chaude, un jet jaillit, alors que dans une bouteille refroidie, le gaz se montre passif.
En se réchauffant, l’océan commence à "expirer" davantage de gaz carbonique, qui s’élève dans l’atmosphère. Sa présence augmente le facteur anthropique (on ne peut pas nier ce fait de manière générale), mais sa proportion est très insignifiante et "ne fait pas la pluie ni le beau temps". Quoi qu’il en soit, au vu de l’actuel niveau d’émissions industrielles de gaz carbonique, se chiffrant entre 5 et 7 milliards de tonnes par an, la température sur Terre n’évoluera guère jusqu’en 2100. Et même si la concentration de "gaz à effet de serre" double, l’homme ne le sentira pas.

Non seulement le gaz carbonique ne produit aucun effet nuisible sur le climat, mais il peut même s’avérer utile étant donné qu’il stimule le développement de la vie sur la planète en jouant le rôle de "pain" pour les plantes. En témoigne notamment la "révolution verte", à savoir une augmentation brusque et universelle du rendement des cultures agricoles au milieu du XXe siècle. De nombreuses expériences ont démontré l’existence d’une dépendance directe entre le rendement et la teneur en CO2 de l’air.

L’influence du gaz carbonique se manifeste dans l’activité synoptique plutôt que dans les changements climatiques. Le CO2 absorbe le rayonnement infrarouge, c’est un fait. Supposons que dans les couches proches de la surface du sol, l’air s’est réchauffé à tel point que le gaz carbonique qu’il contient a absorbé le rayonnement infrarouge. Par conséquent, le rayonnement disparaît et son énergie est communiquée aux mouvements oscillatoires du gaz, ce qui entraîne une expansion et une perte de volume. L’air chaud monte dans la stratosphère et des flux froids en descendent, c’est-à-dire que les couches s’entremêlent. La température ne change guère, mais l’activité synoptique circule : cyclones, anticyclones, etc. s’accélèrent. Voilà ce qui explique les phénomènes naturels comme les ouragans, les tempêtes, les tornades, et ainsi de suite. Leur intensité peut effectivement dépendre de la concentration de CO2, c’est pourquoi la réduction de la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère pourrait en effet donner un certain résultat dans la lutte contre ces sinistres.

Or, le CO2 n’a absolument rien à voir avec les changements globaux des températures. Et ce, ne serait-ce que parce que l’activité solaire, de par son énergie, est plusieurs milliers de fois plus puissante que l’ensemble de l’énergie produite par l’humanité. En somme, l’influence anthropique ne correspond pas plus pour la nature qu’à une piqure de moustique pour l’homme.
Une catastrophe liée à une augmentation de la température ne pourra jamais survenir sur la Terre. Parmi toutes les planètes du système solaire, seule la Terre possède une atmosphère unique qui assure un climat favorable au développement des formes de vie supérieures. Ceci est dû à l’heureuse coïncidence de plusieurs facteurs : le Soleil est une "étoile calme", la Terre se trouve à une distance optimale de cet astre, elle possède un satellite massif, la Lune, et ainsi de suite. Des conditions climatiques confortables sur notre planète se sont formées entre autres grâce à l’interdépendance entre l’évolution du biote terrestre et le développement de l’atmosphère.

Ces liens régulateurs rétroactifs sont multiformes, et le principal d’entre eux agit par l’intermédiaire de l’albédo terrestre (rapport de l’énergie solaire réfléchie par une surface sur l’énergie solaire reçue), qui constitue une sorte de régulateur du régime de température de la Terre. Supposons que les températures augmentent (comme c’est le cas aujourd’hui). Par conséquent, le taux d’évaporation de l’océan s’accroit, la couche de nuages retenant l’énergie solaire se densifie, ce qui entraîne une baisse des températures. Et inversement.
Comment doit-on percevoir le problème de climat ? Il faut se montrer serein et pragmatique en acceptant l’état des choses dicté par la nature. Cela ne vaut pas la peine de paniquer en prévision d’une "fonte rapide" des glaces de l’océan Glacial Arctique (et qui précèderait leur disparition). Les explorateurs des pôles affirment, à ce propos, que les calottes glaciaires de l’Arctique et de l’Antarctique ne font que croître. Par conséquent, l’avenir de la Terre sera lié à une nouvelle période glaciaire, encore plus rude que la précédente, ce que démontrent les calculs physiques et mathématiques. L’Europe sera recouverte de glace, le glacier progressera jusqu’au Sud de Moscou. Mais ces processus n’auront pas lieu avant 100.000 ans !

En attendant, je tiens à rassurer les Européens en leur disant que le Gulf Stream ne quittera son courant habituel que s’il est, par miracle, privé de son énergie, de manière à ne plus avoir de forces pour atteindre les régions septentrionales. Mais la nature ne se comportera sans doute pas de la sorte.

*** Le professeur Oleg Sorokhtine est chercheur à l’Institut d’océanologie de l’Académie russe des sciences, docteur en sciences physiques et mathématiques, membre de l’Académie russe des sciences naturelles.

Il est l’auteur de plus de 300 ouvrages scientifiques, de neuf monographies et de plusieurs livres, dont le dernier, "Evolution et prévisions des changements du climat global de la Terre" paru en 2006. Chercheur émérite de la Fédération de Russie, membre de plusieurs expéditions antarctiques et océanologiques, spécialiste de l’évolution globale de la Terre, du développement des océans et du climat.

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La question qu'il convient de se poser : pourquoi des informations telles que celle ci-dessus ne parviennent-elles pas jusqu'au grand public?

Pourquoi les informations "alarmistes" prennent-elles le dessus ?

Il semblerait que dans la communauté scientifique, la répartition entre "alarmistes" et "non-alarmistes" soit de 50% / 50%. Mais nous en retrouvons pas cette répartition dans la part d'audience. De toute façon, peu importe cette répartition, toute opinion a mérite d'être écoutée.

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quote:
Pourquoi les informations "alarmistes" prennent-elles le dessus ?

1- Les médias VENDENT de l'information, ne jamais l'oublier. Or le catastrophisme et le spectaculaire ça fait vendre, pas les trains qui arrivent à l'heure.

2- Il y a une alliance objective récente mais réelle entre les écolos et bon nombre d'industriels et de financiers. Ces derniers vendent du carbone, des produits garantis anti-réchauffement etc. et c'est devenu un sacré business! Les premiers ne supportent pas l'économie de marché et sont ravis de l'accuser de "tuer" la Terre.

Voilà mon explication. Mais la vérité sortira du puits tôt ou tard, car les faits sont têtus.

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C'est fou quand même.

Comme on peut le constater entre autres pour la fréquences des ouragans ou pour la "fonte de l'Arctique", il semble que l'on puisse écrire ou dire n'importe quoi sans soulever d'anathèmes, dès lors qu'on ne se mêle pas de contester le réchauffement anthropique.
Surtout, le summun de la noble "conscience écolo", aujourd'hui, c'est d'adopter la posture "catastrophiste"..
C'est "classe", et ça n'admet pas la controverse.

Quant au discours de ce bon "Oleg Sorokhtine", il apparaitra aux "hiérarques" actuels de la climatologie, soit comme résultant des errements divagatoires d'un esprit assez tourmenté, soit comme la participation éhontée et cynique au courant de scepticisme (consternant) d'une nouvelle recrue d'officines malfaisantes
J'ai nommé... les fameux "lobbys du pétrole" bien sûr.

Ca marche comme ça aujourd'hui. L'hérétique est fou ou manipulé, forcément.

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Mercredi 6 février sur Planète, ils passent le film "anti" de Martin Durkin, puis "Le climat en crise" d'Olivier Julien, qui soutient la thèse "habituelle".
Le débat reviendrait-il ?

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C'est effectivement bon signe, Kaptain. Mais il y a encore du chemin à faire pour que les médias évoquent la simple existence d'un débat sur le réchauffement parmi les scientifiques! A les entendre l'affaire est claire.

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C'est encore le réchauffement...

CHENZHOU, Chine (Reuters) - Le Premier ministre chinois Wen Jiabao s'est dit certain que le pays pourrait décrocher une "victoire définitive" contre l'hiver le plus froid qu'ait connu le pays depuis un siècle, rapporte un site internet officiel (www.china.com.cn).

Cette vague de froid survenue à quelques jours du nouvel an lunaire, période de vacances la plus importante en Chine, a tué des dizaines de personnes, bloqué des millions de personnes dans leur voiture ou dans des gares, et entraîné des pertes économiques directes d'environ 54 milliards de yuans (7,5 milliards de dollars), selon le ministère des Affaires civiles.

Des villes entières, telles que Chenzhou, dans le Sud, ont été privées d'électricité et d'eau pendant plusieurs jours et onze électriciens se sont tués en tentant de reconnecter des lignes ou de briser la glace enserrant les poteaux et les câbles.

A la date de lundi, des secouristes avaient réussi à rétablir l'approvisionnement en électricité de 17,68 millions de foyers dans 51 comtés, selon l'agence de presse officielle Chine nouvelle.

Quelque 80.000 voyageurs sont toujours bloqués dans la gare ferroviaire de Canton, capitale de la province du même nom (Sud), contre environ 800.000 au plus fort de la crise la semaine dernière, écrit Chine nouvelle.

Le service météorologique national a établi qu'il s'agissait de l'hiver le plus froid depuis un siècle dans les provinces de Hubei et Hunan (Centre) mais a annoncé une amélioration dans les jours à venir.

Remarque: quel média national va en parler?

[Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 05-02-2008).]

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Il paraît que Shangaï n'a pas connu autant de neige depuis 135 ans soit 1873!

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Bravo Joël, CQFD .N'en jetez plus cette démonstration de l'orientation de la presse française est affligeante.

Sur le site "le post" qui parle de l'hiver chinois le plus rigoureux depuis 50 ans il y a une photo pas ordinaire de l'armée chinoise qui déblaie la neige.Pour moi ça aurait autant d'incidence médiatique (sous entendu bourrage de crâne) que les éternelles chutes de seracs qui démontrent le réchauffement.

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Vous êtes tous nuls !

- Quand il fait trop chaud, c'est dû au réchauffement, qui est dû à l'homme.

- Quand il fait trop froid, c'est dû aux perturbations climatiques, qui sont dues au réchauffement, qui est dû à l'homme.

C'est pourtant simple.

S

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Cherchez pas de toute façon c'est à cause de l'homme...

Rhââââââ! Nous sommes tous des pécheurs! Nous méritons d'être châtiés mille fois! Mea culpa! Mea culpa! Mea maxima culpa! *fouette* *fouette*

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Enfin, il ne faut quand même pas trop absoudre l’homme. L’empoisonnement des terres, des cours d’eau, les métaux lourds que l’on retrouve dans les poissons, la désertification de certaines régions, la disparition d’espèces animales ou végétales, l’épuisement de ressources naturelles, etc...là c’est bien de sa faute, il n’y a pas de doutes.
Pour le dérèglement climatique, on sait tous que de tels dérèglements sont inhérents à notre planète depuis qu’elle existe, même avant l’apparition de l’homme, prétendre que le dérèglement actuel est dû uniquement à l’activité humaine n’est donc pas très crédible.
Par contre que cette hyper activité humaine, ces millions de tonnes de gaz en tous genres rejetés dans l’atmosphère puissent accélérer ou amplifier un processus naturel est déjà nettement plus plausible.

On refera le point dans 10 ans...

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Et ça se dit sceptique... Je considère la démonstration de Joël comme affligeante et hors de considérations chiffrées.
Le Gulf Stream ne ralentira pas? La Dérive Nord Atlantique (DNA) à connu depuis un demi-siècle une chute de 30% de l'intensité du courant de surface, et de 50% du courant de profondeur.
Sur certaines îles du Pacifique, les plages ont reculé de plus de 50m.

Et puis.... oh et puis ça me gonfle. Débrouillez-vous, je voulais vous trouver des graphiques explicites mais impossible de remettre la main dessus .

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Vous êtes tous nuls !
"- Quand il fait trop chaud, c'est dû au réchauffement, qui est dû à l'homme.

- Quand il fait trop froid, c'est dû aux perturbations climatiques, qui sont dues au réchauffement, qui est dû à l'homme.

C'est pourtant simple."


Good blood but it is well sure! P...qu'il est fort Mr
Serge .

alley pour une fois que j'ai compris quelque chose, j'applique :
Il pleut: rechauffement,il neige ,tombe de la grêle ou de la ...(CF P.Dac):Rechauffement. Y fait chaud Rechauffement(ça je le savais déja).Nickel, j'ai tout compris!..je repête il pleut....bla bla il neige ... bla bla rechauf.....Noooooooooooooonnnn !!!!!!Il manque quelque chose Serge ?!!!! Quand ça bouge pas et que ça reste temperé!!! je fais quoi moi !! P... j'ai les jetons!...ça ne va ton raisonnement! vite une reponse pour me tranquiliser!

Non..... réchauffement aussi ?!! Pffff, chui nul!

Stan

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Sur planète câble en ce moment un documentaire qui ne doit pas plaire à M. Gore et ses copains catastrophistes...

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Fourmi103,

Faut suivre, çà va trop vite : le coup du gulf stream, c'était une erreur de manip : le type qui a publié çà l'a élégament admis. Le vrai problème, c'est que tout le monde se souvient que le gulf stream doit s'arrêter et qu'on va tous mourir, personne n'a publié le petit errata du chercheur, pareil pour le Kilimandjaro, etc etc etc etc.

S

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Une des premières expériences à bord de Colombus concerne directement le sujet ici traité :

(source : flashespace.com)

"SOLAR

Solar est une suite de 3 instruments dédiés à l'observation du Soleil (...)
Solspec est conçu et réalisé par le Service d'aéronomie du CNRS en collaboration avec l'Institut d'aéronomie spatiale de Belgique. Le but de SOLSPEC est de mesurer, durant toute la partie croissante du cycle solaire 24, l'irradiance solaire absolue (de 165 nm à 3100 nm) et sa variabilité dans le temps, avec une précision jamais atteinte (une précision inférieure à 1,5 %.).

Ces mesures solaires sont importantes pour la climatologie, la chimie de la stratosphère et la physique solaire. D'une part, le soleil est une étoile variable dont le cycle ne se répète pas de manière identique, ce qui nécessite d'effectuer régulièrement de telles mesures. D'autre part, notre connaissance des processus physiques et chimiques à l'oeuvre au sein de l'atmosphère terrestre s'améliore, grâce aux nombreuses mesures réalisées in situ (composition, température et dynamique), et la modélisation est en plein essor : il devient de ce fait essentiel de pouvoir fournir aux modèles atmosphériques des valeurs plus précises de l'irradiance solaire."

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