PierreJL

D'où vient la couleur jaune du soleil?

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Bonsoir

La classification des étoiles se fait aussi selon les couleurs. On donne également les températures de surface pour chacune de ces couleurs.
Cependant pourquoi notre soleil apparaît jaune?

Pierre-Jean

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Le Soleil émet de la lumière dans toutes les longueurs d'onde (on parle de lumière blanche), mais la répartition n'est pas uniforme, il y a plus de la lumière du côté de la longueur d'onde du jaune (il y a effectivement un lien entre la température et la longueur d'onde du maximum). D'où la couleur : blanc, mais jaunâtre.

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Bonjour,

Comme l'a souligné Bruno, la couleur du soleil est... le blanc! Je suis moins d'accord sur le "mais jaunâtre".
On le voit souvent jaune parce que lorsqu'il est bas sur l'horizon, l'atmosphère transmet moins bien les courtes longueurs d'onde (vert, bleu) que les longues (jaunes, rouge). Du coup, il parait plus jaune voire rouge.

En fait ce qui m'a surpris lors de l'éclipse de 1999 (le soleil était alors haut dans le ciel), c'est quand j'ai enlevé le filtre solaire de mon C8 environ 1 seconde avant la totalité et que j'ai aperçu fugitivement (1/2 ou 1 seconde) un dernier limbe de soleil disparaitre derrière la lune. Et pendant ce très court instant, j'ai été surpris par la blancheur immaculée du soleil. C'était extraordinaire.

Pour en revenir compléter la remarque de Bruno sur le spectre du soleil et donc de son émission en fonction de la longueur d'onde, on peut schématiquement noter deux composantes dans ce spectre: une composante continue qui est en fait un rayonnement thermique de type corps noir (je sais, c'est paradoxal de considérer le soleil comme un corps noir !) et un rayonnement sous forme de raies.
Les raies sont dues à l'excitation (raies d'absorption) ou de désexcitation (raies d'émission) des molécules ou atomes, et leurs longueurs d'onde sont caractéristiques de l'atome/ion/molécule qui l'émet. La plus connue est évidemment la raie Halpha que l'on observe à 656,28 nm (rouge profond).
L'émission thermique est continue et le profil d'émission est lié à la température de surface de l'objet qui émet. Pour un corps porté à 5800 K (température de surface moyenne du soleil) a un maximum d'émission dans le vert, mais il émet quand même beaucoup dans le rouge et le bleu, du coup, on le voit blanc. Ce profil d'émission suit la "loi de Planck". La figure ci-dessous montre le profil d’émission de trois corps noirs à 3000 K, 5800 K et 10000 K.

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Je trouve que le Soleil est jaunâtre même lorsqu'il est haut dans le ciel. D'ailleurs quand j'étais enfant et que je n'avais aucune connaissance en astropnomie, je le dessinais jaune (j'ai encore de vagues souvenir de l'école maternelle, où je dessinais un rond jaune, puis une bande bleue - le ciel - uniquement en haut de la feuille...)

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Bruno, tu dessinais le soleil comme tous les enfants : Jaune, effectivement. Maintenant, un enfant voit toujours dans les livres un soleil jaune, tout le monde le dessine jaune, du coup, on est conditionné. De plus, un soleil généralement, on le dessine sur une feuille blanche, et là, le jaune ressort mieux que le blanc! De plus, on ne regarde pas le soleil en face quand il est haut dans le ciel, c'est trop éblouissant. Quand on le regarde, c'est qu'il est atténué donc soit assez bas sur l'horizon, et pour le coup, il est jauni, soit on voit son disque au travers de nuages, et là, généralement, on le voit plutôt blanc.
Il faudrait demander à ceux qui utilisent un hélioscope de quelle couleur il apparait, à condition bien sûr que l'hélioscope atténue de façon identique toutes les longueurs d'onde. Thierry Legault qui en utilise régulièrement un pourrait peut-être nous le confirmer ?

[Ce message a été modifié par Axel VINCENT-RANDONNIER (Édité le 31-01-2008).]

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Merci pour vos réponses...

Je suis tout de même perplexe car en me balladant sur le net et en regardant la classification, le soleil serait classé G2V...
Il y est décrit comme une étoile jaune, ou crême...
Certes ce n'est pas jaune citron mais blanc comme neige?

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Bruno,

Les feutres blancs, c'est peu courant en maternelle, je le sais par expérience...
Par contre à la craie grasse, ok
Donc jaune est elle une couleur par défaut?
Benoit

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Si c'était une couleur par défaut, ça n'expliquerait pas que tout le monde utilise du jaune et jamais autre chose.

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Bonsoir,

je comprend pas bien non plus, que Sirius soit blanche OK, mais le type spectral du soleil est bien dans le jaune ? Il est bien classé étoile naine jaune ? Bételgeuse est une supergéante rouge, si on la regardait de près, elle serait blanche aussi ? D'où proviennent les couleurs intrinsèques des étoiles quand on les photographie alors ? Je comprend plus rien...

[Ce message a été modifié par VL (Édité le 01-02-2008).]

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Pas d'accord avec Axel, d'accord avec Bruno.

Je sais pas si çà a valeur scientifique, mais je m'en fiche : quand on utilise une densité neutre Kodak, et qu'on regarde le Soleil à travers, il est jaune, pas blanc, jaune, définitivement jaune. Jaune, comme le Soleil.

Je ne crois pas (même si je ne peux pas expliquer d'un point de vue spectral pourquoi) que le Soleil soit blanc.

Du coup, j'en viens à VL.

VL, regardes des étoiles brillantes dans un télescope puissant, et défocalise : tu verras la couleur des étoiles...

Sirius ? Une tache blanche
Bételgeuse ? Une tache orangée
Capella ? Une tache... jaune.

S

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Ben oui Serge, c'est pour cette raison que ça m'étonne. Si on pouvait voir le soleil sur une de tes Voies Lactées, ben je crois bien qu'on verrait un point jaune, pi c'est tout !

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Peut-être me trompe-je mais quand j'étais petit, j'ai regardé une fois ou deux le soleil par projection. Et je crois me rappeler que l'image projetée était blanche.

Et puis, qui peut alors m'expliquer ce qu'est la "lumière blanche" ?

Dernière chose, pour faire la balance des blancs d'un appareil photo numérique, on procède par visualisation d'une feuille blanche exposée à la lumière du jour (enfin, c'est ce que suggèrent les notices d'APN). Alors on m'aurait menti, on étalonne la balance des blancs avec de la lumière jaune ?

Thierry Legault n'ayant pas répondu pour l'hélioscope, peut-être Christian Buil est-il là ? Youhou, Christian, on a besoin de tes lumières... (enfin, surtout moi, parce que les autres y sont pas d'accord avec moi et que je commence à me sentir un peu seul)

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Excellente remarque Axel concernant la balance des blancs.
Sans compter que le complexe oeuil/retine/cerveau/...individu equilibre lui même en pertie "sa" balance des blancs ce qui ammene à certains phenomenes physiologiques, artistiques, interessants ( la notion d'agents azurants,vous savez le plus blanc que blanc , la notion de couleur complementaire par reaction de la retine chere aux impressionistes qui avaient compris que les ombres par exemple sont perçues colorées etc... )
Je crois que dans la discussion on melange un peu deux domaines, ce qui est souvent le cas en astronomie d'ailleurs.
La perception (visuelle et/ou numerique avec l' "oeuil" de toute maniere en bout de chaine comme interprete ) et le "réel" definit par un spectre en l'occurence.
Je reviendrais au point essentiel: qu'est ce que nous apellons le blanc.
C'est une perception ( comme toutes les couleurs et les neutres, blanc et noir, dont nous parlons) liée à notre vision et sa physiologie evidemment centrée sur le spectre solaire. Ce qui n'est que la consequence d'un processus evolutif qui s'est naturellement "calqué" sur les caracteristiques de l'environnement et donc le pic d'emission du Soleil.
Je pense donc qu'il faut definir dans quel domaine on evolue. Perception, ressenti ou analyse spectrometrique. Ce qui demande un peu de culture à la fois scientifique et artistique. Quand on pense par exemple que les couleurs sont cataloguées selon un fort contexte culturel qui en fait une perception toute relative ( le jaune du soleil...)
Pour te repondre Serge, tu dis "tu verras la couleur des étoiles...". J'ai envie de te dire "tu percevras une couleur" et on ressent bien ( tu dis toi même que ce n'est peut etre pas scientifique et que tu t'en fiche) que l'on évolue dans le domaine flou de la physiologie. Y'a qu'a voir la diversité des CROA visuels concernant les couleurs du Ciel profond par exemple.
Ce qui rend le post assez riche du coup et nous met au carrefour de pas mal de pistes de reflexion.
Et d'ailleurs la Lune vous la voyez comment


[Ce message a été modifié par Bernard Augier (Édité le 01-02-2008).]

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<<<<<<<< impressionistes qui avaient compris que les ombres par exemple sont perçues colorées etc... >>>>>>>>

Bernard, les impressionnistes ont "découvert" que les ombres SONT colorées par la lumière indirecte, diffuse, qui émane de l'environnement de l'ombre en question. Ce mouvement artistique est d'ailleurs, d'une façon passionnante, influencé directement par les avancées de la science de l'époque (dont la spectroscopie, l'analyse fine de la lumière, etc...).

Pour le reste, tout à fait d'accord avec toi.

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Salut Bernard,

ouh là, j'ai l'impression qu'on s'éloigne du problème. Le soucis n'est pas de savoir comment l'oeil perçoit les couleurs, c'est sûr que là c'est subjectif de par nos différentes morphologies et pi y'a les animaux tout ça...
Nan, ce qui m'interpelle c'est la nature blanche de la lumière du soleil, y'a pas, le soleil est dans une certaine classe spectrale point. La lumière qu'il émet est donc différente d'une autre classe spectrale, nan ? Qu'on définisse la "lumière blanche" comme étant celle su soleil, en quoi ça change le problème ? Dites moi pourquoi alors les étoiles n'apparaissent pas toutes blanches sur une photo ? Même si la référence du "blanc" est celle du soleil, on voit bien des différences de tons ? C'est pas que je veuille imposer un quelconque point de vue, mais j'ai pas eu la réponse à ma question, notamment sur Bételgeuse.

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Bételgeuse n'a pas la méme couleur parce qu'elle n'a pas la méme température,il me semble ?

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De quelle couleur est le Soleil vu avec un solarscope, sans filtre ? Il me semble le voir blanc.

Autre piste : si on éclaire de la neige fraîche ou une feuille blanche avec une lampe bleue, elles apparaissent bleues. Avec une lampe rouge, elles apparaissent rouges. Or à la lumière du jour, la neige ou la feuille apparaitront... blanches, non ? Donc, éclairées par une source blanche, à priori le Soleil...

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Je dois être un peu simplet ...
J'avais tendance à penser que la couleur d'une étoile ( du moins telle que notre oeil la percevait ) était liée à sa classe spectrale .
Maintenant , quant à la couleur de notre soleil , si sa proximité ne permettait pas de bien admirer sa couleur à l'oeil nu sans interposition de filtre , il me semblait qu'en prenant une étoile de classe similaire et en lorgnant tout bêtement dessus ou en lui tirant le portrait , on avait une idée de sa couleur telle qu'appréhendée par un homo sapiens vulgus ...

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Vous connaissez tous les illusions liées a l'observation des etoiles doubles colorées. Certe le type spectral intervient, mais au risque de me repeter il y a aussi la perception que nous en avons. Et dans ce cas le contraste de couleur modifie les "couleurs" perçues en les renforçant, en les opposant en quelques sorte. C'est joli d'ailleurs au risque de creer des couleurs comme le violet par exemple .Voir la reponse à Kaptain ci dessous.

Ensuite mon cher Mezzo,il n'y a pas de blanc sur le spectre . C'est notre convention visuelle physiologique d'un certain melange de frequence, et encore tout depends d'un subtil equilibre de temperature de couleur.

Valere, tu dis "Qu'on définisse la "lumière blanche" comme étant celle su soleil, en quoi ça change le problème ?"
Eh bien c'est ça la definition, 5500 Kelvin, surface du Soleil, c'est la bonne temperature de couleur. Au delà on perçoit bleu, en deça jaune. C'est ce qu'on fait en photo (flash, bougie, ampoule incandescence, jour, heure du jour...)

Kaptain,"les ombres SONT colorées par la lumière indirecte". Tu as raison mais elles le sont aussi par une compensation de la retine qui fait une balance des blancs. En fait la retine de maniere active corrige, centre en recherchant une moyenne. Ce qui fait que si tu vois une etendue bleue, en fermant les yeux, ou en regardant une zone dite "blanche" tu verra une tache de la couleur complementaire donc orange. etudier les illusions d'opique est assez formateur en observation visuelle .

Ciel bleu, soleil jaune orangé, complementaires donc ... serais ce une piste ?
Et puis je pense aux dilemne des "vraies" couleurs martiennes par exemple.

C'est pas simple mais desolé, mais même Homo Sapiens Vulgus fonctionne de maniere complexe, heureusement .

Hop je passe la patate chaude

[Ce message a été modifié par Bernard Augier (Édité le 01-02-2008).]

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Nolston : rien n'est plus "blanc-jaune-doré-éclatant" que la neige au soleil, ni plus "bleu-mauve-absorbant" que la même à l'ombre...

Franchement ce que nous appelons communément le "blanc" repose d'abord sur une perception physiologique, que nous pouvons le cas échéant traduire physiquement par une répartition de l'énergie par longueur d'onde. La balance des blancs ne nous propose qu'un étalonnage de ce type pour parvenir au "rendu visuel" le plus fidèle... en fonction de l'interprétation conventionnelle qu'en fait notre cerveau.

D'accord aussi que depuis la nuit des temps, notre cerveau utilise comme référence essentielle la lumière de notre Soleil et a dû apprendre à se débrouiller avec ça.

Mais par beau temps, on oublie trop facilement que la lumière du Soleil n'est pas la seule à nous éclairer : il y a celle du ciel, justement.

Pour que notre oeil interprête globalement comme du blanc la lumière naturelle "moyenne", il faut bien que le petit Soleil - très brillant - nous paraisse légèrement jaune, pour compenser l'immense ciel - également lumineux en valeur absolue - diffusant franchement bleu.

Il suffit pour s'en convaincre de baigner tout cela dans l'ambiance fantômatique d'un brouillard un peu épais comme on en trouve par exemple en montagne quand on skie dans la "crasse" : il y a alors diffusion totale de la somme de ces éclairements dans toutes les directions, pour aboutir à ce qu'on appelle là haut, non sans raison : "un jour blanc".

La lumière "blanche" ne peut donc pas être pour nous celle que nous voyons du Soleil en l'observant de face : je suis d'accord avec Serge, elle nous paraît forcément jaune si nous en diminuons assez l'intensité avec un filtre neutre.

Et je serai même tenté par l'expérience suivante : opérer cette filtration (1/130 000 environ ?) de façon à ramener la brillance surfacique du Soleil à ce qu'elle serait si on étalait sa luminosité sur toute la surface du ciel, puis combiner cela au fond de ciel bleu diffusant dans les mêmes conditions d'éclairement : on devrait retrouver un blanc digne d'étalonner correctement notre "balance des blancs", ne croyez-vous pas ?

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Bonjour,
Je crois avoir lu que les astronautes ont une impression d'un soleil trés blanc dans l'espace.Les photos prisent la haut et sur la lune donnent souvent l'impression d'etre eclairées au flash(studio? ).Sur terre la forte diffraction lumineuse change la donne.Au zénith le soleil prend une coloration legerement jaune,jusqu'à franchement rouge au coucher.De la terre il me parait impossible de determiner la couleur du soleil avec nos seuls yeux.

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Je ne vois pas bien où est le problème :
. le soleil est-il jaune ? oui, si on se réfère au maximum de son spectre,
. le soleil est-il blanc ? oui, si on considère qu'il a dans son spectre de quoi exciter nos cones verts et rouges.

Comme l'appareil photo dont on fait la "balance des blancs" l'oeil s'étalonne sur la lumière ambiante pour peu que cette lumière ne soit pas trop monochromatique : passez, le soir, d'un éclairage au tungstène à un néon ou le contraire, vous verrez qu'après un bref temps d'adaptation votre oeil voit "blanc" le même papier.

En fait l'oeil est assez mal foutu : les trois filtres bleus, verts et rouges sont mal positionnés : le bleu est étroit autour de 440 nm, le vert et le rouge, trop près (540 et 570 nm), "bavent" l'un sur l'autre. Les astronomes, toujours plus astucieux , ont choisi un filtre R à 700 nm plus éloigné du filtre V (550 nm) qui permet de mieux explorer le rouge et au-delà.

A noter, de plus, que nos cones "rouges" redeviennent plus sensibles que nos cones "verts" dans le bleu (un peu plus bleu que nos cones "bleus") ! C'est pourquoi on fait du violet avec du bleu ... et du rouge pour faire croire qu'on est en deçà du bleu.

Voir par exemple http://en.wikipedia.org/wiki/Color_vision (pas de version française) http://en.wikipedia.org/wiki/CIE_1931_color_space
(version française bien incomplète)
On voit que dans le diagramme CIE xy le blanc s'étend selon les trois directions x=y, x=z, y=z, c'est-à dire que, si je comprends bien , pour voir "blanc"il faut et il suffit que deux de nos trois types de cones soient stimulés de la même façon.

Il y a donc un blanc "jaune", un blanc "bleu-vert" et un blanc "rouge-bleu"

[Ce message a été modifié par ChiCyg (Édité le 01-02-2008).]

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Bernard , je suis définitivement un âne ... Mais je n'ai toujours pas bien compris .

Je tente de m'expliquer :
La répartition de l'énergie lumineuse d'une étoile correspond à son spectre ?
Par exemple , plus une étoile est chaude et plus elle émet dans le bleu et le contraire pour le rouge ?
Quand je fais une photo plan large du ciel profond , je vais bien avoir des étoiles blanche , bleutées , rouge ,etc ... ?
Et je me dis que si j'étais suffisamment loin du soleil de manière à ce qu'il ait la grosseur apparente de Bételgeuse par exemple , il m'apparaitrait jaune ?

Est ce que je déconne à plein tube ?

Hyperpaumé

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