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Ciel & espace nouvelle formule !

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Pour moi !
Pas envie de me retrouver en procès pour diffamation, Fredo !

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Bonjour à tous,

je fais parti du petit groupe de personnes à l'origine du projet de magazine numérique en Anglais. Et je le revendique !
Contrairement à ce que supposent certains, ce projet est totalement décorrélé de la décision de passer le Ciel et Espace en bimestriel.

Vous n'êtes pas sans savoir que la presse vit une "petite" crise, et doit donc chercher des solutions. L'idée de First Light Magazine est simple, il s'agit de valoriser ce que l'on produit déjà, autrement. Le but principal derrière ce projet est de pouvoir continuer à faire Ciel et Espace (et non pas déshabiller Ciel et Espace comme pensent certains).

Le but est aussi de négocier la transition numérique. Aujourd'hui le premier support utilisé pour lire de l'information c'est le smartphone. C'est factuel, et les médias doivent admettre cette réalité. Ce qui est factuel également c'est que le premier usage fait des tablettes numériques c'est de lire de l'information. Bizarrement ça arrive bien devant "jouer à candy crush", ... mais c'est tant mieux
Ce projet a quelque chose d’expérimental. Au niveau des outils utilisés, c'est très novateur, et ça a d'ailleurs été remarqué par certains observateurs des médias : http://www.talkingnewmedia.com/2014/11/10/association-francaise-dastronomie-releases-english-edition-magazine-ciel-et-espace-native-digital-edition/

Quand l'innovation est Made in France, on peut s'en réjouir au lieu de se fustiger à mon avis. Mais ça, c'est vous qui voyez.
Si vous observez le paysage de la presse anglophone vous verrez aussi que les contenus produits pour C&E sont différents de ce que fait le reste de la presse astro. Certains anglophones nous le disent eux même. Et méme Sky & Telescope est admiratif de ce que l'on fait quand on discute avec eux.

Je vous invite à aller télécharger l'appli gratuite et regarder le numéro de démo. Ça vous donnera une idée de ce que sera la presse de demain (c'est dispo pour Androïd et iOs).
iOs : https://itunes.apple.com/fr/app/first-light-magazine/id917304248?mt=8
Android : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.afa.firstlightmagazine

Bref, l’intérêt a notamment été d'acquérir des savoirs faire de pointe qui seront peut être un jour réinvestis sur Ciel et Espace.

Faire ce magazine ne pénalise pas Ciel et Espace puisqu'il est peu coûteux à produire. Et le faire, n'est pas non plus contraire aux statuts de l'AFA. L'AFA a pour but de populariser l'astronomie, et ce sans notion de barrière de langue ou de frontière. La nuit des étoiles s'est un peu exportée sans que cela ne choque personne, ... au contraire !

Le meilleur soutien que l'on peut apporter aujourd'hui à la presse en générale c'est de la lire. Donc je ne peux que vous encourager à continuer à nous lire, de même de l'Astronomie ou Astrosurf par exemple ont besoin d'être lus pour continuer à exister.

Pour répondre à une autre question, les abonnés en cours ne seront pas lésés. Ils pourront recevoir le nombre de numéros commandés. Plusieurs options seront proposées, mais je n'en connais pas le détail.

Libre à chacun d'avoir son propre regard sur ces projets. Que ce soit sur First Light ou Ciel et Espace, l'éditeur est une association, et chacun est libre de participer à la vie de cette association, d'y adhérer, de venir aux assemblés générales, etc ... Une association appartient à ses adhérents, et donc vous appartient si vous y adhérez. La prochaine AG est le 20 juin à priori.

Bonne journée sous le Soleil !

J-Luc

[Ce message a été modifié par jldauvergne (Édité le 11-05-2015).]

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jldauvergne, le problème est simple : ceux (dont je suis) qui se sont abonnés à la version papier du mensuel C&E, l'ont fait pour recevoir un mensuel papier, c'est factuel . Perso, j'irais pas m'abonner pour avoir du contenu numérique, y en a infiniment plus que je ne peux en lire, dans toutes les langues de la terre (trop souvent in english ) , et en plus gratos .

Si le mensuel C&E avait 50 pages de plus, ça m'irait encore mieux. (Franchement c'est un peu gros qu'Olivier Las Vargnas prétende "avoir entendu notre première critique, à savoir de manquer de temps" . Faut l'oser. Perso je suis abonné aussi à La Recherche et, en général, j'ai lu les deux revues complètement dans les tous premiers jours du mois.

Je suis nettement moins intéressé par un bimestriel de 132 pages que par deux mensuels de 100 pages, c'est factuel . Et je ne suis pas sûr que je me réabonnerai, je changerai peut-être de crèmerie.

Je serai bien content pour vous si votre appli anglophone marche, simplement je pense, qu'au moins dans un premier temps, elle mobilise des fonds, qui seraient, de mon point de vue, mieux investis dans C&E.

Au final, je pense que passer C&E en bimestriel est une erreur.

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L investissement dans first light ne se fait pas au détriment de c&e. L afa a des actifs, les choix sont politiques, pas contraints par l'argent disponible. Pas encore en tout cas.

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Olivier Las Vergnas nous a écrit :
quote:
Hélas, depuis plusieurs années et en raison de la crise de la presse, l'AFA enregistre une baisse significative de ses ressources d'édition. Au point de mettre en danger le modèle sur lequel fonctionne Ciel et Espace : une rédaction professionnelle, une propriété associative.
C'est donc dans ce contexte que [...] a pris la décision de lancer cette nouvelle formule de Ciel et Espace [...]

Il présente bien la nouvelle formule bimestrielle comme le résultat d'une contrainte économique, non ?

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Oui, l'association est en déficit et reprend sur ses actifs depuis plusieurs années, à long terme ce n'est pas une solution. Il y a d'autres solutions que passer bimestriel, mais c'est celle retenue par les administrateurs à une courte majorité. Après si tu penses que ce n'est pas le bon choix il faut adhérer et te présenté au CA. C'est le 20 juin l'AG, tu as donc jusqu'au 20 mai pour adhérer et proposer ta candidature.

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Jean-Luc,

Si tous les abonnés mécontents doivent se présenter au CA, il va falloir réserver une grande salle.
L'opinion de Chicyg est peut-être isolée mais j'en doute. Je ne suis pas abonné, et je suis moi-même déçu que C&E devienne bimestriel, alors j'imagine si je l'étais.
Le vrai sondage d'opinion, tu l'auras au fil des mois devant le taux de renouvellement des abonnements.
J'espère pour ce superbe magazine que vous aurez fait le bon choix.

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C'était juste une proposition et une invitation Je souligne ainsi la particularité de C&E. Le magazine est édité par une association.
Une association appartient à ses membres, donc n'importe qui peut à tout moment adhérer pour venir siéger aux assemblées générales, poser des questions, exprimer des points de vue, débattre, et plus si affinité.

[Ce message a été modifié par jldauvergne (Édité le 12-05-2015).]

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LETTRE OUVERTE AUX ADMINISTRATEURS DE L'AFA D'UN AMATEUR D'ASTRONOMIE LAMBDA

Ben c'est justement le fait que ce soit un choix précisément politique que cela fini par me gêner! Dans AFA il y a un F et a priori quand je vois pour la première fois le nom d'une association, je me réfère à son nom "pour savoir ce qu'elle va me vendre". Pour que ce choix politique soit cohérent, il faudrait alors la rebaptiser AIA, I comme internationale avec toutes les conséquences que cela suppose tant en termes d'équilibre des membres qui la compose qu'en termes de finalité. Maintenant, je ne jette pas le bébé avec l'eau du bain (j'ai épluché le site) et le principe d'un magazine international c'est intéressant et louable mais au minimum IL FAUT LE PREVOIR D'EMBLEE au minimum bilingue et avec le même contenu stricto sensu (Et pas on verra après). Simplement, je suis d'abord astronome amateur francophone, avant d’utiliser l'anglais notamment dans mon travail avec plaisir mais aussi par ce que je ne peut pas faire autrement... Que dans l'esprit des administrateurs et des créateurs de First Light Magazine (FLM), le passage à la bimensualisation de C&E soit complétement décorrélé de la genèse de FLM, je peux éventuellement l'entendre... mais les faits du recul de la francophonie scientifique sont têtus. Pour ma part la loi Toubon, qui a certes le mérite d'exister, ne va pas assez loin, mais c'est presque un autre débat. C'est vrai dans beaucoup de champs disciplinaires scientifiques. On entend ici et là en guise d'argumentaire contradictoire : "Oui mais si on ne parle plus en anglais on ne compte pas"... c'est une manière d'y contribuer mais pas la seule... Il y a aussi le contenu! Faut pas s'en faire quand des anglophones sont intéressés par un contenu qui n'est qu'en "french in the text", ils savent faire Donc quoiqu'on en dise (on peut toujours discuter les lignes éditoriales gnagnagna... mais cela c'est habituel, je dirais) , pour promouvoir l'astronomie dans un monde francophone avec sa liberté de ton, C&E est en première ligne. Je ne suis pas abonné à C&E (je l'ai été un temps) mais je l'achète de temps en temps mais avec le passage à la bimensualisation je pense que j'aurais plus de mal à y prêter attention. Et visiblement je ne suis pas le seul. Par ailleurs, les quelques fois que j'ai voulu me procurer C&E en kiosque, absent du rayonnage. C'est une coïncidence? Une rationalisation du nombre d'exemplaires?
Une association est le reflet de ses membres, certes, mais la logique habituelle est un peu biaisée car l'AFA édite un journal (d'opinion ?) avec un lectorat important qui dépasse la communauté des seules astronomes amateurs et professionnels; et donc cela implique des responsabilités supplémentaires, notamment en termes de diversification/diffusion des sensibilités astronomiques dans un monde (encore...) francophone.
Conclusion: il n'est pas trop tard pour que les administrateurs reviennent sur leur décision

[Ce message a été modifié par maire (Édité le 13-05-2015).]

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Le projet de magazine en anglais est un moyen et non pas une fin. Il ne s'adresse pas aux francophones (et ce n'est d'ailleurs pas un hasard si certains ici n'en avaient même pas entendu parler).

C'est un moyen pour répondre à la crise de la presse et négocier la transition numérique : si ce projet fonctionne, il compensera une partie des pertes et permettra de continuer à faire des contenus en Français de façon durable. L'objectif reste bel est bien celui-ci. Par ailleurs, en montant ce magazine des savoirs faire ont été acquis sans prendre de risque sur l'existant. Ça aussi ça ouvre des perspectives pour des projets francophones. C'est aussi simple que ça.

Et ce qui défini l'objet d'une association ce sont ses statuts pas simplement son nom. Heureusement que c'est un peu plus subtile que ça. Ca n'aurait strictement aucun sens de s'imposer à soi même des frontières invisibles pour une simple question de nom.
D'ailleurs l'idée de faire un magazine Européen trainait depuis longtemps dans les tuyaux. Jusqu'ici c'était techniquement compliqué à concevoir donc c'est resté en suspend.

Si tu ne trouves pas C&E dans certains kiosques, c'est en effet une conséquence de la rationalisation de la distribution. Mais elle n'est pas forcément du fait de l'éditeur. Le diffuseurs impose des règles, du genre : tu disparais d'un kiosque donné si tu vends 0 numéros pendant X mois d'affilé. A croire que tu as dû t'absenter de ton kiosque préféré trop de mois d'affilé Très concrètement c'est de ça que la presse souffre aujourd'hui. Les kiosquiés eux même n'ont pas la main. Si tu demandes à ton kiosquié de te fournir en C&E il ne pourra pas non plus le décider lui. C'est absurde mais c'est comme ça.
Les réseaux de distribution sont en crise et c'est une partie du problème pour l'avenir.
Ceci dit, il est possible de commander les numéros sur internet en version papier ou numérique.

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jldauvergne, il me semble qu'il y a quelques contradictions dans tes propos :
. il n'y a pas de problème d'argent mais l'association est en déficit et une des solutions est de passer en bimestriel.
. il y a une crise de la presse, il faut donc créer un nouveau périodique numérique anglophone qui compensera peut-être les pertes.

Tu répètes que si on n'est pas content, on n'a qu'à aller à l'AG de l'AFA. Je n'ai aucune envie de devenir membre de l'AFA. Je suis abonné (depuis de nombreuses années) et je ne suis pas content, en tant que client, du passage au bimestriel et je ne suis donc pas sûr de renouveler mon abonnement (apparemment je ne suis pas le seul). En tant qu'amateur d'astronomie, je crains que le choix ne conduise à la disparition de C&E et donc à une des principales raisons d'être de l'AFA (voir les statuts).

A titre personnel, je trouve dommage de créer un magazine numérique anglophone pour aller concurrencer les revues américains. Si j'ai bien compris, "First Light Magazine" est écrit d'abord en français puis traduit en anglais pour être mis en ligne. Pourquoi alors ne pas le mettre en ligne en français ?

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Je dois dire que j'ai également été surpris de ce changement de formule...et notamment de ce fameux argument concernant le manque de temps pour lire... en ce qui me concerne, un C&E se lit en deux trois soirs avant de couper la lampe de chevet et j'y reviens ensuite pour les éphémérides essentiellement.

Cela dit, j'attends la nouvelle formule avant d'émettre un avis.
Cordialement,
Quentin

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Je ne vois pas la contradiction Chicyg, il y a plusieurs pistes qui sont tentées voilà tout. Et je n'ai pas dit qu'il n'y a pas de problème d'argent. Il est facile de comprendre que même en ayant des actifs tu ne vas pas très loin avec une succession d'exercices fortement déficitaires. Dans ce cas, tes actifs tu essayes de les employer au mieux, ce qui ne va pas sans susciter de gros débats.

Par contre, il y a une petite contradiction dans le tien de propos. Tu crains une disparition du journal et tu annonces que tu vas te désabonner, ... ce qui est le meilleur moyen de voir ta crainte se réaliser.

En Allemagne lorsqu'ils ont eu leur magazine national en danger il y a quelques mois, les lecteurs et les annonceurs se sont mobilisés, il y a eu un gros crowfunding, les gens ont contribué à remettre la machine en route.

Personnellement je suis attaché à ce que l'on fait à C&E car les autres ne le font pas, et je pense que c'est une richesse culturel qu'il faut préserver.
Là, je suis loin de tout ça à plus de 10 000 km, justement pour continuer à rapporter des contenus que les lecteurs ne trouvent pas ailleurs (C'est incroyable d'ailleurs de voir toutes les histoires que l'on peut découvrir un peu partout sur Terre, même au fin fond de la pampa) .
Après c'est aux lecteurs de voir si ils veulent soutenir un magazine qui propose un réel travail journalistique sur l'astronomie. Pour pouvoir continuer à lire ce type de contenus dans le futur, il faut aussi les lire maintenant.

Ce que je te suggère dans tous les cas, c'est d'attendre de voir ce qui sera proposé aux abonnés, et attendre aussi de voir la nouvelle formule. Il n'y aura pas seulement une nouvelle formule, d'autres contenus seront proposés.

Je pense que tu as raison, il faut faire l'équivalent de First Light en Français. Je pense même qu'il y a moyen d'aller plus loin encore. J'espère que ça viendra. Mais ce n'est pas moi qui décide. En revanche si tu penses que c'est une attente du lectorat, c'est bien de le faire remonter directement en écrivant à la rédaction. Si d'autres personnes font remonter la même attente, c'est comme ça que les choses peuvent évoluer. Certains administrateurs doutent qu'il y ait une attente de cet ordre là. La question du numérique payant n'est pas simple, mais je suis à 100% convaincu qu'il y a un avenir pour ça. Si on ne croit pas à ça, on ne croit pas à l'avenir de la presse écrite. A court terme et à moyen terme le numérique et le papier vont coexister (pas seulement pour C&E). A long terme, bien malin celui qui sait ce qui se passera et ce que sera la presse de dans 20 ans.

De même sur d'autres points, rien ne t’empêche de faire remonter tes remarques positives et négatives à la rédaction, tu as les adresses mail dans le magazine. Ce conseil est valable pour tous.

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Jean-Luc Dauvergne a écrit:

Mais ce n'est pas moi qui décide. En revanche si tu penses que c'est une attente du lectorat, c'est bien de le faire remonter directement en écrivant à la rédaction. Si d'autres personnes font remonter la même attente, c'est comme ça que les choses peuvent évoluer. Certains administrateurs doutent qu'il y ait une attente de cet ordre là.

.....

ce conseil est valable pour tous ...

Qui décident alors?
Bon, là c'est le moment de savoir si les administrateurs lisent ce forum et s'intéressent à nous en tant que lecteurs !!! Je ne suis qu'un astronome amateur de base et je suis 3 forums d’astronomie (dont un en anglais ). J'imagine qu'à l'ère du numérique promu par la mise en avant de First Light Magazine, que quand on est administrateurs à l'AFA, ce serait bien le minimum qu'on puisse faire... La formule "écrivez à la rédaction", on connait... Pour diluer une inquiétude d'un lectorat pas en phase... on ne sait pas mieux faire.
Sinon pour qui connait le mail des administrateurs, on peut aussi leur donner le lien de ce fil

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quote:
La formule "écrivez à la rédaction", on connait... Pour diluer une inquiétude d'un lectorat pas en phase... on ne sait pas mieux faire.

Je ne sais pas comment ça se passe ailleurs. Je sais par contre comment ça se passe à C&E. On est attentif à ce que font remonter les lecteurs et généralement on essaye de répondre.
Et c'est bien parce que je passe une partie de mon temps à répondre à des lecteurs et que je sais que mes collègues font pareil que je donne ce conseil.
Tout le monde ne passe pas son temps sur les forums, et il y a une différence entre une réaction sur un forum, et un mail adressé par un abonné ou un lecteur régulier. Sur les forums on sait bien comment ça se passe, il y a des moments où ça part un peu dans tous les sens et chacun donne son avis sans toujours connaître les tenants et les aboutissants. Il y a eu pas mal de choses fausses énoncées dans ces 3 dernières pages.

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C'est vrai que les discussions partent souvent un peu dans tous les sens. Mais là les réactions sont quand même unanimes : contre le "nous avons bien entendu votre première critique, à savoir celle de manquer de temps" et contre le passage en bimestriel. Si tu es à l'écoute des lecteurs, tu peux faire remonter ces réactions à qui de droit.

Concernant "First Light Magazine" je regrette que vous paraissiez plus intéressés à tailler des croupières aux 'ricains plutôt que vous concentrer sur des supports francophones alors que nous sommes nombreux ici à regretter le quasi monopole de l'anglais dans le domaine scientifique : l'ESO, l'ESA n'éditent qu'une faible partie de leur contenu en d'autres langues que l'anglais, les revues astrophysiques sont maintenant toutes en anglais, etc ...

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Ce qui est surtout regrettable ChiCyg, c’est que tu sembles incapable (et d’autres intervenants sur ce fil) de comprendre qu’ils font tout ce qu’ils peuvent pour éviter de crever… Il est vrai que tu n’es responsable que de ta petite personne, et pas d’une revue qui fait vivre plusieurs salariés…

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Chicyg si tu sais quelle est la solution pour un secteur à la baisse, à un point où ça commence à poser des problèmes, je veux bien que tu la partages. Elle peut intéresser l'ensemble de la presse papier accessoirement.

Que le passage en bimestriel ne te plaise pas, ça je l'entends bien, en temps que lecteur tu es concerné. En revanche qu'il y ait un nouveau support en anglais je ne vois vraiment pas ce que ça change pour toi concrètement. Ça ne t'enlève rien. Au contraire même tu pourrais avoir envie de profiter de cette innovation.

Encore une fois, il n'a pas été fait en déshabillant Paul pour habiller Jacques. Et au contraire, si ça fonctionne, les retombées seront profitables au support francophone, techniquement et économiquement.

[Ce message a été modifié par jldauvergne (Édité le 18-05-2015).]

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Chers jackbauer 2 et jldauvergne,
1) je suis abonné depuis plus de 20 ans, ma "petite personne" est donc "responsable" à son tout minuscule niveau de la vie de cette revue et de ses salariés,
2) ce que je supporte mal, c'est qu'on me dise qu'on va passer en bimestriel parce que je me serais plaint de ne pas avoir le temps de lire,
3) on me dirait "on n'arrive pas à joindre les deux bouts donc soit on met la clef sous la porte, soit on passe en bimestriel", j'aurais pu l'entendre,
4) de plus, je crains, mais peut-être à tort, que le passage en bimestriel aggrave la situation, en tous cas, moi cette formule m'intéresse moins et je crains de n'être pas seul,
5) sur le site de C&E on constate que le passage en bimestriel n'est pas signalé : les gens qui s'abonnent un ou deux ans aujourd'hui ne savent pas qu'ils vont avoir un bimestriel à partir de juillet ("l'économie" de l'abonnement annuel est visiblement calculée sur 12 numéros à 5,50 € plus un hors série à 7,70 €),
6) l'abonnement numérique est au même prix que l'abonnement papier ce qui est un peu surprenant si c'est bien le circuit de distribution qui pose problème,
7) si l'avenir est au numérique, alors je ne vois pas l'intérêt du bimestriel (qui réduit les frais de distribution papier). L'intérêt du numérique est d'avoir une production quasi continue d'articles et d'informations parce qu'il n'y a plus de contrainte d'impression et de distribution.
8) je regrette le choix d'investir dans une revue anglophone (de plus traduite du français) et non pas francophone.

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Ehhh!!! Attendez, on est les premiers à défendre le journal et donc les salariés qui vont avec. Si vous avez bien lu, mon message s'adresse prioritairement à ceux qui décident! J'enfonce le clou, il faut que les administrateurs lisent ce qui est écrit ici et je suis désolé, dans les forums on écrit pas forcément n'importe quoi... sinon à quoi bon les fréquenter, faut être cohérent. J'ajoute, que je suis même prêt à défendre ce journal même s'il m'est arrivé de ne pas être forcément d'accord avec certains éditoriaux... Mais c'est un bien pour la diversité .
Je confirme également que nous sommes nombreux ici à regretter le quasi monopole de l'anglais dans le domaine scientifique même si j'utilise quasi tous les jours professionnellement et aussi pour la science! MAIS IL FAUT BIEN VOIR qu'utiliser l'anglais pour travailler, pour converser avec des amis étrangers, pour lire des publications spécialisées n'a rien à voir avec ce qu'on espère d'une publication provenant de l’Association FRANCAISE d’astronomie. Encore une fois, faut bien comprendre que je suis plutôt pour First Light Magazine à 1000% mais dans ce cas il faut faire une édition bilingue de Ciel & Espace. Là c'est cohérent. Désolé je défends la francophonie, les langues rares... je ne voudrais pas qu'un jour je reçoive la visite d'un anthropologue pour qu'il puisse comprendre comment conversent les derniers fous qui font encore de la science en français...
Bon les gars à ce jour, je suis membre de la SAF (car cela fait deux fois que je vais à Valdrôme), c'est quand que je peux prendre ma carte d'adhérent d'une grande association francophone d'astronomie? (Vous l'avez tous compris je parlais du serpent de mer de la fusion SAF AFA )
Désolé d'être casse-pieds et de faire entendre cette petite musique d'un observateur lambda

[Ce message a été modifié par maire (Édité le 19-05-2015).]

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On pourrait par exemple l'appeler la SAFA ? Au prix du papier ça économiserait déjà deux lettres sur cinq, soit un gain de 40% qui dans le contexte - je pèse mes mots - vaudrait son pesant d'or )

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Maire, First Light utilise les contenus produits en premier pour être publiés en Français (sauf quelques petites rubriques spécifiques).
La version bilingue elle existe donc déjà. Si les contenus étaient spécifiques, là effectivement il y aurait une débauche de moyens et une dispersion.

Et encore une fois, j'insiste, c'est un moyen et non une fin. Commencer par une version en Français ça a été envisagé, mais c'était une prise de risque, car rien ne permet de penser que ça va drainer beaucoup de nouveaux lecteurs. Ni que techniquement tout irait bien jusqu'au bout.
Dans une autre langue, ça en attire forcément de nouveaux lecteurs puisqu'on part de 0. Une fois que l'outil est maîtrisé en Anglais, il est facile de dupliquer ça en Français. Si on fait ça en Français il n'est pas souhaitable que ce soit identique à First Light. On a dans C&E des contenus à valeur nationale, il faut donc une version spécifique. En attendant il existe déjà une version numérique en Français sous une autre forme.

PS : svp, ... rangez vos violons sur la francophonie On ne peut pas vraiment parler de langue rare. C'est la sphère linguistique avec la plus grosse croissance démographique, et elle risque selon certains experts de devenir la langue la plus parlée dans le monde d'ici 2050. Ok, nos voisins nous ont piqué le méridien et la langue de référence mondiale, mais il ne faut pas vous vexer comme ça, la francophonie n'est pas en péril.

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perso je crois que l'anglais est un pari plus risqué encore que le français , car en français vous pouviez partir le pied à l'étrier en prenant pour appuis les milliers de lecteurs qui vous connaissent déjà et qui vous font confiance,
en revanche en anglais vous êtes franchement méconnus et en plus vous proposez un contenu sur un truc tres (trop ?) novateur.

On verra. j'espère me gourer, mais je suis entrain de faire un petit BB Bleues de Ciel et Espace
Et pour une fois je suis d'accord avec CHICIG, la langue de bois pour justifier le passage au bimestriel est non seulement grotesque mais dessert la crédibilité du magazine tout entier.

Pour finir je pense maitriser suffisamment l'anglais pour lire FLM même si cela me demanderais un effort sans doute salutaire pour mon niveau d'anglais, mais je déteste le concept d'un magasine français dispo qu'en anglais, cela me révolte et limite me dégoute. Cela participe au laisser faire d'un 'déclinisme' résolu auquel je n'adhère résolument pas (l'anglais est la langue unique a Bruxelles alors que les anglais n'y adhère pas, pire : les deputés français au parlement se parlent en anglais O.O - http://bruxelles.blogs.liberation.fr/2015/04/01/le-monolinguisme-anglophone-une-mauvaise-action-contre-leurope/ -)

Jean-Luc, je ne sais pas d'où tu tire tes renseignements sur la croissances de la langue française, mais j'aimerais que tu cites tes sources, car pour le moment c'est l'impression inverse que j'ai et c'est pas FLM qui va m'aider a inverser ce sentiment


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