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https://mars.nasa.gov/technology/helicopter/status/354/flight-19-new-year-same-ingenuity/


Traduction automatique corrigée du lien.


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Zone d'atterrissage du vol 19 : la zone d'atterrissage ciblée pour le vol 19 d'Ingenuity est visible sur cette image RTE du vol 9. Le point d'atterrissage ciblé est au centre de l'image, juste en dessous des traces du rover. Crédits : NASA/JPL-Caltech.
Le prochain vol sur Mars sera le premier de l'année 2022 et le dix-neuvième pour Ingenuity. 


Désormais, l'objectif  de la mission est d'atteindre le delta de Jezero pour aider le rover Persévérance dans la planification du chemin et la sélection d'objectifs scientifiques. 
Ce vol, qui aura lieu au plus tôt le vendredi 7 janvier, amènera le véhicule de reconnaissance hors du bassin sud de Séítah, au-delà de la crête qui le sépare du plateau principal. 


Le lieu d'atterrissage précis du vol 19 se trouve à proximité du site d'atterrissage du vol 8. Les images prises pendant le vol 9 par la caméra haute résolution Return-To-Earth (RTE) du giravion ont été utilisées pour sélectionner une zone d'atterrissage sûre.


Bien que court, le vol a un début à risque en raison du terrain sablonneux sans relief sur lequel se trouve actuellement l'hélicoptère. Initialement choisie au cause l'absence de roches pour atterrir en toute sécurité, la zone est en fait si dépourvue de roches nous manquerons de repères. Des alertes se sont produites lors de l'atterrissage du vol 18, en raison de caractéristiques insuffisantes pour suivre la navigation par camera. En conséquence, les paramètres de protection contre les pannes seront mis à jour pour atténuer le risque d'atterrissage prématuré.


Le vol 19 est le troisième nécessaire pour couvrir la  même distance parcourue pendant le vol 9, mais dans la direction opposée. Cette approche plus lente a été choisie en raison du manque de vastes sites d'atterrissage dans cette partie de Séítah et de la densité atmosphérique plus faible pendant les mois d'été, ce qui nécessite des vitesses de rotor plus élevées et une puissance supérieure générée par les moteurs. Pour une distance de 63 mètres, ce vol durera environ 100 secondes à une vitesse sol de 1 mètre par seconde, et à une altitude max de 10 mètres tout en prenant 9 nouvelles images RTE.

 

La manoeuvre finale du vol consiste à tourner de près de 180 degrés pour faire basculer la caméra RTE vers l'avant, ceci pour les futurs vols vers le delta du fleuve.


 

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Problème sur Mars...


https://mars.nasa.gov/mars2020/mission/status/356/assessing-perseverances-seventh-sample-collection/


Traduction automatique corrigée du lien :


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Débris dans le carrousel d'échantillons de Perseverance : des débris de la taille d'un caillou peuvent être vus dans le carrousel du rover dans cette image du 7 janvier 2022. Crédits : NASA/JPL-Caltech/MSSS.


Mercredi 29 décembre (sol 306) Persévérance a carotté et extrait avec succès un échantillon d'une roche martienne. Les données descendantes après l'échantillonnage indiquent que le carottage de la roche que l'équipe scientifique a surnommé Issole s'est bien déroulé. Cependant, lors du transfert du bit qui contient l'échantillon dans le carrousel (qui stocke les échantillons et les tubes à l'intérieur du rover), nos capteurs ont indiqué une anomalie. Le rover a fait ce pour quoi il avait été conçu, arrêtant la procédure de mise en cache et appelant la Terre pour obtenir des instructions supplémentaires.


Ce n'est que la 6 ème fois dans l'histoire de l'humanité qu'un échantillon est prélevé dans une roche sur une planète autre que la Terre, donc quand nous voyons quelque chose d'anormal se produire, nous procédons plus lentement. Voici ce que nous savons jusqu'à présent et ce que nous faisons à ce sujet.


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Imagerie de l'échantillon de Perseverance :  cette image montre l'échantillon de roche carottée restant dans le tube d'échantillonnage après que le trépan a été extrait du carrousel de trépans de Perseverance le 7 janvier 2022. Crédits : NASA/JPL-Caltech.


L'anomalie s'est produite pendant « Coring Bit Dropoff ». C'est à ce moment-là que le foret, avec son tube d'échantillon et son contenu juste carotté niché à l'intérieur, est guidé hors de la foreuse à percussion (à l'extrémité du bras robotique) et dans le carrousel de foret (qui est situé sur le châssis du rover). Lors du traitement des échantillons de roche carottés précédents, le trépan a parcouru 13,1 centimètres (5,15 pouces) avant que les capteurs ne commencent à enregistrer le type de résistance attendue au premier contact avec la structure du carrousel. Cependant, cette fois-ci, le capteur a enregistré une résistance plus élevée que d'habitude, environ 1 centimètre plus tôt que prévu, et une résistance beaucoup plus élevée pendant l'opération.


L'équipe a demandé des données et des images supplémentaires pour avoir une bonne compréhension de l'anomalie. Étant donné que nous opérons actuellement pendant quelques « Sols restreints » dans lesquels les données  les activités que nous pouvons effectuer sur Mars sont réduites, il a fallu environ une semaine pour recevoir les données de diagnostic supplémentaires nécessaires.


Avec ces informations, nous avons envoyé une commande pour extraire le foret et le tube rempli d'échantillons du carrousel de trépans et séparer le bras robotique du carrousel de trépans. Au cours de ces activités, une série d'images ont été acquises.


L'extraction a eu lieu hier (06/01/22) et les données ont été transmises tôt ce matin. Ces images descendantes les plus récentes confirment qu'à l'intérieur du carrousel d'échantillons, il y a quelques morceaux de débris de la taille d'un caillou. L'équipe est convaincue qu'il s'agit de fragments de la roche carottée qui sont tombés du tube d'échantillon au moment de la dépose de la mèche de carottage, et qu'ils ont empêché la mèche de s'insérer complètement dans le carrousel.


Les concepteurs du carrousel ont estimé la capacité de continuer à fonctionner avec succès avec des débris. Cependant, c'est la première fois que nous effectuons un enlèvement de débris et nous voulons prendre tout le temps nécessaire pour assurer l'extraction de ces cailloux de manière contrôlée et ordonnée. Nous allons continuer à évaluer nos données au cours du week-end.


Ce n'est pas le premier défi  que Mars nous lance, mais juste le dernier. Une chose que nous avons expérimenté est que lorsque un problème d'ingénierie se pose à des centaines de millions de kilomètres (Mars est actuellement à 215 millions de kilomètres de la Terre), cela vaut la peine de prendre son temps et d'être minutieux pour le résoudre. Nous allons le faire maintenant. Ainsi, lorsque nous reprendrons notre route, la collecte d'échantillons sera également prête à continuer.
 

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Houston . . . we have a problem :)

Bonne journée,

AG

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https://mars.nasa.gov/mars2020/mission/status/357/pebbles-before-mountains/


Traduction ... ... ...


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Perseverance Sol 320 - Image WATSON  : Le rover Perseverance a acquis cette image à l'aide de sa camera embarqué SHERLOC WATSON. La caméra est située sur la tourelle à l'extrémité du bras robotique du rover. L'image a été acquise le 13 janvier 2022 (Sol 320). Crédits : NASA/JPL-Caltech.


L'équipe de la mission Mars 2020 a travaillé de manière consciencieuse et approfondie, faisant d'appréciables progrès pour définir la meilleure méthode qui permettra de retirer les cailloux intrus du carrousel de Persévérance. Au cours du week-end précédent et pendant cette semaine, des séquences opérationnelles ont été développées et testées dans nos laboratoires, pour éliminer ces cailloux importuns.


L'expérimentation terrestre étant terminée, nous avons commencé à exécuter notre stratégie corrective sur Mars. Le 12 janvier, nous avons fait une étude d'image détaillée du sol sous Persévérance. Cela a été fait pour que nous ayons une bonne idée des roches et des cailloux qui sont sous le rover avant...  que nous vidions là... le dernier tube d'échantillon que nous avions prélevé d'Issole !!!


L'équipe entreprend une manœuvre avec le bras robotique que je n'aurais jamais imaginé. 


En termes simples, nous allons vider le contenu restant du tube d'échantillon 261 (notre dernier échantillon de roche), opération inédite, premier retour d'un prélèvement vers sa planète d'origine. xD


Bien que ce scénario n'ait jamais été prévu avant le lancement, il s'avère que la vidange d'un échantillon à partir d'un tube ouvert est un processus assez simple (du moins pendant nos tests terrestres). Nous avons envoyé des commandes hier, et plus tard dans la journée, le bras robotique du rover pointera simplement l'extrémité ouverte du tube d'échantillonnage vers le sol... et laissera la gravité faire le reste.


J'imagine que votre prochaine question est : "Pourquoi videz le contenu du tube d'échantillon ?" 


La réponse est, qu'à l'heure actuelle, nous ne sommes pas certains de la quantité de roche contenue de trouver dans celui-ci. Et bien que cette roche ne figurera jamais sur la liste d'acquisitions, l'équipe scientifique semble vraiment vouloir l'observer. Donc, si nos plans sont valides avec notre extraction des cailloux (voir ci-dessous), nous pourrons parfaitement tenter de forer à nouveau "Issole" (la roche d'où cet échantillon avait été prélevé).


Ce qui m'amène aux prochaines étapes de notre stratégie d'expulsions des "squatteurs" :


Nous enverrons des commandes au rover plus tard dans la journée, lui ordonnant de faire deux tests de rotation du carrousel de prélèvements. Ces tests (le premier, consistant en une petite rotation ; le second, une autre plus énergique) seront réalisées ce week-end. Nous espérons que ces rotations, et tout mouvement de caillou ultérieur, nous aideront en  fournissant les informations nécessaires sur la manière de procéder. Néanmoins, pour être précis, nous ordonnerons également au rover de prendre après, une deuxième série d'images sous le châssis, au cas où un ou plusieurs cailloux se libéreraient.   


Nous nous attendons à ce que les données et les images de ces deux tests de rotation soient envoyées sur Terre d'ici mardi prochain, le 18 janvier. À partir de là, nous analyserons et affinerons nos plans. Si je devais faire un calcul approximatif, j'estimerais que nous serons encore à notre emplacement actuel, dans une semaine environ, ou même plus tard, si nous décidions de rééchantillonner Issole. 


L'équipe de Persévérance explore toutes les facettes du problème pour s'assurer que nous nous débarrassons non seulement de ces débris rocheux, mais aussi pour empêcher une réapparition similaire du problème lors de futurs échantillonnages.
 

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Une vraie martienne Anne :) superbe promenade sur cette longue bande caillouteuse :)

Bon dimanche,

AG

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Retard du 19 ème vol en raison de conditions météorologiques défavorables sur un Mars.


Écrit par Jonathan Bapst et Michael Mischna (Ingenuity Weather/Environment Team, NASA-JPL)


https://mars.nasa.gov/technology/helicopter/status/358/grounded-first-flight-delay-due-to-inclement-weather-on-another-world/


Traduction ...


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Tempête de poussière au-dessus du cratère Jezero : les images acquises le 9 janvier 2022 à partir du Mars Color Imager de Mars Reconnaissance Orbiter  ont été combinées pour créer cette vue montrant la présence d'une tempête de poussière régionale masquant l'emplacement du rover Perseverance et de l'hélicoptère Ingenuity ( cercle blanc). Crédits : NASA/JPL-Caltech/MSSS.

 

Le vol 19 d' Ingenuity devrait avoir lieu au plus tôt le dimanche 23 janvier


L'atmosphère de Mars est beaucoup moins dense que celle de la Terre, cependant, le climat martien partage de nombreuses similitudes avec celui de la Terre. Des saisons, des vents changeants, des nuages de glace et des tempêtes de poussière, entre autres. Prédire les événements météorologiques, comme c'est le cas pour la Terre est toujours une entreprise incertaine. En préparant le vol 19, nous avons découvert que des conditions météorologiques inattendues sur Mars peuvent entraîner un scénario familier et malheureux ici sur Terre, un vol retardé. Heureusement, Ingenuity ne transporte aucun passager et tous ses bagages sont des « bagages à main », donc la conséquence n'est guère plus que d'attendre de meilleures conditions météorologiques.


Avec 18 vols effectués à ce jour, les prévisions météorologiques font désormais partie intégrante de la planification des vols martiens. Depuis le premier vol le 19 avril 2021, Jezero Crater est entré dans son printemps, puis en été. Nous approchons actuellement de la fin de l'été et du début de l'automne, qui commence le 24 février. Le changement des saisons s'accompagne de nouveaux défis, notamment une diminution de la densité de l'air qui a nécessité des modifications de notre façon de voler.


En tant que prévisionnistes météorologiques, notre travail consiste à fournir une évaluation des conditions météorologiques actuelles par rapport aux exigences de vol. 


Quelles sont ces exigences pour un vol acceptable et sûr ?


Des conditions favorables dépendent de deux propriétés clés. La densité de l'air et la vitesse du vent. 


Bien que nous n'ayons pas l'avantage d'un grand nombre de stations météorologiques ou de satellites météorologiques en orbite pour Mars, comme c'est le cas pour la Terre, nous avons un certain nombre d'outils à notre disposition pour déterminer si les conditions sont acceptables pour un vol. La ressource de prévision la plus utile est le Mars Environmental Dynamics Analyzer(MEDA) – une station météorologique opérationnelle à bord du rover Persévérance. À l'aide de cette puissante suite d'instruments, nous pouvons calculer la densité de l'air et mesurer les vents tout au long de la journée et suivre leurs changements  saisonniers alors que nous nous préparons pour de futurs vols .

 

Nous ne sommes pas non plus sans l'aide de sondes orbitales avec par exemple le Mars Color Imager (MARCI) et le Mars Climate Sounder (MCS) à bord de (MRO) qui fournissent des mises à jour quotidiennes sur l'état de l'atmosphère . Cela nous est utile pour comprendre l'activité en dehors du Cratère Jezero, ce qui peut avoir un impact sur les prochaines conditions météorologiques.


Alors que Jezero entre en automne, nous nous attendons à une augmentation de la quantité de poussière dans l'atmosphère à l'échelle mondiale. Ces niveaux resteront élevés tout au long de l'hiver (cette période de l'année est appelée la « saison poussiéreuse »).

La poussière joue un rôle majeur dans le climat martien, et sa caractérisation est particulièrement importante pour les engins de surface à énergie solaire comme Ingenuity. La poussière atmosphérique réduira la quantité de lumière solaire qui atteint les panneaux solaires de l'appareil, qui doit charger ses batterie. De plus, la poussière dans l'atmosphère est chauffée par la lumière du soleil et réchauffe l'atmosphère environnante, ce qui entraîne une réduction de l'air déjà  de faible densité dans lequel Ingenuity doit évoluer. Les membres de l'équipe des opérations ont activement discuté de la saison poussiéreuse à venir et de la manière de réagir aux effets de cet environnement perturbé.


Une forte tempête de poussière régionale est apparue au premier jour de la nouvelle année, recouvrant le cratère Jezero comme nous l'avions prévu. La présence de cette tempête est arrivée assez tôt, avant même que la saison poussiéreuse ne commence traditionnellement ! 


En fait, nous n'avions jamais vu une tempête de cette force si tôt dans l'année sur Mars. Les premiers signes de l'approche de la tempête ont été repérés par Persévérance, qui a observé une augmentation du soulèvement de poussière dans le cratère. 
En orbite, MRO a pris des images de cette tempête régionale grandissante. Ces images montraient des signes d'expansion de l'hémisphère sud vers l'hémisphère nord, potentiellement vers le cratère Jezero. Notre équipe de prévision météorologique a dû prendre  la décision d'effectuer ou non le vol. 


Les données que nous analysons à partir de MEDA et des observations orbitales peuvent être en décalage de quelques heures à quelques jours, et nous avons donc dû faire une prévision pour le vol 19 à quelques jours. Il était clair qu'il y avait une incertitude considérable dans un proche avenir. L'équipe météo a recommandé de retarder le vol 19, recommandation qui a finalement été suivie par l'équipe d'Ingenuity (vol 19 initialement prévu pour le 5 janvier 2022, ou mission Persévérance sol 313).


Ce vol différé d'Ingenuity s'est avéré être la bonne décision. Dans les jours qui ont suivi le retard du vol, la tempête de poussière s'est déplacée au-dessus du cratère Jezero, et nous avons pu voir clairement ses effets à la fois dans les données MEDA et depuis l'orbite.


 Le plus notable a été une forte baisse de la densité de l'air, avec un écart d'environ 7% par rapport à ce qui avait été observé avant la tempête. Cette diminution observée aurait placé la densité en dessous du seuil inférieur de vol en toute sécurité et aurait conféré un risque pour l'hélicodrone. Nous avons également observé l'effet de la poussière sur la quantité de lumière solaire absorbée par le panneau solaire d'Ingenuity, qui est tombée bien en dessous des niveaux normaux en ciel clair dégagé , soit une baisse d'environ 18 %.


La tempête de poussière s'est dissipée et, pour l'instant, il semble que nous puissions voler  au plus tôt ce dimanche 23 janvier. La tempête de poussière et son impact sur la planification sont une expérience d'apprentissage importante pour toute l'équipe. Des événements  plus tard dans la saison poussiéreuse sont attendus et ont le potentiel de se transformer en tempêtes à l'échelle mondiale, comme celles observées récemment en 2018, 2007 et 2001. Nous resterons diligents dans nos efforts pour faire voler Ingenuity en toute sécurité dans un avenir prévisible.
 

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Fabuleux :) J'ai été totalement immersé :x

Bonne soirée,

AG

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Hello Huitzi,

Sait-on la composition du foret de la foreuse à percussion?

Le matériau doit être d'une résistance à l'usure extraordinaire avec un fort pouvoir de perforation, aux températures martiennes.

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Il y a 2 heures, Mercure a dit :

Hello Huitzi,

Sait-on la composition du foret de la foreuse à percussion?

Le matériau doit être d'une résistance à l'usure extraordinaire avec un fort pouvoir de perforation, aux températures martiennes.

 

Malgré une recherche (peut-être trop sommaire) je n'ai pas été capable de trouver réponse à ta question.


Les tubes d'échantillons sont en titane mais pour les forets ?...


En fait il y a trois  forets selon le type de prélèvement envisagé en fonction des duretés et des consistances rencontrées dont l'évaluation peut se faire pendant l'abrasion des patch avant forage.


On pourrait supputer que ces forets ne soient pas tous fait dans le même matériau (?)...

Pour l'instant aucun forage réalisé par Percy n'a eu de problème en relation avec une dureté élevée des roches ciblées.


Mais peut-être que la réponse se trouve dans ce document que la fatigue m'empêche de lire en détail...


https://www.esmats.eu/amspapers/pastpapers/pdfs/2014/chu.pdf


A défaut, Daniel, Jack, Cay2 ou Alain M. pourraient éventuellement dégoter l'information (?)... 
 

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il y a 26 minutes, vaufrègesI3 a dit :

En carbure de tungstène, comme Curiosity et comme beaucoup des bons forets ordinaires  

 

Merci beaucoup Daniel.

 

A noter qu'il s'agit là du trépan et non pas du foret à proprement parlé.

On est d'accord, cela reste l'élément majeur pour un forage.

Et qu'en est-il des deux autres constituant la panoplie complète, trépans et/ou forets ?

Modifié par Huitzilopochtli

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Une petite mosa 19 images (sol 329) , ce ne sont pas les obstacles qui manquent. 

(clic droit "ouvrir dans un nouvel onglet", puis clic clic)

 

mosa-329.jpg

 

 

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Superbe Anne :) c'est rigolo ces traces de roues où il n'y a plus de tis cailloux ( pou hibou . . .  ) ;)

Bonne soirée,

AG

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Il y a 3 heures, Huitzilopochtli a dit :

Et qu'en est-il des deux autres constituant la panoplie complète, trépans et/ou forets ?

 

Ci-dessous et de gauche à droite les 2 types de trépans ou forets pour le prélèvement de roches (1)de régolite (2), et l'outil d'abrasion/nettoyage des surfaces (3).. 

Le carrousel du système de collecte d'échantillons comporte des logements pour cinq forets de carottage de roche (1) et un seul foret spécial adapté au prélèvement de régolite martien (2) tous équipés de têtes de forage en acier hérissées de dents en carbure de tungstène , et par ailleurs pour deux outils abrasifs (3) dédiés à la préparation de la surface des roches avant prélèvement ou analyse.

 

61edddbf54959_Perseverancetrepanforetabrasion.jpg.558da5c14838eeb09f610cf25d07a108.jpg

 

 

L'outil d'abrasion a un motif de dents inhabituel : trois lignes parallèles de longueurs différentes, disposées de manière asymétrique. Lorsque la perceuse tourne et martèle avec cet outil, ce motif de dents crée des impacts entrecroisés et bien répartis dans la roche. La roche "fraiche" fait ensuite environ 5 centimètres de diamètre. Un outil baptisé "Gaseous Dust Removal Tool" (GDRT) contenant de l’azote sous forme gazeuse est ensuite éjecté à quatre reprises et de façon très brève afin de souffler les débris.

Je n'ai pas trouvé l'info, mais je vois mal comment les dents de l'outil d'abrasion, ayant les mêmes contraintes que les forêts d'échantillonnage, ne seraient pas aussi en carbure de tungstène . 

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Il y a 18 heures, Huitzilopochtli a dit :

 

Impressionnant !

 

On a envie d'y être ! :/

 

Enfin, non, pas vraiment, ou alors si mais pas longtemps... :|

 

C'est beau et impressionnant, mais pas folichon !

 

Mais pour Elon Muscle ce sera très bien !

Modifié par starjack
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Il y a 17 heures, starjack a dit :

nfin, non, pas vraiment, ou alors si mais pas longtemps... :|

 

C'est beau et impressionnant, mais pas folichon !

 

 

"Austere beauty".

On peut allez voir exactement le même scénario en hivers dans plusieurs états dans l'ouest américain.

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Superbe Alain cette vidéo :)

Vers le milieu, on voit même la mer xD

Bonne soirée,

AG

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il y a 12 minutes, ALAING a dit :

Vers le milieu, on voit même la mer xD

 

Ah ce n'était donc pas une impression ! :)

Me semble avoir vu de manière furtive la queue d'un poisson :D 

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Purge des cailloux indésirables terminée :


https://mars.nasa.gov/mars2020/mission/status/361/out-of-pebble-purgatory/


Écrit par Avi Okon, responsable adjoint des opérations d'échantillonnage au Jet Propulsion Laboratory de la NASA


Mars_Perseverance_SIF_0330_0696252069_69


Le rover Mars Perseverance a acquis cette image à l'aide de sa caméra SHERLOC WATSON, située sur la tourelle à l'extrémité du bras robotique du rover. Cette image a été acquise le 23 janvier 2022 (Sol 330) à l'heure solaire moyenne locale de 16:50:41. Crédits : NASA/JPL-Caltech.


Les deux derniers cailloux restants à l'entrée du carrousel de prélèvement ont été expulsés. Je vais vous expliquer comment nous avons procédé et vous dire pourquoi nous ne les oublions pas.


Dimanche, nous avions pratiquement la certitude que les  cailloux étaient tombés, lorsque l'image du carrousel nous est parvenue, après qu'un court trajet de  5 mètres, jusqu'à un  affleurement rocheux proche, ait été effectué. Ce trajet, qui avait été réalisé le sol précédent, avait été programmé pour placer le rover dans une position inclinée favorable pour éjecter les petits cailloux restant encore bloqués.


Pour être précis, nous avons fait une rotation complète du carrousel dans les deux sens, le rover étant alors positionné avec une inclinaison de 13,2 degrés vers la gauche, sans rien trouvé qui entraverait sa progression. Nous avons également fait fonctionner la perceuse à percussion pour induire des vibrations, dans l'espoir de secouer tous les débris restants possibles du porte-embout. Enfin, nous avons accolé la perceuse au carrousel de forets pour ranger celui qui était en place.


Désormais, nous sommes heureux d'annoncer que notre système d'échantillonnage est opérationnel et prêt à fonctionner, ce qui est une excellente chose, puisque nous allons l'utiliser immédiatement. En effet, les scientifiques de notre équipe veulent un autre prélèvement de la roche baptisée "Issole"  et nous sommes actuellement en train d'en collecter un nouveau. Notre fil Twitter @NASAPersevere vous informera de ces progrès.


Comme vous le savez, Persévérance est la première mission de mise en cache d'échantillons sur la planète rouge. Nous avons fait beaucoup de tests avant d'en arriver là, mais Mars est un endroit surprenant. Il est froid, dangereux, lointain, avec des terrains inexplorés, parfois peu coopératifs. Et ce manque de coopération s'applique parfois aux roches que notre équipe scientifique veut échantillonner.


Ceux d'entre vous qui ont suivi notre exploration de Jezero  savent que notre première tentative de carottage a été loin d'être satisfaisante, l'échantillon s'effritant avant que nous ayons pu le collecter. Mais nous avons beaucoup appris de cette roche (" Roubion "), et nous avons modifié nos procédure pour mieux  échantillonner et sélectionner les  roches à prélever. Ce nouvel incident de « cailloux bloqués dans le carrousel » nous a également permis d'enrichir notre manuel de procédures d'échantillonnage. Si nous rencontrions un scénario similaire sur notre route, nous devrions pouvoir résoudre le problème plus rapidement.  

 

Jezero Crater est tout simplement incroyable et j'ai hâte de voir ce qui nous attend sur le chemin.
 

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