biver

Faut-il soutenir nos chères revues d'astronomie?

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Weakfolke, "une expérience d'amateur sur tel matos ", ça il y a dans C&E, tu ne l'as peut être pas ouvert depuis un moment ?

quote:
Elles pourraient aussi fournir des retours d'expérience sur certaines app. Par exemple, je me sers énormément de polar scope align pro. Je l'ai payé, j'ai risqué et j'en suis satisfait
Si tu veux partager ton retour d'expérience dans C&E c'est possible. Dans ce cas contacte moi en privé.

quote:
Ils pourraient aussi indiquer des chaines youtube qui fournissent de bons tutoriel de traitement d'image, pixinsight, iris, ps, etc et

Ca on le fait régulièrement aussi, ...

[qote]Quand je vois encore les éphémérides sur une revue, alors qu'on a tous stellarium, starmap ou skysafari, je comprends que les journalistes n'ont pas encore tourné la page et n'ont pas fait le pas de la modernisation.[/quote]
Là honnêtement je ne comprends pas trop l'idée. Lister les phénomènes du mois ça semble important. Stellarium ne te fait pas des prévision d’occultation, ne t'alerte pas sur les éclipses, etc. Si tu veux savoir quelle est l'heure de lever de la Lune à une date donnée, ça va plus vite d'ouvrir un magazine que de démarrer un ordi, lancer un logiciel, le paramétrer, ...

quote:
ils pourraient aussi avertir les amateurs des prochaines soldes de nos boutiques préférées, des bonnes affaires en achetant certaines matériels à l'étrange

Là je ne te suis pas du tout. Les dates des soldes ce n'est pas quelque chose de secret, tout le monde a la même partout sauf exception régionale.
Par ailleurs, ce n'est pas le rôle d'un magazine de diffuser ce genre d'information, ça reviendrait à faire de la pub gratuitement. Si un annonceur a besoin de communiquer ce type d'information, libre à lui de prendre de la pub.
Quant-à conseiller d'acheter du matériel à l'étranger, là aussi ça me paraît difficile. Dans beaucoup de cas il y a au passage de la fraude à la douane (tva non payée), et si je donne ce genre de conseil à des lecteurs, et qu'ensuite ils ont des problèmes pour faire fonctionner le SAV, qu'est ce qui se passe ?
Dans le domaine de l'astronomie comme dans la photo, je conseille presque toujours aux gens d'aller vers des boutiques connues qui ont pignon sur rue. Sur ce sujet là, chacun prend ses responsabilités, et ce que tu évoques c'est plutôt le genre de conseil à aller chercher sur les forums. C'est vrai que pour des différences de prix de 30 ou 40% ça vaut le coup de se poser la question. Mais généralement elle n'est pas aussi forte.

quote:
je trouve que le support papier doit devenir un guide à l'informatique, un révélateur et un garant de la qualité des informations.

C'est ce que l'on fait tous les jours ce que tu décris, et c'est pour ça qu'il est important d'avoir des sources d'information indépendantes. Certains plus haut ont dit que l'on trouve tout sur le web en actualité, mais il y a effectivement une différence entre prendre ces informations au pied de la lettre, et les vérifier et les contextualiser.

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Tout à fait Nicolas!

Le magazine tu l'emportes partout, même dans ton lit avant de dormir! Un livre ou un revue, çà a une âme, un odeur, c'est irremplaçable!

Après avoir passé ma journée à bosser sur un ordinateur, j'ai envie de voir autre chose qu'un écran.

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salut jldauvergne,

en fait ma remarque s'applique surtout sur le support numérique de la revue.

Dans l'esprit, ce que je voulais dire c'est que je trouve beaucoup de bonnes idées sur internet, comme par exemple le site photozone.de pour les objectifs photographiques, où la recherche d'un test est d'une géniale simplicité.

Sur web astro ils avaient commencé à le faire ici http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=16711
et c'était le top. Dommage que cela n'a pas été entretenu.

Quand je cherche à acheter une monture d'occasion, je vais sur 4 sites différents chaque jour, pour trouver l'occase qui pourrait me convenir.
Quand je cherche un test matériel je dois parfois lire 50 pages de CN (ou autre site français, italien) pour trouver l'info utile.

Je crois que les sites de C&E, et autres revues, pourraient vraiment être des incontournables.

Quand à l'achat à l'étranger je pensais en fait à l'Europe, donc sans taxe. Mais je suis d'accord avec toi, rien re vaut un interlocuteur réel.

Je ne dis pas que mes idées sont bonnes ou nouvelles, je pense juste que le potentiel d'interaction entre numérique et papier est loin d'être exploité à son maximum (une litote ne fait jamais de mal), j'essaie de lancer la discussion et trouver des idées ensembles.

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Je ne sais pas si tu as vu mais le site de C&E a été refait et il va continuer à évoluer, le but est notamment d'apporter plus de contenus mais certains contenus seront accessibles uniquement aux abonnés. Typiquement il n'est pas possible de diffuser des tests gratuitement, car ils ne sont pas faits avec des moyens amateurs, donc ça a un coût.
Puisque tu parles numérique, il ne t'aura pas échappé que depuis de nombreuses années C&E diffuse des podcasts.

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oui vu que je vis à l'étranger je m'abonne au format numérique sinon ça me revient à 80€/an avec les fdp.

En revanche je ne vois pas la section "abonnés" sur le site.

Et de nouveau, ne le prends pas comme une attaque, mais une tentative d'améliorer un site et une revue (que le lis depuis 1989 et que je continuerai à lire avec plaisir) pour le bien de tous.

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Hélas ! Astro Magazine est décédé! Confirmation téléphonique avec la direction de la publication.
Précision supplémentaire importante : "La Boutique" est également fermée, et toute commande n'est plus honorée.

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Bonjour à tous

Oui, astromag c'est fini, hélas sur une note de déception puisque leur chèque de remboursement m'a été renvoyé par ma banque, honnêtes mais pas solvable, je peux pas dire que j'ai apprécié et pourtant je les ai soutenu depuis le n°1. Est ce une méthode de liquider pour créer un nouveau magazine ultérieurement ? Sans moi merci, j'ai déjà donné !
Et C&E, avec relances multiples et quasi menaces: abonnez vous sinon …! Un parfum de 2ème fermeture.
Je suis comme tous le monde, le gratuit j'aime bien mais il faut des passionnés et qui ne laissent pas tomber, hors tout le monde se lasse tôt ou tard. Et un mag qui arrive chez soi, avec des éphémérides sans qu'on s'échine à chercher, avec des pros à la rédaction, c'est bien aussi (c'est pas une critique pour les non pros qui font aussi du très bon boulot !)

Autrefois il y avait ciel extrême dont on retrouve les archives sur ce forum.
Sinon la revue astronomie Québec gratuite de nos amis Québécois, Futura espace en s'inscrivant et gratuit aussi.
Et bien sur astrosurf…

[Ce message a été modifié par fab85 (Édité le 17-07-2016).]

[Ce message a été modifié par fab85 (Édité le 17-07-2016).]

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C'est surtout que lorsqu'une société est liquidée, c'est pour de bonnes raisons. Si elle était capable de payer tous ses créanciers, elle ne serait pas liquidée...
Et comme les clients ne sont pas des créanciers légalement privilégiés...

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Ayant moi même une petite entreprise, je connais parfaitement les mécanismes. C'est un équilibre entre entrées et sorties, l'abonnement permet de prévoir, l'argent est rentré, si ça ne fonctionne pas c'est aussi parfois une question de mauvaise gestion. Se targuant de 2300 abonnés, si on prend une moyenne, disons des abonnés qui n'auront reçus que la moitié des numéros, ça fait un joli montant autour de 60000 €…

Ce que je souligne aussi ici c'est qu'en s'abonnant on apporte un soutien à une revue, mais qd on est échaudé par ce type de revers, on va plutôt au kiosque et on ajoute de l'inconnue dans la pérennité du magazine, pas vraiment le but recherché, le lecteur devient plus méfiant et le magazine n'a plus de repère pour son avenir, sans compter les pertes nettes en invendus. C'est un cercle vicieux et personne ne sera gagnant au final.

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Les habitudes des 18-35 ans ont bien changées et les revues papiers ont du souci à se faire. De plus, les revues numériques ne compenseront pas la perte de vitesse des revues papier, dans certains pays ce sont les réseaux sociaux qui tirent les marrons du feu. Pire encore, la pub est essentiellement captée par les géants d'internet (Google et Facebook en particulier). Les revues astram vont disparaître parce que leur modèle économique date d'une autre époque et surtout parce que nos habitudes de consommation nous conduisent à scier la branche sur laquelle nous sommes assis. Difficile alors de soutenir quoi que ce soit quand chaque individu pratique à son échelle l'optimisation.

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Je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi ms. Les habitudes de consommation changent doucement. Le public commence à intégrer le fait que de l'info de qualité ce n'est pas gratuit même sur internet. Dès lors que le public est au courant d'un problème, les habitudes de consommation changent. C'est pour ça qu'il n'y a plus de graisse de baleine dans les rouges à lèvre, ou encore que les fabricants mettent en avant des labels "sans huile de palme", ou encore que pas mal de consommateurs achètent un peu plus cher pour avoir du bio, on peut multiplier les exemples comme ça.
La question actuelle est de savoir si la prise de conscience sera assez rapide. Pour pas mal de médias on connait déjà la réponse. C'est non.
Mais d'autres ont su innover au cœur de cette crise et bâtir des modèles économique papier viables. D'autres encore changent, évoluent, tentent des choses. Des médias 100% numériques sont déjà viables. Tout ça est très compliqué, mais il n'y a pas lieu d'être aussi catégorique.

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Je ne doute pas du fait que l'info de qualité ait un prix mais déjà on voit se pointer les robots dans certaines revues. Je veux dire aussi que nos habitudes de consommation sont définies par les majors d'internet et que notre comportement de mouton fait le reste. La mutation de ces quinze prochaines années sera si violente que le modèle numérique actuel sera balayé. Aux US, on observe déjà ce phénomène de prise de contrôle de l'information par une poignée d'individus assistée par des robots. Il restera toujours quelques niches qui se partageront les miettes et quelques nostalgiques qui continueront à prendre plaisir à feuilleter une revue mais plus rien ne sera comme avant.

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ms, je crains que ce modèle de société que tu vois venir ne soit pas viable à moyen terme... C'est une opinion personnelle, mais je ne suis pas sûr que l'évolution actuelle soit souhaitable.
Même une proportion encore importante des consommateurs achète de la m... au moins cher pour se nourrir et de même intellectuellement se nourrit de m... sponsorisé par la pub sur internet, c'est aussi pour ça que l'espérance de vie commence à diminuer (peut-être pas très significatif encore en 2015, mais le nombre d'années en bonne santé baisse depuis plus longtemps) et que l'obscurantisme et l'individualisme gagne sur la culture et le respect d'autrui...
La question du fil était de savoir si vous/nous étions disposés à confirmer nos abonnements aux revues astro (papier ou numérique), parceque nous sommes une communauté d'astram un peu solidaires et pas uniquement des consommateurs de la seule info qui nous intéresse nous seuls, ou alors on joue la carte de l'individualisme et je m'en fous si un supermarché installe des projecteurs de DCA à LED 24h/24 sur un parking près d'un observatoire, pourvu que ce soit pas le mien!

Nicolas

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Je pense vraiment que tu te trompes ms. Prend le cas de la musique. L'impact d'internet a été encore plus violent que pour la presse. Ensuite tout n'est pas tombé dans les seules mains de quelques géants. Au contraire, on a vu naitre plein de modèles alternatifs dont l’essor s'est appuyé sur les possibilités offertes par internet. On a vu aussi naître des économies très alternatives (et assez pédagogiques) avec le crowdfunding.
Hier Sony et Universal décidaient ce que vous alliez écouter, aujourd'hui, tout le monde décide directement du producteur au consommateur.
Regarde aussi les phénomènes de chaine youtube, c'est incroyable, certaines personnes vivent de ça et échappent totalement au système classique. Ces personnes n'auraient jamais eu le droit à la parole à la TV.
Ce qui est stimulant dans la crise actuelle, c'est qu'elle force la créativité. La nature à horreur du vide, si demain tous les médias papier actuels disparaissent, il naitra autre chose à la place, car ça répond à un besoin, tout simplement.

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Salut
Oui mais non, c'est très simple, car depuis Gutenberg, on dit que l'imprimerie,
ç'est un truc daté, ancien, et qu'il aura du mal à s'adapter au monde nouveau,
alors l'avis de Mr ms, faut voir n'est ce pas ? ...

👍😍😇

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Nous verrons déjà si la disparition de la presse papier a bien lieu en 2017 aux Etats-Unis parce que chez nous le mouvement sera plus lent, certains annoncent 2029.

quote:
Ce qui est stimulant dans la crise actuelle, c'est qu'elle force la créativité.

Tu as de la créativité dans les start-ups qui vont terminer leur vie dans le champ d'attraction des majors mais en bout de course c'est l'optimisation qui prime. On concentre de plus en plus et on optimise pour garantir la cohésion de l'ensemble. La crise elle n'est pas actuelle, elle est permanente mais cela il faut encore quelques années pour le vérifier. En fait, on est bien dans un tunnel mais Hollande a oublié de nous préciser qu'il était circulaire.

[Ce message a été modifié par ms (Édité le 27-07-2016).]

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Et les temps sont durs pour les homos rigolus du Bistrot.

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Je pense qu'il y a 2 choses à considérer, la disparition des revues papiers et la disparition totale des revues avec à la clef des disparitions d'emplois. Pour le papier c'est seulement une adaptation à la technologie comme on s'est habitué au tel mobile et à bien d'autres choses. Maintenant, des revues à télécharger, ça peut perdurer un certain temps mais au final, qui va payer qd on trouve du gratuit sur le web avec en plus l'interactivité, forum, etc.. ?

Il faudra tjrs la transmission du savoir, sauf que les gens intéressés seront peut être moins nombreux, la presse people connaît moins la crise que les revues scientifiques, il faut un rendement financier pour pérenniser les emplois de journaliste scientifique de vulgarisation.

Une autre forme se profile, les astronomes prof. doivent rendre des rapports sur leurs découvertes, rien de plus normal puisque nos impôts payent leurs salaires, les images des sondes sont diffusées, des conclusions d'analyses aussi. Pourquoi ne pas envisager systématiquement un rapport pour les spécialistes et un autre plus simple visant le public, les 2 en libre accès évidemment, mais ne passant donc plus par des journalistes. Cette méthode n'est pas utopique à mon avis et a déjà commencée dans plusieurs domaines.

[Ce message a été modifié par fab85 (Édité le 29-07-2016).]

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Oui, sauf qu'en général, le scientifique est un piètre vulgarisateur... Ça n'est pas son métier à la base non plus. Le journaliste est justement chargé de débriefer le spécialiste et, sans trop trahir la verité, en faire une version adoucie compréhensible par le grand public. Une sorte de traducteur, qui forcément trahit un peu. Ce rôle, cette fonction, semble irremplaçable.

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bonjour à tous,
ce que je reproche aux revues, c’est trop souvent orienté vers l’interview d’un chercheur qui dans un flot d’écrits, dit ces arguments sur son programme de recherche, moi je suis qu’amateur, son programme est son engagement envers un institut. J’aime le rencontrer dans une réunion, pas dans un magazine sur 10 pages lorsqu’une demi-page suffirait pour le présenter. La base de la recherche et son fondamental est quand même plus intéressant que de savoir les détails du programme du fonctionnement des recherches. (c’est lourd que le pudding).
Si j’aime les formules mathématiques, je sais que d’autres en auront en horreur.
j’ai beaucoup aimé le travail de Luc Dauvergne dans ”Ciel et espace” sur la comparaison des oculaires (il y a 2 ans), j’ai toujours aimé le comparatif dans le style des revues automobile ‘auto plus’ et il est aussi agréable d’avoir des informations sur l’astronomie dans le style de la revue ‘femme actuelle’.
Dans la vie de l’astronomie amateur, la vie des clubs est importante, c’est pour cela que je lis Astrosurf –magazine et “l’astronomie” journal de la SAF.
Mais si je ne trouve pas ce que j’aime, je passe mon chemin.
je souhaite un meilleur avenir au journal “astronomie”.
que tout le monde dise ce qu’il souhaite lire dans les revues. peut-être ......
cordialement
Louis OLLIVIER

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Prenez les 3 revues restantes en France. Dans peu de temps à partir d'une simple recherche, Google ou une autre major de l'internet vous fabriquera l'équivalent pdf de votre revue grâce à ses robots. L'intelligence artificielle a franchi le cap qui lui permet de remplacer le journaliste scientifique comme les outils bureautiques ont permis de s'affranchir des sténo-dactylos lors de la précédente révolution. Demain, il faudra garantir à chaque individu un salaire universel parce que les robots et les androïdes feront le gros du travail. Et ce demain, c'est dans 15 ans.

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Le problème des revues, c'est que internet bouge en quasi temps réel.
Par exemple je n’achète presque plus de revue d'astronomie alors que j'aime ça. Sur astrosurf il y a de belles photos, des petites annonces, des conseils, y'a webastro aussi, ou d'autres sites ou forum Apod,... Peut être que le format papier figé d'un mois ne correspond plus aux temps actuels ? sauf le Ciel et Espace sur la collaboration et les projets amateurs/professionnels qui étaient super voir indispensable à avoir !

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