kristof782004

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Le caïd blondinet et couillu que je suis possède cet instrument et observe régulièrement avec depuis juillet 2002 (et a l'éxpérience de l'observation dans de nombreux autres instruments depuis 1998) et sait donc de quoi il parle.


Quand je disais archi-faux je parlais de la luminosité. C'est les lois de l'optique, un miroir ou un objectif imparfait étalera les étoiles, faisant perdre en magnitude limite. Dans ce cas précis je ne mettrais pas ma main au feu que çà sautera aux yeux à faible grossissement, mais je voulais réagir à ton affirmation fausse selon laquelle le 150/750 serait plus lumineux à cause de sa plus courte focale. C'est vrai en photo au foyer mais çà n'a rien de vrai en visuel. C'est une idée qui a la vie dure, véhiculée par les mauvais bouquins d'astro.

Quand à la monture c'est vrai que 1200mm de longueur ce sera plus contraignant que 750mm pour la monture, je n'ai jamais dit le contraire! Mais cela ne veut pas dire que cette monture ne va pas les supporter, on est quand même loin du cas du Schmidt-Newton sur monture LXD55!


Mon miroir est poli depuis longtemps il est aluminé et attends dans mon placard, je ne peux plus avancer tant que je n'aurais pas le secondaire, j'attends toujours la livraison.

[Ce message a été modifié par bruno thien (Édité le 05-04-2006).]

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Vous vous prenez la tete sur un abus de language.

Le 150/750 est dit plus "lumineux" que le 150/1200 parce que le 150/750 concentre plus la lumière que le 150/1200 l'objet observé est donc plus "lumineux" d'où des temps de poses plus court mais moins détaillé en gros le 750 grossis moins l'image ce qui explique qu'en viseul cela n'est pas d'importance puisqu'on prendra de toute façon l'oculaire adapté au grossissement souhaité .

Quand les astronomes amateurs disent qu'une optique à petit rapport F/D est plus lumineuse que la meme optique avec un plus grad rapport F/D ils se comprennent (enfin en général) mais c'est vrai que sa prette un peu à confusion quand je débutais... heum pourquoi je parle au passé heum qu'en je me renseignais pour acquérir un instrument je ene comprenais pas pourquoi entre 2 téléscopes de 200mm chacun celui avec une focale de 1000mm était plus lumineux que celui avec une focale de 1200mm mais en fait c'est juste une question de grossissement et non de luminosité grossissement qui peut etre modifié grace à une barlow ou un reducteur de focale une bonne barlow étant plus facile à obtenir qu'un bon reducteur de facole se qui explique que l'on ne trouve pas de vrai reducteur de focal pour tous les instrument contrairement au barlow. L'une des raison c'est que le reducteur se doit de corriger toutes les aberations qu'il révèle alors que la barlow à dissimuler ces meme abérations.

Bon voili voilou.

PS: si jamais j'ai dit une connerie ne tapé trop fort je vous rappel que je suis encore débutant(circonstance atténuante).

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« Quand les astronomes amateurs disent qu'une optique à petit rapport F/D est plus lumineuse que la meme optique avec un plus grad rapport F/D ils se comprennent (enfin en général) »

Justement non ! Il y a réellement des gens - des débutants en général - qui croient que les objets seront plus brillants dans un 200/1000 que dans un 200/2000. Cette notion de "luminosité" est trompeuse et, depuis que je suis sur Astrosurf, j'ai vu trop souvent les ravages de cette expression.

D'ailleurs, à te lire, ce n'est pas très clair : on dirait que tu penses qu'un grossissement plus faible rend les objets plus lumineux. Attention, je suppose que tu te comprends, mais ça va prêter à confusion.

Récemment, je me suis rendu compte que la notion de "luminosité" était peut-être abusivement employée également pour les oculaires. Dans une discussion sur les oculaires au coulant 50,8 mm, certains remarquaient que ces oculaires (de plus longues focales en général) étaient plus lumineux. Quand j'ai demandé des précisions (comparés avec quel oculaire ? etc.) je n'ai eu aucune réponse. Je crains, donc, qu'il s'agisse d'une impression trompeuse due au fait que le fond du ciel est plus lumineux à faible grossissement (et là, le terme est employé à bon escient).

Soyons rigoureux : un astre est plus lumineux s'il nous envoie plus de lumière, mais un télescope n'est pas plus lumineux. Sauf s'il est fluorescent, bien sûr...

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Tout de même, un grossissement plus poussé assombrit l'image dans on ensemble, pas seulement le fond du ciel.

C'est d'ailleurs tout le dilemme de l'observation des objets faibles : assombrir le fond du ciel sans trop assombrir l'objet observé, le grossir suffisemment pour pouvoir l'observer confortablement, bref, jongler sur le fil ténu où les objets difficiles tels que les galaxies ou amas et nébuleuses faibles se distinguent le mieux par contraste. Pour un 254 mm de diamètre, l'expérience m'a conduit à choisir un grossissement de l'ordre de 175x.

C'est évidemment flagrant sur la Lune : on en prend plein la tronche à 50x et il faut utiliser un filtre (au fait, l'O-III sur la Lune avec un oculaire à longue focale, ça vaut le pet : ça révèle des tas de détails sur la partie éclairée, tu devrais essayer ^^), alors qu'on se passe de filtre à 400x...

Bon, allez, admettons que ce soit une histoire de surface : on en voit moins, on reçoit moins de lumière. Soit.

Bon, ben prenons Jupiter, alors : plus on grossit, plus c'est sombre, quand même. Toute l'image, y compris la planète, hein !

Maintenant, un effet du nombre de lentilles, du traitement des surfaces, etc. : le Taka hi-LE 2,8 mm grossit plus mais montre une image plus lumineuse que le zoom Nagler en position 3 mm. Tous deux sont des orthoscopiques, mais l'élément divergent supplémentaire du zoom vient mettre son grain de sel.

Résultat : un oculaire est réellement plus lumineux qu'un autre, constaté de visu (et le plus lumineux n'offre que 42° de champ contre 50°, donc l'histoire de la surface n'entre pas ici en ligne de compte).


En revanche, si on prend un instrument de 1000 mm de focale avec un oculaire de 5 mm et un de 1200 mm de focale avec un oculaire de 6 mm, miroirs de même diamètre, même obstruction et oculaire de même qualité, je m'attends logiquement à ce que la clarté soit la même.

Tiens, et le champ, est-il le même, dans ce cas de figure, au fait ?

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Z80 : tu parles de planétaire et de forts grossissements, moi j'avais en tête plutôt le ciel profond et les faibles grossissements, car c'est à faible grossissement qu'on lit parfois que c'est plus "lumineux".

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Bruno Salque nous sommes presque d'accord sauf lorsque tu dis:
"Je crains, donc, qu'il s'agisse d'une impression trompeuse due au fait que le fond du ciel est plus lumineux à faible grossissement (et là, le terme est employé à bon escient)."

Or juste après tu dis:
"Soyons rigoureux : un astre est plus lumineux s'il nous envoie plus de lumière(...)"

Le ciel ne nous envoi pas plus de lumière à faible grossissement qu'à fort grossissement donc si on est rigoureux le ciel n'est pas plus limineux à faible grossissement. Simplement cette lumière est plus concentré à faible grossissemnt et c'est la meme chose pour les autres les objets du ciel comme le fait remarqué Z80 lorsqu'il dit que toue l'image s'assombrit. On reçoit la meme quantité de lumière mais étalé sur une plus grande surface d'où une impressionde luminosité moindre.

Et pour appuyer ce que je dis je site l'une de tes phrases:
"D'ailleurs, à te lire, ce n'est pas très clair : on dirait que tu penses qu'un grossissement plus faible rend les objets plus lumineux. Attention, je suppose que tu te comprends, mais ça va prêter à confusion."

Dans ta phrase je pourrais rempplacé "les objets" par le "ciel".

Mais bon la je pinaille parce je pense que nous nous somme compris.

[Ce message a été modifié par NitriX_972 (Édité le 09-04-2006).]

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Bruno a quand même raison dans l'absolu : il existe une sorte de frontière où on parvient à réduire suffisemment le fond du ciel tout en faisant ressortir le maximum de contraste sur les objets faiblement lumineux.

Il m'a fallu du temps et des essais avant de sélectionner le 7 mm pour le 254/1200, et les résultats sont spectaculaires.

Il est d'ailleurs plus que probable que la "bonne" focale d'oculaire varie aussi bien avec le diamètre de l'instrument qu'avec sa focale (qui ne donne que le grossissement seul).

Il s'agit véritablement d'un choix critique car il permet la meilleure détection d'objets faibles. En planétaire, ce n'est pas aussi déterminant : les objets sont très brillants, le grossissement à employer ne va dépendre que de la turbulence, pour ainsi dire.

Pour les nébuleuses à émission très étendues, un grossissement faible et un filtre très sélectif feront l'affaire.

Mais pour les objets stellaires comme les galaxies et les amas faibles, il n'y a pas de filtre miracle : il faut doser finement le grossissement jusqu'à déterminer le contraste maximal.


En revanche, je souhaitais simplement rappeler cette notion d'assombrissement continu en fonction du grossissement et témoigner que certains oculaires transmettaient effectivement plus de lumière que d'autres. Le choix du Nagler 7 par rapport aux autres candidats (oculaires à grand champ seulement, tout de même) a d'ailleurs été basé essentiellement sur ce critère.

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NitriX : si, si, le ciel est plus lumineux à faible grossissement, justement !

Le ciel agit comme un objet ayant une certaine brillance de surface. D'ailleurs les astronomes professionnels l'expriment en magnitude par seconde d'arc au carré (et c'est de l'ordre d'un petit peu plus que 20 au-dessus des observatoires, et moins de 20 dans nos campagnes, je crois).

Si j'observe un étoile à moyen grossissement, chaque "pixel" (ou "cellule de résolution" ? je ne sais pas comment on appelle ça en observation visuelle) reçoit une certaine quantité de lumière du ciel. Une étoile est ponctuelle (tant qu'on ne grossit pas fortement) et envoie aussi une certaine quantité de lumière.

Si maintenant je diminue le grossissement, chaque "cellule de résolution" ("pixel" ?) reçoit une plus grande quantité de lumière du ciel. Par contre, pour l'étoile, qui est ponctuelle, ça reste la même chose. Du coup, il se peut qu'à faible grossissement l'étoile devienne invisible (elle est noyée dans le fond du ciel) alors qu'elle était visible à moyen grossissement.

C'est exactement ce qu'on observe en pratique : à faible grossissement, le fond du ciel est plus lumineux (on reçoit de lui plus de lumière) et cache les étoiles les plus faibles.

L'oculaire qui donne ce faible grossissement, par contre, n'est pas plus lumineux. À moins d'appeler "oculaire" lumineux un oculaire de faible grossissement. Mais là où c'est ambigu, c'est que beaucoup comprennent plutôt "oculaire qui a une bonne transmission lumineuse". C'est pourquoi, pour les oculaires, je pense que l'adjectif est mal choisi. Pour le ciel, pas de problème, c'est bien la définition rigoureuse.

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... Du coup, en plaçant un filtre O-III (par exemple) sur un oculaire à longue focale, c'est le filtre qui se charge de rejeter la luminosité du fond du ciel, le faible grossissement permettant de conserver le maximum de lumière en provenance de l'objet observé.

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