serge vieillard

et un miroir de 400 en chantier, un !

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qu'attends tu du passage à l'oxyde de zirconium par rapport à l'oxyde de cérium?
autant passer directement à l'opaline pour la parabolisation car il ne faut pas s'attendre à récolter tout le bénéficie d'un meilleur état de surface avec la seule durée des dernières retouches.

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Salut à tous,

Kentaro,
oui, ya un site tout neuf sur le sujet, la peinture n'est pas encore sèche ! et ce n'est que le premier jet... J'm'en va en faire l'annonce sur les pages qui vont bien.

Asp,
peut etre m'égare-je, mais, avec le cérium, il est dit et j'ai remarqué un polissage "musclé". Les piqures ont fondu très rapidement. Ensuite, j'ai traité le défaut de forme le plus visible au Foucault : un bord relevé. Je pense qu'il était le fait d'une forme pas parfaitement sphérique à la fin du doucissage.

Maintenant que ces points sont réglés, je passe au zirconium et vais attaquer la parabolisation puis les retouches. Je ne me fait aucune illusion, je vais y passer des heures et des heures.... Je pense donc que durant ce travail, la surface va bénéficier d'un polis un peu moins agréssif.
SI tout se passe correctement, je tenterai l'opaline quand j'aurai le sentiment de -relativement- maitriser les retouches de forme et quand le travail touchera à sa fin.

Lors de mon précédent miroir, le 250 à F/D 5, j'avais tenté l'opaline. Se fut un fiasco. Je n'ai jamais trouvé le bon régime de polissage, ca cognait de partout et j'ai généré rapidement du mamelonnage là où il n'y en avait pas avant. J'ai donc laissé tomber et suis revenu au zirconium pour achever royalement ce beau miroir.

A ce sujet, je suis avide de tous renseignements sur le bon usage de ces diverses poudres à polir. Comment faut-il les utiliser au mieux ? le mélange doit-il etre bien crémeux, laiteux ou franchement délavé ? Il y en faut beaucoup, ou peu en début de travail, et entre chaque séchée, etc...
Bref, je ne sais rien, j'apprends sur le tas et j'attends vos conseils.

Serge

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j'évite les accrochages avec les facettes de petite taille dans les carrés.
elles finissent par disparaître rapidement, elles sont là pour se mettre plus rapidement en température et l'adhérence est moins forte.

tou outil n'a pas l'air très épais, tu polis les mains posées à plat sur le dessus ou tu agrippes les bords d'une manière ou d'une autre?

[Ce message a été modifié par asp06 (Édité le 09-03-2007).]

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le travail au cérium c'est très vite amélioré dès que le mélange s'est mis à mousser. Aucun problème de ce coté jusqu'a la fin du polissage avec cet abrasif. Ce fut un vrai bonheur pendant ces 13 h de travail une fois la méthode trouvée : mélange bien onctueux et mousse. Je n'ai donc pas eu le besoin de tenter autre chose, comme de "travailler" la surface des carrés, tel que tu le préconisais. Mais je retiens ce conseil.

Maintenant, j'attaque la mise en forme finale. L'image au foucault est bien belle, avec un début de parabole et une AL de 4 mm (pour plus de 10 mm au final). L'outil à encore une belle épaisseur de 5 mm, un bel aspect, bien garmi. Je travaille une main devant (qui pousse), une main derrière (qui tire et qui fait tourner le disque régulièrement, tout en tirant). Je m'applique à avoir des mouvement bien régulier et n'hésite pas à ralentir considérablement la vitesse dès que ça durcit un peu. L'effort est relativement important et je ne peux faire des courses en infini, qui m'étaient si chères lors du T250. Je ne fais que des aller et retours, plus ou moins longs, plus ou moins déportés selon le résulat escompté. Seul le poids des disques entre en jeu et au besoin, j'ajoute des poids suplémentaires sur le polissoir de 2.5 ou 5 kg pour que le polissoir ai le même poids (donc la même efficaité de travail) que le miroir. le miroir pèse 10,3 kg alors que le polissoir n'en fait que 5,3kg.

Maintenant, je cherche tous les renseignements nécessaires à une utilisation optimale du zirconium (ca, ca va quasiment parfaitement) et surtout, de l'opaline, que j'aimerai bien utiliser, dès que mon lambda commencera à décoller....
Et puis certainement très rapidement, des conseils sur des retouches dont je n'arriverais pas à me dépétrer.


Serge

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Bonjour,je suis ce post avec grand interet,je pense que pour obtenir un belle forme et un bon poli,le zirconium est suffisant,par contre,je comprend bien que tu ne fasses pas de 8,mais évites les simples allés retours,car à chaque changement de sens tu sens bien que cela produit un accoup!arondi chaque fin de course ,cela est trés important je pense.Continue à nous tenir au courant.PHIL

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Bonjour,
je ne suis pas convaincu qu'il faille ajouter du poids à ton outil, puisqu'il est plus léger , au contraire profites en pour travailler en douceur, comptes tu paraboliser avec un outil pleine taile ? ou demi diamétre ou 2/3 ?
Pour l'opline, tu as dû déjà en entendre parler, l'idée est d'ajouter pas mal d'eau tout au long du polissage, il est aussi vrai qu'avec le zirco l'état de surface peut être bon , sinon entretient un peu ta forme à l'opaline avant de partir sur la parabolisation, si ça coince , ce qui, si ton polissoir est bien préssé ne doit pas arriver, rajoute un tout petit peu de cerium.
Pour la parabole , dès 6 mm de tirage, commence à pointer et surveille que la parabole monte de façon homogéne, regarde les articulations entre chaque zone, et surveille qui prend de l'avance, afin d'ajuster tes courses.
Pour un 400 ( dans le cas d'une utilisation d'un outil pleine taille)j'ai pour habitude de m'occuper du bord en premier( voir des trois derniéres zones) le centre étant toujours plus facile ensuite à descendre.
Pour un demi ou 2/3 c'est différent.

que la force soit avec toi!
fr.g
ex nanar 58

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tu peux essayer d'ajouter un peu d'opaline à ton oxyde de zirconium, cela devrait changer la façon dont est chargé ton polissoir et améliorer l'état de surface sans trop pertuber la qualité actuelle de ton polissage.
d'accord avec franck grière pour dire qu'il faut bien veiller à un bon pressage.
je n'ai pas utilisé l'oxyde de zirconium depuis longtemps mais je sais par exemple que zambuto utilise une préparation commerciale, une supsension, qui est mélange d'ox. de zirconium et d'ox. de cerium ("ZOX ce-89").

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tant qu'à parler poudres à polir, quelqu'un peut il nous faire partager son expérience sur la srs 848 , la datasheet que j'ai trouvé sur le web la place comme un clone de l'opaline, sans les problèmes d'accrochage selon jean-marc lecleire.

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merci pour ces derniers conseils.

OUi, j'fais gaffe en fin de course !
Je note pour l'opaline de ne pas trop se prendre le choux avec, d'utiliser sans soucis le zirconium, de faire au besoin un mélange zirconium/opaline, et le mouiller d'avantage vers la fin du travail. Ca confirme la passionnante discution que j'ai eu hier avec Charles R. à Triel : le zirconium est très bien ! tant mieux...

Je retiens de ne pas charger inutilement le polissoir.

Je retiens aussi l'attaque des corrections par les zones externes, méthode décrite par l'ouvrage des canadiens.
Mais pour celà, je dois etre un benet. Il est dit : "courses allongées miroir dessus, centre presque sur bord, et débord de la largeur de la dernière zone".
Par quel miracle ce type de courses creuse l'écart entre la dernière et l'avant dernière zone ? J'comprends pas. J'ai plutot l'impression que c'est le centre de l'outil qui encaisser. La preuve ? Il peut arriver lors d'un mauvais controle des courses, de faire presque basculer le miroir en fin de course, délestant par ce fait les zones externes...

Sinon, je compte utiliser au maximum le polissoir plein diamètre, pour optimiser la qualité de surface et diminuer sensiblement les risques d'astigmatisme. Je compte mener le plus loin possible le travail ainsi, et n'avoir recours à des polissoirs locaux qu'aux derniers instants, quand le lambda commencera à bien décoller.
Donc la sphère > parabolle, sentir plutot le travail sur les bords ou sur le centre, faire évoluer la forme générale. Courses générales de parabolisation,miroir dessus, grands zigzag dont le centre parcourt à peut près toute la surface du polissoir. Ziga zag plus serrés au centre ou aux bords, selon que l'on veut respectivement plus rabattre le bord ou déprimerle centre.
Ensuite, j'hésite entre utiliser mon ancien outil de 250 mm, ou faire des dégarnis d'outil par pressage en interposant des anneaux en papier, contours découpés en dents de scie, ce que j'avais fait avec succè sur le 250 au final.
Mais, ce 400 à F/D 4.5 est bien plus redoutable à sortir correctement. Ce la suffira-t-il ?
Vos avis et conseils sont les bien venus.

pour des polissoirs locaux,
si j'utilise mon ancien 250, il n'a pas le même rayon de courbure (2500 pour 3600 mm). Est-ce bien génant ? le pressage égalisera la surface mais les carrés auront des épaisseurs diverses.
Ou alors un disque en contre plaqué.
Mais dans tous les cas, ne vaut-il pas mieux préparer et roder ces outils dès à présent pour bien les garnir de zirconium ? ou peut-on sans grands soucis se les faire à la demande, au dernier moment, sachant que le garnissage de la poix ne prend pas des heures ?

Pour les pressages :
je tiédis l'outil dans mon bac à douche 10 mn à 35°(pas trouvé une bassine suffisament grande).
je presse sur le polissoir bien garni de zirconium avec une pesée de 10 kg pendant une 10 de minutes et m'assure par de petits déplacement que le contact soit bien uniforme.
Est-ce correct ?

Dernier point, l'écran de couderc.
J'ai un truc à 5 zones, suite mathématique, mais avec fenetre centrale de 90mm. Ca ne me plait pas. Qu'elles sont vos dimensions idoines pour cet écran, vos "he" ?

Ah, encore un truc, le fooucault.
Certains préconisent lame et fente solidaires sur le chariot longitudinal, d'autres de n'avoir que la lame seule mobile. J'utilise ce dernier modèle, me disant que la précision de lecture est 2x meilleure. Alors, quel est l'avantage du premier modèle ? N'est-il pas pénalisant de diminuner par 2 la précision de ses mesures quand on voit l'impact que ça a pour obtenir un buletin de controle qui ai un minimum de sens ?

Merci de vos conseils et de la patience à y répondre. Mais je pense que ça peut intéresser bien d'autres amateurs.

Serge

[Ce message a été modifié par serge vieillard (Édité le 11-03-2007).]

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pour l'écran de couderc tu peux faire un 6 zones et laisser tomber dans les calculs la zone centrale cachée par le secondaire.
pour le foucault choisis celui que tu sens le mieux, après il suffit de prendre les bonnes formules dans les bouquins.
pour l'histoire du miroir dessus que tu creuses et dont tu vois les zones externes s'allonger, il faut se dire qu'une zone externe qui ne reçoit aucune action du polissoir n'a aucune raison de bouger et pendant ce temps là tu raccourcis les rayons de courbure des autres zones, en relatif l'externe s'allonge par rapport au centre ...

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Bonjour,
quelques idées en vrac

coller un oeuillet au cul du miroir pour controler les courses, ne pas amener le centre au bord de l'outil mais à 2/3 cm.
Un peu de schizophrénie toutes les dix minutes,changer de personnage, penser à changer de façon de réaliser les courses: plus tourner le miroir dans ses mains sans bouger face au post, puis le contraire, etc.

Pour revenir à ce que dit à juste titre asp06 sur le rabat du bord,il est donc important d'entretenir la forme afin d'obtenir un bon état de surface au bord avant la parabolisation, puisque le bord sera peu toucher avec cette méthode.

Avec un masque à 7 zones on peut obtenir des tirages entre chaques zone d'environ0.8, celà permet de sentir quelle est la zone en retard ou en avance.

On peut en effet trés bien mener un 400 avec un outil plein taille à une belle parabole, avec un outil assez léger ( comme le tiens, mais un 2/3 aurait été préférable), tu pourras, devrais pouvoir faire des retouches en surpréssions ( ou plutot soulagement du bord opposé) sur les zones à retoucher pour terminer la parabole.

Les retouches les plus pénible sont les zones en creux, donc ai à l'oail quelles sont les zones qui prenennt de l'avance.
fr.g

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salut à tous,

et déjà une semaine de parabolisation.
Tout d'abord, la parabole évolue bien, j'arrive à presque 9 mm d'AL, j'apporche de mon premier lambda.
Mais ce qui me fais le plus plaisir, c'est l'état de surface observé au foucault : c'est bien lisse, bien doux, bien progressif, sans mamelonnage. J'espère que ca va durer comme ça et que les retouches locales n' vont pas me massacrer cette belle surface. J'aimerais juger du micromamelonage mais je n'ai pas de lame de phase pour ce faire.... dommage. Je crois que la lenteur, les pressages, les courses de parabolisation générales en sont l'origine. Ah oui, comme il m'a été conseillé, j'ai marqué le centre du miroir pour assuere davantage mes courses, ça aide ! Parfois, en fin de séchée, le miroir se met à chanter, comme un verre de cristal. Charmant et impressionnant...

Sinon, aux mesures, j'ai refait un écran à 6 zones. Je ferais un 8 zones quand j'approcherais du but.
Je note que la zone la plus en retard est la dernière. On retrouve les restes du bord relevé... La contrepartie bénéfique, c'est que je n'ai pas de bord rabattu ! La lecture au foucault de cette zone s'en trouve bien facilitée. Mais il me faut désormais faire fondre cet écart. J'utilise donc des courses de parabolisation miroir dessus, en resserant les zig-zag dans la portion centrale, tel que décrit dans les ouvrages. J'y vais mollo de peur de rabattre ce bord.
Peut etre que quelques tours de poste miroir dessous, polissoir presque centre sur bord decrait résoudre plus radicalement de problème. Mais cette méthode "musclée" m'effraye un peu. Je vais faire un petit essais sans trop insister. On vera bien.

Pour l'instant, ce n'est que du bonheur !

seul bémol : pour 15 à 20 mn de polissage, il faut nettoyer le miroir, le descendre à l'atelier où se trouve mon banc de controle, attendre quelques temps que ca se stabilise et exécuter un aller et retour de mesures au Foucault, se qui me prend un temps certain. Bref, ça n'avance pas vite, mais....ça avance


Serge

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Peut etre que quelques tours de poste miroir dessous, polissoir presque centre sur bord decrait résoudre plus radicalement de problème. Mais cette méthode "musclée" m'effraye un peu. Je vais faire un petit essais sans trop insister. On vera bien.

A utilser par trois tours pas plus et contrôler, tu peut trés vite faire un fin bord rabattu avec ce genre de course.

il faut imaginer que sur un 400 quelques 1/100éme de millimétres de tirage representent pas mal de molécules de verre, les retouches locales sont donc préconisées pour terminer le travail, utilises les courses de rabat de bord comme tu fait miroir dessus et vérifie que l'avant derniére zone ne prend pas de l'avance sur la derniére, dans ce cas oui intéresse toi soit à des courses en surpéssions sur le bord, soit à un exentrement de l'outil sur le bord, mais avec parcimonie
fr.g

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salut !


tout d'abord, merci pour ces conseils quasiment en temps réel.
2 jours de folie, enfin un lambda !
hier, je remarque que mes courses normales de parabolisation, avec tendance à rabattre le bord n'on plus d'efficacité depuis 3 retouches de 20 mn chacune.
J'attaque donc une retouche sur la dernièr zone, polissoir dessus, W 1/4D, légère surpression, 5mn + 5 mn de parabolisation pour "refaire" la surface qui a du etre un peu martirisée...
Controle : le bord a bien baissé. Mais la surface n'est plus aussi lisse. J'ai un très léger téton au centre, 2 à 3 cm. J'ai aussi mon premier lambda. L = 1,3, ca s'arrose !
je decide de reconsidérer le polissoir, je fais un rognage, les sillons étant forts proches les uns des autres.
Aujourd'hui, toujours les courses de parabolisation normales avec tendance à rabattre le bord.
En 2 retouches de 25 mn, je passe de L=2,4 à L = 3,2. Je progresse donc fort régulièrement, avec des courses normales, garantes d'un bel état de surface. Je suis à moins de 80 nm de la parabolle idéale.

Pourvu que ça dure !
vous pouvez presque vivre en direct la parabolisation de ce miroir. l'atterrisage est proche ! (ou le crash...)

Serge

[Ce message a été modifié par serge vieillard (Édité le 17-03-2007).]

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salut,
week end bien besogneux pour un résultat.... au raz des paquerettes.
Tout allait comme sur des roulettes, le lambada est monté jusqu'a 5, et lors d'une retouche, toujours la même, courses longues miroir dessus, pour diminuer la dernière zone, paf, tout est retombé à plat, comme un soufflé. Moralité, L= 1.3

J'ai le sentiment que je plafonne avec ces courses de parabolisation. Dans un premier temps, ca a redoutablement bienvmarché, et bien fait augmenter le tirage. Mais là, il ne me reste plus que 100 nm à oter selon une parabolle un peu plus marquée, et ca plafonne, ca ne va pas au-delà, j'atteinds comme une limite.

Bref, que me conseillez-vous de tenter, de modifier, d'essayer pour faire progresser les mesures ?

Sachant que je suis toujours et volontairement sur des courses de parabolisation, soit miroir dessus, courses en zig-zag dont le centre parcourt la totalité de la surface du polissoir, sans jamais en sortir, que je presse 10 mn le miroir tiédi à 35°C, que mon mélange est de 50/50% Zirconimu/opaline bien crémeux et généreux, que le régime est bien gras, régulier, sans heurts ni accoups violents, que la surface est toujours belle, avec 3 fois rien de mamelonnage en zone centrale, que mes mesures sont confirmées par de nombreux aller et retours de pointage, avec un 6 zones et quand je doute, d'un 8 zones.

Merci d'avance

Serge

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salut,

et bien après quelques semaines de patouillage, mon miroir avance diabolisquement bien: lambda / 11, critère de Coudrec respecté sur les 8 zones !!!!
Vachte content !
En fin de compte, plutot que des retouches hazardeuses, j'ai corrigé le bord par un retours vers la sphère, miroir dessous, course W, puis retours à la bonne bonne parabole par des courses normales de parabolisation.
Depuis 1 semaine, toujours le même programme qui fait progresser doucement mais surement la forme :
- un bon pressage miroir tiède avec opaline+zirconium,
- 1 tour de poste miroir dessus course W 1/4D, et 2 tours courses de parabolisation normales

La forme présente une bosse très douce sur toutes les zones avec juste un bord à peine relevé un un centre à peine pas assez creusé.


Dernière retouche - j'espère - avec la même recette, et pleins de mesures sur plusieurs méridiens...
Ca sent la fin, bientôt l'aluminure !!!!!
YAOUUUUUUU !!!!

Serge

PS : merci à David V. qui , par diverses expliaction sur ce forum, m'a permis de mieux comprendre les courses de parabolisation et ce facheux bord rabattu. Comme quoi, quand on comprend un peu mieux le problème, on le résoud d'autant mieux !

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Je suis heureux de voir Serge que mon article sur les outils céramique t'aie si bien servis pour faire ton 400mm aussi rapidement que je le disais dans cet article que chacun peut lire sur mon site :
http://www.astrosurf.com/astroptics/

Je suis convaincu que c'est un passage obligé pour un gros diamètre et déjà bien pratique dès 250mm. Concernant le SRS, c'est un produit utilisé à l'atelier de la saf à la sorbonne qui donne de beaux résultats.

Merci d'avoir mis mon site en lien sur le tient, mais le lien ne semble pas fonctionner...

Pourquoi pas une mesure à l'interféromètre de ton miroir ?


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Serge,

si jamais tu cherchais une adresse pour aluminer, Befort à Wetzlar (au Nord de Francfort en Allemagne) travaille bien pour pas trop chère.

amicalement rolf

[Ce message a été modifié par rolf (Édité le 16-04-2007).]

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Salut,
je reprend ici pour ne pas polluer un autre post...

Merci fr.g de proposer ton aide.
J'ai mis récemment à jour mon site où on peut suivre ce travail qui n'en fini pas.
Pour résumer, un moment, j'ai cru atteindre le but : l/14 avec un critère de couderc respecté sur toutes les zones. Mais, à la mesure d'autres méridiens, je me suis apperçu avec horreur de variation de profil, le lambda allant de 14 à 4.8.....
La cata.

J'ai pris le parti de :
- réfléchir aux causes possibles de ses défauts
_ d'obtenir une surface plus régulière

sur le premier point, je note un sale manie : toutes mes nombreuses retouches se sont faites en débutant et achevant le travail face à un repère tracé au dos du miroir. J'ai donc privilégié un axe. ensuite, pour tiédir le miroir, je le met dans mon bac à douche et l'asperge 10 mn à 35°. Seulement, pour que l'eau passe aussi en-dessous du miroir, j'incline celui-ci en le plaçant sur une cale. Serait*-il sensible à une déformation locale juste avant le travail? de même, je constate que l'écoulement de l'eau (il n'est pas immergé) fait que parfois la température à la surface du miroir n'était pas parfaitement homogène, me disant que ça s'égalisera pendant le travail. Ca ne doit pas être anodin...

Voilà donc les 3 défauts que j'ai analysés de mon travail. Bien évidamment, je les ai à ce jour corrigés.

Pour le 2eme point, j'ai décidé de reprendre pendant quelques heures du polissage normal, avec des séances continues et bien régulières d'au moins 1 h. Les défauts semblent avoir diminués. Mais pour s'en assurer pleinement, il me faudra reprendre une "campagne de mesure" sur 4 méridiens, soit 4 jours sur le banc optique en pivotant de 45° chaque jour le miroir. Honètement, je préfère polir que de "perdre" une semaine à faire des mesures....

Après les retouches, je fait les mesures toujours sur le même méridien. Quand la forme approchera, je ferai à ce moment une campagne de mesure sur toute la surface.

J'ai observé la surface avec un fil et n'ai pas noté de défauts de non révolution visibles avec cette méthode.

Ma seule grande joie est un bien bel aspect de surface, c'est bien lisse, bien progressif.

Voici donc ma logique du jour.... bof....


sinon, mes retouches actuelles sont vraiment trop pifométriques : mes résulats oscillent, ils ne progressent pas.
J'essaye de retrouver les repères quand j'avais atteinds par retouches successives ce beau l/14 mais sans succès.
Je ne travaille qu'avec le polissoir pleine taille, qu'avec des courses de parabolisation Mirroir dessus méthode A type I, II ou II du Texereau et un travail des zones externes miroir dessous W 1/3 D ou retour à la sphère mirroir dessus/dessous W 1/3 D.

A ce jour, je bataille avec une large bosse dans les zones centrales. Je tente un retour à la sphère mais.....


Voilà, ce n'est pas glorieux, mais je m'accroche. Un jour, ca se fera, la solution me semblera évidente et je serai content. Aujourd'hui, je vais recommander du cérium....

Peut etre qu'un avis avisé aidera à me sortir de l'ornière.
d'avance, merci

Serge

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comme ça à vue de nez, miroir dessous et des courses de polissoir qui amène le centre de celui ci sur la zone centrale en bosse.
le tiédissage des disques j'ai abandonné il y a longtemps lorsque j'ai pu travailler dans un local à une température correcte c'est à dire pas froid quoi

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le lambda allant de 14 à 4.8.....
c'est balaise quand meme comme différence c'est bizarre... et le profil était vraiment différent ? tu as démarré ta parabolisation à partir d'une sphére ? elle ne te semblait astigmatique ?
pour le foucaultage d'un miroir ouvert je me permet de transposer ici un message de mon maître feu Jean Marc Becker qu'il m'avait envoyé à l'époque de mon premier 400m
souvenir souvenir.....


"les points critiques sont:
- la largeur de la fente et sa régularité. Elle doit fonctionner par
diffraction, et assurer un éclairage homogène du miroir.
- le parallèlisme de la course du couteau avec l'axe optique. La
tarnsition ombre-lumière ne doit pas bouger d'un poil quand on avance et
recule le couteau
- le parallélisme couteau-image.
- la qualité de la vis d'avance du chariot, elle ne doit pas avoir de
faux-rond.

Un élément souvent négligé, la luminosité de la source. trop forte, elle
éblouit, trop faible, on n'a plus de contraste.

et on ne peu plus voir en teinte plate les fenêtres
extérieures. Il faut mettre au centre de la fenêtre la transition ombre lumière. Ca devient plus dynamique que statique. C'est en entrant le couteau qu'on voit passer le système d'ombres.

JMB

"sur le premier point, je note un sale manie : toutes mes nombreuses retouches se sont faites en débutant et achevant le travail face à un repère tracé au dos du miroir."

ce n'est pas un probleme d'avoir un repére mais en effet il faut le laisser là ou il atterrit au hazard quand on le pose sur l'outil et s'en servir pour compter le nombre de tour

Pour le 2eme point, j'ai décidé de reprendre pendant quelques heures du polissage normal, avec des séances continues et bien régulières d'au moins 1 h.

je ne veut pas te filer le bourdon mais si réellement ton miroir est astigmatique ça va être plus long que ça ...


il me faudra reprendre une "campagne de mesure" sur 4 méridiens, soit 4 jours sur le banc optique en pivotant de 45° chaque jour le miroir.

pourquoi aussi longtemps ?
je contrôle mes miroirs en autocollimation je voit donc leur forme directement au foyer , juste aprés retouche il est vrai que ça fait trés peur , mais du pyrex peut se controler une heure aprés retouche, la forme controlée est trés proche de la forme définitive.


pour ta forme daccord avec asp 06 , miroir dessus et tu t'attardes quand le miroir s'approche du bord de l'outil.

Pour bien, si tu n'est pas trop pudique:-)tu devrais scanner tes bulletins de controle afin qu'on y voit plus clair.
fr.g

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sur mon 300 je testais une heure après la retouche.

sinon franck je crois que tu m'as mal lu
ce que je propose c'est que le centre du polissoir qui est au dessus se promène jusqu'à la zone en bosse du miroir qui est dessous.
sous reserve effectvement qu'il n'y ait pas d'astigmatisme mais serge semble avoir vérifié avec le test du fil.

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Serge, cette histoire de temps de stabilisation est super louche: Deux qui disent "une heure"!

J'embarque mes thermocouples (pour voir les températures sur le poste de contrôle) et mes polarisants (pour regarder les tensions dans le verre) et je passe quand tu veux.

Je suis pas expert, mais si une idée tombe du ciel...

Pierre

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Mille fois merci ppour ces précieux conseils.

Concernant l'utilisation du foucault
*- la fente me semble fonctionner correctement du fait que j'obtiens de belles franges de diffraction comme sur ce dessin assez fidèle :

mais est-ce le seul critère qui permet d'en juger ?
*- le déplacement parallèle à l'axe optique. Là en effet, je suis souvent un peu leger. Pour caller le foucault, je vise le centre du miroir à travers le tube qui sert de rail au chariot du foucault.... Si c'est primordial, il me faut un autre portocole. Lequel utilisez*-vous ? un pointeur laser colimaté ?
*- le parallélisme couteau/image... dois*-je comprendre la pérpendicularité entre la fente et le méridien mesuré par l'écran de Couderc ?
*- la qualité de la vis et du contact, je pense être très correct là dessus : j'utilise un palmer, avec donc une touche de belle qualité. Cette touche appuie sur une petite plaque de verre avec une goute d'huile pour que ça glisse bien...
*- la luminosité de la source. Là, il me faudrait un variateur pour apprécier les différences d'images. J'uilise une ampoule de 4.5 V, l'éclairage du miroir me parrait parfaitement uniforme.
*- je ne saisis pas bien " Il faut mettre au centre de la fenêtre la transition ombre lumière". Cela veut*-il dire qu'on analyse que la zone centrale de la fenêtre ? qu'on ne se laisse pas perturber par les variations de luminosité vers les bords, quand la teinte plate n'est pas parfaite dans une fenetre ?
Je note que le logo de ton entreprise est un ecran de Couderc un peu particulier : les fenetres sont ovales et toutes alignées sur le méridien. Est-ce vraiment le cas ? si oui, j'imagine que cella permet d'éliminer les bords des fenetres pour une mesure moins perturbée quand les teintes plates ne sont pas encore au rendez-vous....

*- OK pour les retouches proposées.
*- pour les bulletins de controle, j'avoue que ca me démange... mais j'ai l'impression que ca veut franchement dire : "j'y comprends rien, voici mes mesures, que dois-je faire ????" Peut-etre en arriverais-je là, mais j'espère que non.....

*- les variations de forme sur le banc. J'ai l'impression que mon support en mélaminé de 19 mm doit etre sacrément isolant. Je vais y faire un système pour que l'air circule librement audos du miroir....


Bien amicalement

Serge

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es que ton foulcault est solidaire ou independant ?
il existe un logiciel gratuit pour faire les calculs sans prise de tête , je l'ai essayé et ça marche !
tu n'as cas mettre le tirage et le logiciel fait le reste ...a+

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