mak jack

Votre secondaire, vous le préférez collé ou pincé?

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Oui mais ça va faire une grosse obstruction ; et puis va falloir que je leste le cul du télescope : je suis assez lourd comme garçon, parfois...

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Salut à tous,

Pour ma part, j'ai préféré la méthode mentionnée par constructor :

>> je connais une méthode (Pierre Bourges) qui consiste à entourer le M S d'une fine tôle, donc tenu tout le tour, avec du jeu, et alors trois pattes sont faites par cette même tôle de laiton.

Une photo vaut mieux qu'un long discours...

Voici le support de miroir diagonal monté sur mon dobson de 410 mm.

A moins d'oublier de serrer la vis qui maintient la queue d'aronde située à l'arrière dans son support situé sous l'araignée, la miroir ne peut pas tomber...

Jean-Jacques

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Mais alors, n'y a-t-il pas un problème de mise en température du secondaire s'il est cerclé par une tôle métallique?
Et pourquoi sur-multiplier les pattes comme le fait remarquer Alain?
Je suis partisan de 3 plots de colle, à condition de bien les faire!
Attention aussi aux éléments finis, on fini souvent par mouliner un modèle faux avec les mauvais paramètres de maillage et ça fait comme toute simulation numérique on trouve le résultat qu'on voulait voir dès le début...

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J'ai aussi un secondaire pour la plateforme de mesure qui tient ainsi (trois griffes seulement). Le dessous est rembourré par une sorte de fibre pour répartir l'effort.
Résultat : 0 déformation.


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Ah oui Fred, mais il doit travailler dans l'autre sens ton miroir, non ?
Parce que si tu rembourres derrière un secondaire de télescope, tu ne soulages pas la flexion sous son propre poids, tu l'aggraves ! C'est pour ça que c'est chiant de maintenir un secondaire correctement, en position stable et précise mais non contrainte, quand il commence à être un peu lourd.
J'ai bien imaginé une solution collée sur des cordes à piano, pour s'affranchir des dilatations différentielles et des contraintes qui vont avec, mais c'est plus compliqué à mettre en oeuvre qu'un simple maintien 3 pattes classique, et finalement pas plus sûr qu'un collage basique bien réalisé. Je ne crois pas que ce soit justifié en fait, dans ces diamètres encore modestes, si on prend la précaution de réaliser un support dans un matériau assez neutre type composite carbone-epoxy.

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quote:

Mais alors, n'y a-t-il pas un problème de mise en température du secondaire s'il est cerclé par une tôle métallique?

J'avais ça et je confirme qu'il n'y a aucun problème de 'mise en température'. Bien au contraire, le métal rayonne bien fort en iR et le secondaire déscend assez vite en dessous de la température ambiante et du point de rosée.

Embuage garanti le plus rapide de tous les Newtons dans le coin. Pour les nostalgiques des gens télescopes à correcteur Schmidt.

C'est bien pour ça que je suis passé au secondaire collé (attention, faire gaffe de ne pas exposer l'arrière du secondaire au ciel non plus, si le support a un diamètre inférieur au miroir).

Mais un support qui n'entre pas trop en contact avec le miroir et trois pattes, ce n'est pas un problème non plus. Mais 6 pattes, c'en sont trois de trop (je doute que les pattes soient toutes dans le même plan à 10 nm près, donc il y en juste trois qui marchent. On ne sait juste pas lequelles...)

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il faut 3 pattes sur le bord de la face supérieur et 4 sur la périphérie.
Mais, aller, coller, vous gênez pas, chacun ses choix.

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Pisque ce fil remonte des abysses, j'en profite pour corriger une erreur!!

Un seul point de colle suffit en théorie vu que c'est un "encastrement' à lui tout seul!
Mais mettre un unique point de colle au centre de surface revient à avoir un miroir sensible à l'orientation du tube optique vu que le centre de surface n'est pas le centre de gravité...

Donc, débrouillez-vous! Un trou au milieu avec un bon boulon et ça mouftera pas!

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D'accord pour dire qu'un seul point peut être assimilé à un encastrement, mais je crois que la colle qu'il convient d'utiliser garde une certaine souplesse, ce qui finalement revient à un appui pas tout à fait ponctuel et pas tout à fait plan non plus tout en se rapprochant fortement d'une rotule, un hybride en somme.
Je ne sais pas comment on caractérise mécaniquement une liaison collée surtout que c'est un cas de figure très particulier avec une colle elle aussi spéciale...
Donc pas simple, le débat reste très ouvert

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