messier63

Recherche Prism V8 en occasion

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Tout cela est un combat d'arrière garde parce qu'avec de plus en plus d'ordinateurs connectés en permanence à internet, le développeur peut déjà tout contrôler à partir d'un serveur. D'autre part, plus les connexions deviennent rapides, plus les applications ont tendance à rester sur le serveur, ce qui résout déjà pas mal de problèmes.

C'est même parfois plus simple de mettre des applications dans des cartes Linux embarqué (SBC, CoM/SoM, SoC, SiP, ...) de quelques euros. Les inconvénients de l'immatériel se transforment alors en avantages avec le matériel. De plus, tout cela peut être mis à jour par internet.

Voir par exemple l'ordinateur suivant qui préfigure ce qui nous attend dans les prochaines années :

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Ah! Quelque chose...
En astro nomade au milieu de nul-part , ça va être sympa si on doit être connecté pour que fonctionne le programme qui pilote la monture et la caméra...

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Pour info, mieux qu'un article de journal:
http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=CELEX:62011CJ0128:FR:HTML

"Par ces motifs, la Cour (grande chambre) dit pour droit:

1) L’article 4, paragraphe 2, de la directive 2009/24/CE du Parlement européen et du Conseil, du 23 avril 2009, concernant la protection juridique des programmes d’ordinateur, doit être interprété en ce sens que le droit de distribution de la copie d’un programme d ’ordinateur est épuisé si le titulaire du droit d’auteur, qui a autorisé, fût-il à titre gratuit, le téléchargement de cette copie sur un support informatique au moyen d’Internet, a également conféré, moyennant le paiement d’un prix destiné à lui permettre d’obtenir une rémunération correspondant à la valeur économique de la copie de l’œuvre dont il est propriétaire, un droit d’usage de ladite copie, sans limitation de durée.

2) Les articles 4, paragraphe 2, et 5, paragraphe 1, de la directive 2009/24 doivent être interprétés en ce sens que, en cas de revente d’une licence d’utilisation emportant la revente d’une copie d’un programme d’ordinateur téléchargée à partir du site Internet du titulaire du droit d’auteur, licence qui avait été initialement octroyée au premier acquéreur par ledit titulaire du droit sans limitation de durée et moyennant le paiement d’un prix destiné à permettre à ce dernier d’obtenir une rémunération correspondant à la valeur économique de ladite copie de son œuvre, le second acquéreur de ladite licence ainsi que tout acquéreur ultérieur de cette dernière pourront se prévaloir de l’épuisement du droit de distribution prévu à l’article 4, paragraphe 2, de cette directive et, partant, pourront être considérés comme des acquéreurs légitimes d’une copie d’un programme d’ordinateur, au sens de l’article 5, paragraphe 1, de ladite directive, et bénéficier du droit de reproduction prévu à cette dernière disposition."

[Ce message a été modifié par astrovicking (Édité le 27-01-2014).]

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Oui mais l'article du journal avait le mérite d'être clair.

Maintenant pour ceux qui préfèrent le gloubi-boulga juridique sûr que l'original vaut son pesant de cacahuètes.

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Il me semble que c'est pourtant assez clair déjà dans la déclaration que j'ai pis la peine de coller dans mon message, en particulier le deuxième paragraphe, ce n'est quand même pas, pour le coup du vocabulaire juridique très compliqué...

Et puis désolé, mais il me semble toujours intéressant d'avoir accès à la source plutôt que de se cantonner à un article...

[Ce message a été modifié par astrovicking (Édité le 27-01-2014).]

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... En fait, la solution pour les éditeurs qui ne voudraient pas voir les droits leurs logiciels revendus consisterai à ne délivrer ces droits que pour une durée déterminée... Effectivement ce n'est plus dans ce cas une vente de licence mais cela devient une location: c'est bien, par exemple, ce qui se passe pour Photoshop désormais.

On pourrait je pense, dans le cas d'un logiciel comme Prism, envisager le versement d'une somme équivalente à ce qu'elle est actuellement (peut-être un peu plus faible ) pour l'ouverture des droits d'utilisation suivi d'un loyer annuel symbolique, un euro symbolique par exemple qui ne grèverait pas le budget de l'amateur mais justifierait la location des droits du logiciel, par contre à mon avis, en l'état actuel des choses, une simple clause dans le contrat stipulant la non cessibilité des droits risque fort d'être considérée comme clause abusive et réputée non écrite...

...Bien entendu il ne s'agit là que d'une interprétation personnelle faite par un artiste lyrique:

Y-aurait-il un juriste dans la salle???

[Ce message a été modifié par astrovicking (Édité le 27-01-2014).]

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quote:
en particulier le deuxième paragraphe

Une phrase à rallonge, mal structurée, sans point à la ligne, j'appelle cela du gloubi-boulga ... et dire que nous payons fort cher des juristes pour écrire une prose pareille.

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Certes, ce n'est pas du Barbey d'Aurevilly, mais en terme de langage juridique on a vu bien pire.

PS: Messier63...57!

[Ce message a été modifié par astrovicking (Édité le 27-01-2014).]

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Bonjour à tous,

Je profite de ce post pour proposer à la vente ma version originale de MIPS.
Pour ceux qui ne connaissent pas, c'est l'ancêtre d'IRIS mais en version payante.
Je sais que Christian ne m'en voudra pas, car c'est une version cessible
Mais attention, me proposez un tarif de Mickey car c'est une édition collector dans son écrin d'origine.
Bonne journée à vous,
AG

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quote:
Tout cela est un combat d'arrière-garde parce qu'avec de plus en plus d'ordinateurs connectés en permanence à internet, le développeur peut déjà tout contrôler à partir d'un serveur. D'autre part, plus les connexions deviennent rapides, plus les applications ont tendance à rester sur le serveur, ce qui résout déjà pas mal de problèmes.

La question du "combat d'arrière-garde"... c'est encore l'histoire qui repasse les plats... » On a déjà entendu ça quelque part. « Ouais vous savez les mecs moi ch'suis moderne quand je dis que le futur sera ainsi et que cela sert à rien de lutter » …. là je rigole... Avec les utilisations de plus en plus nomades, ce n'est pas sûr du tout que les applications soient de plus en plus à l’avenir sur le serveur... Depuis que l'informatique, le serveur, les interfaces homme-machine - ou ce genre de chose - ont toujours été la marotte de l'informaticien lambda qui s’autoproclame futuriste ...
Ceci étant c'est vrai que la société (et non le développeur sauf exception) peut contrôler à partir d'un serveur... Mais c'est sans compter sans les pratiques nomades des utilisateurs. Exemple j'utilise un logiciel dont la réactualisation de la clé est réactualisée en gros chaque année, la plupart du temps avec une nouvelle version. Mais il s'agit d'une version négociée entre la société qui m’emploie et la société éditrice du logiciel. Dans ce cas on comprend à 2000% que le logiciel ne peut être cédable à un tiers car il y a contractualisation à tous les étages de la fusée.
MAIS pour un utilisateur particulier (ce qui est le cas de PRISM dans la plupart des cas, sauf erreur de ma part) qui a payé le logiciel avec ses deniers, j’ai un peu de mal à comprendre que cela fasse partie des conditions d’achat du dit logiciel. Cela n’enlève rien du tout au fait qu’il faille devoir payer un juste prix pour une version neuve selon les avantages du dit logiciel... ; - les développeurs doivent être rétribués pour leurs compétences très pointues - mais le fait est que cocher une case « je reconnais les conditions d’utilisation de la licence » (que peu lise...) dans lesquelles il est stipulé que la licence est incessible et ne peut faire l’objet d’une revente est un tantinet abusif... Au passage, qu’est qui justifie qu’un logiciel soit payant ? Réponse éventuelle : qu’il ait une longueur d’avance sur les versions libres, qu’il soit un peu plus « user friendly » Après le choix final revient à l’utilisateur...

[Ce message a été modifié par maire (Édité le 27-01-2014).]

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C'est peut-être plus simple avec un exemple, si tu prends le logiciel DraftSight de Dassault Systèmes, c'est une fusée à 3 étages :
1) téléchargement gratuit avec accès à Internet et activation requis,
2) acheter le pack pro avec accès à Internet et activation requis,
3) acheter le pack entreprise avec minimum de 5 licences requis.

Tu as en plus la réponse à ce qui justifie qu'un logiciel devienne payant (dans la logique de Dassault Systèmes et de beaucoup d'autres).

Les pratiques nomades ... tu ne vois pas qu'aujourd'hui tout est fait pour te mettre un fil à la patte, pour te tracer comme un vulgaire colis.

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fil à la patte; oui...
Plus possible d'emporter son PC au fin fond de la cambrousse pour faire ses préparations sur CATIA pendant les vacances...
Tout est désormais sur serveurs avec identification et tout le toutim pour la version 6 de ce logiciel...

C'est certain que la V5 était piratée et en même temps, cela devait être inclus dans le prix de vente?

Il faut par contre qu'un logiciel astro ne nécessite pas de liaison internet obligatoire; c'est mieux

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Vous oubliez un interpretation, que donne le figaro et pas le texte original
(qui comporte bien plus d'article en plus ...)
"Autre interprétation plus radicale de la décision: cette dernière dit qu'un éditeur ne peut pas empêcher la revente, pas qu'elle doit la permettre.
Rien n'oblige donc un service qui n'offre pas la possibilité de revendre un jeu ou une application de le faire."

Voila, donc revente du pc avec prisme dessus : ok
revente de prisme seul avec demande de licence a l'editeur : no ok...

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