alexandrinoph

quel télescope choisir

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Première chose : la petite fenêtre : c'est souvent dans ce genre de situation que j'ai du observer : la seule contrainte est horaire car la terre tourne, le tout est d’avoir un accès au sud et au zénith, le reste on s'en fiche à condition de bien potasser ses éphémérides.
La pollution lumineuse : aucune importance en planétaire, par contre pour le cp il faut du diamètre pour tenter de voir ce qui reste à voir. Par contre le miroir ou la lentille doit être de très bonne qualité pour ne pas noyer le peu d'objets "survivants" dans la diffusion liée à un mauvais état de surface.
Aucune incidence de la pl sur la turbulence, par contre les arbres peuvent accentuer les effets de la turbulence.
Pour la monture équatoriale : le poids n'est pas une contrainte si c'est pour se déplacer dans son jardin, si le planétaire est prioritaire, elle donne un plus grand confort pour les très grands grossissements.
Un newton de 200mm f/5 gso fait tout à fait l'affaire pour débuter.
Une bonne lunette de 100 est on ne peut plus portable, par contre dès 120 ça se corse (dommage, car c'est à partir de ce diamètre que jupiter devient vraiment détaillée)
Si l'encombrement est un problème, et le budget n'en est pas un, ou si on souhaite se déplacer pour avoir un ciel plus propice, un sc peu encombrant comme le c8 sera préférable (le c9 est déjà presque trop lourd pour l'usage nomade), et changer le po pour éviter le shifting n'est pas une opération gratuite, mais accessible.


[Ce message a été modifié par Eratosthene (Édité le 21-08-2014).]

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donc voila...

je pensais soit me limiter à un C8... ou un C11 si ça casse comme on dit la baraque
mais l’encombrement et le poids est bien plus important pour le C11..
En planétaire... peux-t-on atteindre le potentiel du miroir C11?
Sa mise en température doit être plus longue de beaucoup?

Le shifting... ou la soit disant mauvaise qualité optique d'un celestron...
ne font-elles pas préférer un autre instrument?

Je souhaite:
planétaire et ciel profond...
quand à me déplacer de temps en temps pour le ciel profond...
mais... la différence en visuel entre le C8 et C11 coupe-t-elle le souffle?

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Pourquoi ne passerais-tu pas faire un tour dans un club où tu pourras voir des instruments et voir dans les instruments. On a pas mal de clubs en Belgique. Tu pourras te faire une idée de ce qui te convient.

Olivier

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quote:
quand à me déplacer de temps en temps pour le ciel profond...

C'est à nous de deviner la suite ?

Eh bien je donne ma langue au chat.

(Ah ah, te voilà bien attrapé, tu vas être obligé de fournir les précisions demandées ! )

[Ce message a été modifié par Bruno Salque (Édité le 26-08-2014).]

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Et vous vous ramollissez les gars, regardez bien, Alexandre a cité le mot magique qui fait partir tout post en sucette ..... si si cherchez bien, aller un indice, il est jaune

Jean-Christophe

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J'ai trouvé, c'est le ricard !!!

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Salut,

En fait, tu devrais peut-être préciser les cibles que tu envisages !

Et peut-être qu'effectivement, un tour dans un club t'aiderait à déterminer non seulement ce qui te plaît comme objets d'observation, mais aussi quel instrument te permet de le faire dans les meilleures conditions ?

Sinon, Bruno a raison, tu partais avec plein de préjugés :

- Le f/D n'est finalement un critère de choix que pour deux raisons : 1) la compacité du tube optique et 2) le temps d'exposition en photo directe au foyer (mais tout change en ajoutant des accessoires optiques qui modifient la focale de l'instrument, donc ça n'a rien de figé en réalité).

Par contre, la compacité, mécanique, évidemment... Sauf que ce n'est pas le seul critère : la formule optique aussi ! Un Schmidt-Cassegrain ou un Maksutov (entre autres) sont des instrument "replié" sur eux-même, avec des dimensions très compactes pour une focale très longue, donc finalement, la corrélation en focale et dimensions hors-tout n'est forcément évidente. En pratique, ça va surtout conditionner ton choix d'oculaires adaptés à chaque type d'objets célestes !

- Un gros diamètre ne sert à rien sous un ciel pollué : archi faux, en fait, tu voudras le plus gros diamètre possible entrant dans ton budget et surtout, dans tes capacités de transport / rangement manutention !

Plus le diamètre est important, et plus l'instrument sera lumineux, donc contrasté, et offrira une résolution des détails plus aisée du fait aussi d'un meilleur pouvoir séparateur. La pollution et la turbulence sont des aléas très variables ; les filtres sont efficaces pour la pollution lumineuse, et la turbulence peut varier en cours de nuit ; en outre, un meilleur contraste et une meilleure luminosité rendent l'observation beaucoup plus aisée et confortable, turbu ou pas.

En pratique, tu ne sélectionnera un petit instrument (une lunette, par exemple, qui donnera les détails les plus piqués parce qu'elle n'a aucune obstruction centrale) que pour la photo, parce que tu peux poser aussi longtemps que tu voudras pour compenser le petit diamètre (et le rapport f/D est ici fondamental).

En revanche, en observation visuelle, la petite lunette sera cantonnée aux objets très brillants (stellaires et planétaires) à grossissements moyens à faibles. Sinon, même en planétaire, tu ne pourras pas grossir des masses pour obtenir une image confortable, sinon tout deviendra tellement sombre que, comme on dit chez nous, tu ne verras plus peau de balle !

D'où l'intérêt, si tu envisages le visuel, de sélectionner un instrument tout de même assez gros (en diamètre d'objectif, s'entend).

- Du coup, on en revient à la notion de transportabilité. Non, il ne faut pas forcément une brouette pour transporter un dobson : d'abord, il y en a des petits et légers (à vrai dire, le faible poids fait même partie du concept), genre 8, 10 ou 12 pouces de diamètre, et ensuite, ils sont en plusieurs petits morceaux qu'on pose les uns sur les autres.

En définitive, je passe un temps insupportable à assembler ma monture équatoriale (qui pèse une âne mort) sur son trépied, puis les contrepoids, puis le tube optique sur la monture, sans même parler de la mise en station, alors qu'installer un dobson prend moins d'une minute : tu jettes la caisse par terre, tu pose le tube dessus, et roulez jeunesse, c'est prêt, y a rien d'autre à faire.

Pour une initiation à l'observation astronomique (je n'ai pas parlé de photo, hein :p), y a rien de mieux qu'un dobson de taille conséquente, par exemple un 10 ou 12 pouces : au moins, tu vois quelque chose (en toutes circonstances, et quelle que soit la pollution lumineuse ambiante et la turbulence, garanti). Ta seule contrainte sera le pointage : si tu ne vois pas le ciel à l'oeil nu à cause de la pollution, ça ne va pas être simple, mais ça reste faisable, et emporter l'instrument sous des cieux plus cléments est de la rigolade : tu balances les morceaux dans le coffre de la bagnole et c'est parti.

Après, si tu veux aussi faire de la photo et disposer d'un pointage automatique (encore que ça existe aussi sur certains dobsons) pour viser à l'aveugle depuis ton domicile, tu vas t'embarquer dans les montures équatoriales motorisées et informatisées, quel que soit par ailleurs l'instrument lui-même.

De ce point de vue, tu vas devoir choisir ta monture, sachant quelle sera d'autant plus lourde et encombrante que ton instrument sera gros, puis l'instrument lui-même.

Si tu privilégies la compacité, et en effet, une certaine versatilité, un Schmidt-Cassegrain est sympa, mais sa longue focale va limiter le champ visuel, du moins sans un réducteur de focale, et les oculaires à très longue focale nécessaires sont aussi les plus coûteux. De plus, ce type d'instrument est sans doute plus lourd qu'un newton, et pour finir, la position du porte-oculaire oblige à de douloureuses contorsions quand on observe près du zénith. Je ne dénigre pas, mais il faut quand même le savoir...

Le newton (en monture dobson ou équatoriale) est surtout la formule optique la plus économique, et plus on monte en diamètre, plus la différence de prix avec d'autres types d'instruments est importante. Il a aussi d'autres avantages, comme l'absence d'aberrations de sphéricité (que les lunettes doivent combattre avec des objectifs complexes et très coûteux), par exemple.

Or comme le diamètre est fondamental en visuel, il va conditionner ton premier critère de choix : le reste est affaire de goût et de contraintes autres, telles que la compacité, le poids, etc.

Après, le confort d'observation peut être critiquable également quand le porte-oculaire se trouve dans des positions bizarres, mais pour ma part, j'ai réglé le problème depuis de nombreuses années avec des colliers rotatifs et cette configuration (newton équatorial + colliers rotatifs) est pour moi la plus confortable possible, même avec une tête binoculaire (je peux observer des heures d'affilée sans la moindre fatigue, je ne changerais pour rien au monde).

Cependant, et j'insiste sans doute un peu, un newton de diamètre conséquent te donnera immédiatement des images intéressantes en visuel, très facilement, pour tous les usages (planétaire ou ciel profond), partout (bon ciel ou pas), et surtout pour pas cher (instrument lui-même et jeu d'oculaires). Autrement dit, si tu te trompes, tu te trompes pour pas cher, et tu peux toujours revendre sans trop de perte.

Je pense franchement que tant que la photo n'est pas une exigence, un dobson de 10 à 12 pouces est le meilleur instrument d'initiation qui soit, parce que tu ne seras JAMAIS frustré avec.

Ensuite, tu pourras toujours, fort de ton expérience, te tourner vers un instrument plus spécialisé, ou tout simplement monter ton tube de dobson sur une monture équatoriale achetée plus tard !

Sinon, un Schmidt-Cassegrain sera certainement le second meilleur choix et te permettra de tout faire d'entrée de jeu. C'est juste qu'en effet, tu devras limiter le diamètre à des dimensions plus raisonnables que pour un newton, sans quoi ton budget va exploser et le poids de l'instrument va devenir rédhibitoire.

Tu constateras rapidement aussi que le budget oculaires dépassera celui de l'instrument si tu veux de la qualité (pour du très grand champ, sinon il y a des modèles économiques), mais si tu choisis bien, notamment en anticipant de futurs autres instruments, c'est un investissement unique et à vie.

[Ce message a été modifié par Z80 (Édité le 26-08-2014).]

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si je lis bien...
un dobson comme un orion de diamètre 355mm serait plus intéressant qu'un celestron 11?
l'obstruction centrale =0.23 contre 0.33 pour le celestron... plus de contraste?
pas de shifting...
optique moins compliquée donc peut-être de meilleure qualité?
Mais que valent ces miroirs?
De toute façon... me direz vous... que vaux un miroir d'un célestron...
C'est pas du Moser...


mais comment... s'orienter avec un dobson? quand pas de goto?
il n'y a pas de déclinaison et ascension...
quand le ciel est pollué avec très peux de repères visuels...
 

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"mais comment... s'orienter avec un dobson? quand pas de goto?"

Avec une carte du ciel et un chercheur...

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Sinon, y' a le TDA.

Le TDA est facile à déplacer, ne prends pas de place, peut faire du ciel profond ou du planétaire, est toujours bien réglé, toujours facile à pointer, vite sortit, vite rangé. Et en plus, il est pas cher.

C'est vraiment l' instrument idéal.

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Juste en passant... Le contraste ne dépend pas de l'obstruction mais du diamètre. Plus un télescope a un grand diamètre, plus il montrera des images contrastées. Du moins à qualité optique égale.

Pour un télecsope de diamètre donné, il dépend de la qualité optique. Au fait : le chromatisme fait partie de la qualité optique, aussi une lunette, bien que non obstruée, pourrait montrer moins de contraste à cause du chromatisme.

Pour un télescope de diamètre et qualité optique données, il dépend (enfin !) de l'obstruction.

En fait il y a une règle empirique : à qualité optique égale, l'obstruction dépend de D-d où D est le diamètre du miroir primaire et d le diamètre de l'obstruction.

Exemple : comparons d'un côté un C11 obstrué à 33 % et une lunette de 100 mm (on négligera son chromatisme). Pour le C11, D-d = 185 mm. Pour la lunette, D-d = 100 mm. Le C11 offrira donc des images nettement plus contrastées que la lunette.

Sinon, Alexandrinoph, une question très importante qu'on aurait dû te poser d'abord (je ne comprends pas qu'on n'y ait pas pensé) : tu envisages de te déplacer en voiture avec le télescope (pour aller en rase campagne) ? Un Dobson 350 mm, pas facile à le faire rentrer dans une voiture...

Autre chose : tu parles de shifting, donc c'est que tu comptes faire de l'astrophoto. Dans ce cas, laisse tomber le Dobson, pas du tout adapté.

[Ce message a été modifié par Bruno Salque (Édité le 30-08-2014).]

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Bonsoir,

j'ai un Celestron 9, et c'est vrai que j'ai lu et entendu tout et n'importe quoi sur la qualité optique.
Avant d'acheter ce tube, j'avais observé dans des C8 et je n'avais pas été convaincu.
J'avais néanmoins lu de bonnes critiques du C9, malgré son obstruction énorme, J'en ai donc acheté un avec un bulletin de contrôle, et customisé, avec tube carbone, blocage miroir, crayford électrique, et une fois réglé, ça donne de bonnes images.
J'envisage néanmoins un C11, le C14 est too much

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Bonjour Bruno, la plupart des dobsons chinois ne sont plus monotubes, ce qui simplifie grandement le chargement dans un coffre de voiture...

Ils sont soit en deux parties avec un faisceau de tubes de jonction type Serrurier, soit en "flex tube", télescopiques.

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Houlà, oui, j'oubliais qu'il existe maintenant un tas de Dobson démontables ! Comme il était question d'Orion, j'avais en tête l'Orion XT, mais j'avais oublié le XX...

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un dobson ...
c'est la galère pour se repérer dans le ciel
comment faite vous pour les objets très faibles?
ca marche comme des jumelles sur un trépied...

la monture équatoriale... on prend la coordonnée d'un astre repère bien visible et on change les coordonnées...


le dobson 355 a le miroir en pyrex, obstruction de seulement 23%
ca devrait etre super pour le planétaire par rapport à un c11...

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un dobson ...
c'est la galère pour se repérer dans le ciel
comment faite vous pour les objets très faibles?
ça marche comme des jumelles sur un trépied...

la monture équatoriale... on prend la coordonnée d'un astre repère bien visible et on change les coordonnées...


le dobson 355 a le miroir en pyrex, obstruction de seulement 23%
ca devrait être super pour le planétaire par rapport à un c11...
ou ... l'optique... les tolérances... font qu'il s'agit presque d'un miroir grossissant de sdb... je plaisante bien-sur.... mais bon c'est du chinois...

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un dobson ...
c'est la galère pour se repérer dans le ciel
comment faite vous pour les objets très faibles?
ça marche comme des jumelles sur un trépied...

la monture équatoriale... on prend la coordonnée d'un astre repère bien visible et on change les coordonnées...


le dobson 355 a le miroir en pyrex, obstruction de seulement 23%
ca devrait être super pour le planétaire par rapport à un c11...
ou ... l'optique... les tolérances... font qu'il s'agit presque d'un miroir grossissant de sdb... je plaisante bien-sur.... mais bon c'est du chinois...

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Très peu d'observateur utilisent les cercles de coordonnées des montures équatoriales. Je sais qu'il y en a, et j'ai même essayé à une époque, mais je n'en ai rencontré aucun (sinon sur les forums). Il faut dire que ça ne marche qu'avec des cercles de grande taille, sinon c'est imprécis.

Le plus souvent, les utilisateurs de montures équatoriales font « comme tout le monde » : il pointent soit au chercheur avec une carte, soit avec une aide électronique (pointage automatique). Et ça marche très bien.

-----
Au fait, tant que j'y suis, et vu que ça fait un peu de la peine de lire tant de préjugés, je reviens sur l'un d'eux en signalant que parmi les meilleures images planétaires prises avec du matériel amateur, il y a celles de Damian Peach. Je dis « parmi les meilleures » pour être prudent, mais beaucoup de gens diraient « de loin les meilleures ». Il utilise un C11 et un C14. Tiens ?

En France, je me souviens de Teva, qui était d'ailleurs parmi nous il y a une dizaine d'années, et dont les images de Mars étaient hallucinantes. Il avait quoi ? Ah oui, un C14.

En fait il n'y a pas de secret : leurs images étaient au-dessus des notres parce qu'ils avaient un instrument de grand diamètre (le critère n°1), un site meilleur qu'en France (la Barbade / Tahiti) et qu'ils maîtrisaient la technique de l'imagerie à la perfection.

Ah, dernière chose : laisse tomber les calculs d'obstruction, je crois que tu es le seul que ça intéresse.

[Ce message a été modifié par Bruno Salque (Édité le 31-08-2014).]

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Mon cher alexandrinoph,
Si tu n'as pas l'intention de te déplacer pour observer, oublie le ciel profond (vu l'endroit où tu habites).
Pour les cercles de coordonnées, je les utilise avec succès sur ma GM-8, sans qu'il s'agisse de grands cercles. Mais ils sont en effet plus grands que ceux d'une GP et peut-être que ceux de certaines montures Takahashi.

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ben ...
moi je suis sceptique pour le pointage au nez...
les objets a peine discernable c'est foutu sans l'utilisation des coordonnées
....
mon but n'est absolument pas la photo...
juste du visuel

... et pour en revenir au commentaires des super clichés obtenu avec un C11 ou 14...
l'imagerie permet des miracles... que le visuel ne discerne pas

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Alexandrinoph :
quote:
moi je suis sceptique pour le pointage au nez...
les objets a peine discernable c'est foutu sans l'utilisation des coordonnées

Je crois qu'ici, personne n'a parlé de pointage au pif (la plus mauvaise des méthodes).

Tu as déjà essayé le pointage aux coordonnées ? (Au fait, quelle est ton expérience ? C'est pour en savoir plus sur tes besoins, par exemple en pointage.)

Pour les objets à peine discernables, je préférerais toujours le pointage avec une carte au pointage avec les coordonnées. Avec les coordonnées, on sait qu'on pointe dans la bonne direction, mais où est l'objet précisément ? Il y a une centaine d'étoiles dans le champ, il est caché quelque part... La carte, elle, nous montre où est l'objet parmi les étoiles du champ, donc on sait précisément où il faut regarder. Je pense à Pluton, ou une petite nébuleuse planétaire confondue avec une étoile avec faible grossissement (et en plein milieu de la Voie Lactée par dessus le marché).

Je ne dis pas ça pour dénigrer le pointage aux coordonnées - après tout quelques observateurs l'utilisent - mais pour dire qu'il est faux de prétendre que le pointage aux coordonnées est la seule méthode possible pour les objets à peine discernable (pour moi ce n'est pas la meilleure méthode).

quote:
et pour en revenir au commentaires des super clichés obtenu avec un C11 ou 14...
l'imagerie permet des miracles... que le visuel ne discerne pas

Si un télescope X est moins bon optiquement qu'un télescope Y, il donnera de moins bonnes images, quelles que soient les « miracles » du traitement d'image.

-----------
Scc :

quote:
Si tu n'as pas l'intention de te déplacer pour observer[...]

Houlà, tu abordes un sujet sensible...

[Ce message a été modifié par Bruno Salque (Édité le 31-08-2014).]

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Personne ne parle de pointage au nez.

On te parle te te repérer dans le ciel, avec un chercheur (ou un Telrad) et l'aide de cartes.

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voila...
en fait je pratique très peu mais suis intéressé depuis longtemps au moins vingt ans... je n'ai malheureusement pas beaucoup de temps... donc mes connaissances sont plutôt théoriques... cela étant du au fait que pour voir un minimum je suis obligé de me déplacer.
Le peu de fois où je suis passé à l'observation... pour pointer un objet... je passait souvent au système des coordonnées.
Et le temps passe tellement vite

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ah... si j'habitais un site propre...
je ferais mon observatoire.... je construirais un télescope de grand diamètre...
ça serait parfait... mais tout ne va pas comme on le veut

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et oui... avoir son observatoire... c'est pouvoir passer 30min à l'observation quand on a un moment de temps tout à son aise

se déplacer... c'est tout une aventure... du matos à monter et démonter... une mise en station... une mise en température qui bouffe du temps...

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