Saturne aux pied et main levés
Hello
Quand l'occasion fait le larron :
Au pied levé, parce que pas parti pour faire de l'astrophoto
A main levée, parce qu'il n'est pas possible de faire autrement. Ben oui, les tentatives de MCJC et Toutiet d'astrophoto planétaire légère m'ont incité à regarder leur affaire d'un peu plus près. Imaginez qu'à l'occasion d'une manifestation d'observation plus ou moins publique vous croisez David et son T1m perso (il ne trimbale pas celui du C2PU dans la remorque attelée à son 4x4 ) ou quelqu'un d'autre avec un super matos équipé en visuel, et que venu en simple astrotouriste inséré dans la file d'attente, vous voulez garder un petit souvenir de ces mémorables visions planétaires.
Alors hop, on demande la permission à son (ou ses) successeurs, on sort vite son téléphone, on essaie de mettre et surtout de maintenir pendant quelques secondes l'objectif en face du trou et on shoote ! J'ai donc fait la manip tranquillou avec ce que j'avais sous la main :
- Un C8 plus que trentenaire avec son renvoi coudé (confort oblige !) et un vénérable Plossl de 10,5 mm, monté sur une SP antique à peu près mise en station (Polaire invisible et hors de question de bigourder !)
- Un téléphone d'entrée de gamme HT16 de chez HomTom, acheté neuf il y a 2-3 ans pour même pas 50€, resté réglé d'usine en tout par défaut pour l'imagerie, il ne servait qu'à téléphoner ! En début de nuit (21h légale), ciel crasseux, turbu présente comdab', il fallait la foi du charbonnier pour croire voir Cassini de temps en temps à 200x.
Evidemment, ce qui suit n'est pas un simple one shot (je n'ai pas le bonheur de posséder le super machin intelligent PRO de Julie), mais visualisé à 100% sur l'écran, c'est à peu près ce que je voyais à l'oculaire, en plus lumineux ici quand même : Et bien sûr, juste avant Saturne, j'avais fait Jupiter, l'image va venir. Tous les commentaires sont bienvenus !
Au pied levé, parce que pas parti pour faire de l'astrophoto
A main levée, parce qu'il n'est pas possible de faire autrement. Ben oui, les tentatives de MCJC et Toutiet d'astrophoto planétaire légère m'ont incité à regarder leur affaire d'un peu plus près. Imaginez qu'à l'occasion d'une manifestation d'observation plus ou moins publique vous croisez David et son T1m perso (il ne trimbale pas celui du C2PU dans la remorque attelée à son 4x4 ) ou quelqu'un d'autre avec un super matos équipé en visuel, et que venu en simple astrotouriste inséré dans la file d'attente, vous voulez garder un petit souvenir de ces mémorables visions planétaires.
Alors hop, on demande la permission à son (ou ses) successeurs, on sort vite son téléphone, on essaie de mettre et surtout de maintenir pendant quelques secondes l'objectif en face du trou et on shoote ! J'ai donc fait la manip tranquillou avec ce que j'avais sous la main :
- Un C8 plus que trentenaire avec son renvoi coudé (confort oblige !) et un vénérable Plossl de 10,5 mm, monté sur une SP antique à peu près mise en station (Polaire invisible et hors de question de bigourder !)
- Un téléphone d'entrée de gamme HT16 de chez HomTom, acheté neuf il y a 2-3 ans pour même pas 50€, resté réglé d'usine en tout par défaut pour l'imagerie, il ne servait qu'à téléphoner ! En début de nuit (21h légale), ciel crasseux, turbu présente comdab', il fallait la foi du charbonnier pour croire voir Cassini de temps en temps à 200x.
Evidemment, ce qui suit n'est pas un simple one shot (je n'ai pas le bonheur de posséder le super machin intelligent PRO de Julie), mais visualisé à 100% sur l'écran, c'est à peu près ce que je voyais à l'oculaire, en plus lumineux ici quand même : Et bien sûr, juste avant Saturne, j'avais fait Jupiter, l'image va venir. Tous les commentaires sont bienvenus !
