herisson

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  1. Physique theorique

    Personnellement, j'aime bien la tentative d'explication de comment fonctionnent les vaisseaux de "Star trek" par Lawrence M. Krauss (qui est physicien) dans son livre "La physique de Star Trek ou comment visiter l'univers en pyjama", Bayard Editions. Elle est plutôt cohérente avec la physique telle qu'on la connait.
  2. petit questionnement sur le couple matière/vide

    Bonne chance pour la lecture du site, si j'ai bien lu, il s'agit d'un cours pour "postgraduate" ce qui correspond, si je ne me trompe, à un DEA (Diplôme d'Etudes Approfondies) ou un doctorat.
  3. petit questionnement sur le couple matière/vide

    Je vais essayer de faire plus simple (exercice difficile).L'effet que tu décris au début est un effet purement mécanique, un peu comme la boîte de conserve que j'écrase, la latte qui vibre, etc. Il n'a rien à voir avec "l'énergie du vide".Cette dernière ne se fait pas sentir au niveau macroscopique sauf dans certaines expériences très particulière et mises au point pour, justement, mettre en évidence cette fameuse énergie du vide : c'est l'éxpérience de Casimir (pas le mangeur de Gloubi-Boulga, un autre) comme l'a dit Pascal. Elle intervient aussi dans l'évaporation des trous noirs (Rayonnement de Hawking pour les puristes) et peut-être au niveau de l'univers en agissant comme une force répulsive tout comme la gravité est une force attractive mais c'est encore, à l'heure actuelle, à prendre avec des pincettes. On peut aussi mettre en évidence ses effets sur le cortège électronique des atomes (mais je m'égare).Que se passe t-il en gros : la physique quantique permet de créer de l'énergie à partir de rien mais, comme rien n'est gratuit en physique, cette énergie créée de rien (elle peut être positive ou négative; Même si personne ne sait ce qu'est une énergie négative) ne peut exister qu'un temps d'autant plus court que la quantité d'énergie créée est grande (c'est lié au principe d'incertitude d'Heisenberg, toujours pour les puristes). Après ce temps maximum, la quantité d'énergie disparaît. Puisque cette quantité d'énergie peut-être positive ou négative (avec les mêmes chances pour chaque) et qu'elle disparaît après un laps de temps très (très, très, très, très) court, en moyenne l'énergie du vide est nulle. Et vu que ces quantités d'énergies sont très (très, etc.) petites (en comparaison de l'énergie de notre monde macroscopique) elles n'ont pas d'influence mesurable dans la vie de tous les jours (et quand je dis "tous les jours" il a fallu attendre les années '60 pour commencer à en parler au travers de la théorie et non de l'expérience).J'espère avoir été, plus ou moins, clair et je reste dispo de nouveau (PS : on évite de me parler de l'intégrale des chemins et tout le tralala, si tout va bien, dans une semaine je serai en plein dedans)
  4. petit questionnement sur le couple matière/vide

    Le sable ne se place pas dans des zones de moindres énergie mais dans ce que l'on nomme un noeud (le contraire d'un ventre) c'est-à-dire une zone du plateau qui ne vibre pas.Le plateau est le siège d'un onde stationnaire. Pour comprendre le phénomène, il suffit (sic) de prendre une corde, de l'attacher à un socle fixe (mur, siège, etc. ) et de la faire vibre de manière constante. Très vite l'onde que l'on crée va partir vers le point fixe puis revenir vers la main. La combinaison de l'onde qui va et de l'onde qui revient est appelé onde stationnaire (on crée continuement de la main un onde qui va vers le point fixe et qui va forcément revenir) car on peut remarquer des zones qui sont en mouvement (les ventres) et des zones qui ne le sont pas (les noeuds), ces zones restent fixes les unes par rapport aux autres, à la main et au point fixe : elles sont stationnaires. Dans le plateau c'est la même chose (à 2 dimensions au lieu d'une seule), certaines zones restent fixe et le sable va s'y accumuler, d'autres bougent et le sable va en être chassé.Je reste dispo pour de plus amples explications si celles-ci n'étaient pas claires.
  5. Si vous êtes frileux comme moi..

    Si tu utilises 2m+3m ou 2m+3m plus encore 5m (amplifiée) ça ne change rien (ou presque) car si tu places la rallonge amplifiée après les 2m+3m tu amplifies aussi le bruit produit par les 2m+3m.Si tu ne constates rien de particulier en 2m+3m+5m(amplifiée) tu ne constateras rien en 2m+3m.J'espère avoir été clair [Ce message a été modifié par herisson (Édité le 07-10-2003).][Ce message a été modifié par herisson (Édité le 07-10-2003).]
  6. Canicule

    "De plus, un point qui vient en contradiction : un modele d'effet de serre passe obligatoirement par un rechauffement de la mesosphre. Or celle-ci se refroidit...."Ben faut te documenter "Concerning the global (worldwide) climate change, long-term measurements show that the mesosphere has cooled during the last fifty years. This decreasing temperature is probably caused by an increase in the amount of carbon dioxide (CO2) due to human activities. Although carbon dioxide heats up the bottom layers of the atmosphere by absorption of infrared radiation, carbon dioxide emits infrared radiation in the mesosphere, of which half escapes the Earth's atmosphere. This loss of energy causes a decreasing temperature."Source : http://www.oma.be/BIRA-IASB/Public/Research/Meso/AppliedStudy.en.html#global_change Pour les anglophobes : "Concernant le changement global de climat (mondial), des mesures à long-terme ont montré un refroidissement de la mésosphère durant ces derniers 50 ans. Cet accroissement de température est probablement dû à un accroissement de la quantité de dioxyde de carbone (CO2) dus à l'activité humaine. Alors que le dioxyde de carbone réchauffe les basses couches de l'athmosphère par absorption du rayonnement infra-rouge, le dioxyde de carbone émet du rayonnement infra-rouge dans la mésosphère, dont la moitié quitte l'atmosphère terrestre. Cette perte d'énergie cause une diminution de la température."[Edit] : arf, zut la page existe aussi en français, j'ai traduis pour rien : http://www.oma.be/BIRA-IASB/Public/Research/Meso/AppliedStudy.fr.html [Ce message a été modifié par herisson (Édité le 02-10-2003).]
  7. Canicule

    Je suis abonné à "Pour la Science" et je n'e ai pas souvenir. Mais je ne suis pas un ordinateur non plus
  8. Canicule

    "Augmentation du CO2"/"Augmentation des temperature" !!! héhéhéIl faut se méfier des coïncidences. Ce n'est pas parce qu'il semble y avoir un lien entre les deux que c'est le cas. C'est pourquoi on utilise dans ces cas un outil de mathématique statistique appellé "corrélation" qui permet d'indiquer si ce lien existe. Dans le cas CO2/T° ça semble être le cas.
  9. Canicule

    Je suis entièrement d'accord et j'essaie d'ailleurs de montrer que la coïncidence n'existe d'ailleurs pas
  10. Canicule

    Je demande des sources pour pouvoir les confronter moi-même (de plus, à première vue, ces hypothèses me semblent assez fantaisistes mais je n'en expliquerai pas plus) et m'en faire une idée (même si elles peuvent sembler bizarres au 1er abord, personne n'est à l'abri de se tromper et surtout pas moi). Ayant fait quelques rapides recherches sur le net je n'ai rien trouvé à ce propos.Pour les ères géologiques : ben non, ces derniers sont des périodes définies arbitrairement par l'Homme ; le primaire dure environ 350M années, le secondaire environ 160M années et le tertiaire environ 60M années (le quaternaire environ 4M d'années et nous vivons dans cet ère). La période de rotation du soleil dans la galaxie se situe entre 200M et 300M années.Pour l'article de La Recherche il s'agit sans doute du numéro d'avril 2002 : Les humeurs du Soleil changent notre climat , BARD Edouard , p. 16. Je vais essayer de m'en procurer un exemplaire pour me faire mon idée.[Ce message a été modifié par herisson (Édité le 01-10-2003).]
  11. Canicule

    Quand je parle de phénomènes astronomique, je n'y classais que les phénomènes pouvant avoir un rapport avec une autre planète.Pour les deux phénomènes que tu cites, je n'en ai jamais entendu parler. As-tu des sources ?Qu'entends-tu par heliosphere développée? L'influence du soleil sur les rayons cosmiques (qui sont des protons de hautes énergies) va se faire via le vent solaire (donc sur un cycle de 11 ans) et nous venons à peine de quitter un minimum d'activité. Je vois là soit une contradiction soit une mauvaise compréhension de ma part de ce que tu affrimes.Qu'entends-tu par grandes ères ?
  12. Canicule

    Les seuls paramètres qui entrent en compte pour expliquer, astronomiquement, des variations climatiques sur Terre sont l'angle entre l'axe de rotation de la Terre et la normale au plan de l'écliptique ; l'excentricité de l'orbite de la Terre (si l'ellipse qu'elle décrit est plus "ronde" ou plus "ellipique") ; la direction dans laquelle pointe l'axe terrestre. C'est la théorie de Milankovitch.Mars (et les autres planètes) ne peuvent agir sur la Terre que par la gravité. L'influence de celle-ci sur les paramètres cités plus haut est beaucoup plus faible que celle de la lune ou du soleil donc pas de consèquences sur Terre. Convainquons en nous : les grandes oppositions avec Mars (comme cette année ou presque) ont lieu tous les 2 ans. N'ayant rien remarqué de particulier comme phénomène météorologique avec cette période, j'en déduis qu'il n'y a pas d'influence Un articles sur la théorie de Milankovitch est paru dans le n° 35 de la revue Galactée du cerle d'astronomie Olympus Mons : http://olympus.umh.ac.be/ ( http://olympus.umh.ac.be/som35.htm )
  13. Ecliptique

    Allez, je tente :Tu visualises la trajectoire que fait la Terre autour du soleil, c'est une ellipse très proche d'un cercle. Le plan de l'écliptique c'est le plan (un plan c'est un peu comme une feuille de papier : une surface sans épaisseur. Désolé si l'explication est trop basique, j'essaie de lever au maximum le flou) qui contient l'ellipse.De même, la trajectoire que suit le soleil dans le ciel se trouve dans le même plan et s'appelle l'écliptique. Pour être plus visuel : c'est la courbe que tu va tracer dans le ciel en reliant tous les points par lesquels le centre du soleil est passé.
  14. Oculaire Sky Optique 26mm 2 pouces 65° ???

    Le champ réélement visible dans un oculaire est le champ indiqué sur l'oculaire (65° ici) divisé par le grossissement (le grossisssement est la focale du télescope/lunette divisé par la focale de l'oculaire (26 mm dans ce cas)).Imaginons un SC de 2000mm de focale, le grossisement est de 2000/26 = 77 (à l'arrondi) et le champ de 65°/77 = 50 arcmin 42 arcsec.Tout ça pour dire que tu gagnes 16% de champ pour un prix presque doublé.Personnellement mon oculaire de 26mm à un champ apparent de 52° et j'en suis très content. Ca reste finalement une question de goût.
  15. dillatation des atome et de l'univers

    Peut-être pourais-tu être plus explicite, expliquer ta vision des choses, je ne vois pas où tu veux en venir, ni même quelle est la portée de tes propos.La relativité générale relie le contenu et le contenant qui s'infulencent l'un l'autre (mais n'intègre pas le principe d'incertitude). La physique quantique se soucie peu du contenant car à cette échelle on observe aucun effet du contenant : on établit des théories sur de l'expérimentable et par sur des fantaisies.En dessous d'une certaine échelle : il y a expansion mais, la matière n'étant pas fixée au contenant comme un clou à son mur, d'autres phénomènes en annulent les effets.Quant à une description unifiée : elle ne changera pas fondamentalement la vision que l'on a de ce qui se passe aux échelles quantiques. Une nouvelle théorie ne balaie pas les anciennes et doit toujours, quand on utilise des hypothèses simplificatrices, redonner les résultats des anciennes. Pour exemple : la relativité générale, quand on se place dans le contexte d'un champ (de gravité) faible, donne les formules de la mécanique de Newton.
  16. Trajectoires des missions sur Mars

    Imaginons que l'on envoie une sonde vers Mars au moment de la grande opposition directement vers Mars. La sonde va faire son petit bonhomme de chemin et arriver sur place quand Mars... n'y sera plus. Il faut donc "viser" là où sera Mars quand la sonde arrivera. En général on choisit un moment qui, tenant compte de cela, assurera un voyage minimal. Faire un lancement au moment de la grande conjonction n'assure pas un voyage minimal puisque après ce moment la distance Terre-Mars augmente alors que c'est le contraire juste avant.
  17. dillatation des atome et de l'univers

    Une publication en anglais ne me dérange pas du tout. Ca m'intéresse de voir ce qu'on y raconte. -------Parce que ce n'est pas aussi simple, si les forces variaient de telle manière des effets au niveau nucléaire pourraient ne plus se produire, par exemple le carbone pourrait devenir instable (radioactif, ce n'est qu'un exemple sans fondement pour illustration), nous serions bien embêtés, ou d'autres effets du même cru. Et il suffit de pas grand chose pour chambouler tout ça. Ensuite, il y aurait sûrement des effets, peut-être très subtils, à observer. Or pour décrire la réalité, actuellement, on a pas besoin d'un artifice de ce genre pour que les théories fonctionnent. Contrairement à ce qu'on pense en général : les physiciens ne compliquent pas leurs théories pour le plaisir mais bien pour décrire plus fidèlement ce qu'ils observent, dès qu'ils peuvent évacuer une hypothèse qui n'apporte rien ou qui ne décrit pas correctement la réalité (l'éther par exemple) ils l'évacuent ; ils seraient bien content de pouvoir se limiter à des calculs plus simples. [Ce message a été modifié par herisson (Édité le 19-09-2003).]
  18. dillatation des atome et de l'univers

    Pour les vagues scélérates http://www.ifremer.fr/web-com/molagnon/jpo2000/conf.htm#formation aucun effet quantique là-dedans, juste des effets tout-à-fait classiques.Pour le reste, je recentre un peu l'histoire : Tu me parles d'un effet qui est clairement un idée tirée de l'expansion cosmologique. Apparement, tu argues d'un effet similaire mais qui s'ajoute à l'expansion cosmologique puisque cette dernière n'a pas d'effet à des échelles plus petites que les super-amas. De la même manière que sur un pendule constitué d'un masse accrochée à un ressort ; en y ajoutant une masse supplémentaire (donc une force) je ne fais faire que déplacer le point d'équilibre du pendule sauf si la force est telle que le ressort ne résiste pas. Cet effet semble apparaître ex-abrupto comme un lapin sorti d'un chapeau.Si, contre toute attente, il s'agit bien de l'expansion cosmologique, je me répète : dès le moment où un système possède une masse suffisante (masse de Jeans) il va se découpler du mouvement d'expansion pour se contracter (donc aller à l'encontre du mouvement général). A partir de ce moment : la gravité sera toujours plus forte que le mouvement d'expansion ; la stabilisation du système interviendra alors par le jeu de la pression (radiative essentiellement) et de la force centrifuge, la gravité faisant s'effondrer le système sur lui-même. Pour les atomes c'est globalement la même histoire : ils sont stabilisés par les forces électromagnétique et centrifuge (en gros). Au niveau du noyau : force nucléaire forte et répulsion électrique (en gros aussi). Tout ceci entre dans le cadre des théories communément admises et qui ont fait leurs preuves depuis près d'un siècle sans pouvoir être mises en défaut.Une petite analogie avec ce qui se passe : je vais supposer que mon mouvement d'expansion est comme la poussée d'Archimède et la gravité comme étant la gravité. Je prends une casserole (une boîte de conserve, un verre, ... )je la dépose sur l'eau, normalement, elle y flotte. Ensuite j'y verse de l'eau petit-à-petit : la casserole va continuer à flotter mais va s'enfoncer de plus en plus. A partir d'un moment la poussée d'Archimède be sera plus capable de porter le poids de la casserole et elle va couler. Je ne peux pas dire que la poussée d'Archimède n'existe plus mais elle est sans effet. De même dès que la masse d'un système sera suffisante l'expansion ne pourra plus éloigner les composantes du systèmes les unes des autres et elle ne seront plus sous l'emprise que de leur propre gravité (elle vont couler dans mon analogie).Si tu n'es pas d'accord, montre moi que j'ai tord et que tout ceci est faux.[Ce message a été modifié par herisson (Édité le 19-09-2003).]
  19. dillatation des atome et de l'univers

    "Etonnant comme quoi les dimensions et interactions sont pilepoil telles que l'Univers EST et a une cohesion" Au choix on peut choisir le principe antropique fort ou faible. Pour ma part je préfère le faible : dans un univers stérile, personne ne se pose la question de pourquoi il est stérile. Ou encore, l'observateur peut se poser la question de "pourquoi il existe" justement parce que l'univers est tel qu'il peut contenir la vie. La probabilité qu'un tel univers émerge est infime... et alors ? Il n'est pas étonnant que la nature soit réglée pile poil pour accueillir la vie, dans le cas contraire tu ne pourrais pas te poser la question. Un évènement même s'il est très peu probable peu se produire."Ne serait-ce pas la un effet de l'adaptation des forces aux dimensions quelque soit la forme du tissu ?" Quelle adaptation ? D'où sort-elle ? Juste plic ploc pour venir au secours de la dilatation des atomes ? C'est une rustine de vélo pour tenter de combler la brèche dans la coque du Titanic. On ne peut pas faire varier la manière dont agissent les forces pour les adapter à ce but et en même temps sauvegarder la possibilité de vie dans l'univers. Des gens ont étudié si la vie est possible en faisant varier les forces fondamentales, la conclusion est qu'il y a très peu d'univers où la vie est possible. En faisant ce que tu proposes : l'univers va vite arriver dans un cas où la vie n'est plus possible (justement parce que ce cas est beaucoup plus probable).(en attente de la prochaine rustine )
  20. dillatation des atome et de l'univers

    "Si on ne l'observe pas ..c'est sans doute pour 2 raisons : - a cette echelle la dilatation est extremement minime - l'interferometre subit la meme homothetie"Pour mesurer des longueurs d'ondes, on n'utilise pas un interféromètre (de Michelson par ex.) mais un réseau. Après un petit raisonnement et un calcul : il me semble que si on dilate, par deux, le réseau sans changer la vitesse de la lumière, la longueur d'onde mesurée semble être divisée par 4. L'effet n'est pas linéaire. Et cette effet aurait dû être observé en comparant les plus vieilles étoiles et les étoiles récentes, sans pouvoir être expliqué par un redshift.Ensuite, ce qui impose la position des électrons dans l'atome, c'est la force électromagnétique. Si j'applique une autre force (et une dilatation des distances peut être décrite par l'adjonction d'un force dans des calculs) à mon système : les orbites peuvent être modifiée (à moins que la force ajoutée ne soit vraiment très importante ce qui briserait les liens électroniques) mais on retrouvera une situation d'équilibre entre toutes les forces présentes. Un autre calcul approximatif situe la "force" de dilatation comme étant 10^-86 fois celle de l'électromagnétisme (en supposant le noyaux et l'électrons à 10^-10m l'un de l'autre). A l'échelle du noyau, la situation est pire : si j'éloigne les composants du noyau l'un de l'autre (doubler la distance suffit je pense) il arrive un moment où la force nucléaire forte qui maintient la cohérence du noyau disparaît (c'est une force à courte portée) et ce dernier éclate. Comme les protons ne peuvent pas être aussi près que l'on veut l'un de l'autre depuis la création des noyaux et que ton calcul dit que ce doublement doit déjà être intervenu : nous ne devrions pas exister. A moins, bien sûr, que en plus de cette dilatation (qui se superpose, d'après ce que tu as l'air d'impliquer, à la dilatation prédite par la cosmologie) on ajoute une modification des forces pour assurer la cohérence des noyaux mais ça devient du bricolage pour sauver les meubles. "et mes vagues scélérates ???"Ben, je ne sais toujours pas ce que c'est et j'attends de plus amples informations pour pouvoir me renseigner sur le phénomène. (Solitons ou Tsunamis ou autre ?)
  21. dillatation des atome et de l'univers

    "evidemment qu'on verrait un decalage des raies. C'est pour cette raison que plus haut j'avais deja parlé du fait que, meme avec une vitesse de la lumiere constante (ce dont je suis, tout comme toi, persuadé), le mecanisme (interferometre ou autres) lui se dilate....BRef...on tourne en rond."Je ne vois pas où on tourne en rond : il existerait un effet significatif observable et mesurable (déplacement des raies spectromètriques) qu'on n'observe pas => il faut changer de modèle.
  22. dillatation des atome et de l'univers

    "Mais l'instrument de mesure aura subit la MEME homothetie. Donc effectivement, on ne mesurera rien !"Pourquoi ne pas dire que cette homotétie se fait dans le sens inverse ? Dire qu'un phénomène qui n'a aucun effet observable ou mesurable existe, je le répéte, est une question de foi, plus de science.Dans un tel modèle, il y a une prédiction simple que l'on peut faire, la mesure de la vitesse de la lumière devrait varier : la lumière ne change pas de vitesse (pourquoi varierait-elle sous une telle homotétie ?) mais le mètre-étalon varie (il se dilate). On doit donc mesurer une valeur numérique de la vitesse de la lumière qui diminue avec la dilatation des instruments de mesure. "Les lois de la mecanique quantique l'interdisent ? "La mécanique quantique ignore par conception tout ce qui concerne la gravité. Une dilatation des distances sans variation de la vitesse de la lumière (encore une fois, pourquoi subirait-elle l'homotétie?) se mettrait en évidence par un déplacement de raies spectroscopiques. "Pour info : la conservation des lois et des constantes soumises à une dilatation du contenant sont toujours un sujet d'actualité et une question non resolue en physique en Physique...."Pour ça, je veux une source. Pour autant que je sache, la relativité (qui prédit mouvement de l'univers, dont une possible dilatation du contenant) a comme postulat que l'univers est isotrope (les lois de la physique sont les mêmes partout). Une théorie prédisant, dans son domaine de validité, cette dilatation du contenant ne peut pas remettre en cause ses propres bases. Il est vrai que l'isotropie de l'univers n'est qu'une hypothèse mais elle fonctionne très bien (jusque maintenant rien ne l'a remise en question). Si elle devait se révéler fausse : la dilatation de l'espace ne serait peut-être qu'un propriété locale et le modèle global pourrait changer. "héhéhé j'ai trouvé : les vagues scélérate de l'ocean (absobtion quantique de l'energie de la vague qui la précède)"Je ne connais pas, s'agit-il de solitons ? Que je me renseigne
  23. nombre de dimension dans l'univers??

    Intuitivement une dimension va être la longueur, la largeur, la hauteur.Mathématiquement une dimension est une base d'un espace affin qui permet de déterminer la position d'un point.Physiquement une dimension est l'expression d'une grandeur fondamentale (on parle d'analyse dimentionelle quand on regarde quelles unités (grandeurs) interviennent dans un calcul : on additionne pas des mètres avec des secondes ).Puis, si c'est pas clair, c'est que la question n'est pas facile non plus.
  24. dillatation des atome et de l'univers

    En fait, quand j'affirme qu'il n'y a pas de dilatation des atomes, cela signife que si on mesure la taille d'un atome maintenant et qu'on revient dans x milliards d'années pour faire la même mesure on trouvera les mêmes valeurs. La distance (moyenne) entre le noyau et les électrons ne va jamais augmenter. La mécanique quantique l'interdit. Par contre la distance entre galaxies aura, elle, augmenté.Il est évident que la dilatation de l'espace (j'entends l'espace-temps) s'applique à toute échelle mais elle est négligeable à une échelle plus petite que les amas de galaxies. Pour faire une autre analogie : c'est un peu comme si je poussais de toute mes forces sur une mur de béton. Je ne peux pas dire qu'aucune force n'est appliquée mais le mur ne bougera pas (il faut garder à l'esprit que c'est une analogie car en relativité générale il n'y a pas de notion de force qui est un pur produit de la mécanique de Newton). Je suis tout à fait d'accord pour dire que les vitesses propres des galaxies de l'amas local sont affectées par le mouvement général de l'univers. "c'est sans doute vrai, ce qui ceut dire aue la "zonne" d'influance de ces forces (tout comme la lumiere (electomagnetique) ne se dsitand pas avec le tissus de l'univers. Du coup est ce que la formul dilatation du tissus spatiotemporelle est la bonne formule ? je me fsait dans mon idée, un "film" sur la valeur "absolue" de cette dilatation, mais si les 4 forces ne subissent pas cette dillatation, cela ne voudrai t'il pas dire que le mot tissu est un peut exagéré ? que la dillatation de l'univers sur la matiere solide ne serai qu' inertielle ou qu'une autre force serai en jeux ?"Il faut comparer ce qui est comparable. Il n'existe pas, pour le moment, de théorie de la gravité quantique. Pour ce qui est de l'échelle de l'univers : la relativité marche très bien mais échoue dans le domaine de l'atome. Pour ce qui est de l'échelle de l'atome : la mécanique quantique fonctionne très bien. La où ça ne va plus c'est pour des distances de moins de 10^-32 m (distance de Planck) car la gravité y devient suffisament importante pour ne plus être négligée (la physique quantique oublie tout ce qui est force de gravité) mais la relativité n'y fonctionne pas non plus car elle exclut le principe d'incertitude. A échelles macroscopiques on néglige les effets quantiques (je mets au défi quiconque de me montrer un effet quantique dans la ie de tous les jours) ; aux échelles microscopique on néglige les effets de gravité (on ne néglige pas les effets relativistes dus à la vitesse, la mécanique quantique et la relativité restreinte font bon ménage).Que la relativité et la mécanique quantique ont des problèmes : c'est sûr. Faut-il les mettre au rebut pour autant : non ! Elles restent valables dans leurs domaines respectifs. On utilise toujours la mécanique de Newton quand les vitesses sont petites (quand les corrections relativites sont négligeables).L'expansion est un phénomène global qui n'a aucun effet dans les domaines microscopiques où la gravité est complètement négligeable par rapport aux forces nucléaire forte, nucléaire faible et électromagnétique.[Ce message a été modifié par herisson (Édité le 17-09-2003).]
  25. questions simples systeme solaire

    Bonjour,1- oui, à peu près sauf Pluton et c'est aussi vrai pour tous les planétoïdes sauf les comètes et objets de la ceinture de Kuipers.2- l'étoile polaire est dans la direction de l'axe de rotation de la Terre (à +/- 1° près)3- Oui comme toutes les étoiles visibles du ciel.4- Il y a un angle entre le plan de l'écliptique et le plan galactique et il n'est pas constant dans le temps.5- Il suffit de regarder dans la direction du Sagitaire.6- Elle suivent une trajectoire comme une étoiel sur une journée mais son légèrement décalée le lendemain. Actuellement, Vénus se trouve à la trâine du soleil et est donc visible en début de soirée à l'ouest (si elle est suffisament haut sur l'horizon).7- L'ellipse que décrit la Terre autour du Soleil est pratiquement un cercle et l'influence sur une année est pratiquement négligeable (la variation doit, de tête, se situer de 1% à 5%). Effectivement, leffet de l'inclinaison de la Terre est prédominant.8- je vois pas très bien comment répondre.9- Cela dépends de l'année et de l'endroit où on se trouve.Cet angle s'appelle la déclinaison.10- Oui et heureusement pour nous. De même, le vent solaire modèle la magnétosphère terrestre.