Antares

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Messages posté(e)s par Antares


  1. Je suis en gros à 10 km du centre ville de Clermont-Ferrand, avec vue plongeante sur l'aglomération... Pas précisément ce que j'appellerais la cambrousse (même si Clermont c'est déjà un peu paumé pour certains... ). Mais je suis 400 m au dessus, et c'est vrai que ça fait une différence, surtout quand il y a une mer de nuages en dessous qui éteint toutes les lumières (miam !).

    En gros mon ciel varie donc de moyen moins (banlieue éloignée) à plutôt bon.


    Pour la fréquence d'observations... Et bien je n'ai mon Dob que depuis deux bonnes semaines dont 90% de purée de pois...

    Mais grâce à lui j'ai déjà eu un choc en planétaire sur Saturne et un autre tout frais en ciel profond (faudrait d'ailleurs que j'écrive un CROA...).

    Pour mes premières observations, il y avait la Lune... Et déjà certains objets étaient magnifiques, mais on sentait qu'ils avaient tellement plus à donner...
    La nuit dernière, ça s'est dégagé sur le tard, et coup de bol pour moi (désolé pour les Clermontois ), Clermont était plutôt dans le brouillard, donc ciel assez noir au dessus...
    Et là, c'était la révélation ! m42 comme en photo (que dis-je ! mieux qu'en photo, grâce à la fabuleuse dynamique de l'oeil nul besoin de DDP...), les galaxies qui révèlent des détails insoupsonnés auparavant, les amas qui explosent en gerbes de feux d'artifice...

    quote:
    Alors OK on ne se sert jamais d'un 300mm en ville à 100% mais même à 50% ça doit quand même le faire !

    En me basant sur l'expérience que j'ai pu avoir sur Lyon avec un autre instrument (C8) et sur les quelques observations que j'ai pu mener ici jusqu'à maintenant : oui, il est possible de faire du ciel profond en ville, en visuel, mais en se limitant à certains types d'objets (amas globulaires et petites nébuleuses planétaires brillants par ex, car en grossissant on assombrit le fond du ciel). Ces objets peuvent déjà donner lieu à des observations intéressantes (un filtre peut aussi aider pour les nébuleuses à émissions) sous un ciel pollué, mais ils seront transfigurés sous un bon ciel...

    Les gros amas ouverts s'apprécient bien mieux à faible grossissement, et pour ça il faut un bon ciel.
    Même chose pour les nébuleuses faibles et étendues qui sont généralement invisibles en ville.
    Quant aux galaxies, je crois que ce sont elles qui ont le plus à profiter d'un ciel vraiment noir, particulièrement celles qui sont vues de face (m101 par ex) ...


    Mais si j'ai bien compris tu as aussi accès à deux sites super (comme au Pic du Midi ! Diantre !) qui pourront révèler pleinement ton instrument.

    [Ce message a été modifié par Antares (Édité le 08-12-2004).]


  2. Une 205 ! Encore mieux ! Merci Lafanet pour le lien et la correction.

    Sinon Bob, côté mise en oeuvre, j'ai été personnellement très agréablement surpris par mon Kepler 300.

    Je l'avoue, j'ai eu un soupçon de crainte quand j'ai vu la taille de la bête... Les chiffres sur le papier, c'est une chose, les prises de mesures dans la voiture c'en est une autre, mais quand le tube est là sous nos yeux... Ca fait tout de même un choc.

    Alors je me suis quand même inquiété un peu : mince, est-ce que je vais pouvoir déplacer ce truc aussi souvent que possible ?

    Et bien... Ca parait tout léger relativement à la taille. Si tu n'a pas de problèmes de lumbagos, tu devrais t'en sortir haut la main, même tout seul... Les premières manipulations ont été un peu pataudes, mais très vite on "sent" comment dompter l'animal et fournir l'effort minimal sans forcer sur le dos. Et ça s'installe vraiment en un clin d'oeil. Petit exemple : ce soir, une trouée apparaît dans la brume autour d'Orion (ce qu'il y a de bien, c'est que la brume masque toute les villes des environs ! C'est très noir dans le trou...). Ca n'a pas l'air destiné faire long feu... J'en profite néanmoins pour montrer la nébuleuse dans le 300 à ma marraine de passage ici et passionnée d'astro... 10 min d'observation à plein temps, et la brume reprend le dessus. La durée totale de l'affaire (montage, démontage, réglage du chercheur (très facile sur le Kepler : 2 vis + un ressort), rangement)n'a pas excédé 1/4 d'heure. Je mets quiconque au défi de trouver un système de plus rapide pour le même diamètre !
    (Evidemment, à l'oeil nu c'est instantané... Quoique il faut le temps d'adaptation à l'obscurité si pas déjà fait avant ...)

    Concernant la livraison de chez OU, aucun problème de mon côté... mais j'ai préféré aller le chercher au dépôt plutôt que de me faire livrer chez moi. Dans tous les cas, déballe tout en présence du livreur, même s'il râle !

    Par contre, je rejoins ce qu'ont dit les autres sur la mobilité : un Dobson est malheureux sous un ciel médiocre... Si tu tu es en ville et si tu préfères ne pas bouger, choisis plutôt un instrument dédié au planétaire... Ce n'est de toute façon pas spécifique au Dobson : pour une bonne partie du ciel profond en visuel, mieux vaut une paire de jumelles sous un ciel bien noir qu'un Dobson en centre ville !

    Mais sous un bon ciel, le Dob est un régal...


  3. Bon, Thierry Legault est passé par là entre temps, le néophyte que je suis retire ses propos...

    Peut-être ce truc reste-t-il utile pour le guidage pour quelqu'un qui aurait déjà une tête bino et pas de flip-mirror ?

    [Ce message a été modifié par Antares (Édité le 06-12-2004).]


  4. Captain'Flamme > de ce que j'ai pu lire sur la Bartellisation, ce système est largement suffisant pour faire de la webcam en planétaire, voire plus... A confirmer par les utilisateurs.

    Quant à trouver les planètes en plein jour... Point n'est besoin de système complexe. Cf http://astrosurf.com/altaz/300.htm . Les premiers essais que j'ai pu faire (de nuit) semblent compatibles avec un pointage d'objets brillants de jour, j'attends le beau temps pour confirmer... J'enverrai sans doute un post dès que j'aurai pu tester un peu plus.


  5. Ben voilà, de toute façon la monture d'origine elle est pas top pour la photo, donc si on veut une monture "photo" ça alourdit bcp la facture...

    Donc comme Lavenne, je dis : privilégier la découverte du ciel avant tout, avec éventuellement découverte de la photo sur équatorial planchette. Et si gros désir d'aller plus loin en photo par la suite, alors on peut mettre les sous dans une équatoriale correcte plus tard...


  6. OK on peut Barteliser un dob mais est-ce que ça en fait un instrument polyvalent?

    Notre amis veut un instrument polyvalent pour 80% visuel/planétaire. Peut être veut-il faire de l'observation solaire aussi? ou encore reperer les planètes en plein jour ou encore faire des mosaiques lunaires avec une webcam etc...

    Il pourra tout faire avec un SCT de grand diamètre.


  7. Non Bruno, on n'est pas obligé d'observer à x400...

    Mais quand la turbu le permet, ça doit être bien agréable !

    J'ai eu un bol monstre pour ma première observation de Saturne avec mon 300 : atmosphère quasi-figée, ça semblait irréel... Je crois que l'image aurait supporté même plus que 400, mais je me suis limité à 340x pour le confort de suivi (mon mouvement en azimut est un peu dur...). Mais c'est vrai qu'à 340, c'était déjà magique, et que de telles conditions sont loin d'être la règle...


  8. Captain'Flamme, il me semble qu'on a déjà dit que le gros Dob pouvait être commandé en altaz pour pas trop cher (Bartelisation ou autre) ou mis sur table Equatoriale si allergie aux ordinateurs. Donc, pas de problème de suivi (en visuel au moins).

    [Ce message a été modifié par Antares (Édité le 06-12-2004).]


  9. loulou65, pour éviter toute polémique sur pub ou pas pub, je t'envoie quelques adresses par mail.

    Il y avait eu un post super sur ce forum avec plein d'adresses, mais le moteur de recherche refuse obstinément de me le rappeler...


  10. Bonjour,

    Sympa comme image, mais il y a un léger effet de tramage, mieux visible en poussant un peu les niveaux (pour faire ressortir les nébulosités) : peut-être la correction de l'offset qui pourrait être améliorée ?

    Sinon, il y a un moyen très puissant pour s'en débarasser après coup sous Iris : le filtrage dans le domaine de Fourier : http://www.astrosurf.com/buil/iris/new410/new410_fr.htm

    Enfin, même avec des nébulosités très faibles, c'est joli, ça se rapproche plus de ce qu'on peut observer en visuel.


  11. Oui, j'ai un peu laissé tomber l'équatoriale dans le post précédent...

    Pour un 200, je crois qu'une eq5 par exemple peut encore être envisageable (à confirmer, ça doit être le maximum pour cette monture).

    Pour un 250 il faut au moins une eq6 (ou autre mais je crois que c'est l'une des moins chères...)

    Affirmations précédentes à confirmer par des membres du forum plus qualifiés que moi !

    (((c'est marrant, je découvre le code UBB ! Première fois que je mets un truc en gras )))


    Regarde les prix sur les différents sites.

    Personnellement, j'aurais tendance à te conseiller le 250 pour le gain en luminosité (56% de lumière en plus) et parce-qu'on ne peut pas agrandir un miroir alors qu'on peut toujours acheter une monture plus tard...

    Par contre effectivement tu perdras le système d'encodage de l'XT10 si tu changes de monture par la suite... Donc inutile ! Privilégie un modèle moins cher sans électronique embarquée.

    [Ce message a été modifié par Antares (Édité le 05-12-2004).]


  12. Donc visiblement tu te diriges plutôt vers un 250... Je ne peux que t'en féliciter pour le gain en luminosité/résolution. Je crois que plusieurs personnes semblent considérer ce diamètre comme le meilleur compromis encombrement-poids/luminosité-résolution.

    Autres modèles comparables (liste bien entendu non exhaustive):

    Kepler 250/1250
    GSO 250/1250 (le même que le précédent mais avec un porte-occulaire crayford et un occulaire en moins)
    SkyOptics 250/1500 (même que le Kepler, avec un Crayford).

    De ce que j'ai pu lire de l'avis d'autres utilisateurs dans d'autres posts et recevoir comme conseils (mon propre achat est récent), l'optique de ces télescopes est de en général de qualité honnête pour le prix, avec toutefois le risque (peut-être) de tomber sur un mauvais numéro.

    Je crois que l'Orion est sur barillet 3 points contre 9 sur les autres (à vérifier).

    L'Orion est équipé de l'Intelliscope, système de pointage avec encodeurs électroniques qui peut sans doute être pratique mais qui gonfle la facture (je laisse la parole à ceux qui l'ont testé, ils en parleront mieux que moi).

    Le Kepler est le moins cher de tous, d'autant plus que les frais de port sont offerts. C'est celui que j'ai choisi (mais en 12") suite aux excellents conseils que j'ai reçus, et mes premières impressions sont très bonnes (j'ai vraiment été soufflé en planétaire (Saturne, mais j'avais aussi un très bon seeing), en ciel profond j'ai déja eu quelques émotions mais j'attends toujours que cette #@%#!§$£ de purée de pois disparaisse (Murphy, quand tu nous tiens...) pour le tester sous un ciel vraiment noir...

    Sinon, un article comparant 4 Dobsons 250 est paru récemment dans Astronomie Magazine. N'étant pas abonné et ayant déjà reçu le mien (le télescope, pas le magazine !), je ne l'ai pas lu, mais tu trouverais sans doute des infos dedans (même si je ne doute pas que toute la bande des dobsonneux ne tarde pas à rappliquer ). J'ai cru comprendre que certains résultats des tests manquaient toutefois un peu de clarté (écart à la surface d'onde donné sans préciser si c'est du PTV ou RMS).


  13. quote:
    donc si je pars sur un dobson, un 200mm est un bon compromis pour observer le ciel profond et planetaire au debut

    Oui, ça un dobson 200 mm me parait un bon choix pour du visuel équilibré planétaire/ciel profond.

    Par rapport à un 114mm, tu as un gros gain en ciel profond (3 fois plus lumineux) et un gain fort appréciable en planétaire (résolution*1.75). Et le tube reste encore de taille raisonnable pour que tu puisses utiliser une monture équatoriale à prix relativement abordable si tu veux faire de la photo par la suite.


    Le temps que je termine ma réponse précédente, tu avais reposté... Je supprime donc la fin de mon message qui n'est plus d'actualité.

    [Ce message a été modifié par Antares (Édité le 05-12-2004).]


  14. loulou65, Dobson = Newton, pour la formule optique.

    La différence c'est la monture.

    Dobson = tube Newton sur monture azimutale "Dobson",très basse et très stable.

    Maintenant, je présume que par Newton, tu veux dire Newton sur monture équatoriale.

    Effectivement, si tu veux vraiment faire de la photo, le Dobson est inadéquat. Avec une monture équatoriale bon marché motorisée en ascension droite, tu devrais pouvoir envisager le planétaire à la webcam (si tu as un portable) ou à l'APN sinon (un peu moins bon, mais des résultats sympas) et le ciel profond grand champ en parallèle (si tu as un appareil photo muni de pose B). Pour le ciel profond au foyer, je pense qu'il vaut mieux attendre (nécessité de monture équatoriale très stable avec une faible erreur bien périodique -> cher, + instrument guide... ça alourdit vite la facture).

    Maintenant, pour avoir utilisé les deux (Dob depuis peu), pour du visuel je trouve qu'un Dobson est bien plus pratique à utiliser qu'un Newton sur monture équatoriale bon marché : stabilité, position du porte-oculaire, déplacements plus "intuitifs, mise en oeuvre en un clin d'oeil. Sans oublier que pour le prix d'un petit Newton sur Eq, tu peux avoir un Dob de diamètre plus important (et le diamètre ça compte beaucoup, beaucoup).

    La question : est-tu vraiment sûr de vouloir faire de la photo dans l'immédiat ? Ca bouffe pas mal de temps et on finit par ne plus observer... D'autant que tu peux toujours acheter un Dob de 150-200mm (je ne connais pas ton budget) qui te permettra de bien découvrir le ciel et investir dans une équatoriale + tard pour la photo.

    A toi de voir !

    [Ce message a été modifié par Antares (Édité le 05-12-2004).]


  15. Joël, je pousse ton raisonnement un peu plus loin : à quoi bon dépenser des mille et des cents pour acheter un instrument quand de toute façon il existe déjà des instruments bien plus gros qui font ça bien mieux que nous ? Un petit coup de recherche d'images sur Google (avec des mots clefs comme "Hubble" ou "VLT") et tu es assuré de voir des images comme jamais tu n'en verras à l'occulaire ! Et puis d'ailleurs, je me demande pourquoi on fait encore de l'imagerie : on est battu à plate couture par les sondes en planétaire (cf par ex http://www.astrosurf.com/ubb/Forum3/HTML/004524.html et par les instruments professionnels en ciel profond (sauf que là leur temps d'observation vaut de l'or, ce qui limite un peu le nombre d'objets disponible)...

    Du coup je pense qu'il serait bien venu de rectifier le tir de tous ceux (moi compris) qui se sont bornés à proposer des dobsons, mewlons et autres apo... Petits joueurs ! PaulP, voici ma nouvelle sélection :

    - Pour le planétaire en visuel, je préconise la sonde spatiale habitée... Satisfaction et sensations fortes garanties ! En plus, l'investissement pour faire de la photo est alors minime : un bon jetable pourra faire l'affaire !
    - Pour le ciel profond, avant tout il faut laisser tomber le visuel, qui de toute façon ne montrera jamais ce qui est accessible en imagerie. Je suggère donc un instrument de grand diamètre dans un site privilégié, bien entendu équipé d'optique adaptative. Ci-joint le lien d'un projet que l'on pourrait qualifier de "minimal" pour l'amateur qui désirerait trzvailler un tant soit peu sérieusement... http://www.eso.org/projects/owl/ . En prime, il pourra même s'essayer au planétaire extra système solaire.


    Comment, ça ne rentre pas dans le budget initial ? Ah, mais les budgets sont faits pour être dépassés ! Et puis, un rêve, ça n'a pas de prix, non ?


    [Ce message a été modifié par Antares (Édité le 05-12-2004).]


  16. Merci looney pour le lien et les précisions !

    Alors, si je comprends bien même un miroir parfaitement homogène pourra être déformé par des effets thermiques en raison du gradient de température existant entre la face avant qui rayonne vers le ciel et la face arrière ?

    Du coup on n'a jamais de vraie mise en température pour un miroir en conditions normales d'utilisation... C'est quand même gênant pour ceux qui ont un miroir superpoli ! D'autant plus que les verres à très faible coefficient de dilatation thermique (zérodur et autres) sont hors de prix !

    Quelqu'un a-t'il une idée de l'ordre de grandeur des aberrations induites par ce phénomène pour un miroir d'amateur "ordinaire" (la page que tu nous as conseillée évoquait surtout les effets sur des miroirs de grande taille d'instruments d'observatoire, ou sur les miroirs utilisés dans l'espace), en supposant la "mise en température" faite du mieux possible ? (verre ordinaire ou pyrex). Par exemple avec les formules de Pearson mentionnées dans la page de Looney (mais non données) + l'ordre de grandeur de la différence de température entre les deux faces


    P.S. pour machin : bien vu pour la variation de distance focale ! C'est qd même plus intéressant (et bien plus sensible) que la variation de diamètre que j'avais calculée...


  17. Proposition pour le coefficient de dilatation :

    Tu considères une barre de longueur L.

    Pour un petite variation de la température dT, la variation de longueur de la barre ("allongement") sera dL (la nouvelle longueur de la barre est donc L + dL).

    On a donc :

    allongement : dL (en mètres par exemple)

    allongement ramené à une longueur unité : on redivise par la longueur de la barre : dL/L (par exemple si la barre s'allonge de 12% l'allongement ramené à la longueur unité sera dL/L=0.12). Pas d'unité

    accroissement de température : dT (en degrés Kelvin K, ce qui revient au même que de l'exprimer en degrés Celsius car on mesure une différence entre deux températures).

    d'où le coefficient de dilatation C (je ne connais pas la lettre officielle) :

    C = (dL/L) / dT (en K^-1)


    Application numérique (avec les chiffres donnés par Machin) pour un miroir de diamètre 30 cm, pour une variation de température de 10 °C =10 K :

    * verre sodocalcique
    dL/L =9*10^-6*10 =5.4*10^-4
    la variation de longueur relative est de 0.054%, ce qui donne :
    une variation de diamètre dL = 5.4E-4 * 30 = 1.62E-2 cm ,soit 0.162 mm

    *Pyrex
    dL/L =5*10^-6*10 =3*10^-4
    la variation de longueur relative est de 0.03%, ce qui donne :
    une variation de diamètre dL = 3E-4 * 30 = 9E-4 cm ,soit 0.09 mm

    Corrigez-moi si erreur...

    [Ce message a été modifié par Antares (Édité le 04-12-2004).]


  18. Sincères condoléances lpcustom...

    Moi, la livraison de mon Kepler 300 s'était déroulée sans pb (j'avais quand même préféré aller le chercher au dépôt après avoir lu tes premiers déboires).

    Il y a vraiment un hic avec les transporteurs...

    Sinon question emballage, ça me semblait correct (sans plus : il eut été très surprenant que le colis résiste à une chute de 1m... Mais dans ce cas là, à quoi sert l'étiquette "fragile" ? Doit-on comprendre que les colis qui n'en ont pas doivent résister à une chute de 100m ???).

    Le truc qui m'avait quand même un peu étonné c'est que le miroir soit livré monté dans son barillet dans le tube. Mais avec un minimum de précautions, pas de raison que ça casse (d'autant plus que tes colis semblaient salement amochés d'après ce que tu en as dit).

    Ca paraît quand même dingue... a croire qu'un individu maléfique s'acharne sur une poupée Vaudou Dobson...