Cpt_Igloo

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Messages posté(e)s par Cpt_Igloo

  3. Posté(e)

    Waouh, ça pique aux yeux !😋 

    Fabuleuse cette M101 ! C'est une photo d'Hubble en fait, non ? 😄 

    Bon, plus sérieusement, je suis admiratif. Qu'est-ce que je donnerai pour refaire de l'astrophoto, même avec mes maigres moyens. 

    Merci pour le partage, ça fait rêver 😉

  12. Posté(e)

    Merci pour vos retours.

    Je me rends compte que j'ai été un peu vague sur la description de mon souci ....

    J'utilise une monture AzEQ6 guidée avec une caméra T7M derrière une lunette Zenithstar 66. La monture est pilotée par GS Server.

    Je n'utilise pas de ST4 mais bien en ASCOM uniquement. 

    il y a 14 minutes, olivdeso a dit :

    Exactement, sinon il faut cocher à la main "inverser les données de calibration" dans PHD2 lors d'un retournement au méridien

    Je ferais l'essai dès que possible pour contrôler. Par contre, ça interdit tout automatisme ... Donc impossible de le laisser tout seul gérer le retournement comme un grand :(

    Bon, après, si ça marche, c'est toujours mieux que de se retaper toute la calibration ;)

  13. Posté(e)

    Bonjour à tous.

    J'ai 1 petite question concernant l'autoguidage.

    Ça a peut-être déjà été posé, mais je n'ai pas réussi à trouver quelque chose à ce sujet...

    Je m'amuse à tester toutes les possibilités du fantastique logiciel NINA, et j'ai enfin presque réussi un retournement au méridien en automatique. Problème, après ça, l'autoguidage est complètement parti dans les choux, impossible à maintenir. Après plusieurs tentatives, je me suis décidé à relancer la calibration de PHD2 et tout est reparti normalement.

    Est-ce que tout le monde opère ainsi, où est-ce une situation anormale (qui pourrait révéler un éventuel souci de monture, équilibrage, ...)

    Merci de votre aide 😉

  14. Posté(e)

    Il y a 21 heures, starjack a dit :

    Je démonte le reste derrière le PO, soit APN, soit renvoi coudé et oculaire, bien sûr. Et je ne remets le bouchon sur la la lame que le lendemain.

    Itou ! Je préfère quelques poussières sur le devant de la lame que les champignons (c'est pourtant très bon, mais ceux-là me tentent pas trop ..)

    • J'aime 1

  15. Posté(e)

    il y a 39 minutes, christian_d a dit :

    je ne laisse rien à l'extérieur pour des questions évidentes de sécurité et de bonne conservation de l'équipement.

    Idem pour moi. Certaines périodes de l'année sont particulièrement humides aussi ici en Alsace, et les dernières tempêtes qu'on a eu m'ont dissuadé de me lancer dans un vrai poste fixe (je n'ai mis en place dans mon jardin qu'une arrivée électrique et RJ45 pour me connecter depuis ma maison).

    il y a 41 minutes, christian_d a dit :

    J'ai également pratiqué de cette manière avec mon C8 et C9 "classique", souvent sans démonter la CCD au bout du PO.

    Ok. Comme j'utilise quasi exclusivement mon C8 avec son réducteur, je pense du coup pouvoir opérer de même. L'avantage pour moi est surtout d'éviter d'introduire des poussières sur le capteur, et aussi de gagner pas mal de temps pour le cadrage quand je veux faire plusieurs nuits sur un même objet.

     

    il y a 43 minutes, christian_d a dit :

    Le petit soucis c'est le fait de devoir sortir le tube plusieurs heures avant le début du session.. équilibre du tube oblige en regard des veines chaudes et du seeing en CP.

    En effet. Je sors souvent le tube en avance, mais sans le monter afin qu'il reste bien à l'ombre pour éviter l'ensoleillement de fin de journée

  16. Posté(e)

    Désolé, je me suis très mal exprimé.

    Non, bien sûr, je ne parle pas de démonter la lame de Schmidt :D, ça serait un poil violent comme méthode ...

    Je parle en effet de démonter le réducteur de focale et l'APN afin de laisser ouvert quelques temps au niveau du porte-oculaire.

     

    OK, il semblerait donc qu'il s'agisse tout de même de la bonne méthode .. Je préfère éviter les risques donc, je vais sans doute continuer ainsi, merci bien ;)

    il y a une heure, starjack a dit :

    Par contre, plus important bien sûr,  c'est la collimation... Certains la refont à chaque séance et là c'est utile !

    En effet, ce n'est pas à négliger, surtout que ce n'est pas si long à faire à chaque fois quand on a pris l'habitude, mais que ça en fait perdre beaucoup si on la néglige :)

     

    • J'aime 1

  17. Posté(e)

    Bonjour à tous.

    J'espère poser la question au bon endroit...

    Voilà, j'aimerais un éventuel petit retour d'expérience concernant l'utilisation d'un Schmidt-Cassegrain en astrophoto.

    Ayant déjà eu des soucis de développement de champignons sur la lame de Schmidt de mon C8, je suis devenu un peu parano sur le sujet, et du coup, après chaque séance, je démonte tout et laisse quelques temps ouvert, histoire d'être bien sûr que toute l'humidité soit partie.

     

    Autant pour la face extérieure de la lame, ça me paraît indispensable, autant l'autre côté j'ai un doute : il y a le réducteur de focale qui ferme le tube pour toute la nuit, et avec l'APN, ça devrait éviter les risques.... Mais bon, j'ai un doute...

    Pour les possesseurs de SCT, est-ce que vous retirez tout à chaque fois ? Parce que le gain de temps ne serait pas négligeable, et ça limiterait surtout le dépôt de poussières sur le capteur....

     

    Merci a tous, c'est toujours un plaisir d'échanger sur ce forum 😉

  20. Posté(e)

    Il y a 10 heures, sebseacteam a dit :

    Et c'est ce qui me motive à continuer avec le C8 :)

    C'est vrai que le C8 est exigeant, et souvent ingrat sur le résultat si on le néglige 🙂. Mais j'ai hâte de retrouver un peu plus de temps libre pour m'y remettre aussi.

    En tout cas, une bien jolie galaxie. Dommage pour la collimation, mais ça n'en retire pas totalement la beauté de l'image 😉

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