mrstranger

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  1. ALERTE !!!! JT de 20h sur la 2

    Bonsoir,Hé bé ! on part d'un sujet de journal TV et on se retrouve avec de l'anthropologie...Pour Norbert : Tu as presque raison, mais tu argumentes contre quelque chose qui n'a pas été dit, mais dont tu as tiré ton interprétation.Puisque ton éducation est scientifique à la base, alors tu sais l'importance du paramètre "observateur" sur un phénomène, et surtout son influence (de l'observateur) sur celui-ci (le phénomène)."En le voyant nous le faisons exister" : avec l'interprétation que tu en fais, tu prends tout simplement le rôle de l'inquisiteur religieux sans le vouloir...En fait, ce qu'il faut comprendre dans la subtilité de cette expression, c'est que l'Homme donne un sens à ce qu'il voit. Ce serait la même chose avec des extra-terrestres. Ce qui compte, c'est qu'il puisse exister des observateurs pour donner un sens (quelconque) à l'univers."En le voyant nous le faisons exister" : cette expression donne bien là une signification prépondérante sur la place de l'Homme dans l'univers. Passons sur un exemple concrêt : Toi Géant tu marches dans la nature et ton chemin croise celui d'une fourmi. Tu ignores tout de cette fourmi, pour toi, elle est insignifiante. Tu peux lui marcher dessus sans te rendre compte de son existence... Supposons que cette fourmi puisse te voir. Dans son cadre de référence, le fait de te voir te ferait exister (dans son cadre de référence) et elle se rendrait alors compte de sa petitesse par rapport à toi. C'est la même chose pour nous : le fait de voir l'univers lui donne un sens pour nous dans notre cadre de référence, et c'est bien cela qui fait que nous nous rendons compte combien petit nous sommes. Le fait de donner un sens fait exister quelque chose, non pas concrêtement, mais de manière abstraite, et c'est sur cette abstraction que nous constituons nos vérités (sciences, religion,...). La réalité est bien au delà de nos perceptions... Si quelque chose n'a pas de sens, ça n'existe pas (je précise bien, par rapport à un cadre de référence).Tout cela pour dire que cette expression anodine en apparence paradoxale : "en le voyant nous le faisons exister", c'est le seul argument logique et imparable que nous pouvons donner, nous en tant qu'Homme pour nous situer par rapport à l'univers (pour dire combien petit nous sommes).Dans cette expression, il y a l'immense avantage de tenir compte que tout ce que nous voyons, comprenons, observons... c'est uniquement dans le cadre de référence de l'Homme. Malheureusement, de nombreux scientifiques oublient de prendre en compte cet aspect là de leurs observations. Ce qui invalide en quelque sorte le résultat de leurs études et en fait des "inquisiteurs"...Je ne sais pas si j'ai été suffisement clair là dessus... En tout les cas, je t'invite à t'interoger sur cet animal, l'Homme, cet ensemble d'atome, qui observe son environnement et de t'interoger les limites de perception de ce tas d'atome...Bien à toi Alain
  2. n°2

    Blablablablablabla...C'est ceux qui parlent le moins en lisent le plus...En tout les cas : et de deux !Alain
  3. simulateur du système solaire et de gravité

    Sympa ce site spacelover.com
  4. Les étoiles filantes et le mouvement de la Terre

    En fait, plus j'y réfléchis, plus j'ai un doute quant à la justesse de tenir aussi compte du mouvement du soleil autour de la Galaxie. J'ai un peu le sentiment que l'ensemble des objets que la Terre rencontre tournent statistiquement à la même vitesse que le soleil. Pour reprendre cette notion de moyenne des vecteurs vitesse, en tenant compte du mouvement du Soleil, là, j'ai l'impression que l'on ne verra pas, avec les étoiles filantes, la perpendiculaire du rayon Soleil-centre galaxique.je m'interroge...
  5. Les étoiles filantes et le mouvement de la Terre

    Bruno :Hum hum... Oui, tout à fait d'accord avec toi... Mais statistiquement parlant, c'est bien dans la direction perpendiculaire au rayon Terre Soleil qu'on en trouvera le plus non ?Alain
  6. Les étoiles filantes et le mouvement de la Terre

    Bruno : Je me trompe peut être, mais pour moi, je me représente le phénomène des étoiles filantes (en particulier les Pluies d'étoiles filantes) comment la rencontre entre des poussières (de comètes, ...) avec l'atmopsphère de la Terre dans son mouvement de révolution autour du Soleil. Et comme la trajectoire de la Terre est à angle droit par rapport à la Terre-Soleil (tangente), il me paraitrait logique de voir statistiquement le plus d'étoiles filantes venant de cette direction (venant de vers là où va la Terre).Si effectivement les étoiles filantes (les pluies) viennent statistiquement de partout, indépendement de la direction du mouvement de révolution terrestre, alors ça nous casse tout.Je pense à deux directions statistiques des étoiles filantes : l'une pour montrer la révolution de la terre autour du Soleil, l'autre pour montrer le mouvement du soleil autour de la galaxie. Dans ce deuxième cas, il me semble qu'il faudrait combiner le mouvement du soleil et le mouvement de la terre, donc on ne "verrait" pas vers où va le soleil. J'ai hâte de te relire. ;o)Bien à toi Alain
  7. Sondage :

    Hum...Ni pour, ni contre, mais dedans. ;o)Nous sommes forcément tous pour... N'oubliez pas que la Terre voyage dans l'espace autour du Soleil, autour de la Galaxie. Notre planète est donc en quelque sorte un vol habité. Ceux qui sont contre doivent sortir de la Terre et rester immobile dans le vide. Pour assurer leur survie, faut leur faire une capsule de survie (vol habité ?)... Hum... Pour ou contre ? Pas le choix...Bien à vous Alain
  8. Les étoiles filantes et le mouvement de la Terre

    J'essaie de me faire l'avocat du diable, mais j'avoue que j'ai du mal.Voir des étoiles filantes pour affirmer que la terre tourne autour du soleil.Si on suppose la terre immobile, rien n'empêche que des objets arrivent sur terre et entrent dans l'atmosphère. Mais je me retrouve confronté au problème de devoir expliquer comment cela se fait que cela se fasse à angle droit par rapport au soleil, et la terre sur l'angle droit. Si la terre est immobile, les étoiles filantes devraient pouvoir apparaitre de n'importe où dans le ciel, indépendemment du soleil. J'essaie de trouver une explication qui pourrait satisfaire l'hypothèse d'une terre immobile avec des étoiles filantes à angle droit par rapport au soleil... J'ai bien l'impression que ces étoiles filantes nous oblige à considérer un mouvement de la Terre autour du Soleil. On est coincé dans ce sens là.Bon, ça fait deux données pour montrer un mouvement circulaire de la Terre : - les étoiles filantes, globalement situées à angle droit du soleil : révolution de la Terre. Je trouve que c'est une manière élégante de montrer la révolution de la Terre. - le pendule de Foucault qui nous oblige à considérer la rotation de la Terre.Maintenant, comment pourrions-nous voir la révolution du Soleil autour de la Galaxie ? Je suppose que l'on pourrait envisager des étoiles filantes dans la direction du sens de déplacement du soleil. Il me semble que le Soleil tourne autour de la Galaxie à quelques 20 km/s, donc si on rencontre des objets immobiles, on devrait avoir de jolies spectacles. On devrait peut être voir des étoiles filantes dans la verticale du plan de l'écliptique.Wouate doux illiou sci'neque ? Alain
  9. Les étoiles filantes et le mouvement de la Terre

    Je n'avais jamais fait ce rapprochement, mais maintenant que tu le dis, ça me parait des plus pertinents... Un petit calcul rapide montre que la terre se déplace à 53400 km par heure dans le vide autour du soleil. Donc si elle rencontre quelque chose, ce sera plutôt rapide comme phénomène, comme des étoiles filantes. Je n'avais jamais tilté que c'était à 90° par rapport au soleil que cela se voyait, même si c'est évident en y pensant. J'y fairais davantage attention la prochaine fois. En quelque sorte, on "voit" vers quelle direction va la Terre. Les trainée d'étoiles filantes nous la révèlent...Connaissant approximativement la vitesse de la terre, on pourrait en déduire l'altitude d'impact de ces poussières de comètes sur notre atmosphère...J'aime bien ta recherche de pertinence. N'hésites pas à nous faire part de tes résultats. ;o)Bien à toi Alain
  10. Erratum collector

    Salut,Je voulais savoir si on pouvait s'amuser à chercher les erreurs ou les coquilles que l'on pourrait trouver dans la revue ?Cela sans méchanceté aucune, juste pour le fun, car on sait qu'il y aura toujours des coquilles, même avec les meilleurs volontés du monde.Par exemple : ASM 1 : page 36 : je n'en suis pas à 100% sûr mais je pense qu'il manque le mot "jupiter" dans la légende 2A) : "Callisto est là, à gauche, invisible car dans l'ombre de." [?]ASM 1 : page 64 : Dans la légende de la figure 1, je pense que l'on devrai lire : "1 eclipse 2T", "1 eclipse 3A" au lieu de : "1 eclipse 2T", "1 eclpise 2A"En tout les cas, après un premier survol d'ASM 1, j'en ressens un bon potentiel de plaisir pour l'avenir. ;o) J'avais peur de ne pas avoir le numéro 1, mais ouf, c'est bon, je commence la collection de ce magazine, ce qui devrait prendre de la place dans mes rayonnages, je l'espère...Bonne continuation Alain
  11. invisible???

    pour poups_17 :Ne fais pas attention à "mes histoires de futur", ça n'est que de l'ordre de la science fiction, et ça ne mérite pas qu'on s'y attarde trop, ce n'est qu'une théorie exotique qui n'a pas besoin de se mettre en avant trop longtemps. Ne fais attention qu'à la première partie de mon message (les trois premiers paragraphes, jusqu'à "mais dont nous mesurerions l'influence gravitationnelle"). Le reste ne devient que de la spéculation métaphysique. Pour cette notion de constante cosmologique, j'essaierai d'y revenir ce soir, à moins que quelqu'un d'autre ne s'y colle pour expliquer et les tenants et aboutissants de cette notion.Bien à toi Alain
  12. invisible???

    Pour Matthieusibon : Dans cette théorie exotique, d'après ce que j'en ai compris, l'influence à travers le temps voulait dire : une masse attire une autre masse, aussi bien dans l'espace que dans le temps. Supposons par exemple une zone de l'espace vide de toute matière. On sait que dans 10 minutes, un objet massique va y apparaitre. Dans cette théorie, cela dit que l'on commencera à mesurer l'influence gravitationnelle de cet objet, bien avant son apparition, car l'objet du futur exercera une attraction à travers le temps, donc de son passé entre autre. Cette attraction se ferait dans le sens où nous serions attiré vers le futur "un peu plus rapidement qu'ailleurs". Dans la relativité Einsteinienne, cela correspondrait à une déformation de la courbure de l'espace-temps avant l'apparition de l'objet. Dans cet exemple, dans notre cadre de référence, cela signifierai effectivement que la constance de gravitation ne serait pas constante. Mais comme nous sommes incapables de faire apparaitre spontanément un objet massique, nous ne pouvons donc que constater une constance dans le G gravitationnel. Mais bon, ce n'est qu'une théorie exotique ;o)Bien à toi Alain
  13. invisible???

    Cette bonne matière noire qui n'a pas finit de faire couler de l'encre et des pixels. Mais comment peut-on arriver à l'hypothèse de la matière noire ?En fait, cela vient d'un décalage entre deux systèmes de mesures. Je vais essayer d'expliquer simplement ces deux systèmes de mesures et tirer l'hypothèse de la matière noire : Supposons une galaxie que l'on voit. Elle aura une certaine luminosité, une certaine taille, une certaine distance. Avec tout cela, on peut déduire une masse pour la galaxie, donc une certaine valeur du champ de gravité. On évalue donc la masse M1 de la galaxie par son éclat. Maintenant, avec cette galaxie, on en regarde la forme, on en connait la vitesse de rotation, on en connait l'âge. Avec tout cela, on peut en déduire la valeur de son champ de gravité, donc de sa masse. On évalue donc la masse M2 de la galaxie par sa forme et son évolution.En toute logique, on devrait avoir M1=M2. Malheureusement, ça n'est pas le cas. Par ces deux méthodes, on en arrive approxivement à M2 = 10 x M1. Ce qui veut dire que la méthode de mesure de masse par la luminosité n'est pas suffisante. Et donc, sur toute la matière qui existerait, seule 10% serait visible sous forme lumineuse et observable. Les 90% restant formerait donc la matière "noire", invisible à toute observation, mais dont nous mesurerions l'influence gravitationnelle.On ne sait pas où trouver la matière noire, ni quelle forme elle a, ni de quoi elle est formée. Comment le savoir puisqu'on ne la voit pas ? Et c'est bien ça le hic. Cette matière est en train de remettre en cause toute notre perception de l'univers immédiat. Notre observation de l'univers se fait selon un postulat d'une invariance à partir d'une certaine échelle (ce qui veut dire que ce l'on verra globalement dans une région de l'espace, on le verra pratiquement à l'identique partout, outre le décalage temporel des observations dans le temps). Donc ce qui nous observons dans notre environnement immédiat, c'est aussi ce qu'il y a dans les galaxies voisines.Cette hypothèse de la matière noire est assez dérangeante car elle tend à remettre en cause tout ce que nous voyons ou tout ce que nous croyons savoir. Pour éviter cela, on essaie de la modeler, de la construire à coup d'hypothèse, ce pour essayer de garder notre vision réconfortante de l'univers et rester dans le cadre de nos croyances. Malgré tout les efforts qui sont fait, on arrive à couvrir seulement que 20 à 30 % de cette matière noire, le reste restant dans l'inconnue.Peut être qu'un jour, on devra jetter par terre tout ce que l'on savait de l'univers et recommencer à le construire jusqu'à l'origine, en tenant compte d'une nouvelle donnée essentielle...Là, je me permet un peu d'exotisme. Peut être que certaine théorie jusque là exotique pourraient prendre alors tout leur sens. Je ne citerai par exemple que cette théorie qui me séduit beaucoup dans ce qu'elle implique : la matière noire n'existe pas. Il nous manque une donnée essentielle par rapport à la gravitation : son influence à travers le temps. Jusque là, on parlait de l'influence gravitationnelle à travers l'espace, de courbure de l'espace-temps, mais jamais d'influence à travers le temps. Et donc, l'instant présent évoluerai vers le futur, parce qu'il y aurait plus de matière dans le futur que dans le passé (ou plus de futur que de passé dans la théorie des cordes). Les notions de relativités seraient alors revues à la simplicité newtonnienne (ce dernier point me laisse un peu perplexe car je n'ai pas compris comment on pouvait y arriver. On m'avait pourtant fait la démonstration que l'on retrouvait les équations einsteiniennes à partir de cette théorie).Bon, je me calme un peu... ;o) En attendant, j'espère avoir apporté un peu d'éclaircissement par rapport à tes interrogations.Bien à toi Alain
  14. monde parrallèle?????

    Faut faire attention : Cette notion de mondes parallèles du point de vue astrophysique. Dans les trous noirs (qui ne sont encore que des objets théoriques, même si on en parle à tout bout de champ comme si on était sûr de leurs existences), on ne peut faire que de la théorie jusqu'à une certaine limite. Et cela dit entre autre que les notions de temps et d'espace tels que nous les connaissons n'existent plus. A partir de là, on peut essayer d'imaginer tout ce que l'on veut, c'est dans le domaine de l'hypothèse. Tout comme on peut faire l'hypothèse que dans les trous noirs, il y a des poules avec des dents. Personne ne pourra venir contredire les moindres hypothèses émises à partir des trous noirs car personne n'a de bases concrêtes sur lesquels s'appuyer pour démonter les hypothèses.Moi, ce qui me préoccupe vraiment, c'est plutot le monde parallèle dans lequel évolue notre sexe opposé, et dans lequel j'ai bien le plus grand mal à y trouver des hypothèses qui ne se démontent pas à la moindre occasion... ;o)Alain
  15. Le système solaire

    hum... intéressant ça... Présence de cratères : cela montre l'absence d'atmosphère sur la planète, sinon, le phénomène d'érosion aurait gommer ces cratères... Je me demande aussi si cela ne révèle pas aussi une absence activité interne (volcanisme, mouvement de plaque,...)Absence d'atmosphère sur Mercure : sauf erreur de ma part, il me semble qu'elle n'est pas suffisement massive pour avoir une gravité suffisante pour retenir son atmosphère. L'hypothèse du vent solaire n'est pas à retenir car de très faible incidence, même à 58 millions de km. Pour s'en convaincre, il suffit de regarder Vénus qui est entre Mercure et la Terre, et qui présente malgré tout pas mal de similarité avec la Terre, à part une bien plus grande densité atmosphérique (90 atmosphères terrestre)... Dans le cas ou le vent solaire serait responsable de la disparition de l'atmosphère mercurienne, alors sur Vénus, on devrait voir une atmosphère moins dense sur Vénus que sur Terre...Attention, la réciprocité n'est pas linéairement vraie. Il faut avoir une certaine masse, donc une certaine gravité pour pouvoir retenir de l'atmosphère. Mais en quelle quantité ? L'exemple de vénus le montre : gravité moins forte sur Vénus, mais une atmosphère plus ténue.Maintenant, à toi de vérifier mes dires car sur le net, il faut toujours croiser des informations pour avoir une bonne chance de les rendre "fiables". ;o)Bien à toi Alainps : intéressant ces devoirs de planétologie... Si tu cherches ne serait que sur les sites d'astrosurf, tu devrais avoir ton bonheur... ;o) [Ce message a été modifié par mrstranger (Édité le 21-01-2003).]
  16. La lune

    Aller, pour pimenter un peu le débat :Supposons que la Terre disparaisse d'un seul coup. La Lune serait libérée de la force de gravitation terrestre et continuerait à errer dans l'espace. La question est : continuerait elle de tourner sur elle même ou non ? Nous nous placerons dans un référentiel universel... (on négligera les effets de graviation du soleil).Hé hé hé à vous les neurones. Alain
  17. Adieu Rosetta

    ...Et dire qu'il n'y avait qu'un problème de refroidissement sur l'ariane 5 "amélioré". C'est donc beaucoup plus grave...Quand à dire qu'une simple ariane 4 aurait suffit : oui, sans doute, mais le délai pour en préparer une est long. Et depuis l'échec de la dernière Ariane, je ne pense pas qu'il y ai eu suffisement de temps pour la préparer.Est ce un manque d'ambition de la part de l'ESA ? C'est surtout un manque de pognon, et ça va pas en s'améliorant vu les restrictions budgétaires des différents gouvernements. Simplement en France, le budget de la recherche a diminué au lieu d'augmenter au moins sur le coût de la vie.Le problème de l'abandon de ce projet est en fait au bout d'une longue chaine de problème...Aller, ne perdons pas trop espoirs : il y avait de nombreux projets, regardons ceux qui restent encore en liste...Alain
  18. attention voila du gros newton !!

    C'est avec intérêt que je lis ces posts, et c'est vrai que ça parait surprenant qu'un plus gros diamètre de téléscope ne permette pas une meilleure limite de magnitude sur une même webcam. Mais doit on pour autant céder à la conclusion sur le fait qu'il est inutile de prendre de plus grand diamètre pour de la webcam ? Je ne sais franchement pas, au vu de ce qui aura été dit... Juste une question : Avec un plus grand diamètre, même si on n'a pas de meilleure magnitude pour une webcam, est ce que le délai de pose ne se réduit pas non plus ?Bien à vous Alain
  19. Problèmes...

    Salut, Est-ce que dans ce magazine, on pourrait y trouver une rubrique qui poserait un problème d'astronomie ou d'astrophysique à chaque numéro, et qui en donnerait la réponse pour le numéro suivant, avec bien sûr le détail des explication ?C'est une idée qui me vient, suite à une conversation que j'ai eu cette nuit avec un ami, qui me parlait des revues allemandes, dont une qui posait des problèmes régulièrement dans ce genre... Et pour tout avouer, j'avoue que ça m'intéresse beaucoup car ce serait pour moi au moins, un bon vecteur d'apprentissage un peu plus "pratique" si je peux dire...Dans le genre de problème que je peux donner en exemple et que cet ami m'a rapporté : Comment calculer la distance terre-soleil grace à une éclipse de soleil ? (J'y réfléchis pour essayer de voir ce que l'on a besoin comme donnée préalable pour pouvoir y répondre...)Hum ? ;o)Alain
  20. Problèmes...

    Ok...Cela induit donc une autre question : Où se trouve la limite entre "l'astronomie pratique" et "l'astronomie théorique" ?Pour le problème que j'ai exposé précédement, je suis autant enclin à le mettre dans le théorique que dans le pratique. En effet, prochainement, à ce que j'ai compris, nous aurons un phénomène équivalent avec vénus ou mercure, je ne sais plus... Et en pratique, on peut s'amuser à faire ce genre de calcul, à partir d'un mesure chronométrée de ce phénomène... mais cela nécessite tout de même de la théorie au préalable... ;o)Bien à vous Alain
  21. croa

    Pour Astroseb : Effectivement, ce fut une soirée sympathique, avec une bonne ambiance. J'avoue que j'aime bien ce cadre, qui nous permet de faire de l'observation sans avoir les inconvénients du froid. En effet, on a la possibilité de rentrer dans le salon, se prendre un café, un grignotage, discuter ensemble,... avant de retourner au choix sur la terrasse ou dans la coupole. Dommage que je devais partir plus tôt, mais la prochaine fois, j'y resterais jusqu'au bout. On verra pour la prochaine date d'observation libre (fin novembre je pense). Mon prochain rdv au TJMS sera pour fin octobre, mais ce sera pour des préparations et des réunions...Bien à toi et ravi de t'avoir rencontré. Alain
  22. big bang et univers?

    pour fossat : Ce que tu dis est beaucoup plus pertinent que ça n'en a l'air. Le seul problème que tu rencontreras face à cette hypothèse, c'est simplement le fait que dans la vision humaine des choses, cette hypothèse est dérangeante quelque part, car elle nous sort de notre cadre de référence. Les gens sont tellement habitué à raisonner en terme de causalité qu'ils ont bcp de mal à en sortir pour voir d'autres hypothèses plus originales (et tout aussi valable au final, ni plus, ni moins). Pourtant, certains d'entre nous ont cette capacité à sortir de la chaine de causalité, puisqu'ils l'appliquent à la notion de Dieu. Pour caricaturer, en exemple le dialogue fictif suivant : - Qu'est ce qui a fait que l'Univers Existe ? - C'est Dieu qui l'a voulu - Mais alors, qu'est ce qui a fait que Dieu Existe ? - Ca c'est une question qui dépasse notre entendement. Dieu a toujours été, est et sera toujours. Il est sa propre référence, son propre absolu...Dans ce dialogue qui reflète à peu près 10 à 20 % des dialogues que je peux avoir avec des spirituels religieux convaincus, on voit bien cette capacité à admettre une notion sans causalité, ou mieux encore, qui est sa propre cause. Après, je m'amuse toujours à leur faire comprendre ce principe et je leur demande pourquoi ne pas appliquer ce principe directement à la notion d'Univers ? Pourquoi passer par l'intermédiaire d'un Dieu pour expliquer notre existence ?L'hypothèse d'un Univers qui a toujours existé, et où il s'y déroule de temps en temps des phénomènes d'inflations d'énergie, dont nous serions dans l'une d'elle, me parait être l'hypothèse qui répond au mieux aux questions sur l'existence. Et surtout, elle a l'avantage de ne laisser aucune place au paradoxe de l'existence, puisque dans un tel cadre, il n'y aurait tout simplement pas de paradoxe, et nous aurions logiquement le "droit" d'exister. Mais c'est l'hypothèse la plus difficile (imossible) à admettre dans notre vision de "bon sens" si je peux dire. On peut comprendre, et travailler avec cette notion d'infinité sans pour autant la concevoir.Les gens qui chercheront à tout prix à casser ce type d'hypthèse sont tout simplement confronté à leur limite de conceptualisation des infinis, même s'ils sont capables d'en parler brillament sans problème, sans que ce soit une mauvaise volonté de leur part.Moi-même je n'arrive pas à aborder de tels domaines. Je me contente juste de constater les limites de l'Homme, et de relever à côtés de quelles autres hypothèses il passe à cause de ses limites.Bien à toi Alain
  23. big bang et univers?

    Pour Bruno : Tout à fait, mais dans le sens que j'ai évoqué (c'est à dire, du point de vue de la vision humaine), c'était bien une hypothèse ;o)Bien à toi Alain
  24. big bang et univers?

    Pour Lovely : Tu as lu cela dans un livre ? Et tu peux nous donner les références d'un tel livre ?Bien à toi Alain
  25. big bang et univers?

    Que la lumière soit... ... et la lumière fut.Il faut bien prendre conscience que nous nous confrontons au paradoxe de l'existence quand on cherche à comprendre d'où l'on vient. Le seul moyen de résoudre ce paradoxe serait de dépasser notre vision humaine de l'univers, chose par définition impossible à faire pour nous, humain.La question "qu'est ce qu'il y avait le big bang ?" n'a pas de sens, comme cela a été expliqué. Mais il faut absolument préciser "pas de sens" par rapport à quoi ? Cela n'a pas de sens par rapport à notre système de valeur, à notre conception des choses, à notre vision limité de l'espace-temps. Ca n'a tellement pas de sens que tout en nous nous pousse a essayer de concevoir un "avant" malgré tout. On accepte cette idée qu'il n'y a pas d'avant, on la prend pour valeur de vérité, on joue avec, on s'en persuade... Mais ça nous titille toujours malgré tout d'essayer d'y voir quelque chose derrière... Rien dans notre expérience ne nous a préparé à une telle vision des choses. Nous avons comme un sentiment d'impuissance pour essayer d'imaginer une création spontanée d'énergie, comme ça.Nous observons l'univers par les ondes. Nous sommes limités à un horizon d'observation, au delà duquel, on ne peut pas voir plus loin. J'ai dans l'idée que "l'observation gravitationnelle" (si ce n'est pas de la fiction) pourrait nous permettre de voir plus tôt encore, mais qu'on arrivera encore une fois à un horizon d'observation.Il faut aussi se remettre en cause dans notre "quete" vers l'origine de l'univers. Dans notre conception, toute cause est suivie d'une conséquence. On en déduit tout logiquement que toute chose est conséquence d'une cause. Mais quand on applique cette logique sur l'univers, on n'arrive pas à aller plus loin. S'il n'y avait pas d'avant, alors comment peut il y avoir une cause précédent l'Univers ? En mathématique, cela implique que les hypothèses de départ sont fausses. Donc tout logiquement, cela nous ammène à deux conclusions : - soit notre hypothèse "il n'y a rien avant le big bang" est faux - soit, beaucoup plus grave, toute chose n'est pas forcément la conséquence d'une cause. Et il faut alors prendre à la lettre l'axiome "toute cause a une conséquence" (sous entendu que toute cause n'est pas forcément une conséquence)La première concusion ne ferait que décaler le problème encore plus "tôt", mais ne le résoud pas. La deuxième conclusion a l'avantage immense de mettre un point final à la quête de l'origine, car ce serait l'ultime réponse à notre question sur l'origine de l'univers... Mais nous ne serions pas en mesure de l'admettre humainement parlant.Je terminerai, en sachant très bien que je n'aurai pas fait avancer le problème d'un iota, par une explication philosophique qu'un copain m'a fait il y a quelques mois, pour expliquer qu'il ne pouvait pas en être autrement que l'existence de quelque chose : """ "Rien" est la définition de la "non-existence". Donc "Rien" ne peut pas "être" de par sa propre définition de non existence, donc il ne peut que y avoir quelque chose. """ J'ai mis une heure à en comprendre la profondeur, et comprendre que je ne suis pas prêt à admettre cela, humainement parlant.Bien à vous Alainps : je sais bien que ces explications ne sont pas dans le cadre "habituel" des explications que l'on s'attend habituellement à avoir. Mais à mon avis, il faut toujours avoir à l'esprit qui est cet homme qui se pose des questions sur l'origine de l'univers, ce qu'il est en mesure d'en comprendre, de ses limites de compréhension. Il faut combattre cette idée sous jacente que nous pouvons tout comprendre et tout expliquer. Nous ne sommes pas parfaits. L'origine de l'univers est peut être la meilleur illustration de nos limites ?