Pierre-Marie
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Messages posté(e)s par Pierre-Marie
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Je me demande si les mouvements de marée dûs à la colossale masse de Saturne à proximité ne suffiraient pas, par leur flux et reflux, à expliquer les formations observées.Quant au "Monde",méfiance ; j'ai relevé, ces temps-ci, pas mal d'erreurs parfois énormes :
- Jean-Marie Colombani, dans son éditorial, donne la distance de Titan : 3,5 milliards de kilomètres. (1,2)
- Le bouclier thermique de Huygens a dû affronter des températures de 12 000 °C (plutôt 1200)
- La température au sol, sur Titan, est de - 280 °C (le zéro absolu, outre le journaliste, est de - 273).
- Aujourd'hui encore, dans l'article sur la recherche martienne en exobiologie : les molécules lévogyres ou dextrogyres sont orientées à gauche ou à droite. (En réalité, on les nomme ainsi parce qu'elle dévient la lumière polarisée dans un sens ou dans l'autre.)Quant aux pluies de méthane sur Terre, il faut savoir que son point d'ébullition est à -161.52°C.
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Le méthane est inodore. Sinon, bien des coups de grisou auraient pu être évités. -
Des formes arrondies, comme des galets. Et, déjà, une surprise. -
Quelle déveine ! Elle s'est posée, aux dernières nouvelles, en plein en stationnement interdit et est trimballée, en ce moment-même, à la fourrière.
Tant de travail pour une fin si peu glorieuse. -
Apparemmment, Paillé en a déjà vu. Pour ma part, c'est la première image de ce genre que je vois. Outre que l'image est spectaculaire, belle et presque effrayante, je la trouve aussi très didactique. Le fait de voir, véritablement, le champ magnétique terrestre et le profil réel de ces classiques draperies qui, alors, semblent plus tenir des feux de Saint-Elme, permet d'appréhender beaucoup mieux le phénomène. Le fait de voir, enfin, ces lignes de force parallèles et non déformées par la perspective, aussi.
Avez-vous remarqué la hauteur du phénomène ? A quelle altitude estimez-vous les premières lueurs rouges décelables ? Je dirais cinq cents kilomètres, au bas mot. Et pourtant, je dois me tromper ; car l'atmosphère, même raréfiée, ne doit pas être si épaisse. -
Trouvé ceci par hasard. Peut-être connaissez-vous déjà cette « Image de la mission STS111 (5-19 Juin 2002) --- Cette photographie d'une aurore australe ou lumières du sud a été prise par les membres de la navette spatiale Endeavour. La navette était alors au sud de l'Australie. »
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Pas trop d'accord, là. L'histoire de la double séparable à la campagne et pas à la ville, sûr que c'est plutôt une question de contraste.
A part ça, moi, ce qui est valable surtout pour les connes, tu sais... -
Honnêtement, si je vous ai posé cette question, ce n'était pas vraiment pour des raisons liées à l'astronomie.
Je voulais simplement déduire le nombre de pixels nécessaires pour faire une photo de paysage ou un portrait, soit une photo qu'on observe à une distance d'au moins deux fois la diagonale.
Je me rends compte que 3 millions de pixels suffisent à mes besoins et qu'à partir de là, prévalent d'autres notions, comme la dynamique, le rendu colorimétrique ou le vignettage, car tout cela se voit.
Pardonnez donc, je vous prie, le hors sujet. Et merci encore pour votre aide. -
En effet, ça dépend directement du contraste. Dans ton cas, ça dépend aussi de la qualité de tes jumelles. Il vaut mieux pouvoir ne mesurer que l'oeil. Tu peux essayer de disposer une mire pour voir jusqu'à quelle distance tu sépares les paires de lignes. Et là, ça va aussi dépendre de la luminosité donc du contraste.
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Merci à vous deux. J'avais la valeur de 0.017 degré ; c'est bien la même chose.
A bientôt. -
Quelqu'un connaît-il cette valeur approximative ? Bien sûr, elle dépend certainement du contraste ; mais, à titre indicatif, quelle valeur, en fractions de degré, est-il d'usage de retenir ?
Merci par avance. -
Il est vrai que Poincaré fut un génie de l'ombre auquel il faudra bien rendre justice un jour. Ça aurait pu être à Einstein de le faire. -
Pour ranger oculaires, webcams, appareils photo, etc. Chez Castorama, il y a, en ce moment, des malettes compartimentées en aluminium, pour moins de 15 . Dimensions : 15x33x45 cm.
J'en ai acheté une.
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Non, ce ne sont pas les « cochonneries » qui masquent les étoiles mais bien la turbulence. L'objet étant quasi ponctuel, il suffit d'une variation infime du trajet des rayons lumineux pour qu'elle semble disparaître ; les planètes ont un diamètre apparent suffisamment important pour qu'une partie en reste toujours visible.
Mais observez quand même une planète, telle Vénus, près de l'horizon ; il lui arrive de scintiller aussi. -
BobMarsian : je ne trouve pas l'article du 11-08-04 dont tu parles.Eric Maire, c'est tellement facile de se gausser d'un témoignage quand on n'a rien vu soi-même. Ne va surtout pas penser que cette attitude faussement rationnelle te donne un air plus respectable ou plus savant.
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Nous sommes d'accord, Joël, sur les OVNI. Je n'en ai jamais vu et ne connais personne qui en ait vu. Mais rien ne me permet de dire qu'ils n'existent pas ni même d'affirmer le contraire.
Ton observation me paraît, cependant, de première importance. Je n'ai jamais lu, ici, de rapport de ce genre. Plutôt que d'éluder la question de la dislocation, je pense que nous sommes plusieurs à souhaiter que tu en fasses une description plus précise, plus circonstanciée, car c'est la phase la plus intéressante de cette apparition. Le phénomène était suffisamment spectaculaire, bien que proche de l'horizon, pour que tous s'exclament, comme à un feu d'artifice.
Il n'est pas question de t'entraîner sur les terres de l'ufologie ; je suis moi-même novice et sans convictions particulières. Mais ton affaire nous a intrigué.
Merci d'avoir répondu. -
Allons, courage, Joël ; ce fil n'est pas terminé. Tu sais bien que les satellites ne peuvent pas rendre compte de la fin de votre observation ; mais tu fais mine quand même de te satisfaire de cette explication.
Alors, de deux choses l'une : ou bien la fin a été romancée, mais ça ne semble pas être le cas, ou bien tu crains de passer pour un doux dingue en observant des choses pas très convenables pour un esprit rationnel.
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Dis donc, Eric, tu as lu l'énoncé ? La caractéristique d'un altocumulus lenticularis, c'est, précisément, l'immobilité. Alors, un AC lent. miniature de "haute altitude" qui se balade à la surface du lac du Bourget ou d'Annecy a, lui c'est sûr, sa vraie place dans les délires.
Avec notre ami Maury, d'ailleurs, qui, de sa tour d'ivoire, sait, mieux que quiconque, ce que les autres ont vu ou pas. -
« Puis vers le NE, il y a eu une rupture brutale de la formation, à très grande vitesse et dans tous les sens, à tel point qu'on a été plusieurs à pousser des oh! et des ah! »
Comment l'hypothèse des satellites rend-elle compte de ce détail ? Comment des satellites peuvent-ils changer soudainement d'orbite et à des vitesses « vertigineuses », comme l'écrit Joël ?
Je m'étonne que Joël se satisfasse de cette explication qui, comme le dit Accrux lui-même, n'explique pas la dislocation. -
Peut-il s'agir d'une rentrée atmosphérique, suivie d'une explosion qui pourrait expliquer la dislocation ou bien ces points se déplaçaient-ils trop lentement ? -
« la formation s'est disloquée à une vitesse vertigineuse. »Voilà qui ne peut s'expliquer par une constellation de satellites.
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Mais c'est bien sûr, on tient la preuve que l'Univers tourne sur lui-même ! Au coeur des galaxies, un trou noir aspire la matière qui est déviée par les force de Coriolis, pour former ces magnifiques spirales. Tandis que les galaxies elliptiques se trouvent sur l'équateur universel. Et pour répondre à la question, il suffit de savoir dans quel hémisphére la galaxie se trouve.
Ce Coriolis, quel type ! -
Je dirais même plus, on a une impression de survol allunissante. -
Ben nous aussi, on a la FM.
Liquide sur titan
dans Astronomie générale
Posté(e)
Pour les molécules L et D, c'est la lumière polarisée qui est déviée à gauche ou à droite ; certes, l'architecture de ces molécules est légèrement différente mais elles ne sont pas orientées à droite pour les D et à gauche pour les L.
D'ailleurs, dans cette recherche des acides aminés, les scientifiques ne vont rechercher que les L comme signe de vie. Ne peut-on imaginer une vie qui ne soit pas bâtie en L ?
Pour poursuivre, pourquoi faut-il de l'eau, du carbone, de l'oxygène (quoique) ou des AA L pour croire à une vie ? Pourquoi cette vie devrait-elle être nécessairement semblable à la nôtre ? On pourrait remplacer le carbone par le silicium, par exemple.
Pour en revenir à Titan et ses étendues liquides, qu'on ne parle pas des marées est, c'est vrai, surprenent ; d'autant qu'avec une masse volumique de 0,4, les mouvements du méthane pourraient être colossaux. Le réseau hydrologique observé pourrait constituer les sites jusqu'où le méthane pourrait refluer, sans qu'un apport atmosphérique soit nécessaire.