Lecocguen

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Tout ce qui a été posté par Lecocguen

  1. Celestron vs Skywatcher 150/1200

    Sans vouloir faire une pub pour l'importateur qui n'en a pas besoin, la gamme Kepler, qui est la même que Skywatcher and co, présente un excellent rapport prestations/prix.
  2. Très agréable surprise!!

    Pour recaler un objectif, j'utilise la partie collante des "Postit". Je découpe trois petites cales de 3mmX5mm environ. Ce papier fait en moyenne 0.1mm d'épaisseur, ce qui convient à la plupart des doublets du commerce. Le papier d'alu est très mince et parfois les lentilles se touchent au centre.
  3. Filtres en visuel

    Le débat a déjà été ouvert. Quelques indices: -Certains filtres améliorent la résolution de détails planétaires ou encore augmentent le contraste. Dane le bleu, on voit mieux la granulation solaire et les bandes joviennes. Le jaune et l'orangé sont préférables sur Mars et le jaune pour Saturne. Il faut avoir une collection de filtres colorés de type Wratten et essayer. -Pour le ciel profond, je pense que la majorité des observateurs utilisent un OIII pour améliorer la vision des nébuleuses planétaires et des régions HII. Les filtres de type LPR sont parfois décevants. Contre la pollution, il est préférable d'investir dans une maison de campagne, c'est un peu plus cher mais plus efficace.
  4. epsilon 210

    La gamme Epsilon de Taka est vraiment spécialisée. En fait, cette formule optique est un paliatif au Schmidt. En visuel, ces instruments ne peuvent pas être très performants. En photo, ils peuvent donner des résultats intéressants mais au prix de réglages très pointus. A priori, un Newton classique ouvert à 4 serait bien plus polyvalent. Un Vixen muni d'un correcteur de champ serait surement moins cher.
  5. Pour JB ou Nextaré ou S.Valle...

    Quand la manip sera au point, les images seront disponibles sur une base de données solaire.
  6. Pour JB ou Nextaré ou S.Valle...

    Puisqu'on parle de la Kepler 120, j'ai réalisé mes premiers essais de photo solaire. Avecde la 2415 développée dans du HC110 dilution F avec une barlow et un filtre Thousend Oaks, j'arrive à faire ressortir la granulation. Les taches sont bien fines et les plages faculaires très nettement dessinées aux bords du Soleil. Je vais dès que possible attaquer les images numériques avec un petit appareil numérique classique et une série de filtres interférentiels d'une centaine d'angström de bande passante. J'espère ainsi augmenter les contrastes de la granulation (autour des 400 et 500 nanomètres) ainsi que des taches (plutôt vers les 650 nanomètres).
  7. Aspect comète Ikeya Zhang

    J'ai observé la comète mardi matin en région parisienne. Aux jumelles 10X50, la queue était visible sur environ 1.5°. Cette comète est assez spectaculaire. Malheureusement, le ciel est couvert ce matin.
  8. Objectif de type frenhaufer?

    1) J'ai peut-être abusé du terme doublet de Gauss en faisant référence aux doublets dont les lentilles sont très écartées. Alvan Clark concevait ses objectifs sur ce principe. Il est vrai qu'en écartant les lentilles, on réduit la focale sans aumenter le chromatisme. En choisissant les bonnes cambrures, on peut faire un très bon objectif, mais la tolérance de centrage est réduite. 2) Pour ce qui est de l'objectif de la Vixen, je l'ai utilisé quelques années et j'avais une aberration sphérique assez importante. Il est toutefois possible que ce défaut ait été corrigé par Vixen en recalculant l'objectif.
  9. Objectif de type frenhaufer?

    Le type dit "Fraunhofer" est assez générique, il regroupe plusieurs formules optiques dérivées. Synta, allias Skywatcher ou Kepler, propose des objectifs très bien optimisés. L'objectif Vixen 102/1000 est très nettement sous corrigé. Les lunettes Linéar de Vinel sont plutôt des objectifs de Gauss, très délicats à régler. Il ne faut passe fier à l'appellation mais aux résultats.
  10. Lunette Kepler 120

    Je viens de réceptionner la 120 que j'ai commandée pour mon labo d'astrophysique solaire. Je l'ai fixée sur une monture énorme et j'ai commencé les observations solaires. En visuel, avec hélioscope plus densité neutre, les images sont très spectaculaires. La granulation est bien visible et les taches sont très détaillées. Le petit résidu chromatique qui provoque un liseré violet n'altère en rien la définition. De plus la finition générale de la lunette est vraiment irréprochable, Synta livre maintenant des lunettes réellement bonnes, optiquement et mécaniquement. Je me laisserai bien tenter par une 150 sur EQ6 pour moi perso. J'ai acheter un filtre solaire photo. Moyennant une densité au niveau de l'oculaire, on peut l'utiliser en visuel, il me semble optiquement très correct.
  11. Lunette Kepler 120

    Il est vrai que la 102/1000 est meilleure en ce qui concerne le chromatisme. Mon idée étant de diaphragmer légèrement si nécessaire. J'ai récemment utilisé un objectif Clavé 100/1500, il présente aussi un résidu chromatique violet sur les objets lumineux. Le Clavé 80/1200 est mieux corrigé et donne des images à couper le souffle. Mais les meilleurs objectifs, dans l'absolu étaient fabriqués par les japonais dans les années 70. Ils étaient moins bien traités, donc moins lumineux mais donnaient un piqué d'image que je n'ai pas retrouvé avec les objectifs modernes. Je cite les Perl SYW de 60/800, 79/1200 et surtout la 106/1600 qui donnait des taches de diffraction parfaites et des images planétaires piquées jusqu'aux grossissements les plus forts. Mais il faut bien reconnaitre que les lunettes Synta ont un rapport qualité/prix défiant toute concurrence.
  12. limites théoriques d'un instrument

    On utilise rarement les grossissements les plus faibles. En ciel profond, pour les galaxies, une pupille de 3 à 4 mm convient très bien, sur les NP, une pupille de 1.5 suffit. Pour les AG et les planètes on travaille souvent avec une pupille de 1mm voire 0.8. Seules les étoiles doubles nécessitent des pupilles inférieures à 0.8mm. Au deçà de 0.5mm, on ne gagne plus rien, tout au plus, avec une très petite lunette, on s'amusera à pousser le grossissement à 2.5 ou 3 fois le diamètre, mais qui utilise un objectif de 200 à 600X ?
  13. Filtre solaire.

    Mon filtre n'a pas de marque, c'est une densité neutre qui doit venir de chez Melles Griot ou Auriel. J'ai à ma disposition des dizaines de filtres plus ou moins sélectifs et je pioche pour trouver ce qui convient le mieux. L'astro c'est cela, on essaye et parfois ça marche ! J'attend de chez unterlinden une lunette Kepler de 120 et un filtre photo, je vais y associer des filtres interférentiels à 100 angström pour faire des images de la photosphère. Encore une manip de plus.
  14. Filtre solaire.

    Guillaume prevot est parti en province dans un autre labo du CNRS mais il regrette vraiment le service car il faut bien reconnaitre que c'est dur de trouver un job plus passionnant qu'ici. Je préfèrereai continuer cette discussion sur ton mail privé. Donne moi ton adresse. Pour ce qui est du filtre après l'hélioscope, j'utilise une densité neutre que je coince sur le prisme, ça marche bien mais le système clavé comprend une barlow qui compense le tirage mais donne des grossissements très forts.
  15. Filtre solaire.

    J'utilise un hélioscope Clave, ce n'est pas vraiment le meilleur que je connaisse. La double réflexion dans le prisme ne donne pas d'aussi bonnes images que la simple réflexion sur lame prismatique + filtre solaire oculaire. Le meilleur hélioscope que je connaisse est un Secrétan qui, avec le filtre ad hoc donne des images de la photosphère très contrastées.
  16. Méthode d'Argelander

    La méthode d'Argelander est assez empirique et consiste à établir des degrés entre deux éclats. Regardez les articles de Michel Dumont et Alain Figer dans L'astronomie de la SAF. Il y a aussi le bouquin de M. Dumont chez Atlas et le petit livret sur les étoiles variables publié par l'AFA. C'est la méthode classique des variabilistes. Contactez l'AFOEV pour des conseils pratiques.
  17. PLAN ou POINTS???

    Belle prise de tête pour un montage on ne peut plus simple. Dans mon labo, les petits miroirs sont montés sur 3 patins en nylon et reposent aussi sur des touches latérales en nylon réglables. J'utilise un cassegrain de 250 monté ainsi et les images sont réellement très fines.
  18. Filtre solaire.

    Les petites piqûres n'ont que très peu d'importance et peuvent être facilement éliminées avec de l'encre de chine. Il faut surtout que la lame soit bien plane et que les faces soient parfaitement parallèles.
  19. kepler 120 / 1000

    Je viens de commander aussi une 120 pour mon labo de physique solaire. L'optique est correcte et ce n'est pas cher, on peut commencer rapidement la manip sans devoir attendre des années un budget du CNRS. Qui aurait dit que les lunettes chinoises vont envahir les observatoires.
  20. Filtre coloré

    Il faut une infinité de filtres pour exploiter l'image astronomique. Ce qui est intéressant, c'est d'isoler une couleur, donc une partie du spectre. Sur les planètes, les filtres permettent de voir différentes couches atmosphérique, le bleu met en évidence les bandes joviennes mais il faut disposer de plusieurs densités. Le mieux est d'utiliser des Wratten que l'on place dans un porte-filtres, c'est plus efficace que les filtres vissants. On peut aussi, se confectionner un porte filtre sous forme de roue ou de glissière.
  21. PERL ROYAL

    Cette gamme d'oculaire est très bonne, j'en possède et en suis très satisfait sur les instruments d'un rapport F/D voisin de 10. Mon OR4 est en revenche assez médiocre avec ma FS60C qui est très courte. La gamme Perl Royal est à comparer aux University, c'est la même qualité.
  22. achat de miroirs

    Pour info, j'utilise des miroirs Meade de 150 et 406 mm. Le 150 donne un piqué surprenant, les images de Jupiter sont aussi contrastées que dans une lunette. Je n'en revenai pas la première fois que j'ai utilisé ce télescope. Je pense sérieusement que ce t est infiniment meilleur qu'une lunette chinoise de 150. Le 400 me semble très bon mais mon site ne me permet pas d'estimer la précision. Sur les étoiles, les speckles sont régulières, rien ne laisse présumer d'un défaut de type astigmatisme ou sphéricité. Je suis assez agréablement surpris par la qualité des miroirs Meade actuels. J'ai eu 2 250, un vieux qui était vraiment pourri et un récent très bon. Il apparait nettement que Meade soigne particulièrement ses miroirs.
  23. 115/1000 la catastrophe!!

    Malheureusement, aucune manip ne te permettra d'améliorer le système. Enlever le doublet revient à rendre le télescope inutilisable. Les 115/1000 actuels sont des cochonneries. Tu aurais du te renseigner sur ce forum avant de l'acheter. Utilise-le tel qu'il est avec un grossissement très faible. Il te permettras tout de même des observations en deep-sky.
  24. modifer un 150/1500

    Les T catadioptriques ne peuvent pas être utilisés en Newton court. Le doublet corrige (souvent mal) les aberrations de sphéricité et éloigne le foyer. Sans cette lentille, on ne voit quasiment plus rien.
  25. Oculaires optimisés.

    Je constate, à lire les messages, que beaucoup d'entre-vous aiment les oculaires très complexes. En réalité, la pratique enseigne que le nombre de lentilles doit être réduit le plus possible. Avec un objectif à F/15, un oculaire de type Huygens de haute qualité travaille dans des conditions idéales. Le Kellner trouve son usage avec des objectifs ou des systèmes à miroirs dont l'ouverture ne dépasse pas les 10. Les oculaires Plössl ont été calculés pour des télescopes ouverts à 6. Au dessous de ce rapport, les choses se compliquent et on doit calculer des oculaires comportant plus de lentilles pour éviter les aigrettes de bords de champ. Utiliser un oculaire à 6 lentilles avec une lunette à F/15, est un peu superflu, voir dommageable pour l'image à cause de l'absorption du verre. Les oculaires à très grand champ, 65° voire 80° ne sont généralement pas les meilleurs sur l'axe. Un exemple concret, sur un télescope 150/1200, on obtient des images planétaires plus fines avec un Or qu'avec un LVW de même focale. Le LVW est très bon pour son champ mais il estompe les contrastes planétaires. Il faut le réserver à l'observation des grands champs stellaires.