cbuil
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Hello,
Une manip sur le pouce dans une éclaircie, en mode SunScan et petite sortie d'un Vespera II :
Il y a de l'expérimentation du coté de SunScan avec le petite lunette, qui est en fait portée par Sol'Ex (!) : un simple doublet Edmund Optics de 25 mm de diamètre et de 200 mm de focale. On est dans le minimalisme coté lunette, mais vous pouvez voir que l'ilmage est correcte et révèle pas mal de détails (sans monture donc). Le réseau est ici un 1800 t/mm Edmund. Bonne surprise aussi (j'avais un peu calculé quant même), c'est fort correct dans l'UV :
Manip pépère, rapide à mettre en place (2 mn), avec un SunScan plutôt pour le jour, et un Vespera pour la nuit, mais avec un esprit assez voisin.
Christian
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La réponse peut dépend de l'instrument qui est devant Sol'Ex et du désir de capturer le disque en entier en une fois (sachant est qu'il est possible de faire des masaiques).
Il y a des éléments de réponses ici, à la partie 6 :
http://www.astrosurf.com/solex/sol-ex-ressources.html
Je crois que le capteur de la 120 fait 4,8 mm de large, ce qui est assez grand pour pouvoir bien travailler avvec Sol'Ex. Les pixels font 3,75 microns, j'aurais tendance à travailler en binning 1x1. Ca devrait le faire.
Christian
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Romain, le bruit RTS est l'objet de très nombreux travaux pour l'évaluation et le retrait. Coté algorithme, compte tenu de la signature particulière (un phénomène de variation bi-stable du signal), des méthodes par ondellettes sont parfois utilisé. Mon approche avec un filtrage médian pondéré est dans cet esprit, et plus simple.
Une autre approche, courante dans les labo, avec derrière la possibilité de correction, vous l'avez décrite en fait, consiste à effectuer une analyse statistique de tous les pixels pris individuellement sur des certaines de trames (osffet), puis de réaliser une cartographie des pixels déviant pour une correction pondéré de ceux-ci. C'est assez efficace (pas mal utilisé sur les capteurs infrarouges). Cette carte est en gros une constante pour un capteur donné. J'ai cela dans la liste des choses à faire...
Christian B
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Max, la réponse est oui. Le séquenceur de l'application du Vespera ("Plan my Night"), est un modèle du genre. Intéractif, ludique et efficace. On peut désigner les objets dans la séquence par leur noms, mais aussi par les coordonnées équatoriales, ce qui a permis justement de programmer ces comètes. On choisi avec le doigt le moment où on veut déclencher les prises de vues, les permuter, la hauteur sur l'horizon local, etc.
Christian
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La focale est courte, 250 mm (F/5), donc on est plutôt sur l'imagerie grand champ intermédiaire. Le coté sympa est de mettre des objets commun dans leur contexte. Par exemple ici, le full-frame Vespera 2 de la nébuleuse M97 :
J'ai réduit la taille pour ne pas trop encombrer. Pour donner une idée de la résolution, un crop à l'échelle de départ (filtre CLS):
C'est du brut en sortie (ici un format TIFF 48 bits, 1h05 de pose). L'intérêt de ce type d'appareil est que l'automatisme soit global, du hard au soft, et donc le fait que l'image soit très regardable sur sa tablette en même temps que l'on observe, est fort cohérent. C'est l'astronomie 2.0, mais avec un respect de ce que le ciel nous offre. La seule retouche ici concerne un gradient lié à l'extrême brillance du fond de ciel (je ne vois pas plus faible que la magnitude 2 à l'oeil) et peut être un effet d'angle sur le filtre bi-bande (je clarifierais). Et là encore je reste dans le simple avec l'outil de retrait gradient de Astrosurface, fort bien fait (logiciel léger, facile à utiliser, et gratuit - dans l'esprit donc).
Pour aller plus loin encore coté champ couvert, Vaonis à fait un très bon travail avec le mode mosaïque, qui me bluffe paa mal (la manière de fonctionner, le résultat). On peut cadrer interactivement, modifier le rapport haut-bas, sur une carte du champ sommaire. C'est très bien vu. Après ca prend du temps. Voici un résultat alors que Orion était très bas sur l'horizon sur les lueurs de Cannes, et qu'il à fallut interrompre le procédure avant la fin. Moi je dit chapeau car entièrement automatique. L'image finale fait ici 3987 x 6018 pixels, très réduite dans cette reproduction :
Un détail à l'échelle 1 (sous-exposé) :
Pour l'anecdote, tout ceci est fait, avec les images comètes, dans la même nuit, avec une intervention humaine minimale.
Christian
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En complément, il m'apparait que ce type de télescope est utilisable pour des manips "scientifiques", c'est surtout cela qui m'intéresse en priorité car ce sont des engins très productifs (pas de prise de tête, mise en route très rapide, fiabilité). Il y a le SeeStar notamment dans le genre. Le Vespera II est bien sur plus cher, mais la sensation d'emploi se révèle très positive (le mode mosaïque de Singularité est une tuerie par exemple), le champ est élevée en particulier et très clean. Exemple pour juger du champ, une capture d'un objet connu (pas une mosaïque et sans aucune retouche) :
Christian
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Avec un Vespera II de VAONIS (nouvelle version du modèle d'origine, avec capteur plus grand et plus longue focale), la comète 62P/Tsuchinshain (bien placée dans le ciel) - image non croppée et quasi brute:
Plus difficile car plus faible et surtout basse sur l'horizon, 2P/PONS-BROOK (toujours en plein format du Vespera mais réduite de près d'un facteur deux en taille). La comète est un peu perdue au centre (pris avec un filtre CLS, d'ou une balance des couleurs non garantie, mais caractéristiques d'une comète) :
Je n'aurais jamais fait c'est objet sans le mode super bien fait "Plan my Night" du logiciel Singularity de VAONIS : début de pose à 6 heure du matin HL et un peu incertain coté météo. Le séquenceur, à travaillé toute la nuit, sans aucune erreur malgré le ciel pollué d'Antibes (et seulement seconde nuit d'utilisation du Vespera II).
La supernova dans NGC 3206 (quasi première cible pointé) avec une vue du type de ciel local, ce qui n'empêche pas de bosser :
J'ai bien sur commencé à regarder ce qu'a dans le ventre de télescope automatique. Ici un champ de référence (SA51, magnitudes V) avec le pollution lumineuse et 78% d'humidité :
On peut considérer qu'en une heure de pose on attrape la magnitude 17.5 environ. On peut extrapoler la magnitude 18,0 à 18,5 sous un ciel noir (AC).
Christian B
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Il me semble quant même que le fenêtrage à une certaine importance. En pleine trame (3068x2070) et 16 bits, je suis à 28 fps sur cette caméra.
En crop de 1300 x 100, 16 bits, (mon format actuel avec SunScan) je monte 485 fps. Tout ceci sur firecapture. Cela dit une telle fréquence ne me sert absolument à rien car il n'y a pas assez de lumière.
Mon PC est un ultra-portable Assus Zenbook, parmi le haut de la gamme.
Christian
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La caméra ASI178MM semble sortir de la proposition ZWO, ce qui est fâcheux, car s'il y a d'autres possibilités, c'est tout de même celle qui est la plus employé avec Star'Ex. Avis très personnel, la politique commerciale de ZWO me donne soucis (il n'y a pas que cette histoire de caméra).
Mais fort heureusement, on trouve le IMX178 Sony chez Player One (caméra Sedna-M) par exemple, avec une performance tout à fait équivalente. Voici l'image du jour (23 janvier) réalisé avec celle-ci et en mode SunScan, sur pied photo donc (la lunette utilisée fait ici 25 mm de diamètre et 180 mm de focale - faut bien sur ne pas s'attendre à une résolution d'enfer) :A cette occasion, j'ai testé une petite variante avec Sol'Ex consistant à utiliser un objectif de caméra de 76,2 mm de focale seulement (c'est un travail pour voir si on peut compacter SunScan pour le rendre encore plus transportable et moins cher ). Voyez comment la caméra Player One est montée avec cet objectif court ( j'ai supprimé le focuser hélicoïdal (franchement on arrive à très bien focaliser le spectre à la main, et on ne fait cela qu'une fois - encore un peu d'économie) :
Mais bien sur, on peut parfaitement utiliser l'objectif long standard de 125 mm :
Christian B
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D'une manière générale , l'impact du bruit de lecture comme l'indique Thierry L ne ce perçois que lorsqu'on observve de faibles signaux, car autrement le bruit de photon est dominant. C'est la même chose avec le bruit thermique.
L'exemple type est celui de la spectro, où le signal de fond est souvent très faible. Le bruit de lecture et le bruit thermique détermine alors la performance en détectivité. Mais c'est vrai que le signal thermique et donc le bruit associé est vraiment faible avec certains capteur, mais il faut tout de même refroidir en dessous de -10°C, ou quelque chose comme ca (attention aux nuits très chaude d'été). Personnellement je fait encore des dark, car il y a encore des traces de pixels chauds, même en CMOS, et comme en spectro il n'est pas possible de faire du diphering, c'est potentiellement gênant. Mais j'admet que c'est pas mal par habitude aussi que je fait les dark, surtout s'il y a un filtre type médian (pas toujours possible attention). En spectro on peut faire des poses de 15 mn à une heure, et le bougre de signal thermique peut commencer à piointer
Les dark c'est pour moi au moins 10 poses de très longues poses pour réduire le bruit de lecture dans le noir maitre. Souvent la soustraction ce fait avec un coefficient plus petit que 1, ce qui est encore plus bénéfique. Mais on est sur des manips un peu spécifique. Le bruit télégraphique (RTS) est clairement le bruit le plus gênant en CMOS, même si on devine des progrès.
Pour le gain, on gagne un peu en bruit de lecture, mais pour bien l'apprécier il faut comme dit précédemment travailler à très bas signal ou avec des poses très brèves, où le signal est très faible à cause de cela. Mais il y a un intéret à pousser le gain (disons 100, 150, dans le référentiel ZWO) : le bruit est si faible, surtout si on fait du filtrage médian optimal pour gommer le bruit télégraphique, que sa valeur est inférieure au pas de quantification, et là on perd en détection. Il faut monter le gain pour qu'il sorte du pas de quantification, sinon on se paye le bruit de quantification, non linéaire et pas beau (sorte d'aplat).
Christian
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C'est vrai que la turbulence et le vent, ne sont pas de bons amis, mais je suis sur qu''il y a une marge de progression. Je crois comprendre que vous êtes avec une focale de 200 mm. Voici ce que ca donne aujourd'hui en SunScan, avec une focale très proche, de 180 mm :
Attention à la paramétrisation,du logiciel de traitement (je n'en connais Jsolex mais l'usage et les subtilités). Je trouve que le traitement en sortie standard de Jsolex lisse trop les images et ne rend pas tout à fait justice à ce que produit Sol'Ex. L'image ci-dessus est produite avec INTI avec un léger rehaussement sous astrosurface. Mais en sortie brute de INTI on est déjà assez voisin de l'image que je présente.
Idéalement, il faudrait faire des tests comparatifs sous Linux puisque c'est votre environnement (les sources Python des INITI sont diponibles), ou éventuellement transmettre un SER.
Christian
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Des images du soleil de ce jour, 12 janvier, avec Sol'Ex en mode SunScan (un seul balayage) :
Traitement réalisé avec INTI. Notez que la dernière version de INTI propose entre-autre l'affichage d'une grille (ici avec une orientation du pôle verticale) :
Le setup ce matin sur Antibes :
Christian B
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Bravo pour cette première image, et félicitations de tenter le mode SunScan. C'est chouette.
Pour la mise au point, Eric précise une bonne technique, que je pratique aussi, y compris en SunScan. Mais toujours en SunScan le balayage du Soleil étant lent, sa laisse le temps de focaliser tout en surveillant la netteté des bord dans le spectre.
Fait voir aussi la qualité de l'objectif de récupération si j'ai bien compris. Mais avec un diaphragme à d=25 mm ca doit être correct.
Quel logiciel avez-vous utilisé pour le traitement ?
Christian B
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Une large couverture spectrale du Soleil le 15 décembre avec Sol'Ex sur pied photo et derrière un chercheur diaphragmé à 25 mm de diamètre et de 180 mm de focale. C'est le mode SunScan : on laisse filer le Soleil durant 2 minutes devant l'instrument et on prend 10 images par secondes seulement. Le traitement est fait avec INTI .
L'image hélium et surtout l'image de la couronne dans la raie Fe XIV sont des premières en mode SunScan (je rappelle que la lunette de prise de vue coute dans les 100 euros, et que tout le monde à cela peu ou prou). En plus c'est très facile à faire.
La preuve pour la couronne les images SDO HMI pour la même date :
La manip couronne est aisée : un filtre continuum Baader incliné de 15° scotché à l'avant du chercheur, et c'est parti...
Comme quoi on peut aussi bien s'amuser avec un setup très léger.
Christian B
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Très beau spectre Alef ! Quasi à la même date, le même objet, mais avec un télescope plus modeste (lunette Askar de 107 mm), Star'Ex LR et un temps de pose de 10x600 s, depuis Antibes - intéressente comparaison :
Le spectre de la galaxie hote (avec un z de 0,010 bien mesuré) :
Une vue du setup, qui peut donc attraper les spectre d'objets de magnitude 14 :
Pour ceux qui connaissent un peu Star'Ex, noter la suppression du système hélicoïdal pour la caméra de guidage (économie et compatibilité avec les boitiers moyenne taille ZWO) - un simple système glissant :
Guidage via ASIair (en reconnait la galaxie et la SN au centre) :
Christian
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Excellent et bienvenu au club,. Content que ca fonctionne !
Christian B
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Le match Seestar contre Sunscan !
Même jour Sunscan (un seul balayage du Soleil), chercheur Artesky de 225 mm - turbulence assez forte :
Petit avantage pour Sunscan, on voit les protubérances et autres détails de la chromosphère.
Christian
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Achaim, cela vient du fait que la bande passante équivalente de Sol'Ex est plus étroite que celle la plupart des filtres du marché (peut être tous si on reste dans un prix raisonnalbe ?). Typiquement on est à 0,25 A de bande passante, d'où un contraste plus élevé (on pique vraiment au centre de la raie Halpha, et en plus on peut s'amuser à faire du Doppler précis en ce déplacant dans le raie avec un pas encore plus fin).
Christian
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Je crois qu'il ne fait pas trop beau temps dans le nord, alors on vous envoi un peu de Soleil du coté de Antibes :
Ce 23 novembre, Sol'Ex exploité en mode SunScan (chercheur de 225 mm de focale) :
Christian
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C'est peu de dire que la ZWO 30 mm f/4 n'est pas une foudre de guerre, mais malgré cela Guillaume, l'observation est bonne et je pense que tu as bien saisi l'apport de cette manière d'observer le Soleil, rapidement, simplement, sans prise de tête et plaisante. Chouette.
Il se trouve que j'ai observé presque au même moment que toi suivant le même mode, mais avec une focale presque deux fois plus longue (et aussi avec fermant plus l'ouverture du chercheur, ce qui contribue à réduire les aberrations de celui-ci). Donc ici un chercheur Artesky de 225 mm de focale. J'ai aussi utilisé une densité Baader ND 1,8, en 31,75 mm donc plus transparente que la tienne, mieux adapté, avec un gain caméra de 20 seulement. Voici donc mon résultat pour le 22/11/2023 avec la même orientation du disque que toi :
Christian
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Tiens je vais me lacher un peu...
Pas trop de naïveté à propos de Musk quant même ! Il est aux USA, aux USA il y a la NASA, et la NASA à largement aidé à tout point de vue Space X. techniquement et aussi financièrement (la gouvernement US paye cher les tirs institutionnels, ce qui est de l'aide masqué, qui permet au "génial" Musk de brader ces vols). Superfulgur, les enjeu commerciaux, financier et politiques du spatial, les aspects techniques aussi, d'aujourd'hui ne sont pas les même qu'à l'époque d'Apollo.
Techniquement, l'échec du premier vol aurait pu être évité avec un peu de jugeote. Les lancements à la Shadock (s'il y a une chance sur mille que ça réussisse, on fait 999 essais), c'est sympa, mais sur une fusée qui coûte assez cher, avec des enjeux humains plus tard (vol lunaire), cela risque de lasser un peu un de ces jours... D'autant plus que le lancement ne doit représenter que 10% de la difficulté pour amener des gens sur la Lune et les faire revenir. L'aventure spatiale est pleine de rebondissements, les succès d'un jour ne sont pas ceux du lendemain... méfiance.
En gros, je n'ai aucun respect pour Musk pour de fort nombreuses raisons, en revanche je suis plus sensible à qualité des techniciens et ingénieurs. Leur organisation a quelque chose d'enviable, c'est vrai. Par exemple, faire un second tir si peu de temps après l'échec du premier est une sacrée performance.
En regard les règles du retour géographique et les ego en Europe nous plombe pas mal en comparaison. Ca aussi c'est vrai, mais c'est ça ou rien. Pour avoir vu de près, on est très bon techniquement et motivé, et on le montrera une fois de plus.
Pas de naïveté non plus, Musk et ces bidules, c'est une concurrence, et ça nous coûte des emplois et une indépendance. L'admiration à ces limites dès que l’on réagit, ce qui est le cas. Après avoir dit qu'ils sont bons, inutiles de dire que l'on est nul. C'est un jeu national. Ce second vol est un échec, un point c'est tout. Quand une Ariane explose après 10 minutes de vol, j'entends peu de personnes dire que c'est un succès, car après tout elle a décollé. Au contraire, vous avez le public et les commentateurs qui l'ont bien éduqué (Le Monde, Libération...) et autres réseaux associaux, qui hurlent à la honte, au scandale, à la démission, etc.
Ce ne sont pas les ingénieurs qui sont en cause, mais la perception qu'ont les gens du métier d'ingénieur et de chercheur par chez nous. On fera un triomphe à un chanteur qui fait un nouvel album, on ignorera royalement une avancée technique qui va pourtant créer des milliers d'emplois, soigner ou parfois améliorer l'état de notre planète. Qu'il est triste et dommageable de voir des consommateurs utiliser des appareils en ignorant les aventures techniques et humaines qui sont derrière.
Pour faire le lien avec les fusées, aujourd'hui, une "journaliste" sur une chaîne d'info en trois lettres, dont les initiales sont AC (celle-là même qui a dit il y a quelques années sur un chaine du service public que "la science c'est chiant"... comment voulez-vous encourager les jeunes, je me retiens pour être poli). Donc cette journaliste : la France à tirer un missile balistique M51 et c'est un total échec car il n'y a eu aucune communication préalable, je n'étais pas au courant (elle ignore que c'est un truc militaire), mais en revanche, aucun mot pour dire que cela a fonctionné, qu'il y a des gens qui bossent bien et que c'est important dans le monde où on vie. Tout est là les amis. On n'est pas aidé.
Rassurez-vous, je me doute des réactions s'il y en a : booouuu qu'il est mauvais joueur !
Christian B
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Une variante, avec une focale un peu plus longue, 225 mm, ce 13 novembre (très mauvaises conditions, turbulences + nuages).
Noter comment on change vite de "télescope". Le modèle utilisé dispose d'une focalisation hélicoïdale précise.
Le logiciel d'exploitation (ici INTI) trouve automatiquement le pôle céleste , oriente, cadre en format fixe et cela part direct dans AS!3. Difficile de faire plus simple :
Compte tenu des conditions météos, je n'aurais sûrement pas observé le Soleil si je n'avais pas eu ce dispositif.
Christian B
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Je voulais parler d'une vitesse de rattrapage particulière pour moi (oups, j'a oublié de préciser !) : la vitesse 0,5X sidéral, que je ne vois pas sur la version standard de l'application ASIAir . Elle serait bien précieuse dans certaines situations.
Christian
Comètes du moment + supernova NGC3206
dans Astrophotographie
Posté(e)
J'aime bien aussi l'idée de faire de l'astro sur pied photo, c'est plaisant et on retrouve certaines sensations. L'instrumentation réduite à sa plus simple expression (comme vous dites Goofy2) , j'ai toujours poursuivi un peu cela. Quant la technologie ce met au service de la simplicité , cela donne des bonnes choses. Faut pas trop ce prendre la tête parfois pour prendre du plaisir. Dans l'esprit, un petit clin d'oeil, avec deux instruments qui partagent la même philo, l'un pour le jour, l'autre pour la nuit :
Voir aussi ce post :
Christian B