roland

Membre
  • Compteur de contenus

    154
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Last Connexion

    Soon available - 42779

Messages posté(e)s par roland


  1. Bonsoir,

    La 1ère 240s et la seconde 300s.
    Donc c'est à revoir si je comprends bien, pourtant la 1ère me paraissait pas mal, d'autant qu'il s'agit de la version 100%, et à 50% qui est le maxi que je pense exploiter, le bougé ne se voit pas.
    Qu'est-ce que ce serait avec un 70D avec 20Mpix qui sont plus petits...
    Plus les pixels sont petits , meilleur doit être le suivi puisque l'échantillonnage diminue.

    Roland


  2. Bonjour,

    Voici un extrait en 100% de 2 de mes photos prises la semaine dernière.
    Sur la 1ère
    La dérive correspondante mesurée sur l'acquisition de la courbe par IRIS donne 6.2'' an AD et 9.5'' en DEC.
    Sur la 2nde, la dérive est respectivement de 8.6'' et 14.2''
    J'estime qu'avec une dérive entre les 2, ça doit être correct (je rappelle qu'ici l'image est représentée à 100%) soit environ 12'' en DEC et 7'' en AD.

    [/URL" TARGET=_blank>

    Uploaded with ImageShack.us.us

    [/URL" TARGET=_blank>

    Uploaded with [URL=http://imageshack.us]ImageShack.us

    Je vais continuer à m'entrainer sur le longue pose même si par ici le ciel est pas terrible avec la pollution.
    Par contre pour le planétaire j'ai pas de coucis, je le pratique en altazimutal sans avoir besoin d'aller à la campagne.

    Roland


  3. Bonjour,

    Justement je veux éviter que chaque sortie en nomade soit l’expédition. Je conçois tout à fait l’intérêt et la préparation qu’une sortie (qui doit se faire sur plusieurs nuits/jours) style la Bonnette peut susciter, mais pour ma part je conçois l’imagerie nomade (comme je le faisais auparavant) comme étant une nuit à la campagne (2h de route de chez moi) décidée la veille (comme ça peut être adapté en fonction de la météo) et reste compatible avec la vie privée tout en pouvant être renouvelé 1 à 2 fois par mois.
    L’expédition telle que visible sur la photo ci-dessus relève de la préparation plusieurs semaines à l’avance, le genre de chose que l’on ne programme qu’une à 2 fois maxi pendant l’été, un déplacement sur plusieurs jours consécutifs et avec l’aléa météo qui peut tout gâcher. Effectivement je comprends que l’on veuille viser l’excellence dans ce cas.
    Pour revenir à la remarque de Christian, j’ai compilé mes mesures de dérives faites ces dernières semaines (acquisition de la courbe de dérive en AD et DEC sous IRIS et analyse avec PEAS) et j’obtiens ceci :
    14.7 5.0 28.2 15.1 2.3
    13.5 4.9 37.1 18.5 2.8
    15.5 5.4 20.5 20.5 0.7
    7.4 3.3 11.9 11.9 3.1
    15.5 5.8 19.3 13.3 2.3
    14.2 5.4 27.0 17.6 1
    14.8 5.1 27.7 19.7 3.1
    9.8 3.5 12.6 12.6 3.5
    12.2 4.1 20.2 17.2 2.1
    12.1 4.5 20.0 14 4.6
    10.7 4.5 19.8 15.5 6.7
    9.5 3.2 19.6 12.7 21.6
    8.5 2.8 14.3 11.4 23.7

    Dérive périodique AD totale (sur 24min)/Dérive périodique AD moy (sur 24min)/Dérive AD max (sur 24min)/Dérive AD max(sur 300s)/Dérive Dec max(sur 300s)

    A Chaque ligne représente une acquisition différente de 24 min de la courbe de dérive (13 relevés au total, PEC activé) faite sur plusieurs jours différents avec le télescope déplacé presque à chaque fois (non répétabilité de la MES).

    La 1ère colonne représente pour chaque période de 24 min la dérive périodique en AD donnée par PEAS (il s’agit de la sommation en valeur absolue de EP+ maxi et EP – mini).

    La 2ème colonne représente pour chaque période de 24 min la dérive périodique en AD donnée par PEAS (il s’agit de la sommation en valeur absolue de Avg PE+ et Avg PE –).

    Ces 2 colonnes donnent donc l’indication de l’erreur périodique seule de la monture (LX200GPS), PEC activé.

    La 3ième est tout simplement le max de la dérive en AD moins le min de la dérive en AD (max-min de la courbe). Il s’agit donc du déplacement extrème de l’étoile guide sur une période de 24 min et inclus l’erreur périodique, la vitesse de suivi, l’erreur de MES, les flexions de la monture,… bref ce qu’on verra au final sur la photo en dérive AD (dans le cas d’une pose de 24 min).

    La 4ième colonne représente la même chose mais sur une période de 300s prise en continu sur une même courbe de 24 min (une période « glissante » de 300s en quelque sorte à l’intérieur d’une période de relevé de 24 min. Période de 300s choisie comme donnant le maxi de dérive).

    La 5ième représente la dérive en DEC (l’équivalent de la 4ième colonne en DEC) pour une période « glissante » de 300s (en fait la dérive en DEC sur une période de 24 min est une droite, aux « bruits » d’enregistrement près :vent, turbulence,..).
    Sur les 2 derniers relevés la MES devait être particulièrement mauvaise (dérive en DEC importante).

    Au vu de ce que j’ai mis plus haut dans un de mes posts précédents ( avec ma config :échantillonnage de 2.7’’/pix, j’avais constaté sur les photo un bougé acceptable en dessous de 12’’ de dérive soit 4x l’échantillonnage ), j’en conclus que sur chaque pose unitaire de 300s il n’y aurait pas de guidage nécessaire en DEC (sauf dans la situation des 2 dernières lignes ou la MES devait être mauvaise ), par contre il faudrait un parfois guidage en AD (car la dérive max AD sur 300s est parfois supérieure à 12’’). Par contre un guidage sommaire pourrait peut être suffire car les dérives constatées maxi sont quand même assez lentes (sur mes courbes de dérive enregistrées il n’y a pas de variations trop brusques).
    Un recentrage de l’étoile guide en Dec serait nécessaire toutes les 3 à 4 prises (d’une durée de 300s) de vue afin de ne pas être décelable sur la photo.
    Maintenant il ne me reste plus qu’à faire des essais réels, j’ai fait tous ces relevés sur une étoile proche de l’équateur céleste et du méridien. Ca doit être différent suivant la région du ciel visée.

    Roland


  4. En fait l’autoguidage en itinérant, ça fait du matériel supplémentaire à emmener : PC, alim pour le PC à acheter.
    Si je peux me contenter de l’oculaire réticulé avec une correction de temps en temps, c’est pas trop contraignant quand on est itinérant. Pour le reste le PC n’est pas indispensable (à condition d’avoir une carte SD musclée, batteries APN supplémentaires et mise au point possible à l’écran de l’APN).
    Quand je fais une séance photo en itinérant c’est une expédition : le trajet en voiture, le télescope, la lunette, l’APN, les objectifs, la table, chaise,…

  5. Bonjour,

    J’imageais pas mal en argentique pour le ciel profond et il est vrai que le numérique est nettement moins tolérant en suivi.
    J’arrivais à l’époque à faire du suivi à 1.2 m de focale pendant 1h30 et pas de bougé perceptible sur la photo.
    J'ai passé pas mal de temps à peaufiner la correction d’erreur périodique et mes 2 derniers relevés sur 2 périodes de 24 minutes donnent (via le soft PEAS) une EP maxi à +/- 4.5’’, ce qui est honorable pour le type de monture que j’ai (MEADE LX200GPS).
    Maintenant j’essaye de m’attaquer à la dérive en DEC.
    J’ai fait quelques images d’uranus avant-hier en grand champ (au foyer de la WILLIAMS OPTICS) sans guidage ni rattrapage pendant ni entre les images. Le décalage en déclinaison est visible à l’écran entre la 1ère et la dernière et au compositage IRIS a bien corrigé (mais l'ensemble de la série de poses n'a duré que 10 min). D'ou ma question, à quoi bon recentrer l'étoile guide ?
    Lorsqu’il fera beau je referai un essai avec des poses unitaires plus longues mais pas trop longues pour ne pas avoir de dérive visible en déclinaison sur chaque image unitaire.
    J’essayerai ensuite une série en compositant sous iris sans aucun rattrapage entre les poses.
    Donc encore pas mal d’essais en perspective.

    Roland


  6. Bonjour,

    Pour apporter plus de précisions sur mon précédent post, je possède déjà une bonne partie du matériel pour l’imagerie du ciel profond, à savoir :
    - LX200GPS 10’’ avec table équatoriale,
    - WILLIAM OPTICS 80/545 mm en parallèle du LX200 (et le réducteur x0.8 pour la photo, soit 436 mm)
    - CANON EOS 1000D défiltré
    - Support APN pour montage parallèle et Divers objectifs et téléobjectifs pour photo en parallèle.

    Etant donné que j’habite en ile de France, j’ai un ciel pourri et il est impossible d’envisager l’astrophoto longue pose de chez moi. Je m’exerce de chez moi cependant en ce moment afin de trouver la meilleure technique mais impossible d’imager nébuleuses ou autres objets profonds.
    J’envisage donc l’utilisation nomade à la campagne (ce que je faisais il y a 10 ans avec un matériel plus modeste et en photo argentique), ce qui veut dire : pas de PC portable, pas d’autoguidage (du moins c’est ce que je souhaiterais car après ça devient trop compliqué à utiliser en nomade).
    Par contre de chez moi pour les tests, j’utilise PC, web cam, etc…

    J’ai passé pas mal de temps à régler le PEC de la monture via IRIS et acquisitions de l’erreur et j’arrive à quelque chose de pas mal (EP à 10-15’’ environ en maxi sur 24 min avec PEC contre 30’’ sans PEC), j’ai aussi affiné le tracking rate de la monture. J’obtiens donc une dérive en AD assez faible.
    De chez moi je peux passer du temps à peaufiner la MES (bigourdan) et laisser le matos dehors pour la nuit suivante pour retest,… c’est assez pratique.
    En nomade ce ne sera pas possible (le matériel sera démonté chaque nuit), donc ce sera une MES un peu moins bonne et pas d’autoguidage. J'ai l'intention de pratiquer comme je le faisais en argentique: oculaire réticulé et guidage manuel à partir du LX200.
    J’ai donc testé de chez moi avec la WO avec réducteur et le 1000D, l’échantillonnage est de 2.7’’/pix (je ne compte pas faire dans un 1er temps de la photo au foyer LX200 longue pose), le LX200 est utilisé en guidage ou pour vérifier la dérive (je fais l’acquisition sous IRIS de la courbe de dérive).
    J’ai fait plusieurs poses de durée croissante et malgré la PL, on voit quand même les étoiles sur les photos et j’ai vérifié la dérive.
    J’arrive grosso modo à la conclusion suivante :

    - pas de guidage nécessaire en AD pour des poses jusqu’à 5 min (la courbe de dérive acquise par webcam via le lx200 me donne une dérive en AD max de 10-15’’ pendant la pose, PEC activé bien entendu). Cette dérive n’est quasiment pas perceptible sur les photos (j’en conclus que 4 fois l’échantillonnage est acceptable).
    - Dérive en DEC perceptible sur la photo à partir d’environ 12’’ de dérive, ça confirme que 3 à 4 x l’échantillonnage est la limite acceptable.

    Au vu de ceci, une MES pas trop précise me permet donc d’imager environ 5 min sans guidage ni dérive dérive en AD (merci le PEC) et en DEC.
    C’est donc à moi de trouver la MES suffisante permettant une dérive en dec inférieure à 12’’ en 5 min de pose (ce n’est pas trop contraignant à réaliser je pense, même en nomade avec une Bigourdan).

    D’où ma question, car cette méthode me donnera une dérive en DEC à l’accumulation des photos (puisque je vais poser environ 1h au total par addition de photos et la dérive totale en DEC sera de 12’’x60min/5min = 144’’).
    IRIS ou autre soft peut recentrer les photos mais vaut-il mieux lors de la prise de vue recentrer en DEC entre chaque photo ou laisser filer la dérive (je pars donc du principe que sur 5 min de pose pas de guidage nécessaire) ?
    Ou alors ma cause est perdue d’avance et seule une MES rigoureuse pourra sauver mes photos ?

    Bonne journée.

    Roland


  7. Bonjour,

    Après avoir pas mal pratiqué l'astrophoto ciel profond en argentique, je souhaiterais me lancer avec le numérique (pour l'instant je ne me suis limité qu'aux planètes et à la lune). Je me demandais si avec un APN au foyer d'un télescope en équatorial, il est indispensable de guider en déclinaison entre 2 poses ?
    Si on considère des poses multiples de 5 min environ pour un compositage d'une dizaine de poses, ça fait plus d'une heure de cumulée.
    Si la mise en station est suffisamment bien faite pour ne pas avoir à guider en déclinaison sur chaque pose unitaire (suivi correct sur 5 minutes dans mon exemple), est-il nécessaire de recentrer l'étoile guide en déclinaison entre les poses ?
    Si on recentre, les images vont quand même se décaler les unes par rapport aux autres (rotation de champ).
    Si on ne recentre pas, les images vont se décaler mais à priori sans rotation de champ, donc plus facile à recentrer après coup avec un soft en post traitement.

    est-ce que je me trompe quelque part ?

    Merci pour vos conseils, je débute en numérique longue pose et je tatonne.

    Roland


  8. Bonjour,

    J'essaye de paramétrer IRIS (5.59) pour faire du guidage avec un MEADE LX200GPS.
    Dans la fenêtre réglage, j'ai sélectionné LX200 avec n° du port série: 10 (qui est le port virtuel car j'ai un convertisseur USB/série) mais ça ne fonctionne pas.
    Je n'ai pas de soucis avec d'autres logiciels pour communiquer avec le télescope (myscope, satellite tracker ou starrynight), mais impossible avec IRIS, lorsque j'essaye d'envoyer une commande de mouvement ou autre, j'ai un pop up qui s'ouvre avec indiqué: "Echec d'ouverture du port COM"
    Ai-je oublié un paramétrage ?

    Salutations.

    Roland


  9. C'est xp sur une machine de 4 ans environ, pas un foudre de gueurre mais bon je ne pensais pas que ça demandait beaucoup de ressource pour le suivi de la dérive seule. C'est vrai que j'avais d'autres applis qui tournaient en fond: starrynight, un excel, 1 ou 2 IE + myscope pour les corrections avec la raquette virtuelle.
    Si IRIS ne donne pas la possibilité de modifier cet échantillonnage, j'essayerais de ne pas surcharger ma machine la prochaine fois, on verra si ça suffit. L'échantilonnage toutes les 1.6s me va bien mais quand ça passe à 10s ou même plus, ce n'est pas assez précis pour enregistrer l'erreur périodique de la monture.

    Roland


  10. Bonjour,

    Oui c'est un peu de cette façon que je procédais jusqu'à ce que je touve cette fonction autoguidage dans IRIS qui m'a paru bien utile et moins consommatrice de place sur le disque dur du fait qu'il n'y a que du fichier texte de généré.
    En fait la fréquence de 1.6s serait suffisante au vu de la période de ma monture (LX200) mais IRIS adapte parfois en cours d'acquisition la fréquence et il arrive qu'elle passe de 1.6 s au début à plusieurs secondes (30 ou plus) ensuite. J'arrive pas à savoir pourquoi.
    Je pensais au départ que celà pouvait venir de l'étoile guide qui serait masquée temporairement mais ça ne semble pas le cas, efin bon je vais réessayer dès que la météo le permet.

    Roland


  11. Bonsoir,

    Merci pour ces infos, pendant l'enregistrement IRIS modifie parfois la cadence qui passe de 1.6 seconde à plus de 10 secondes, je ne sais pas pourquoi (l'étoile guide ne semblait pas masquée par des nuages ou autre), j'espérais éviter ces désagréments en fixant la cadence.

    Roland


  12. Bonjour,

    Je vérifie en ce moment l'erreur périodique de ma monture et j'utilise IRIS avec webcam en mode "suivi" afin de générer les données de dérive d'une étoile (fichiers x.dat et y.dat de coordonnées de l'étoile). Pour celà j'utilise la fonction autoguidage d'IRIS (menu Vidéo puis Autoguidage) en ne choisissant dans la boite de dialogue que la partie contrôle afin de ne pas autoguider.
    Les fichiers de la position de l'étoile sont bien générés automatiquement. Cependant IRIS gère tout seul la fréquence d'acquisition des positions de l'étoile (toutes les 1.6 secondes environ alors que l'étoile est brillante et que la webcam est réglée sur un temps de pose court).
    Est-ce qu'il y a moyen de paramétrer cette fréquence d'enregistrement des coordonnées X,Y de l'étoile ?

    Merci par avance.

    Roland


  13. Bonjour,

    J'ai à plusieurs reprises essayer d'utiliser le logiciel satellite tracker afin de suivre le passage de satellites artificiels avec un LX200GPS.
    Bien que je prenne toutes les précautions pour la mise en station (altazimutal), la synchro des horloges PC, LX200 à la seconde près, les derniers fichiers TLE téléchargés,... le logiciel ne permet pas un bon suivi des satellites notamment de l'ISS (avec un oculaire grand champ 40 mm) et même des fois ni le chercheur. J'arrive à suivre à peine 50% des satellites dans le champ de l'oculaire. Pour l'ISS, le téléscope se positionne, je la vois passer dans le champ et il ne la rattrape plus ensuite.
    J'ai acheté un joystick pour faire plus facilement les corrections qu'offre satellite tracker: timing offset et alignment adjustment, mais j'ai l'impression que ça n'a aucun effet, même si les valeurs d'offset à l'écran s'incrémentent lors de l'action sur le joystick.
    J'ai essayé sur des satellites très lents dans le ciel (pour détecter plus facilement le mouvement du télescope), ça n'a pas l'air d'avoir d'effet non plus.
    Soit je m'y prends mal ou il y a quelque chose qui ne va pas bien.
    Quelqu'un aurait-il un conseil à me donner pour l'utilisation de ce logiciel avec un LX200 GPS.

    Roland


  14. Bonsoir,

    Pas beaucoup le temps de poster en ce moment, mais voici quelques photos prises samedi matin au sommet du Roc'h trévézel (certains reconnaitrons l'antenne télé) vers 4h30-6h00 du matin, avec pour cible la lumière zodiacale.
    Pas évidente (je la vois mieux depuis le PNR du Morvan), mais ça faisait pas mal de temps que je voulais tenter l'expérience depuis le centre Bretagne,sans y arriver pour cause de météo ou de disponibilité.
    Visibilité assez bonne après la météo médiocre de la semaine et les nuages bas accrochés au nord Bretagne.

    Images au 400D à 800 iso et sigma 18-50 calé à 2.8


  15. Bonjour,

    J'ai le même problème avec le mien (sur l'heure seulement), il se synchronise systématiquement à une vingtaine de seconde de différence par rapport à l'horloge parlante. C'est pas réhibitoire mais même après update du firmware, ça a rien changé. Pour le pointage des planètes (et la lune) il est aussi systématiquement à 15-20' de décalage par rapport à la réalité (pourtant sur les étoiles, le pointage ne pose pas de problème, même si elles sont proches de la planète visée! les étoiles sont à 2' de précision environ).ça fait 2 ans que je vis avec sans avoir jamais pu comprendre ni résoudre le problème (la recherche de latitude/longitude s'effectue pourtant bien).

    Roland


  16. Moi mon lieu de prédilection est près du lac des settons, un champ accessible en voiture via un chemin en terre de 1km (des fois limite en hiver quand il y a de la boue car c'est un chemin pour les tracteurs), mais c'est tout bon là bas: ciel très noir (j'arrive à 6.5-6.6 à l'oeuil nu) et à 2h30 de route depuis chez moi (en Essonne).
    Le coin est très bon, on y voit régulièrement la lumière zodiacale et la voie lactée y est évidente. Pour avoir déjà pratiqué le Queyras, le centre Bretagne et même des contrées plus éloignées et dégagées de toute PL, je trouve l'endroit extra. Et accessible facilement depuis la région parisienne.
    C'est à 700m d'altitude, côté turbu, je sais pas, j'y vais seulement pour faire du ciel profond et bien sûr de la photo. Pas de vent en général (faut trouver les coins abrités), mais même si c'est vert (ça tombe plus de 1m d'eau là bas), il suffit simplement de choisir quel jour on y va.
    Vas voir les cartes de PL de frédogoto, elles confirment que cette région (peu peuplée) est propice à de bons spots astro.

  17. J'ai acheté récemment une ED80 pour mettre en // au lx200 10'' en équatorial (+ platine AMD et colliers). Je confirme que c'est ok, par contre il faut des contrepoids !(AD et dec).
    J'ai fait de la photo avec, mais guidage manuel via le tube du lx200.
    Je pense cependant qu'il ne faut pas aller au delà.

  18. Bonsoir,

    ça ne m'étonne pas si c'est un capteur grand champ!
    J'ai aussi un 10'' avec réducteur et noté ce phénomène et j'avais pas mal fait de photos argentiques avec mon ancien 8'' dans les mêmes conditions (avec réducteur) et du 24*36 mm. Avec un capteur grand champ, il y a pas mal de vignettage et la photo me laisse penser qu'il s'agit bien de grand champ (24*36 ou format APS).
    A vérifier quand même si un éventuel pare buée ne crée pas du vignetage. Mais celui-ci est normal avec un S/C si il y a un capteur grand champ avec réducteur 6.3.
    La solution ?
    Rogner la photo ou alors faire un masque sous photoshop pour éviter l'aspect inesthétique mais on ne peut pas récupérer l'info qui est perdue par le vignetage.

    Roland