treutenaere

Bonjour, sera-t-il possible, comme l'année dernière, de garer sa voiture sur le terrain prévu pour les observations; le matériel est lourd à transporter... amicalement, Alain

bonsoir, Rolf qui a pris cet AVI et avec quel instrument?

Félicitations! comme quoi, il est possible d'obtenir des résultats intéressants en argentique. Personnellement, j'ai aussi photographié la comète en argentique le 9 novembre dernier: téléobjectif Canon FD 800mm 5,6L sur boîtier Canon old F1, film Fuji Provia 400F poussé à 800ISO, poses: entre 5 et 10mn sur monture EQ6 goto, avec rattrapage manuel à l'ancienne (étoile guide+réticule éclairé). Le noyau et la chevelure sont bien visibles avec les structures principales. Malheureusement, bien que possédant un bon scanner, je ne sais pas encore transférer mes images sur le forum...:-(

je me permet une petite question: quelle adaptation utilise-tu pour monter le FD400/2,8 sur le 350D monture EF?

belle photo! la diapositive est plus lumineuse que le scan... n'est-il pas plus simple de la projeter avec un bon vieux projecteur dias? c'est tout de même l'avantage de l'argentique, la simplicité; celà ne semble pas être le cas avec vos scanners assez délicats à régler.

C'est où, CROTH?

je confirme: j'en possède une qui me donne entière satisfaction.

il faudrait au prèalable déterminer le cercle d'image nette de cet objectif, en principe de bonne facture (les Tessar étaient réputés); pour celà, le moyen le plus simple est de confectionner une petite chambre noire, en bois ou en carton fort:,pouvant recevoir l'objectif d'un côté et un calque de l'autre côté (format A4).La profondeur de la chambre doit évidemment correspondre à peu près à la focale de l'objectif (300mm). Il reste à viser un paysage dont l'image se formera sur le calque: il suffit, après une mise au point approximative, de mesurer le diamètre de la partie nette de cette image.Il est possible ainsi de déterminer le format d'image maximal qui pourra s'inscrire dans ce cercle.A suivre...

j'y serai, avec mon 800mm... ;-)

belles images malgré la turbulence!

Poisson d'avril ou pas, Bruno a raison sur le fond: pour exploiter au mieux un grand diamètre (plus de 400mm), il faut un ciel de grande qualité, en altitude, non accessible à la majorité des observateurs, afin de s'affranchir au mieux de la pollution de l'air, lumineuse notamment, et de la turbulence.Au sujet de la course au diamètre, lire (ou relire) l'excellent ouvrage de Pierre BOURGE "mon télescope et mon observatoire, pourquoi pas?". Ses recommandations sont encore plus valables aujourd'hui avec l'augmentation dramatique de la pollution lumineuse.En conclusion: les très gros diamètres, oui, mais sur des sites privilégiés. Un exemple, sans aller à l'autre bout du globe, les RAP, où, pour la circonstance, la municipalités éteint les lumières.

belles images malgré la turbulence; les logiciels de traitement sont essentiels! que ferions-nous sans l'informatique? amicalement,Alain

Encore du bon travail, c'est une des images que l'on a projetées vendredi soir à notre club, je crois.

Salut, Rolf Au vu de cette image exceptionnelle, il semblerait que les différents traitements d'images permettent d'atteindre le pouvoir séparateur de son instrument, supposé optiquement parfait, bien sûr; autrement dit, on arriverait, grâce à l'arsenal informatique, à s'affranchir de la turbulence au sol, et ce, sans optique adaptative. tout celà avec une simple webcam.... Vive la ccd, en astronomie, bien sûr ;-)Amicalement, Alain

Excellente image! Le 600mm pourra-t-il beaucoup mieux faire...