gratacos

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  1. S'il te plait, expliques moi E=mc2

    E = mc² découle directement de la contente h de Planck qui est, elle-même du au hasard. Lorsqu’en 1900 Planck, qui est passionné par l’expérimentation et qui de plus est un très habile expérimentateur découvre que la valeur de l’énergie n’est pas linéaire mai qu’elle progresse par paliers, a été -certainement- la plus grande découverte (hélas passée inaperçue) qui est jamais eu lieu dans le domaine des sciences de la physiques. À cette même époque, Poincaré et Einstein « bataillent » dur autour de la signification à donner à l’échec, subit 13 ans aux paravents par Morley et Michelson. Ils s’accaparent alors de la découverte de Planck, et l’intègrent « naturellement » à la théorie de la relativité restreinte qu’ils menaient avec acharnement chacun de leur côté. Un siècle plus tôt, Émilie du Châtelet libre-penseuse, s’inspirent des recherches de Leibniz démontre l'unité entre énergie, masse et matière. Les deux derniers grands génies ne pouvaient ignorer les travaux Émilie du Châtelet, d’ailieur Einstein publia (je sais plus à quelle occasion ?) pour la première fois, celle qui deviendra la plus célèbre des équation, sous la forme : m = E / c² . Nul besoin d’imaginer que dans les brouillons des deux grands savants ont figurer, un jour de fin ou début de siècle, une équation da la forme : (m = h / c²) = (6, 626^- 34 / 90^16 = 7, 362^-51 kg.) comme cette « chose » ne pouvait être « cataloguée » dans rien de connu, on fit comme si on n’avait rien vu et l’on se satisfit en gardant l’équation E = mc². C’est toute l’ambiguïté de la science de la physique contemporaine qui se trouve ainsi engluée. Comment répondre à la question, thème de ce fil, si on ignore volontairement le principal vecteur ? La valeur de l’énergie de h est donnée en Joule / sec. Il s’agit donc d’une force. Et s’il y a force ; il y a une longueur, il y a une masse, il y a une durée. Cette masse associée au temps est, tout le démontre, un médiateur de transfert entre deux substances qui composent l’Univers. Celui, infinitésimal accessibles qu’au travers de ses effets, et l’autre dont nous sommes fait. Les forces gravitationnelles, magnétiques, inertielles et rayonnantes sous forme symétrique et réversible révélées par r² et 1/r² sont les forces d’attractions et d’expansions qui régulent la globalité de l’Univers. Dans ce concept, le temps et l’énergie prennent toute la mesure des fonctions physiques qui se trouvent situées partout, et à l’intérieur même de la matière, à la limite voire en deçà de l’Univers observable. Mais là ! La subtilité s’impose. Aucune avancée significative de la science de la physique ne peut avoir lieu sans une substantielle prise de conscience du réel, la masse de 7,371684e-51 Kg en fait parti. F.Gratacos
  2. RELATIVITÉ ! MYTHE OÙ RÉALITÉ ?

    Ta question : « Dans quel cas la célérité de la lumière s’additionne ou se retranche d’une vitesse initiale ? Si tu peux reprendre le cas de la voiture ce serait plus simple. » Bonjour jeanlgHier (08 01 06) je n’ai pas clairement répondu à ta question.D’un point de vue mathématique, additionner ou soustraire la vitesse de l’émetteur, (phares de la voiture) de la célérité de la lumière est tout à fait possible. Cela bien évidemment est en totale contradiction avec la théorie de la relativité qui est fondée sur l’ « invariance de la vitesse de la lumière». Toutefois les durées du déplacement de l’émetteur et celles de la progression de la célérité étant identiques, toute augmentation de la vitesse se traduira par une diminution de la « dimension » de la célérité. C’est pourquoi, une voiture qui se déplacerait à la vitesse de la lumière ne peut pas transmettre, faute de temps, de la lumière.La physique des ondes est un phénomène à la fois très simple, mais aussi l’un des plus mal connu. Les difficultés que nous avons à les comprendre, proviennent d’un schéma d’actions inhabituelles, et sans réelles comparaisons avec les phénomènes de notre environnement habituel. Une fois ce principe vérifiés acquits et compris, les phénomènes rayonnants prennent leurs véritables sens physiques qui pourraient à thermes révolutionner toute la physique. Cordialement, F. Gratacos
  3. RELATIVITÉ ! MYTHE OÙ RÉALITÉ ?

    « Référentiel : un point d’observation hors de la voiture La voiture a une vitesse de 300 00 KM/sec et un objet est « éjecté » à 300 000 km/sec mais avec une vitesse initiale de 300 000 km/sec. Normalement, selon tes propos, l’observateur enregistrera la lumière avec une vitesse de 600 000 km/sec ! » Bonjour jeanlg, Non, je pense qu’il y a confusion. Une vitesse de 600 000 Km /s est, dans l’état actuel de nos connaissances, impossible à atteindre. Dés qu’on aborde la question de vitesse et de célérité, on oublie l’essentiel. Vitesse et célérité sont deux aspects totalement différents d’un phénomène qui nous parait identique. Cependant, l’un transporte l’objet l’autre diffuse l’énergie.La vitesse obéit aux lois de l’inertie, la célérité à celle de l’élasticité. Dans notre cas la voiture (et donc l’émetteur de lumière) se déplace sur un axe X X’ à la vitesse, soumise aux lois de l’inertie, de 300 000 Km/s. Le même milieu, avec ses propres lois de l’élasticité, diffuse la lumière avec une célérité omnidirectionnelle de 300 000 Km/s. On voit donc que pour débattre du sujet il faut élargir la discussion au-delà de ces quelques questions, pertinentes certes, mais ou toutes les réponses seront forcément partielles donc tronquées. Si nous restons dans le superflu, nous pouvons dire tout et son contraire (c’est à quoi on assiste depuis cinquante ans, les débats s’éternisent les questions restent sans réponses, pour la simple raison qu’un paradoxe n’a pas d’explication. Alors on y croit et l’on fait appel au verset v² de Saint Lorenz. Ou l’on s’interroge et alors on y réfléchit.Vitesse et célérité entrent dans un système, pas plus compliqué qu’un autre, et qu’il suffit de faire appel à la raison et aux bons sens pour étudier est essayé de comprendre le réel sans implorer les chimères. Première remarque : l’une (la voiture) est (à chaque instant) sur un point unique (qui est aussi celui de l’émetteur de lumière). Ce point varie dans l’espace et le temps de façon proportionnelle à la vitesse et direction de la voiture. L’émetteur se trouve donc en permanence sur un point et au même instant que la voiture. L’émetteur obéit donc aux seules lois de l’inertie, et l’onde qu’il génère, à celles de la progression d’une énergie dans un milieu élastique, et où chacun des points de cet espace, aura une valeur propre est unique de la transmission lumineuse. Comme un homme averti en vaut deux, et pour te protéger des maléfices de ceux qui on l’audace de penser, je te rappelle la misse en garde que t’a, si gentiment adressé notre ami Bruno Salque.Attention, Gratacos semble nier la théorie de la Relativité Restreinte, donc ses réponses vont t'embrouiller !Cordialement, F.G
  4. RELATIVITÉ ! MYTHE OÙ RÉALITÉ ?

    Question de jeanlg : « Si une voiture atteint la célérité de la Lumière (300 000 km/sec). Si le conducteur allume ses phares, que se passe t-il » La même chose que lorsqu’un avion atteint le mur du son. Celui-ci (son) étant limité par la célérité du milieu qui le propage, lorsque la valeur de vitesse de l’engin qui le produit atteint la valeur de la célérité qui le propage alors la vitesse de l’avion est égale à (v = d/t) et à la célérité (c = d/t). Comme les deux évènements ont le même point espace et de temps, d/t et c/t, alors v = c. Cela n’est bien évidemment valable que pour le son avant. À l’arrière (à condition de rester dans l’axe du mouvement de l’avion), la fréquence sera diminuée de moitié, et s’éloignera de l’avion d’une valeur égale à celle de la vitesse de l’avion plus la valeur de la célérité de l’onde. Donc, pour le pilote de lavions l’onde s’éloigne à (v + c ) mais pour un spectateur au sol, l’onde lui parvient et s’éloigne à la valeur de la célérité du milieu soit 330 m/s. On voit que contrairement aux affirmations qui sont à la base et le saint des saints de la relativité, vitesse et célérité s’ajoutent et/ou se retranchent. Donc pour répondre à ta question, le « chauffeur » qui allumerait ses phares alors qu’il a atteint la vitesse de la célérité, soit (300 000 km/s il observerait une « boule » lumineuse ne pouvant dépasser les phares de la voiture. Toute fois, si le conducteur observe bien, il verra un « cône » lumineux s’étendre ver l’arrière. Faut comprendre que la lumière c’est d’abord et avant tout de l’énergie. Celle-ci ne peut donc pas s’accumuler indéfiniment, alors elle « s’écoule » (c’est le cône). Vue en plant, la vague en forme de V que laissent les navires sur leurs sillages est la parfaite représentation du phénomène. Nous en resterons là. Au-delà, il convient de faire intervenir les vitesses latérales prise perpendiculairement au volume et cela dépasse le cadre de ta question. Cordialement, F.G
  5. RELATIVITÉ ! MYTHE OÙ RÉALITÉ ?

    dg2 écris: "Ces choses là ont été mesurées en 1887 par Michelson et Morley. À l'aide d'un interféromètre, ils ont mesuré la vitesse de la lumière en faisant varier la vitesse de la source par rapport à celle de l'instrument de mesure. Le résultat qu'ils ont obtenu est que la vitesse ne dépend pas du mouvement de la source par rapport à l'instrument de mesure. En d'autres termes, si un gars dans un train envoie un signal lumineux à quelqu'un sur le quai, celui-ci verra le signal arriver à la même vitesse que celui qui l'envoie ne le verra (en supposant que le tout se passe dans le vide, opur simplifier). Ces choses là ont été mesurées dans de très nombreuses configurations et toujours donné le même résultat depuis l'expérience historique de 1887." Je suis navré de devoir dire que ce qui est écrit ci-dessus est un patchwork inextricable, cela n’a aucun sens de mélanger tout et n’importe quoi. Michelson et Morley cherchaient à détecter «un vent d’éther». L’expérience n’ayant pas abouti, Lorenz établit, pour expliquer les raisons de cet échec, l’équation qui aujourd’hui porte son nom sous le terme de « transformation de Lorenz ». Cette formule fut alors « récupérée » par Poincaré qui en fit la base de la relativité, elle-même « récupérée » par Einstein qui prit de vitesse ce dernier et présenta sa théorie en 1905. Celle-ci fut reçue par les savants de l’époque dans une quasi totale indifférence. Les incohérences dont elle souffre toujours n’étaient pas acceptées. Ce n’est qu’à partir des années 60 que celle-ci s’est petit à petit imposée, non pas comme une évidence, mais simplement parce que les jeunes scientifiques se « croyaient » incapables de comprendre la nouvelle physique. Quand on ne comprend pas, croire est la solution. F.G
  6. RELATIVITÉ ! MYTHE OÙ RÉALITÉ ?

    Salut, edubois3 : citation « Pour moi, béotien, d = c*T et non pas d = c/T. » C’est incontestablement plus élégant. Toutefois, comme T = 1 le résulta reste le même. Disons,que je le pense. dg2 : citation « euh, là je lis attentivement. Le cosinus de 90 degrés, c'est 0, pas 1. C'est le sinus qui vaut 1. » ----- C’est tellement évidant que tout le monde aura corrigé ! ----- « Sinon, pour le reste, il faut que vous compreniez que votre raisonnement, bien que juste, n'est pas le bon. Vous faites l'hypothèse qu'il existe un temps absolu qui ne dépend pas de la trajectoire de celui qui le mesure. C'est le cas en physique newtonienne, mais pas en relativité. Autrement dit, on peut toujours définir deux systèmes de coordonnées, l'un attaché à la Terre, l'autre au vaisseau qui se déplace. En supposant l'axe des x aligné avec la vitesse du vaisseau, ce que vous dites revient à dire que les coordonnées (x', y', z',t') …» Ces phrases est raisonnements ont été, à l’instar d’une « leçon » de catéchisme, répétées des millions de fois. Elles s’ont, comme ses dernières, imprégnées dans nos subconscients nous transforment de la sorte en prédicateurs prêchant « la vérité ». Non, la science ne saurait ce transformer en une sorte de bouffonneries. Aussi, lorsque on ajoute aux trois vecteurs d’espace x, y, z un quatrième vecteur temps, je cite :"qui n’est pas absolu mais dépendant du mouvement de l’observateur…" cela ne veut strictement rien dire parce que on ne sait même pas ce que c’est le temps, ce n’est certes pas le tic…tac d’un réveil qui peut nous en dire plus. De plus on évoque à tord et à travers la vitesse de la lumière alors que celle-ci n’existe même pas ! Il y a une succession d’un événement qui ce propage de proche en prochepar chocs élastiques successifs . Ce n’est donc pas une vitesse mais une célérité qui est le mouvement d’un transfert de chocs. C’est d’ailieur parfaitement vérifiable, la célérité de l’onde ne joue aucun rôle sur les caractéristiques physiques de celle-ci. La seule grandeur qui agit sur une onde c’est le temps, la durée de évènement qui la crée. (Le temps est ici mentionné en tant qu’unité physique)vega28 : citation « Ainsi, concernant cette vitesse, » de la lumière « des groupes de recherche à Florence, Cologne ou Berkeley, l'étudient actuellement pour constater que, sous certaines conditions, un quantum peut atteindre une vitesse supraluminique par "effet tunnel » Oui mais que signifient réellement « un quantum » ? AstroMateur : Citation – « Gratacos fait une confusion qui vient du fait qu'il applique la "mécanique classique" qui elle même porte sur la "combinaison des vitesses", et qui est valable aux faibles vitesses, au lieu de la "mécanique relativiste" dont les effets sont mesurables aux grandes vitesses proches de "c". »Une erreur peut être, une confusion non. Pouvez vous préciser où et comment de pareilles prouesses ont étaient effectuées et mesurées ?Cordialement, F.G
  7. RELATIVITÉ ! MYTHE OÙ RÉALITÉ ?

    Bonjour,Je me dois de vous donner les résultats demandés au début de ce fil : a) À l’instant (To), l’engin est situé à une (distance / temps) (tx) égale à : d = c /T = c = 3e8 mètres. Avec : d=distance ; c = célérité ; T = unité de temps (SI)b) L’engin se déplace à la vitesse de 1/10 de c. L’émetteur, « raccourcit » donc la duré d’émission de 1/10 de seconde. Celle-ci est donc captée sur un délai 0,9 secondes. c) le compteur indiquera la valeur de la fréquence produite (fo) soit 30 Mhz, et le fréquencemètre la fréquence émise (fx) soit = 33 Mhz.Toutefois les conditions physiques du système ayant, entre les deux enregistrements changés, pour la deuxième série de questions il faut tenir compte des effets d’angle. (Comme chacun sait, le cosinus d’un l’angle à 90° est égal à 1). Ce problème ultra simple, n’a cependant pas été résolut. Est-ce dû à un manque de réflexion ? On pourrait le penser. Il y a un test qui semblerait aller dans ce sens. En effet il y a, une erreur volontairement incluse, qui fait parcourir les 300 000 km (situation de l’appareil à T0) en 3,003 secondes à un engin qui ce déplace à la vitesse de 30 000 km/s. à T0 + 3,003 la distance parcourue par l’engin était donc de 90 000 km. Pour atteindre la verticale du labo, l’engin avait une distance à parcourir de 210 000 km, ou un durée de 21 / 3 soit 7 secondes. Et les 0'003 secondes direz ? C’est la duré que mettra le signal pour parcourir les 1000 km d’altitude à laquelle se trouve l’engin. F.G
  8. RELATIVITÉ ! MYTHE OÙ RÉALITÉ ?

    Salut,Le système GPS est comme tant d’autres choses l’un des phantasmes des ignorants. Il échauffe les esprits défaillants et chacun de ceux-là y « met » ce qu’il veut y trouver. Les gens responsables essaient en premier de se documenter.Cela pour dire que ceux qui cherchent à étaler leur confiture sont incapables de répondre aux questions essentielles. Les sources d’erreurs du système GPS sont connues et parmi celles-ci ne figure aucun des effets prédits par la relativité (restreinte ou générale) alors qu’ on la trouve largement diffusée par ses adeptes et gourous. Aujourd’hui, la « perturbation » principale est due principalement à l’instabilité de l'ionosphère qui peut causer des erreurs de temps de 9 ns au maximum, c'est-à-dire un écart de 3 mètres en distance. La position du satellite peut varier d’un maximum de 1,5 mètres, variation principalement due aux irrégularités des équipotentielle gravitationnelles de la planète. Sont également prises en compte les erreurs d’horloges, synchro et stabilité, ainsi que la précision de la résolution des équations.Il semble me souvenir que galileo devrait être équipé d’un système permettant de vérifier la théorie de la relativité. Il est fort probable que depuis aujourd’hui le système soit avec Giove A déjà sur son orbite de mesures définitive. Celui-ci va, « grâce à son horloge atomique la plus exacte jamais envoyée dans l'espace » nous en dire un peut plus. À moins qu’il faille attendre le lancement de Giove B ? Pour en savoir plus sur la technologie actuelle des systèmes GPS voir : http://ricky.ifrance.com/gps.htm (ce site est digne de confiance)On remarque donc (une fois de plus) que lors des utilisations réelles, seul est pris en compte le rationnel. L’irrationnel étant réservé (clin d’oeil) aux possesseurs d’un bout de papier « justificateur » de la supériorité des prophètes. Mieux vaut celui qui ne sait rien mais comprend tout, que celui qui sait tout mais ne comprendra jamais rien. Cordialement,F.Gratacos[Ce message a été modifié par gratacos (Édité le 28-12-2005).]
  9. RELATIVITÉ ! MYTHE OÙ RÉALITÉ ?

    Bon noël à toutes (s’il y en a) et à tous. Contrairement à ce que prétendent certains, mon objectif n’est pas de polémiquer mais d‘aborder un débat. Je constate que ce n’est plus possible. La science a crée des automates prés « conditionnés » Je n’ait plus le temps, ni le courage peut-être même l‘envie, de dialoguer pour toujours en revenir aux même thèmes totalement faux et archi faux mais qui vous a été savamment inculqués. Pour preuve de ce que je dis l’intervention de bast (cf voir un peut plus haut) qui est resté de votre part sans réponse. Cela ne vous choquant pas, je conclu que vous cautionnés des méthodes d’enseignent mensongères, où pire encore que vous le croyez. Ceci démontre et confirment le rôle de zombi que l’on inculque aux physiciens profs ou futurs profs de la discipline en question. Aussi edubois3, lorsque quelqu’un à l’amabilité de vous répondre malgré la gène que vous lui crée, vous vous permettez de dénaturer et falsifier ses propos cela s’appelle de la goujaterie frauduleuse. Pour les autres lecteurs, sachez donc que la manipulation de l’équation et « correction » du texte - c'est-à-dire « misse » aux normes d’une pesée biblique - par l’anonyme Maître edubois3, est « dimensionnellement » parlant, totalement ( comme tout lecteur peut le vérifier) dépourvue de sens dans nos dimensions rationnelles. (cf ci-dessous)Équation « dimensionnellement correcte » mais réellement farfelue de sieur edubois3 : f(v) = fo . c / (c ± v)S’il vous reste un minimum de dignité, ayez SVP la correction de démontrer ici même vos affirmations (ci-dessous). Sauf à fournir d’autres mensonges tout aussi délirants, vous aurez du mal à démontrer vos mensonges. Citation edubois3 … « Sauf que cette formule n'a rien de révolutionnaire, vu que c'est celle qui explique l'effet Doppler Fizeau, et qui est connue depuis fort longtemps ». Navré pour les gens sérieux qui cherchent réellement de débattre de sujets qui nous tiennent à cœur. Vous êtes les plus nombreux. Même si je n’ai pas directement répondu à vos interventions sachez que je les ai appréciées. On remarque encore une fois hélas qu’il y a toujours, caché derrière la porte et le rempart de l’anonymat des frimeurs sans envergures prés à foutre la merde... Gratacos Fernand Service Long Séjour (l’un des mouroirs de la République) Route de Saint-Plancard 31800 Saint-Gaudens [Ce message a été modifié par gratacos (Édité le 24-12-2005).]
  10. RELATIVITÉ ! MYTHE OÙ RÉALITÉ ?

    edubois3Juste avant d’aller au lit : Fréquence :Fx = )Où : fo est la . Je pense vous en avoir dit suffisamment. Bonne nuit est bon noëlGratacos [Ce message a été modifié par gratacos (Édité le 24-12-2005).]
  11. RELATIVITÉ ! MYTHE OÙ RÉALITÉ ?

    Salut, J’ai du mal à comprendre comment un scientifique peut se noyer dans verre d’eau. Parce qu’enfin une coquille dans un bouquin, et patatras on est perdu ! Cette formule est ultra simple, elle démontre tout simplement que l’effet Doppler Fizeau est du, ce que tout amateur de physique sait, aux écart de vitesse entre émetteur et récepteur, que la vitesse radiale varie en fonction de l’angle d’où le cos qui vous intrigue, que les forum n’acceptent pas les lettre grecque (j), de plus étant dans un état identique à celui de Hawking j’utilise des raccourcis parfois trop hasardeux. Il n’en demeure pas moins, que m’on équation démontre sans équivoque que dans la physique des phénomènes rayonnant la/les vitesses s’ajoutent ou retranchent de celle de la célérité et que donc la seule chose qu’il y a (pour le moment) à prendre en compte c’est cela. Car n’oublions tout de même pas, que l’origine de la relativité restreigne est due à l’impossibilité qu’il y avait, pensait Einstein, à ajouter la vitesse à la célér Alors (très vite ! fatigue) l’équation fx = k / f0 est partiellement incorrecte. En effet, si k = (c ±v) alors, l’équation ne définie pas la fréquence fx mais la l’ongeur de son onde Si vous le souhaitez, nous pourrons reprendre un tout petit peu demainCordialités, F.G Si vous le souhaitez, nous pourrons reprendre un tout petit peu demainCordialités, F.G [Ce message a été modifié par gratacos (Édité le 23-12-2005).]
  12. RELATIVITÉ ! MYTHE OÙ RÉALITÉ ?

    Salut,Oui en effet j’ai essayé de dialoguer sur un autre forum « Futura Science » duquel j’ai été comme n’ombre d’autre interdit d’expressions. Futura Science, comme jadis l’inquisition, ne tolère pas d’avoir affaire sur son forum à des personnes qui pensent est réfléchissent, ils sont eux et eux seuls les détenteurs de la vérité. Aussi le jour où j’ai tenté de leur faire comprendre que la fréquence était composée d’un certain nombre de hertz par sconde j’ai été insulté et à tout jamais privé du droit d’expression. Si c’est ça votre référence…Pour revenir à la formule que j’ai eu l’honneur de vous présenter, il y a deux possibilité : ou bien elle donne des résultats corrects ou bien ils sont faux. Donc, vous qui détenez le savoir, démontrez que d’ajouter ou bien soustraire la vitesse de l’émetteur ou récepteur de celle de la célérité de la fréquence donne des résultats faux, et vous serez crédible et me rendrez service, ou alors vous fanfaronnez pour caché une médiocrité.Gratacos,PS Pour tester la formule, ne tenez pas compte de « cos »
  13. RELATIVITÉ ! MYTHE OÙ RÉALITÉ ?

    Bonjour,Tout d’abord, il faut comprendre que je vous présente une équation qui représente vis ç vis la physique un véritable raz de maré. Vous comprendrez donc pour quoi celle-ci est volontairement tronquée. Cependant, les « paramètres » donnés permettent à chacun de nous d’en vérifier l’exactitude. fx = fo / (c ± v cos ) /c Ce n’est pas une théorie que je vous présente ici mais l’un des outils qui la compose. Cet outil (comme dit plus haut) vous permet d’en vérifier la justesse. Telle qu’elle est présentée ici, c’est l’outil version de base dépourvue de ces accessoires. Où : fx est la fréquence résultant de la modification de la fréquence fo d’origine, par la vitesse v (du mouvement) additionnée ou soustraite de la célérité c. CordialementGratacos Fernand [Ce message a été modifié par gratacos (Édité le 27-12-2005).]
  14. RELATIVITÉ ! MYTHE OÙ RÉALITÉ ?

    Mais salutations Monsieur le Professeur Tournesol,Je vous remercie pour la réponse et les informations que vous avez eu l’amabilité de me transmettre. Toutefois, mon propos n’est pas d’obtenir des renseignements sur une physique faite de paradoxes, mais plus simplement de vous informer de ce qu’une nouvelle physique est née et clôture ainsi 2005 - année internationale de la physique - dédiée à Albert Einstein à qui je rend un profond hommage. Gratacos Fernand
  15. RELATIVITÉ ! MYTHE OÙ RÉALITÉ ?

    Salut, Citatation de dg2 Question b) Effet Doppler classique : le temps entre deux bips est dimin facteur 1 - beta = 1 - v/c (l'intervalle entre deux bips est plus court) et augmenté d'un facteur gamma = 1/sqrt(1-v^2/c^2), c'est l'effet de dilatation des durées. Dans l'effet Doppler radial c'est le terme classique qui domine, le temps de réception est donc de 1 seconde multipliée par gamma*(1-beta) = sqrt((1-beta)/(1+beta)) < 1. Vous écrivez ci-dessus :« le temps est diminué d’un facteur 1 - beta = 1 - v/c » (effet Doppler) « et augmenté d'un facteur gamma = 1/sqrt(1-v^2/c^2).» (dilatation des durées)Qu’est ce donc que le temps simultanément diminué par Pierre et dilater par Jean ? Ce seul exemple démontre qu’il y a un truc qui cloche. La physique des rayonnent n’est pas un phénomène ésotérique ou aussi complexe que nous le fait croire les incohérences la théorie de la relative. Celle-ci est de toute évidence non seulement déraisonnable mais fausse. Le postula qui est à son origine suivant le quel une vitesse ne peut-être additionner ou soustrait de la célérité est inexacte. En effet, la formule que je joins ci-dessous est sans équivoques.fx = fo / (c ± v cos) /cformule et théorème sont protégés. Toutefois la formule ci-dessus, à condition de citer le nom de son auteur, pourra être diffusée et utilisée. Cordialement, Gratacos [Ce message a été modifié par gratacos (Édité le 27-12-2005).]