JPMasviel

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Messages posté(e)s par JPMasviel


  1. Pour rentabiliser son Starlink, Musk ne vise pas simplement le marché des internautes qui s'envoient des photos de chats. Il a beau raconter des sornettes avec ses projets martiens, il ne faut pas le prendre pour un débile.

     

    Musk a vu une chose : la batterie lithium-ion a révolutionné les communications et l'informatique en équipant les smartphones et les PC portables. Elle est en train de chambouler en profondeur les transports avec un passage rapide aux véhicules électriques (Tesla et ses suiveurs).

    Bientôt, elle sera dans les bâtiments.

     

    La façon de produire de l'énergie est en train de changer radicalement. Les renouvelables (solaire et éolien) sont maintenant en concurrence directe avec les autres types de production d'énergie. Les installations se font sur appels d'offres sans aides ou subventions (sauf en Europe). La batterie sera, avec d'autres technologies, la solution au stockage indispensable pour pouvoir utiliser les renouvelables intermittents.

     

    L'électrification des transports et des bâtiments, jointe à la montée inexorable des renouvelables, va révolutionner les modes de gestion des réseaux électriques partout dans le monde.

     

    Tous ces dispositifs consommateurs et producteurs d'électricité devront être gérés et régulés en temps réel via l'internet des objets, et c'est principalement à ça que servira notamment le Starlink de Musk, dont la version actuelle n'est sans doute qu'un brouillon.

     

    Bref, pas sous estimer le Musk, sinon c'est lui, les GAFA et quelques boîtes chinoises, qui contrôleront l'énergie dont nous, Européens, aurons besoin au quotidien.

     

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  2. En parlant de coïncidences étranges, il y a aussi le cas de quatre chutes observées chacune à 50 ans d'intervalle dans un rayon d'une centaine de kilomètres autour de Toulouse : Agen (le 5 septembre 1814), Orgueil (le 14 mai 1864), Saint-Sauveur (le 10 juillet 1914), et enfin Granès (le 13 novembre 1964). Cette série très improbable s'est arrêtée là puisque rien de ce type n'arriva en 2014.

     

    La revue Le Règne Minéral y avait justement consacré en 2014 son cahier 4 spécial météorites :

    https://www.minerauxetfossiles.com/produit/cahier-4-les-meteorites-dhier-science-de-demain/

     

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  3. Jon Larsen a fait de belles trouvailles sur les toitures d'entrepôts industriels:

    https://www.sciencefriday.com/articles/up-on-the-roof-a-handful-of-urban-stardust/

    Ca a donné lieu à une publication scientifique:

    https://pubs.geoscienceworld.org/gsa/geology/article/45/2/119/195213/an-urban-collection-of-modern-day-large

     

    Larsen a photographié ses micrométéorites pour un livre qui doit sortir en primeur à l'occasion de la bourse des météorites d'Ensisheim en juin, en espérant qu'elle aura bien lieu:

    https://english.geotop.no/storefront.php?pid=3117

    micrometeorites-forsiden-1--kopi.jpg.a563062df87c1c8d0f52102090d74ac6.jpg

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  4. Salut Steph et Dominique,

     

    J'ai acheté la monture et le trépied d'occasion en mai 2014, après révision chez Ovision .

    Franck Valbousquet m'avait alors indiqué que la date de fabrication était 2011.

    Pour la mise en station, je n'ai pas le viseur Rapas. J'utilise la procédure 1 étoile + Polaire, et ça me suffit.

    Après, autoguidage avec PHD2.

     

    Jean-Pierre


  5. Le Club d’Astronomie de Lyon Ampère organise depuis 1989 un cycle annuel de 6 conférences à destination du grand public en partenariat avec le Musée des Confluences.

     

    Mardi 17 mars 2020 – 19h00
    "2020, en route vers Mars !"
    par Cathy Quantin-Nataf

     

    Professeur au Laboratoire de Géologie de Lyon : Terre, Planètes, Environnement,
    Université Claude Bernard Lyon1

     

    "L’exploration de Mars passe cette année une étape cruciale. Deux missions de robots explorateurs, bijoux de technologie, sont prévues: l’une européano-russe, Exomars et l’autre Américaine, Mars2020. Ces deux missions ont pour objectifs de chercher des traces de vie sur Mars. Pourquoi cherche-t-on des traces de vie sur Mars ? Où ces robots vont-ils atterrir et que vont-ils faire ? Comment l’étude de la planète Mars contribue à comprendre nos origines ?"

     

    Lieu:  Musée des Confluences, grand auditorium

    Accès

        Arrêt musée des Confluences sur le tramway T1 ou les lignes de bus— C7, C10, 15, 63, 88

        Depuis la gare Part-Dieu : Métro B arrêt Debourg puis tram T1, depuis la gare de Perrache : Tram T1

        Parking vélo et station Velov disponibles sur le parvis

    Entrée gratuite et libre dans la limite des places disponibles...

    Plus d'info: https://cala.asso.fr/conferences-2019-2020/ et https://www.facebook.com/ClubAstroLyonAmpere/

     


  6. La quatrième conférence du cycle 2019/2020 aura lieu le Mardi 18 février 2020 – 19h00
    "Des optiques extraordinaires au cœur de la révolution des ondes gravitationnelles"
    par Jérôme Degallaix

    Chercheur à l’Institut de Physique des 2 Infinis de Lyon

     

    "La première détection directe d’ondes gravitationnelles venant de la fusion de deux trous noirs en 2015 a ouvert une nouvelle fenêtre pour étudier les événements les plus violents de l’univers. Totalement complémentaire du spectre électromagnétique, ces vibrations de l’espace temps nous apportent des informations inédites sur l’évolution des objets les plus compacts que la nature ai engendrée.
    Cette découverte est le fruit de 50 ans de recherche expérimentale pour aboutir à des détecteurs géants, des interféromètres optiques de plusieurs kilomètre de long. Au cœur de ses instruments, nous retrouvons les miroirs les plus précis au monde dont le traitement et la caractérisation a été faits à Lyon sur le campus universitaire de la Doua.
    Cet exposé retracera les dernières découvertes des ondes gravitationnelles et l’infrastructure unique qui a été développé à Lyon pour répondre aux besoins des grandes optiques en astronomie."

    Lieu:  Musée des Confluences, grand auditorium

    Accès

        Arrêt musée des Confluences sur le tramway T1 ou les lignes de bus— C7, C10, 15, 63, 88

        Depuis la gare Part-Dieu : Métro B arrêt Debourg puis tram T1, depuis la gare de Perrache : Tram T1

        Parking vélo et station Velov disponibles sur le parvis

    Entrée gratuite et libre dans la limite des places disponibles...


  7. Aujourd'hui à 16h, dans La Méthode scientifique, sur France Culture:

    https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/la-methode-scientifique-emission-du-mardi-04-fevrier-2020

     

    Starlink : tout ce qui brille

    Qu’ambitionne de faire Elon Musk avec son nouveau réseau satellitaire Starlink ? Où en est-il concrètement ? Que doit-on attendre pour l’année 2020 ? Quelles sont les craintes des professionnels de l’astronomie ? Les observations du ciel depuis le sol terrestre sont-elles amenées à disparaître ?

    Intervenants:

    -Xavier Pasco

    Directeur de la Fondation pour la recherche stratégique et spécialiste de l’espace

    -Fabrice Mottez

    Astrophysicien au Laboratoire Univers et Théories (LUTH) de l'Observatoire de Paris-Meudon (CNRS)

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  8. Apparemment, ça commence aussi à polluer les observations des échos radar des observateurs de météores qui utilisent en Europe le radar français GRAVE. Ces observations sont complémentaires de celles réalisées par les réseaux de caméras (comme FRIPON) et permettent d'étudier les essaims météoritiques ainsi que de détecter de possibles chutes de météorites pouvant être retrouvées au sol:

    https://www.spaceweather.com/

    starlinkRadar.jpg.f8fd732c777e1f01165572d9f651e63e.jpg

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  9. Arnaud,

    J'ai un spectro ALPY, mais pas le module d'étalonnage.

    Effectivement, le module d'étalonnage doit avoir une ampoule argon-neon pour pouvoir faire la calibration ausi dans le bleu.

    Mais on peut très bien  faire la calibration en longueurs d'onde en faisant l'acquisition d'un spectre d'une étoile de type A, sans le module.

    Il faut un bon rapport signal/bruit, mais sans saturer le spectre bien sûr.

    Tout est expliqué sur le site de Ch. Buil:

    http://www.astrosurf.com/buil/isis/guide_alpy/tuto.htm

    Il faut aller directement au paragraphe 3 (3. Je ne possède pas le module d'étalonnage Alpy 600 !)

    Après, on peut quand même utiliser Demetra en rentrant manuellement les éléments du polynome de calibration.

    calib-demetra.png.81f18c0848ba6be880dee5a5f7dde35a.png

    L'ampoule neon seul pourra permettre de rentrer les éléments de géométrie.

     

    Jean-Pierre

     

     

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  10. Daniel, en cherchant des idées pour les conférences du CALA, j'étais tombé sur cette conférence donnée cet été à l'observatoire de Mars. Je ne connais pas le conférencier, mais si tu conseilles la conférence, je pense qu'on va passer un bon moment demain soir.

     

    J'espère qu'elle sera bien retransmise en direct:

    https://fr-fr.facebook.com/pg/museedesconfluences/videos/?ref=page_internal

     


  11. Le CALA (Club d'Astronomie de Lyon Ampère) organise une conférence le mardi 21 janvier 2020 à 19H au Musée des Confluences à Lyon (pour les non-lyonnais, la conférence sera retransmise en direct sur le Facebook du Musée des Confluences):

     

    Télescopes et interféromètres : nouveaux yeux, nouveaux mondes

    par Guillaume Bourdarot, doctorant à l’Institut de Planétologie et d’Astrophysique de Grenoble

     

    De la lunette de Galilée à l’interferomètre du Very Large Telescope (VLT), les astronomes n’ont cessé de perfectionner leurs instruments afin d’observer les plus fins détails du ciel. Trous noirs, systèmes solaires en formation et exoplanètes sont ainsi autant d’objets astrophysiques dont il devient possible de faire “une image”. Mais au juste, de quoi parle-t-on lorsqu’on fait une “image”, et en quoi consistent ces nouveaux moyens d’observation ? Nous verrons ensemble comment les progrès impressionnants de ces dernières décennies permettent de repousser toujours plus loin les limites de résolution dans les observations astronomiques, et les perspectives fascinantes qu’elles ouvrent.

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  12. Dernières nouvelles du satellite CHEOPS, dont le lancement est prévu mardi prochain:

    Le télescope spatial CHEOPS devrait s'envoler vers l'espace à bord d'une fusée Soyouz depuis le port spatial de Kourou, en Guyane française, le mardi 17 décembre. CHEOPS est un projet de l'Agence Spatiale Européenne (ESA) et de la Suisse placé sous la houlette de l'Université de Berne, en collaboration avec l'Université de Genève.

    https://www.techno-science.net/actualite/lancement-prevu-satellite-cheops-17-decembre-N19083.html

     

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