obsbp

Membre
  • Compteur de contenus

    28
  • Inscription

  • Dernière visite

    jamais
  • Last Connexion

    Soon available - 47690

Réputation sur la communauté

0 Neutre

À propos de obsbp

  • Rang
    Membre peu actif
  1. Bonjour,Une mise à jour est disponible (0.9.2) avec quelques corrections sur les commandes des 'rotateurs'.Certains passages du code pour le réseau ont évolué. Il y a désormais moins d'attente dans les déconnexions et les arrêts brutaux, le débit a été amélioré aussi. Les derniers tests sur les transferts d'images ont donné une bande passante à 8Mo/s dans les meilleurs cas (testé avec MaximDL principalement) sur un réseau local relativement étendu (ethernet 100Mbps sur une trentaine de mètres, avec une passerelle intermédiaire).Toujours disponible sur http://research.lightbuckets.com/eros/?lang=FR Merci pour les retours qui nous ont été faits. Bien cordialement, Guillaume pour l'équipe de l'Observatoire des Baronnies Provençales.[Ce message a été modifié par obsbp (Édité le 13-11-2013).]
  2. @dédéPour Indi, des informations sont dispo ici (jINDI étant la partie en langage JAVA) : http://www.indilib.org/ On s'y intéresse fortement, il y a beaucoup d'idées derrière indi mais ce n'est pas encore mature (à mon avis). Nous avons des tests à mener de ce côté là et c'est, entre autre, à intégrer dans la version Linux d'Eros.En fait, Eros se borne plus à être un protocol réseau qu'un ensemble de spécifications matérielle et logicielle (un peu comme l'est le HTTP pour le web). Les outils Eros Lite sont une mise en application de ce protocol. A ce titre les buts d'Indi ne sont pas les mêmes qu'Eros (le protocol).Pour le guidage.C'est en effet sensible et dépend des contraintes 'imposées'. Ca va être difficile de m'étendre à ce sujet car je n'ai pas pu encore faire tous les tests que je voulais (météo exécrable et de nombreux tests très différents à mener).En gros, sur un LAN (réseau local) et avec de petites ccd (souvent le cas pour le guidage, voir même systématique) je ne pense pas qu'il y ait de problème. Eros (toujours dans la configuration avec les Pentium IV) est vraiment rapide. Les images d'une ccd de 640x480 occupent entre 1 et 2Mo : c'est encodé et décodé très rapidement, le transfert (en 100Mpbs) est aussi très rapide, les commandes de corrections partent très vite et sont petites. Eros doit prendre entre 1 et 2 secondes pour faire tout ça, et moins d'une seconde s'il s'agit d'images binnées. A moins d'une monture vraiment défectueuse ou d'une nécessité impérative de suivi parfait, les corrections devraient bien se passer...Au conditionnel, il faut que nous vérifions cela. Au conditionnel aussi en ce qui concerne les connexions adsl qui rament ou encore les connexions satellites. Sans trop m'avancer, je ne pense pas qu'il y aura de problème pour guider la monture toutes les 5 à 10secondes (en LAN, c'est quasi sûr).Guillaume
  3. Merci pour les retours,Vous pouvez m'écrire à gfe.escop AT gmail.comJe suis plus réactif aux horaires de travail (c'est mon email professionnel) mais consulte cette boite mail de temps en temps à la maison.Cordialement,Guillaumeedit: ah... catapultage de commandes ! Carbon Copy si jamais[Ce message a été modifié par obsbp (Édité le 06-11-2013).]
  4. Bonsoiralors pour ceux qui souhaitent nous faire un compte rendu de test voici l'adresse info at obs-bp.comBon testsMarc
  5. @bbdbOui.Précisions : c'est possible mais le 'montage' choisi dépendra des pilotes ASCOM du matériel. En effet certains pilotes ne permettent pas d'avoir plusieurs logiciels simultanément connectés (en particulier tout ce qui concerne les ports séries (COM)). Dans ce cas, l'unique client possible sera EROS serveur et chaque logiciel devant se connecter au matériel passera par EROS Client. A savoir que EROS client et serveur peuvent cohabiter sur une même machine.Bien entendu, il faudra veiller à ce que les commandes de contrôle ne se catapultent pas : si un client demande au scope d'aller sur la polaire pendant que l'autre demande orion... il y aura un problème. De même, si un client demande une pose de 600sec sur une caméra il est assez évident qu'un autre client ne pourra demander une pose ou un changement de binning, mais pourra quand même changer la température de refroidissement (bizarre mais c'est dû aux contraintes du standard ASCOM). Des possibilités de 'lock' (exclusivité d'utilisation) de matériel sont envisagées mais sortent du standard.Dans la mesure où un seul logiciel pilote (c'est à dire 'écrit') et d'autres ne font que lire les données (position, température,...), cela n'entraine pas de contrainte particulière.Guillaume [Ce message a été modifié par obsbp (Édité le 06-11-2013).]
  6. Bonjour,1) interopérabilité (@regis paret) Il n'y a aucune contrainte de système. Le serveur et le client peuvent être indifféremment du windows xp, vista... 32 ou 64bits. Les deux morceaux de l'outils sont d'ailleurs en 32bits. Une version Linux est même opérationnelle pour nos tests, en particulier pour la partie caméra, sur les drivers dits 'V4L' (video for linux). Linux offrant une meilleur gestion réseau et permettant de travailler sur des outils en temps réel (au sens informatique du terme), il est pour nous très important d'avoir un outils qui s'affranchit des systèmes... d'autant que le 820 de l'observatoire, fabriqué par Astelco, fonctionne sous Linux, tout comme le serveur web de LightBuckets. Sans compter la profusion d'outils automatisables qui existent dans cet environnement. D'ailleurs, c'est un des intérêts d'EROS, un ordinateur sous Linux pourra accéder à du matériel disponible uniquement sous Windows et des drivers propriétaires, et vice versa. 2) réseau (@régis paret) Les livebox... tout un monde... J'intégrerai dans la documentation une marche à suivre pour configurer un outils formidable (gratuit et performant) : OpenVPN, qui permet de pallier à pas mal de problèmes de déconnexion mais aussi de crypter et compresser ses données réseau à la volée. Aussi, il n'est pas impossible de changer la livebox par un boitier adsl comme netgear ou linksys. 3) images et caméras (@laurent51) C'est une très bonne remarque. EROS est totalement dépendant du réseau, c'est au coeur de son fonctionnement. Il est optimisé au niveau de la communication réseau (délais au plus court, tampons mémoires importants, contournement de certaines options windows). Il échange très vite les messages, d'autant plus qu'ils sont très courts en ce qui concerne l'ensemble des éléments du télescope (entre 64 et 128octets, entêtes réseaux comprises). Cependant, pour les images, il est évident que le débit influe sur la rapidité d'échange. De plus, EROS Lite utilise un protocole sous jacent en mode texte, ce qui implique une conversion dite 'base64' (comme dans les emails, les annuaires LDAP...) qui augmente la taille de 33%, ce qui n'est pas rien, et nécessite un temps de calcul sur le serveur et le client. En plus ASCOM impose des images avec des 'entiers' où chaque pixel fait 32bits (4octets), même si vous avez une caméra 8, 12 ou 16bits... Donc en effet, pour ce qui est du transfert des images il ne faut pas compter sur du temps réel pur, comme si on se situait à côté du télescope. Les tests menés ici sur un réseau 100mbps (soit 10Mo/s) et de vieux Pentium IV ont donné (pour une image d'une FLI 8300M) : * 33Mo pour l'image, 44Mo une fois encodée en base64 * 6 sec de chargement et d'encodage sur le serveur * 9 sec de transfert (environ 4 à 5Mo/s de débit effectif) * 4 à 5 sec de décodage sur le client Pour un total de 17sec (Prism indique des débits allant de 300 à 500ko/s) Les temps d'encodage varient en fonction de la puissance de l'ordinateur et de la taille de l'image. Sur des liaisons internet 'pas très haut' débit, comme ma connexion personnelle (adsl 512/128), de telles images mettent beaucoup de temps à arriver (EROS a des paramètres de temps d'attente configurables). Mais sur une telle liaison, je ne peux pas utiliser Prism à distance (via remote desktop) de manière convenable, et encore moins dans des résolutions de 1600x1200 en 32bits, ce que me permet mon pc sous windows. Il est sûr qu'il n'est pas possible sur de grosses images de demander, par exemple, des poses de 1sec toutes les secondes. Les contraintes dépendent bien du réseau : le débit et la latence. Quelques calculs sont donc à faire avant de se lancer tête baissée dans les captures. A noter que la version pro devra intégrer le protocole d'échange en binaire (donc plus de conversion) et une option de compression (sans perte, type zip). L'idée de pouvoir sauvegarder sur le serveur est intéressante et sera étudiée... il y aura une astuce à trouver pour tromper ASCOM du côté client (le fait de prendre une image et ne pas la recevoir n'est pas prévu dans ASCOM et EROS n'est prévu, à la base, que pour déporter les commandes ASCOM sur TCP/IP).Bien cordialement, Guillaume(toute proposition et remarque constructive sont les bienvenues)[Ce message a été modifié par obsbp (Édité le 06-11-2013).]
  7. Bonsoir Laurent,oui en effet pour les images CCD, elles peuvent aussi transiter par le voie des airs et donc soumises alors au débit des différents fournisseurs d'accès. Mais la encore cela passe correctement si les images ne sont pas, disons trop lourdes. Guillaume nous fera un petit débriefing la dessus demain, il a fait pas mal de tests la dessus il nous en dira plus ...Marc,
  8. Bonsoir,Oui cela fonctionne indépendamment du système d'exploitation coté serveur ou client, c'est le protocole Ascom qui transite donc on se libère des problématiques purement de versions windows par exemple.Cela offre en effet une possibilité nouvelle de s'affranchir de la prise en main à distance pour tous les softs astro qui gèrent ascom et ils sont très nombreux. Marc [Ce message a été modifié par obsbp (Édité le 05-11-2013).]
  9. Une explication du protocole en image :Du coté Ascom serveur, les instruments physiquement connectés et du coté Ascom client la connexion aux instruments se faisant à travers le réseau TCP/IP, Internet.Deux PC peuvent donc être en relation distante et faire dialoguer les materiels d'un coté, avec les logiciels compatibles Ascom de l'autre coté. Marc[Ce message a été modifié par obsbp (Édité le 05-11-2013).]
  10. Bonjour, L'Observatoire des Baronnies Provençales vous présente son dernier né : E-SCOP Remote Observatory Service (E-SCOP, Service d'Observatoire Distant). Suite à nos travaux informatiques et astronomiques liés au site LightBuckets.com, nous avons développé un outils permettant de faire transiter les commandes ASCOM via du réseau TCP/IP. Ce petit outils nous permet de commander des télescopes complets (comprendre par là monture, caméras, focuseur...) situés sur différents sites physiques et de les partager au travers d'une application web. Nous avons pour notre activité une version très spécifique mais nous nous sommes dit qu'il serait intéressant pour la communauté astro de faire une version plus générale et abordable d'utilisation. Ainsi nous vous proposons pour l'instant la version simplifiée et gratuite de cet outils : EROS Lite. Dans les grandes lignes, il permet déporter et de partager les pilotes (drivers) ASCOM sur un réseau dit TCP/IP (celui qu'utilise Internet et, à priori, celui que vous utilisez chez vous) à l'aide de deux outils distincts. Un premier outils s'installe sur un ordinateur à côté du télescope, dans l'observatoire. Il se connecte au matériel comme n'importe quel logiciel utilisant ASCOM. Puis, il met ce même matériel à disposition sur un réseau. Un deuxième outils, qui se trouve être un ensemble de pilotes ASCOM gérant depuis la monture jusqu'au dôme, s'installe lui sur l'ordinateur où vous voulez utiliser votre matériel. Après un rapide tour dans la configuration, votre logiciel favori se connecte à ces pilotes ASCOM qui font suivre chaque demande générée par le logiciel au premier outils. Ce dernier exécute les demandes et renvoie les résultats au demandeur. Votre logiciel d'astronomie reçoit enfin les résultats sans même savoir que des communications réseaux ont lieu. Une première "pré"version corrigée, la 0.9.1, est disponible à cet endroit : http://research.lightbuckets.com/eros/ (puis "Downloads", à noter que le site hébergeant EROS est en construction) Un article est disponible ici : http://www.obs-bp.com/article-ascom-sous-tcp-ip-120887662.html Ces outils sont pour l'instant disponibles pour MS-Windows avec la plateforme ASCOM d'installée. A terme une version Linux (ainsi que BSD, et donc Apple) est prévue afin d'étendre les possibilités d'ASCOM au delà des environnements Microsoft. Aussi, des versions beaucoup plus évoluées (dites 'pro' et 'corp' pour professionnel et entreprise) sont en cours de développement. Elles permettront, entre autre, de piloter à distance la plupart des logiciels d'astronomie (comme MaxIM ou TheSky), de sécuriser les liaisons réseaux, de faire du multi-serveur,... En espérant que cela vous plaise,Clear Skies ! (cieux limpides !) L'équipe de l'Observatoire des Baronnies Provençales (http://www.obs-bp.com/) Remerciements au Webmaster d'Astrosurf pour l'autorisation de la publication de ce message.[Ce message a été modifié par obsbp (Édité le 06-11-2013).]
  11. Salut Mickael,En effet le reportage est plutôt sympa, TF1 a débarqué vendredi avec un JRI et un journaliste pour faire leur reportage sur la "Cyber Astronomie" comme expliqué quand ils m'ont appelé pour me proposer leur venue. Tout cela s'est fait rapidement, on a pas eu trop le temps de réfléchir. Je me suis dis qu'un peu d'Astronomie high tech sur TF1 cela changeait et mettait aussi notre passion à tous sur le devant de la scène.Marc,
  12. observatoire bouches du rhone

    Les tarifs hébergement de l'OBP sont ici http://www.obs-bp.com/article-gite-de-mission-107316382.html Marc, [Ce message a été modifié par obsbp (Édité le 25-07-2012).]
  13. Vous avez tous bien raison, chacun avec vos idées de l'astronomie, on a tous débuté avec pas grand chose, des petits instruments, on galère tous dans la nuit et le froid d'une manière ou d'une autre, on cherche tous l'excellence (soit au niveau instrumentale, au niveau des conditions climatiques, au niveau des softs etc ...).De découvrir des nouveautés au meilleur prix voir gratuitement pourquoi pas.L'idèe de ce projet c'est de proposer quelque chose qui n'existait pas. Avec dans l'idée d'offrir une alternative supplémentaire aux associations qui oeuvrent beaucoup pour l'astronomie populaire évidemment (personnellement le CALA à Lyon m'a beaucoup apporté dans mes jeunes années.Mais encore une fois n'oublions pas que la liberté c'est le choix. Le projet a pris le parti du haut niveau tant dans l'infrastucture, les instruments que dans l'accueil. Cela offrira une nouvelle perpective pour ceux qui le souhaiteront. De valoriser aussi le grand public qui souhaite participer à la vie d'un observatoire (c'est en tout cas notre vision à l'OBP de l'astronomie populaire).Enfin si d'aventure cela peut susciter des engouements dans la mise en place d'un projet comme celui la, un petit peu partout en Europe, je sais maintenant que c'est possible avec beaucoup de travail et de ténacité. Je ne parle pas que de ténacité en Astro, on en a tous... mais de ténacité pour convaincre un monde incrédule (acteurs non astro) que ce projet était possible Bon ciel à tous Marc,
  14. Le ciel de l'OBP

    Pour répondre à Cyril :on a eu deux moniteurs de seeing à l'Observatoire :Le premier que l'on a utilisé est justement celui de Cyril (DIMM seeing Monitor) qui est vraiment spectaculaire, on l'a utilisé aussi en prospection au Chili à trois reprises avec le même setup) on a fait cela avec un tube 10 pouces SC et une toucam pro en mode Altaz sur la polaire à l'abri dans une cabane. (Au Chili sur Canopus !)Le second est celui de Monsieur SBIG (maintenant sous bannière Alpegen) qui donne à peu prés les mêmes valeurs mais l'approche est un dérivé du Drift scan qui ne mesure pas les écarts de mouvements comme le DIMM seeing monitor.Tous ces tests ont été souvent rapprochés des FWHM des images prises sur les télescopes en tests et maintenant sur les télescopes en ligne (LB0002 à LB0005)Et puis quand Bertrand Laville est à l'observatoire, on compare les valeurs et cela confirme 90% des cas.Je dirais qu'empiriquement on a une valeur médiane de 2.5 arcsecs avec une vingtaine / trentaine de nuits sous les 1 arcsec.Avec la mise en fonction d'Hypérion, ce serait bien de mettre un monitor de seeing sur la passerelle de la coupole à 10 mètres de hauteur. Marc,
  15. Au delà des problématiques de coûts, il faut voir le coté attractif, immersif la part de rêve, la vision innovante pour le grand public que peut avoir un tel projet et un tel lieu. La possibilité donnée de pouvoir participer à la vie d'un observatoire de nuit. Il y a tout cela dans ce projet il ne faut pas l'oublier. Avec le temps le budget s'oubli, la qualité reste et l'émerveillement aussi. Attention aussi quand des chiffres sont lancés, car ils ne sont pas forcement justes et cela fausse la vision des choses.La vocation de l'observatoire comme bon nombre de stations de nuit et de susciter l'évasion mais avec un concept différent : réunir plusieurs facettes de l'astronomie dans un seul endroit sous une démarche de gestion de projet depuis le début avec l'objectif de créer une activité professionnelle autour de l'astronomie en direction de tous.Marc,