apricot

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Messages posté(e)s par apricot


  1. Merci à tous pour vos commentaires sympas :)

     

    Il y a 9 heures, christian_d a dit :

    Si une nuit au Printemps tu as un peu de dispo avec ce T500 tu pourrais tenter la Croix d'Einstein, en dessous du carré de Pégase, une luminance suffirait, mais en bin1 pour obtenir un bon échantillonnage

     

    Belle cible, elle est sur la liste à faire. Il faudra un bon seeing, mais ça arrive au Pic, même si la coupole du T50 souffre du vent de pente de la face sud.

     

    Bon ciel à tous

    Jean-Philippe

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  2. Elle est encore bien brillante la nova Cas, et un beau spectre !

     

    Pour la raie large autour de 5720 A, il y aurait N II 5679 et [NII] 5755 (d'après l'atlas Walker). Mais à voir ce que disent les spécialistes des novae.

     

    Un détail.. Pour les bias/darks, avec mon atik 414  j'ai remarqué une (très) petite différence entre des darks faits avec la caméra sur le télescope de nuit (10-15 degrès ambiant) et la caméra au frigo : peut être que même si le capteur est régulé à même température, par ex -10, il y a de l'électronique dans la caméra dont la température est influencée par le corps de la caméra d'ou un signal de bias qui change un peu en fonction de la température ambiante.. ? As tu remarqué cela avec ta méthodologie ?

     

    Jean-Philippe

     


  3. Il y a 20 heures, Bruno- a dit :

    Même pour des bactéries ?

    Les bactéries ont une adaptabilité extraordinaire. Il n'y a qu'à voir les extremophiles. On en trouve de la banquise aux déserts les plus chauds, des fumeurs des fonds océaniques jusqu'à  la colonne d'air atmosphérique à haute altitude, de températures négatives jusqu'à plus de 120°C, à des pressions des grands fonds ou des niveaux de dessiccation  ou de rayonnement qui détruisent les macromolécules...on peut raisonnablement penser que si elles étaient les premières elles seront aussi les dernières présentes sur la planète ;-)

    • J'aime 4

  4. Il y a 5 heures, christian_d a dit :

    Aussi éloignées l'éclairement de leur surface par le Soleil ne doit être très important, peut être l'équivalent d'une nuit de pleine Lune sur la Terre ? 

     

    C'est presque ça, le soleil vu depuis Haumea brille plus fort qu'une pleine Lune depuis la Terre

    Le calcul :

    Mag absolue du soleil M = +4.8

    DIstance Haumea 50 UA D = 0,00024 parsec

    Magnitude apparente du soleil à distance D est m = M + 5 log(D)-5 = -18

    -18 donc plus brillant que la pleine Lune (-12)

     

    EDIT, calcul inexact, voir message de Nicolas ci dessous

     

    Merci à tous pour vos appréciations :)

    • J'aime 1

  5. A z=2.13 la raie Lyman alpha en émission qui est la raie la plus puissante dans les quasar est redshiftée de 121 nm à 380 nm (et il y a d'autres raies en émission derrière, NV, CIV..); en plus du continnum émis par le disque d'accrétion autour du trou noir qui rayonne beaucoup dans le X-UV,  ça participe à sa couleur bleue sur l'image

     

    Par contre sur l'autre quasar noté par Super à z=1.32 Lyman alpha est encore dans l'UV (282 nm) et n'est pas détectée par la CMOS. C'est donc les raies en émission CIII et MgII qui dominent le spectre à 442 et 649 nm; le quasar le moins distant est paradoxalement moins bleu que celui à z 2.13 plus lointain !

     

    Pour ces objets à spectres complexes +redshift, la couleur n'a pas trop de sens en fait ;)

     

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