Aldo

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Tout ce qui a été posté par Aldo

  1. objectif "fish eyes"

    J'utilise depuis 86 un Sigma 16mm ouvert à 2,8 sur monture Minolta MD (180° de champ diagonal sur un film 35mm).C'était à l'époque - et de loin - le meilleur rapport qualité/prix pour l'utilisation occasionnelle que j'en ferais, n'étant pas professionnel de la photo. Je sais que cet objectif pouvait être livré pour de nombreuses autres montures, mais je ne suis pas sûr que le montage avec une bague T soit applicable sur certains fish-eyes en raison de leurs caractéristiques optiques particulières. Sur ce type d'objectif à très courte focale, interposer l'épaisseur supplémentaire d'une bague adaptatrice n'est pas sans conséquences. A vérifier. Il faut veiller au traitement des surfaces qui doit être particulièrement soigné en raison du nombre de dioptres tout autant que des angles d'incidence élevés.Comme il est impossible de filtrer à l'entrée, le bloc optique se démonte en deux parties par une baïonnette supplémentaire qui permet d'insérer des filtres à l'intérieur même de l'objectif. C'est une caractéristique précieuse, que ne possèdent pas tous les fish-eyes (du moins pas tous ceux de cette génération).J'ai pour ma part toujours apprécié cet objectif, qui m'a permis de réaliser des images spectaculaires sur le ciel et ailleurs, en particulier d'aurores boréales. Il faisait bien-sûr partie de ma panoplie pour la chasse aux dernières Léonides (qui s'est soldée par une belle purée de pois ! mais passons...)Ceci dit, il ne faut pas en abuser sur des sujets trop sensibles aux déformations, sauf à en faire un jeu jusqu'à la caricature : c'est alors un objectif qui apprécie de ne pas se prendre trop au sérieux ! Ainsi j'utilise plus fréquemment un 20mm, très bien corrigé des déformations en barillet et offrant globalement un rendu beaucoup plus naturel de l'espace. En revanche le fish-eye est incomparable pour l'effet de surprise qu'il suscite, ou bien lorsque champ et profondeur de champ sont vraiment cruciaux (en situation d'extrême manque de recul par exemple, on peut facilement obtenir la netteté de 50cm à l'infini), ou encore lorsque la courbure même de l'image s'allie à celle du sujet pour devenir créatrice d'une vision insolite.En astro, c'est une optique sensible évidemment à la buée (voir à ce propos un article de bidouille sur le dernier Astro-Mag). Le vignettage est également important , de l'ordre d'un diaph centre/bord mais pas très gênant, car il ne fait que confirmer l'impression visuelle de l'oeil humain qui "estompe" naturellement tout ce qui est à l'extrême bord du champ de vision...Bonne chasse en tout cas,Alain
  2. SCT 14" ou 16 " ?

    Oui, les deux mon capitaine ! Cette monture est d'une douceur et d'une précision redoutables...Mais le C14 doit être tout de même à la limite supérieure de sa charge admissible sans lui imposer de fatigue excessive (Astrophysics ne précise d'ailleurs pas sa charge nominale, estimant qu'elle dépend autant du porte-à-faux de l'instrument utilisé que de son poids).Pour ma part j'utilise plus fréquemment la 900 avec une lunette AP155 qui ne dépasse pas les 12/13kg en visuel, pour 16 à 20kg en photo avec accessoires, boitiers et lunette guide, voire auto-guidage (en CCD pure, c'est moins lourd). Dans cette configuration, pointage et suivi ne sont pris en défaut que par l'imperfection de ma mise en station.J'utilise le C14 pour me déplacer, plutôt en CCD et visuel, sans lunette-guide et sans surcharge supplémentaire. Si je fais de la photo en parallèle, le boitier et son optique, éventuellement lourde, sont montés sur un des contrepoids, adapté pour cet usage : stabilité irréprochable garantie (la barre fait 48mm de diamètre). Par contre le montage en porte-à-faux du tube du C14 avec une queue d'arronde Losmandy, même de forte section, induit des flexions qui se révèlent gênantes au pointage, et dans une moindre mesure au suivi. La monture elle-même n'est pas en cause : il s'agit d'une part du shifting et d'autre part d'une légère déformation élastique du tube optique, amplifiée lors des porte-à-faux maximum (barre de contrepoids en position horizontale). Ma queue d'arronde est en effet vissée directement sur le tube par économie de poids, mais un montage plus rigide serait obtenu avec des colliers, ou une pièce intermédiaire élargissant l'appui, en particulier côté barillet.Voilà, bonne continuation,Alain
  3. CROA et initiation , toujours en savattes :)

    Par pudeur, je ne dirais pas tout le mal que je pense d'un CROA d'une telle cruauté...Alain
  4. NGC5566 au T620 de Saint-Veran

    Gargl !!! Il a récidivé, l'insolent !Aldo
  5. IC983 au T620 de Saint-Veran

    Merci, skywalker. En tout cas, belle moisson galactique aussi...Aldo
  6. IC983 au T620 de Saint-Veran

    Chiotte de merde ! Mais qu'est-ce que je fous à Lyon, moi ! Et vous en avez trouvé, des patatoïdes révolutionnaires ?
  7. Lunette 200mm ou C8

    Serge, ta réflexion me renvoie au fait que d’une manière générale, la subjectivité ne peut être absente du regard que nous portons sur les choses, ou sur les êtres ! Pour autant, la dénoncer – comme toi aujourd’hui – ne permet pas d’échapper dans son jugement à cette part de subjectif.Je m’explique : rien n’est plus irrationnel que pratiquer l’astronomie : je te mets au défi de me prouver que c’est plus utile que d’aller planter des choux ou regarder le « bigdil » à la télé (je veux dire : plus utile à quiconque d’autre qu’à toi-même)… Oh, tu vas m’en trouver, des arguments – que la plupart sans doute je partagerai – mais des preuves en terme de valeur absolue, ce sera plus difficile… Par exemple, dans bien des cas, la satisfaction d’avoir construit son instrument de A à Z, taillé son miroir etc, ne peut être réduite à une simple motivation économique : il existe une joie primordiale à créer son outil de ses propres mains, allant bien au-delà d’un calcul financier parfois discutable au regard du temps passé et du résultat « objectif » obtenu (mais cela, aucun passionné véritable ne l’admettra volontiers, justement à cause de l’affectivité mise en jeu) ! Sur un plan rationnel, acheter un instrument de bonne facture adapté à ses besoins peut être un choix pas forcément plus coûteux en équivalent-travail, si l’on excepte cette dimension affective qui fait justement toute la différence.Autre chose : l’astronome s’intéresse à des objets qui restent par nature intouchables. Il ne peut prendre contact avec eux que par l’entremise d’un instrument symbolisant le seul lien palpable avec cet ailleurs qui le fait rêver… Son télescope est donc beaucoup plus qu’un simple outil : il est cet œil qui projette son regard vers l’inaccessible, comme un véritable prolongement, un morceau de lui-même indissociable de ce regard ; D’où peut-être un lien très fort et parfois inconscient ?J’en parle d’autant plus aisément que mon parcours perso ressemble à beaucoup d’autres dans ce domaine et que moi aussi, j’ai utilisé et utilise lunettes et télescopes, mais à des fins totalement différentes et complémentaires : aussi il ne me viendrait pas à l’esprit de les opposer, car depuis le temps si j’avais trouvé l’instrument idéal qui soit la réponse ultime aux exigences parfois contradictoires de polyvalence que j’en attends, j’aurais trimé des années pour le construire ou l’acquérir.On déclare toujours comme meilleur instrument celui avec lequel on s’éclate le plus : c’est forcément soumis à la sensibilité et à la situation de chacun, donc à un mélange de critères subjectifs et objectifs, et je trouve cela plus intéressant que dérangeant. Il me semble surtout que les questions les plus pertinentes qu’on puisse poser à un indécis avant de lui livrer ses propres conclusions, c’est : que compte-t-il faire, quelles sont ses amours, visuel, photo, grand champ, ciel profond, planétaire, haute résolution, chez soi, chez pas soi, etc., etc. ?Une bonne apo est une pure merveille en imagerie grand champ sur le ciel profond ; dans ce domaine et à la différence des lunettes plus classiques, ouverture et compacité lui confèrent une transportabilité qui permet au citadin pollué d’aller quérir ailleurs un meilleur ciel… Accessoirement elle donne des images d’une grande pureté en visuel quand les conditions sont passables pour des instruments plus sensibles, donnant l’illusion qu’elle peut les surpasser dans la plupart des cas, ce qui dans l’absolu reste bien sûr inexact et ne correspond pas à sa vocation première. Pourtant, cette polyvalence est une qualité supplémentaire que ne possède pas une chambre de Schmidt par exemple, appréciable quand on se retrouve sur un site éloigné avec une séance photo qui foire pour cause de ciel agité, ou qu’il faut « passer le temps » de longues heures en visuel en attendant que les conditions s’améliorent : d’autres alors iraient se coucher… puis oublieraient de se réveiller ; mais derrière un tel instrument, il faut être bien blasé pour somnoler ! Depuis quelques années j’utilise aussi un SC beaucoup plus « puissant », mais qui m’apporte statistiquement moins de pures satisfactions que de menus tracas, n’étant pas un technicien de haute volée (j’admire chez les autres, mais moi ça m’emmerde à la longue !). Certes de temps en temps le diamètre fait parler la poudre, mais jamais avec cette insouciance idyllique que me procure ma belle lunette.Enfin, notre plaisir d’observateur se nourrit aussi de ce genre d’illusions, d’autant que dans bien des sites les conditions permettant d’exploiter les véritables possibilités d’instruments plus « difficiles » sont trop rarement réunies.Alors faut-il condamner ceux qui n’utilisent ces optiques qu’en visuel ? Parce qu’à leur place on s’y prendrait autrement ? Pas si sûr justement, car à leur place, avec leur site, leurs limitations techniques, leur niveau de compétence, ou leur envie d’être simplement contemplatif sans autre forme de préoccupation, eh bien on opterait peut-être pour le même genre de choix…Au fil des ans, la vie ne nous enseigne-t-elle pas que les choix qui semblaient les plus rationnels n’ont pas toujours été les plus sages ? Ce constat peut aboutir aussi facilement à l’un comme à l’autre cas…Amicalement,Alain
  8. SCT 14" ou 16 " ?

    Salut François,Depuis 4 ans, j’observe avec un C14 sur une AP 900 GTO montée sur un gros pied Losmandy : c’est le summum de la stabilité et ça reste transportable (avec un grand coffre tout de même !) Pour le tube, il faut se la jouer fine au moment du montage, mais c’est plus affaire de gamberge que de gros muscles. Une poignée supplémentaire sur le tube n’est pas du luxe tout de même… à moins qu’un petit treuil, en échange d’une poignée supplémentaire… de dollars ? (humour !). En tout cas si le mal de dos te guette, comme moi, il te faut devenir ingénieux. L’ensemble pèse maxi dans les 100 kg en ordre de marche, tout compris. Malgré quelques appréhensions au départ (dues à l’apparente légèreté de la monture pour ce diamètre), la 900 convient parfaitement à la tâche. Bien qu’allégée aux bons endroits par usinage pour éviter de trimbaler du poids mort inutile, c’est un roc ! Le C14 est compact, et même avec une caméra et des accessoires au cul, elle n’a aucune difficulté à emmener l’ensemble avec précision : le point faible, c’est plutôt le SC, dont le primaire a cette tendance connue à « battre la breloque »… tout au plus un excès de shifting peut rendre le pointage imprécis en regard des capacités de cette monture, mais n’exagérons rien. Moi, j’ai trouvé là le meilleur compromis diamètre/transportabilité pour faire de la photo sous des cieux plus purs, au prix tout de même d’un rude investissement (mais trente ans de passion, après tout ça les vaut bien !) En visuel, c’est tout sauf ridicule, mais alors à mon avis aucun intérêt de monter une telle usine à gaz : pour un budget inférieur, on peut taper très fort dans du gros et excellent dobson même motorisé (ce que je n’exclus pas à la longue si je retrouve de la disponibilité pour du « gros bricolage » après avoir fini ma maison, mais pour l’heure, éloigné des bons sites, l’imagerie prolonge mon plaisir de retour au bercail après mes escapades). Pour un SC de 16’, comme teïva et ms, je pense que la transportabilité est illusoire. Quant au budget, il explose de façon totalement disproportionnée par rapport au gain en diamètre, optique ET monture ! Pour la différence, tu peux t’équiper du meilleur matos pour l’imagerie, avec en prime le véhicule ad hoc pour trimballer l’ensemble.A toi de voir, Cordialement,Alain
  9. Bon, David, si je résume : · ton dobson n’est pas à vendre, et surtout pas à un « observateur trop turbulent » · un membre junior peut tout à fait avoir un âge canonique : cela reste vrai tant qu’il n’a pas passé l’âge de boire des canons… · je ne troquerais pas plus ma délicieuse AP 155 à grand champ contre un excellent Clavius un peu « étroit », que toi ton miraculeux et transportable dobson contre la fameuse mais encombrante lunette de Rocbaron !Merci pour ce test, à ceux qui l’ont réalisé ainsi qu’à ceux qui s’y sont prêtés avec intelligence : une manière en somme plus élégante et sans doute plus crédible de promouvoir un bon instrument que des laïus trop emphatiques…Alain
  10. Merveille d'hiver : Orion

    Très esthétique photo, Tom, une belle prime à la persévérance !Alain
  11. info sur les membres du forum!

    On peut : Ou bien : Ou encore : Mais on peut aussi : Et finalement : N’oublions pas que le monde n’est pas seulement ce qu’il est : il est chaque jour un peu plus ce que nous en faisons… Ce forum est à l’image de ceux qui s’y expriment : dans la diversité, parfois la controverse, mais aussi le partage, ils forment une communauté vivante qui se nourrit d’échanges et dont la première richesse commune repose sur la libre expression… dans le respect minimum d’un « savoir-vivre ensemble ». Le contrôle, nécessaire, ne peut porter que sur les excès, car à trop contrôler on tuerait l’expression. Faisons donc confiance à cette communauté pour définir elle-même ses propres critères de régulation : trop de contraintes, et l’homme libre boycotte, puis réinvente d’autres moyens d’expression… pas assez, et l’anarchie condamne à la friche cet espace de fertilité. L’équilibre entre ces deux pôles n’est pas que la voie de la sagesse : c’est la seule voie possible.Alain (MOREAU, dit Aldo de longue date, à cause que les « Brigades Rouges », et parce que c’est moins pire que « Mort aux Vaches ! ») ------------------
  12. observatoire mobile

    Ce que tu as vu chez INACO, c'est un observatoire mobile fabriqué sur commande pour Kadhafi en personne ! M. Sage m'en avait parlé il y a quelques mois. Je suis persuadé qu'il (M.Sage, patron de chez INACO), acceptera de te communiquer au moins le principe de la stabilisation : je crois que la monture du télescope est totalement désolidarisée de la caisse du véhicule, et vient prendre appui au sol par un jeu de vérins pour l'observation.Bon courage et tiens-nous au courant si tu te lances, car le concept est hyper séduisant.Alain
  13. Pour bien choisir ses jumelles

    Apau je confirme en tous points. On pourrait aussi alourdir le contrepoids et lester dissymétriquement les binos, mais avec 14 kg, la monture est déjà au taquet : il est hors de question de la charger davantage ! Quant aux oculaires zoom, s'ils sont de qualité, ce doit être le top !Alain
  14. Pour bien choisir ses jumelles

    Aline, ce qui m'a intrigué dans ton premier post était ta mention d'une monture équatoriale, d'où ma demande de photos. Ceci dit, il est possible d'améliorer l'équilibrage de ta monture par quelques astuces assez simples, mais plus faciles à décrire avec un croquis que par post. Par mail, donc, si tu le souhaites.Alain
  15. Pour bien choisir ses jumelles

    Hervé, je maintiens mes affirmations :En raison du déport latéral du contrepoids pour lui permettre d’éviter de heurter le pied en visée horizontale, un porte-à-faux non compensé est créé qui, dans le cas de binos très pesantes (ici 14 kg), provoque des frictions importantes ; celles-ci s’opposent à un équilibrage instinctif et précis : quelle que soit la position adoptée, les frottements rendent les mouvements trop durs.Plusieurs remèdes existent, qui consistent tous à ramener le centre de gravité du système sur le plan azimutal : · Faire pivoter horizontalement de 90° la tige de contrepoids face à la ligne de visée, et déporter sur l’arrière les binos (nécessite usinage et/ou pièce adaptatrice sur la monture, voire sous les binos) ; inconvénient prévisible : perte de maniabilité. · Installer un second contrepoids latéral symétrique au premier : peu économique, lourd, augmente l’encombrement. · Déporter latéralement les binos à l’opposé du contrepoids (pièce intermédiaire sous les binos) ; le plus simple probablement, mais la pièce intermédiaire doit être « musclée » et bien calculée.De plus sur le site consulté, il n’est fait aucune mention explicite de la possibilité d’utiliser cette monture avec des diamètres supérieurs à 80 mm – même si le discours et la photo de présentation peuvent le laisser supposer – pas plus que de la charge maximum admissible. Pourtant entre les exemples cités dans ce descriptif et les binos d’Aline, le poids varie d’un facteur 3. Ne s’agirait-il pas plus vraisemblablement d’une approche commerciale visant à équiper d’origine ces binos d’une monture minimale pour ne pas encore alourdir une facture déjà salée ? Je pense pour ma part que cette monture et ce pied, bien que présentés comme costauds, demeurent sous dimensionnés pour un tel instrument. Enfin, le contrepoids d’origine ne serait-il pas un peu « léger ».En fait, pour des raisons de stabilité, de compacité et de robustesse, ce n’est pas un hasard si les grosses binos professionnelles à l’usage des pompiers, gardes-côtes, militaires et touristes sont systématiquement installées sur de fortes montures azimutales à fourche. La seule précaution pour l’astro étant de faciliter la visée zénithale en reculant l’axe azimutal pour dégager le corps des binos en position verticale. Pour ce qui est de mes projets, ils ne sont encore « qu’à moitié cuits », et de toute façon concernent plus l’optique que la monture… J’en parlerai si ça se concrétise.Amicalement,Alain
  16. Pour bien choisir ses jumelles

    OK, Aline, je suis allé sur le site de Médas.Avec ce type de monture, tu n'arriveras jamais à équilibrer tes super lourdes binos dans toutes les positions, en particulier pour l'astro : cette monture est faite pour le visuel terrestre.Es-tu allé sur le site que je t'ai indiqué ? Tu y trouveras des montures type altaz Célestron ou Meade modifiées, pilotables par la raquette d'origine, et parfaitement équilibrées et stables. En plus cette solution permet le pointage auto et le suivi.Quant au mail de Médas, il signifie que les axes optiques doivent être bien parallèles pour ne pas voir double (même sans avoir bu !). Ceci dit la conception de tes jumelles ne semble pas permettre un réglage aisé de cette coaxialité, d'où leur réponse, probablement.Mais tout de même, tu dois te régaler ! Je te troquerais bien un coup d'oeil dans tes jumelles contre un autre dans ma lunette...Alain
  17. Question d'un débutant.

    Tiens nous au courant de tes expériences, Jojoba, on pourra affiner... Et surtout persévère : de nuit en nuit, tes yeux vont s'accoutumer à ce que tu observes et voir plus de choses ; on peut se régaler avec un 114/900 ! Et bienvenue sur ce forum !Alain
  18. Pour bien choisir ses jumelles

    Salut Aline,Oui, au bord du champ, c'est bien du chromatisme : aucun réfracteur bino actuel n'apparaît parfaitement corrigé sur les objets brillants, même ceux prétendument "apos" tels certaines Fujinon (de l'ordre de 20000 euros, tout de même !). Pour ce faire, il faudrait allonger la focale donc augmenter poids et encombrement, ou utiliser des formules optiques plus complexes, qui alourdiraient cette fois la facture : serait-ce encore possible ?!!!)Par contre, il existe d'autres montages à base de réflecteurs très ouverts qui ne présentent pas ce chromatisme... mais à mon avis, mieux vaut dans ce cas équiper une belle optique mono d'une tête bino de qualité : avec moins de problèmes techniques, tu retrouves ta polyvalence visuel/photo, la possibilité d'utiliser une monture efficace, le choix des oculaires etc. Cependant, tu n'atteindras jamais le champ d'une bonne paire de jumelles, ce qui les rend irremplaçables pour les sensations qu'elles procurent sur des objets étendus.Pour le pointage et le suivi auto, tu devrais jeter un coup d'oeil sur ce site italien : http://www.astromeccanica.it/eng.htm On y trouve des adaptations intelligentes à base de montures altaz qui répondraient semble-t-il à tes critères (à part la rotation de champ, cf. photo, sauf à utiliser une table équatoriale). Je prévois même de leur rendre visite prochainement pour valider le concept d'un projet que j'ai en tête depuis plusieurs années.Pour le pointage, pourquoi n'utiliserais-tu pas un Telrad ?Ta monture m'intéresse : as-tu une photo à nous montrer ?Alain
  19. poster une image

    Merci, là je comprend mieux.
  20. poster une image

    Sans vouloir te vexer, Prof Vince, es-tu sûr d'avoir éclairé la lanterne d'un débutant en informatique ? Moi, je n'ai toujours rien compris : c'est comme si tu m'avais expliqué le chinois... en chinois !Alain
  21. Nettoyage miroir

    Je rappelle aussi qu'actuellement une autre méthode existe près de 200 nuits par an : Il suffit de viser le zénith après avoir déposé une petite goutte de savon liquide au fond du miroir ; la nature se charge du reste ! (l'eau de pluie est très douce, aucun démontage requis, que du bonheur... quant au séchage il est inutile, puisque ça ne sèche jamais)
  22. Nettoyage miroir

    DarkFireProut, c'est pourtant simple : il ne faut jamais sécher son miroir avec un fer à repasser ! (ça laisse des traces indélébiles en forme de petits bateaux)...On t'a dit : collodion, eau osmosée ou véritable eau distillée (il en faut peu, ce n'est que pour le dernier rinçage). La solution d'Astroseb me plait bien aussi, à condition d'éviter l'air comprimé d'un compresseur d'atelier, qui contient de nombreuses impuretés abrasives et de l'huile ! Le produit vaisselle, ça va bien. Le vinaigre d'alcool : surtout pas ! (comme tout autre produit acide d'ailleurs).En dernier recours, tu portes ton miroir chez le teinturier du coin : ils ont des assurances pour les nettoyages délicats, et c'est généralement prêt dès le lendemain.Amicalement,Aldo
  23. Stabilité de la collimation des Telescopes

    Vincent, pas de progrès véritable sans d'abord une bonne analyse du problème.Or le problème n'est pas seulement que c'est chiant de collimater une optique : ça, c'est la conséquence du problème, et de tous les choix qui ont été faits en amont sur cette optique... non, le véritable problème, c'est pourquoi et comment elle se dérègle, puis comment on la règle. Et certes cela semble perfectible.Donc les solutions pertinentes sont de deux familles : celles qui empêcheraient la décollimation, et à défaut d'atteindre cet idéal utopique, celles qui faciliteraient la collimation.Ta solution n'est pertinente ni dans un cas, ni dans l'autre.Un bon ingénieur ne devrait pas gaspiller ainsi son talent à plancher sur des remèdes à un non-problème : Sur un SC, la décollimation ne provient pas de la mobilité des vis de collimation, qui ne bougent que lorsqu'on s'en sert. Au contraire, ce réglage s'impose à cause de la conception de tous les autres éléments optiques et surtout mécaniques du montage. Il me semble que de nombreuses personnes plus que compétentes sur ce forum ont été très claires, et ont largement donné de leur temps pour te répondre. Si tu les lis attentivement, ainsi que les liens qui t'ont été indiqués, tu devrais comprendre que ta précieuse matière grise serait mieux employée à plancher sur des améliorations mécaniques (et si possible aussi économiques que simples à mettre en oeuvre, pour être qualifiées de géniales), voire électriques et informatiques, comme le suggère Maire.Enfin, crois-moi, on peut tout à fait combiner les joies faciles (mais onéreuses) d'une apo pour le grand champ et la précision sans faille, à celles d'un SC qu'il faut constamment bidouiller, mais qui s'avère encore le moins pire compromis diamètre/poids/compacité.Et puis ne penses-tu pas que de bonnes observations restent le complément indispensable des meilleures simulations ?Alain
  24. Le Texereau gratuit disponible en ligne !

    Oui : merci infiniment du travail fourni pour le mettre en ligne, et merci tout autant à monsieur Texereau de la générosité que cela représente... Moi aussi il a bercé mes nuits pluvieuses il y a trente ans (et éclairé mes nuits claires) !Alain
  25. Les Pleïades/ Epsilon160

    Gasp !