Joël Cambre

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  1. Quelle plaie ce Gilles, grrr... On va lui faire sa fête à cet oiseau de mauvais augure!
  2. climatoogue vs climatoseptique

    L'affaire Bengtsson : http://www.pensee-unique.fr/news.html#beng2 Bonne lecture.
  3. NUIT DE L'ASTRONOMIE AU CDF LE 03 MAI 2014

    Maître Rastaman m'annonce par corbeau voyageur (en Lorraine ils ont mangé tous les pigeons...) qu'il voit du ciel bleu. Bonne nouvelle...
  4. NUIT DE L'ASTRONOMIE AU CDF LE 03 MAI 2014

    Sont un peu fêlés, ces Lorrains, quand même... Quand je pense que les deux régions risquent de fusionner... [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 02-05-2014).]
  5. NUIT DE L'ASTRONOMIE AU CDF LE 03 MAI 2014

    La soirée d'observation est maintenue en raison d'une météo favorable.
  6. NUIT DE L'ASTRONOMIE AU CDF LE 03 MAI 2014

    Moi je ne suis pas inquiet pour la place, j'ai une paire de jumelles 8x30, ça passe partout ces machins là...
  7. NUIT DE L'ASTRONOMIE AU CDF LE 03 MAI 2014

    Ce loup est alsacien-lorrain, il est malin, préfigure la prochaine grande région de l'Est de la France...
  8. NUIT DE L'ASTRONOMIE AU CDF LE 03 MAI 2014

    Qu'est-ce qu'il est pointilleux, ce barde échevelé...
  9. NUIT DE L'ASTRONOMIE AU CDF LE 03 MAI 2014

    AlSvartr , la prochaine occasion c'est le vendredi 29 et le samedi 30 août 2014 au CDF. [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 30-03-2014).]
  10. NUIT DE L'ASTRONOMIE AU CDF LE 03 MAI 2014

    Bien vu, Lor1.
  11. C'est reparti pour un tour au Champ du Feu, en ce samedi 03 mai de l'an de grâce 2014! C'est une soirée SANS LE PUBLIC, réservée exclusivement aux astronomes amateurs de l'Alsace, de la Suisse, du Luxembourg, d'Allemagne, de Belgique bien sûr, de la France de l'intérieur et même de Lorraine... Vous pouvez arriver à l'heure qui vous convient, disons à partir de 15 heures 16 heures. Même chose que d'habitude, les voitures rangées côté route et les télescopes côté herbe. Il y aura une photo de groupe au plus tard à 19h30. L'usage des stylos laser est interdit.SVP, laissez les lieux parfaitement propres avant de partir! Ce lieu naturel doit être respecté.En cas de mauvaise météo, la soirée sera annulée et ce sera annoncé la veille pour midi précises (le vendredi 02 mai donc), sur ce fil de discussion sur astrosurf. Pour garder la confidentialité de la soirée et ne pas attirer le public, il n'y aura pas d'annonce concernant cette soirée du 03 mai sur le site du Collectif. [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 18-04-2014).]
  12. quote:Ah il n'a qu'un 300... tu me rassures... > au moins il ne risquera pas de le prendre pour un vulgaire canard avec un bec et deux yeux, tandis que dans mon 500 à 300x avec les filtres, comme ils disent là-bas au Languedoc: "OPLV ça arrache grave!" Mister Rastaman, mon 300 tu l'as côtoyé cet été à Plaine de Walsch. Aurais-tu un petit problème d'alzheimer? Pour le canard de Thor, que tu prétends avoir vu, j'ai un gros doute, car un canard qui vit dans le grand Chien j'y crois pas beaucoup... Sinon très belle image de Jupiter de mon fils Philippe alias Halfie, qui pousse les choses à fond, comme à son habitude.
  13. climatoogue vs climatoseptique

    Le rapport AR5 du Giec a été publié en pleine crise de la pause du réchauffement et les critiques ont été vives dès le départ cette fois-ci. Voici ce qu'en dit ironiquement Ross McKittrick, statisticien et Professeur d'Economie (environnementale) à l'Université de Guelph au Canada, qui s'est notamment rendu célèbre en travaillant et publiant avec Steve Mc Intyre pour dénoncer les erreurs statistiques de M.Mann ayant conduit à la "crosse de hockey" qui a été l'icône des rapports SAR et TAR du GIEC: "Le rapport SPM en quelques mots : Depuis que nous avons commencé en 1990, nous avons vu juste pour l’Arctique, faux pour l’Antarctique, faux pour la troposphère tropicale, faux pour la température de surface, faux pour les ouragans, faux pour les Himalayas, faux pour la sensibilité climatique. Nous sommes dans le brouillard au sujet des nuages et inutiles au sujet des tendances régionales. Et au vu de ces constats, nous sommes confiants à 95% d’avoir raison."Le commentaire du climatologue Richard Lindzen:"Je pense que dernier rapport du GIEC a complètement sombré jusqu'à un niveau d'incohérence qui prête à rire. Ils proclament que leur confiance dans leurs modèles a augmenté alors que les divergences entre les modèles et les observations se sont accrues.Leur excuse pour l'absence de réchauffement durant les 17 dernières années est que la chaleur s'est cachée dans les profondeurs des océans. Mais ceci est la simple reconnaissance du fait que les modèles ne simulent pas les échanges de chaleur entre les couches de surface et les profondeurs des océans. De fait, c'est ce transport de chaleur qui joue un rôle essentiel dans la variabilité naturelle du climat et les affirmations du GIEC selon lesquelles le réchauffement observé peut être attribué à l'homme repose, de manière décisive, sur leur affirmation que leurs modèles décrivent avec précision la variabilité naturelle interne. Ainsi admettent-ils maintenant, de manière assez obscure, que leur hypothèse cruciale était totalement injustifiée.Enfin, en attribuant le réchauffement aux humains, ils dissimulent le fait que ce réchauffement a été petit et que ceci est totalement cohérent avec le fait qu'il n'y a aucune raison de s'alarmer à ce sujet. Il est tout à fait étonnant de voir les contorsions auxquelles le GIEC est obligé de se livrer pour maintenir en vie la perpétuation des objectifs climatiques internationaux."Voici plus globalement les réactions de climatologues et de la presse mondiale sur ce rapport. La presse française se signale tout particulièrement par son garde-à-vous intellectuel persistant envers le Giec et son absence totale d'esprit critique à l'inverse des presses anglo-saxonnes et allemandes: http://www.pensee-unique.fr/news.html#ar5 [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 08-10-2013).]
  14. climatoogue vs climatoseptique

    Il existe plusieurs théories globales de l’effet de serre côté sceptiques (celle de Richard Lindzen par exemple, avec son effet Iris) mais aujourd’hui on va voir celle du physicien hongrois Ferenc Miskolczi.L’effet de serre constamment saturé de Ferenc Miskolczi :Résumé de sa théorie : Selon Miskolczi, à toute augmentation du taux de CO2, le système climatique répond par une diminution du taux d’humidité relative, ce qui constitue une rétroaction négative (la vapeur d’eau est le plus puissant agent à effet de serre), qui fait baisser les températures. Comment ? Par baisse de l'effet du serre, ce qui autorise l'évacuation vers l'espace d'une quantité supérieure de rayonnements IR montant de la Terre, qui sont moins bloqués qu'avant. Bref c’est un peu comme un thermostat naturel. Explications : Ferenc Miskolczi est un physicien hongrois, spécialiste de l’atmosphère et des transferts radiatifs, qui a travaillé au sein de la NASA en tant que directeur de recherches, notamment sur l’évaluation du budget radiatif de la Terre. C'est donc un chercheur spécialiste du sujet concerné. Il a démissionné de la NASA en 2005, suite au refus de cette dernière de publier les résultats de ses travaux, qui remettaient il est vrai fondamentalement en cause le danger climatique lié aux GES. D’après lui, la cause de ce refus est à rechercher dans le fait que ses conclusions risquaient de priver cet organisme de financements importants. Ajoutons que le NASA GISS (la partie de la NASA qui s'occupe du climat) était dirigé à l'époque (et jusqu'en 2013) par James Hansen, le scientifique le plus engagé dans la promotion du réchauffement anthropique (dont il a été l'un des pères en 1988), qui a été arrêté par la Police de multiples fois lors de manifestations écologistes, qui a proposé de traîner en Justice les pétroliers pour « crime contre l'humanité et la Nature», et a comparé les convois de houille alimentant les centrales thermiques à charbon aux « trains de la mort » nazis. Cf cet article du journal Le Monde : http://www.lemonde.fr/planete/article/2008/06/25/un-climatologue-de-la-nasa-accuse-les-petroliers-de-crime-contre-l-humanite_1062472_3244.html C’est pourquoi l'étude très technique de Ferenc Miskolczi, a été publiée à l'origine par le journal hongrois Idöjaras, qui est un journal avec revue par les pairs. Quelles sont, en bref, les éléments essentiels du modèle climatique de Miskolczi ? 1- D’après lui, les différents agents à effet de serre doivent être traités en bloc et non séparément, comme le fait le GIEC : D’après les modèles d’ordinateurs utilisés par le GIEC, l’on considère que le mécanisme climatique fonctionne par étapes successives et bien séparées : l’homme rejette des GES dans l’atmosphère, ces GES qui s'accumulent réchauffent un petit peu la planète, ce qui provoque par évaporation une augmentation de la teneur en vapeur d’eau de la haute atmosphère, ce qui à son tour fait monter la température (par effet de serre). Notons que c'est l’humidité absolue qui augmente dans la haute atmosphère, alors que par contre l'humidité relative reste stable. Nous y reviendrons. Le phénomène se répète encore et encore jusqu’à provoquer un point de non retour avec emballement possible, puisque les océans offrent une réserve d’eau inépuisable, et que l'eau est le plus puissant GES. On atteint ainsi le fameux « tiping point » suivi d'un basculement dans le « runaway greenhouse effect » ou effet de serre divergent, qui transforme la Terre en une serre chaude façon Venus. Pour Ferenc Miskolczi cette procédure en deux temps (CO2 puis relais et renforcement par la vapeur d'eau) n’a pas de sens du point de vue de la physique de l’atmosphère et de l’équilibre des échanges Terre-atmosphère-espace. En effet, pour lui la Nature ne sépare pas les choses, et il ne peut exister à son avis qu’une seule équation d’équilibre radiatif, qui implique en une seule fois tous les gaz à effets de serre, notre planète et l’énergie solaire. Ce point a des implications importantes sur les calculs d’effet de serre qui s'en trouvent bouleversés. 2- D'après Miskolczi les équations de base de l’effet de serre (sur lesquelles reposent tous les modèles actuels) établies en 1922 par Milne à la suite d’Eddington (1916) sont erronées parce qu’elles sont incomplètes : Miskolczi observe d’une part que l’atmosphère est limitée et pas semi-infinie comme prévu dans les modèles, et d’autre part que le système d’échange de flux entre la Terre, l’atmosphère, et l’espace extérieur, obéit à des lois de conservation de l’énergie qui ne sont pas prises en compte par les modèles. 3- Selon la théorie de Miskolczi, à toute augmentation du taux de CO2 le système climatique répond par une diminution du taux d’humidité relative, ce qui constitue une rétroaction négative, qui fait baisser les températures, puisque la vapeur d'eau est le plus puissant agent à effet de serre connu. Pour Miskolczi, un ajout de GES provoque un tout petit réchauffement, suivi par un retour à l’équilibre, par compensation, via une baisse de l’humidité relative donc de l’effet de serre lié à la puissante vapeur d’eau. D’où l’expression « d’effet de serre constamment saturé ». C’est tout à fait contraire à la théorie classique de l’effet de serre façon GIEC, qui prévoit elle une montée de l’humidité absolue, mais par contre une stabilité de l’humidité relative,* (voir Note) c’est-à-dire en langage courant du taux d’humidité. Petite explication : l’on sait que selon la théorie du GIEC, un doublement du taux de CO2 dans l’atmosphère provoque à lui seul une montée des températures globales de 1,2°C (cf. le rapport de 2007). Si avant le doublement du CO2 la température de surface mesurée était à l’origine de 10°C (c’est un exemple), l’on obtient donc 11,2°C après doublement. Cette montée en température va provoquer une augmentation du taux de vapeur d’eau par évaporation. Or l’on sait (cf. la note ci-dessous) que plus la température est élevée, plus l’air peut contenir de vapeur d’eau. Le passage de 10°C à 11,2°C se traduit donc bien par une montée de l’humidité absolue, mais pas de l’humidité relative, puisque entre temps l’air s’est réchauffé augmentant ainsi sa capacité à contenir de la vapeur d'eau.Or nous savons que le taux de CO2 augmente continûment depuis des décennies, avec une belle courbe montante très régulière et un taux de 2 ppm/an en moyenne. L’humidité relative (le taux d’humidité) a-t-elle dans le même temps stagné, comme le prévoit la théorie du GIEC, ou régressé comme l’exige la théorie de Miskolczi ? Pour le savoir, nous disposons des mesures de la NOAA: or le graphique ci-dessous issu des travaux de cet organisme nous montre une baisse constante, et très nette, depuis 1948, de l’humidité relative dans la troposphère, autour de 9-10 km d’altitude (courbe du haut), là où selon la théorie l’effet de serre est à son maximum… On est passé de 47 % à 38 % d'humidité relative. Ce qui donne sur ce point raison à Miskolczi et tort aux modèles du GIEC. Ajoutons que le calcul complet de Miskolczi aboutit à une sensibilité climatique totalement négligeable de 0,24°C (ou K) au lieu de 3°C (GIEC) pour un doublement du CO2 atmosphérique (rétroactions incluses dans les deux cas). D'autre part le déclenchement d'un effet de serre divergent suite au franchissement du point de non retour est pour Miskolczi physiquement impossible. Une divergence climatique ne peut exister et la Terre ne risque pas de devenir une serre chaude.- Pour une présentation toujours simplifiée mais plus technique de la théorie de Miskolczi avec les équations, voir ici (paragraphe B): http://www.pensee-unique.fr/effetdeserre.html#Miskolczi - Pour une présentation très technique par le physicien hongrois Zagoni : http://nige.files.wordpress.com/2011/02/the-saturated-greenhouse-effect-theory-of-ferenc-miskolczi.pdf - Enfin voici l'étude de Miskolczi himself ici : http://www.friendsofscience.org/assets/documents/E&E_21_4_2010_08-miskolczi.pdf - Certains on tenté de réfuter sa théorie ici : http://www.realclimate.org/docs/Rebuttal_Miskolczi_20100927.pdf Remarque personnelle: Avec le problème du « runaway greenhouse effect » (dont la limite a été estimée par James Hansen à 350ppm et on en est à 400ppm) ou effet de serre divergent sensé transformer la Terre en serre chaude, jamais constaté dans le passé du climat terrestre malgré un taux de CO2 qui était 5 fois supérieur au nôtre du temps des dinosaures, celui du « hotspot » (augmentation des températures locales) toujours introuvable dans la haute atmosphère tropicale, et enfin cette baisse de l’humidité relative en haut de la troposphère, voilà 3 points où les observations contredisent la théorie des GES version Giec. Sans oublier, last but not least, le fait que depuis 1945 à 2013, sur 68 ans, les températures globales n'ont monté que de 1977 à 1998, soit durant 21 ans, la petite hausse de la période 1910-1945 étant difficilement attribuable au RCA vu les rejets de l'époque, et surtout si on considère qu'elle a été suivie de 32 ans de stagnation-baisse de 1945 à 1977 au point que l'on a craint un moment une période glaciaire à la fin des années 70. Voilà, je ne sais pas si Miskolczi a raison, car je ne suis certes pas capable d'évaluer son étude sur le plan scientifique, mais c'est une théorie alternative de l'effet de serre qui mérite le respect. Point intéressant, selon elle la soupape du réchauffement n'est pas à rechercher au fond des océans mais dans l'espace, par évacuation des rayonnements IR montants de la Terre. Une petite citation de M. Einstein pour terminer : « Aucune somme d'expérimentations ne pourra jamais prouver que j'ai raison, une seule expérience peut me prouver le contraire. » Je crains bien que pour la science climato-politique qui est hélas la nôtre, ce ne soit plus si vrai... PS : Miskolczi a comme de bien entendu un compte bancaire alimenté par Exxon et Total réunis... De plus il n'y connaît rien et son emploi à la NASA consistait à balayer les couloirs. * Note : Petite explication sur la notion parfois mal comprise d’humidité relative : La concentration maximale en vapeur d’eau dans l’air augmente fortement avec la température. Le volume d’air, qui peut contenir 250 ml d’eau à 0 °C, en contiendra 500 ml à 10 °C, 1 litre à 22 °C, et 2 litres à 33 °C. Mais il y a une limite maximale précise à la quantité de vapeur d’eau que l’air peut contenir. Lorsque cette concentration maximale est atteinte à une température donnée, l’air est dit « saturé ». Par définition, l’humidité relative est le rapport en pourcentage de la concentration effective en vapeur d'eau d’un volume d’air à la concentration maximale qui pourrait être atteinte dans ce même volume à la même température. L’humidité relative indique le degré de saturation de l’air et non son contenu en eau. Elle est de 100% dans les nuages et le brouillard, et de 10% au plus au-dessus des déserts durant le jour. À 22 °C, l’air peut contenir environ 8 g de vapeur d'eau par m3 (c’est sa capacité). Si ce volume n’en contient que 4 g, l’air est à moitié saturé et son humidité relative est de 50%. La valeur de l’humidité relative n’indique pas le contenu en eau de l’air. Une humidité relative élevée n’implique pas nécessairement une humidité absolue importante. Une humidité relative de 70% un jour de 10 °C semble bien différente de celle de même valeur un jour de 20 °C. Si l’air reste le même, son contenu en vapeur d'eau varie très peu durant le jour. Cela n’est pas vrai pour l’humidité relative. Elle suit la température de façon à peu près inverse : si la température diminue, elle augmente, et si la température augmente, elle diminue. En général, l’humidité relative atteint son maximum à l’aube, pendant la partie la plus froide du jour, et devient minimale au milieu de l’après-midi, quand la température est maximale. Elle a tendance à être plus élevée en hiver et moindre en été.
  15. climatoogue vs climatoseptique

    60% des Allemands déclarent ne pas avoir peur du changement climatique Alors qu’ils étaient minoritaires (38%) en octobre 2006, 60% les Allemands affirment en septembre 2013 ne pas avoir peur du changement climatique. C'est le résultat d’une grande enquête menée par le magazine allemand Spiegel. Ce changement radical de l’opinion publique en Allemagne, mais aussi ailleurs dans le monde y compris en France, où 1/3 des Français se déclare à présent « climatosceptique » selon une étude TNS Sofres, inquiète une partie des climatologues, dont ceux du GIEC, qui se réunissent actuellement à Stockholm pour discuter avec les délégués gouvernementaux de leur prochain rapport.[url]http://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/environnement-securite-energie-thematique_191/60-des-allemands-declarent-ne-pas-avoir-peur-du-changement-climatique-article_85020/ [/url]Bref le doute gagne les esprits en dépit des dénégations emberlificotées des pro-Giec. Encore deux ou trois ans de pause dans le réchauffement et il ne restera bientôt plus que les militants écolos pour croire en la parole du Giec... Je me sens de moins en moins seul au fil des ans... Dire qu'à partir du moment où l'on connaît bien le bilan des entrées sorties y a pas besoin de regarder les températures marcherait si on connaissait tout des processus climatiques en cours et d'un, et si on connaissait avec exactitude le bilan des entrées sorties et de deux. Or ce n'est le cas ni pour les processus ni pour le bilan! Il suffit pour le bilan de voir les variations fortes entre les bilans radiatifs de la Terre issus des différentes études. Rappel: l'impact du RCA c'est + 1,6 W/m2 depuis l'année 1750 selon le Giec. Or les différences d'interprétation pour le bilan radiatif global de la terre portent sur plusieurs dizaines W/m2... Mais ce type de raisonnement présente un grand danger qui est le suivant: on se dispense du coup de la validation des modèles par les observations de températures. On s'en moquerait s'il ne s'agissait que de blouses blanches qui s'agitent en laboratoire. Or ce n'est pas le cas! Je rappelle que le RCA sert de motif pour prendre au niveau mondial des mesures économiques de réduction des GES qui sont extrêmement coûteuses! Les politiques et le public qui en payent le prix, ont le droit de savoir si c'est pertinent et comment le savoir si on autorise les climatologues du Giec à travailler dans une boîte noire? Et puis ce genre de raisonnement fleurit comme par hasard juste au moment où la courbe des températures s'obstine à ne pas monter... [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 01-10-2013).]