Joël Cambre

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  1. CDF vendredi soir le 21/10?
    CDF vendredi soir le 21/10?
    CDF vendredi soir le 21/10?
    CDF vendredi soir le 21/10?
    CDF vendredi soir le 21/10?
    CDF vendredi soir le 21/10?
    CDF vendredi soir le 21/10?
    CDF vendredi soir le 21/10?
    CDF vendredi soir le 21/10?
    CDF vendredi soir le 21/10?

    C'est là :

    [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 18-10-2011).]


  2. J'ai connu un enseignant en Faculté qui a pété les plombs (dépression) après avoir obtenu son poste de professeur d'Université. C'était le top, y avait rien à obtenir au dessus... Il n'a pas aimé! Peut-être que nos astronautes, après les affres de la sélection, l'entraînement sévère durant des années, ont senti comme un grand vide après avoir décroché la Lune. Quoi entreprendre qui en vaille la peine après "ça"? Après on devient un peu comme un ancien combattant qui va ressasser encore et encore devant un public de plus en plus clairsemé des choses incommunicables.

    [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 18-10-2011).]


  3. L'analyse de Gordon sent le "à postériori" d'inspiration très récente et j'ajouterais une certaine influence occulte d'un certain SB... Sinon pour les pages inoubliables des alpinistes, ben les cosmonautes sont par formation et par goût d'abord des scientifiques, pas des littéraires. Chacun son job. Pour avoir des pages sublimes il faudrait envoyer là-haut un poète. Non je crois qu'il y a autre chose les concernant mais je ne sais pas quoi. Peut-être ont-ils touché du doigt là-haut l'insignifiance de la vie humaine, de leur vie, son absurdité par certains côtés, le ridicule absolu de nos luttes et de nos émois d'ici-bas, face à ce vide sidérant, éternel et minéral, qui est juste là, immense, implacable, et menace de vous détruire à chaque instant, sanctionnant la moindre faute sans aucun état d'âme et dans une solitude absolue. Rien sur Terre ne peut préparer à ça je pense.

    [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 18-10-2011).]


  4. quote:
    C'est aussi une erreur, parce que si les réactions nucléaires du soleil s'arrêtaient, il ne vivrait pas un million d'années supplémentaires mais quelques heures, comme c'est le cas pour les supernovae de Type II.

    Quelques heures ChiCyg? Moi qui croyais que c'était quasiment instantané. La pression radiative résiduelle peut-être, déjà produite et finissant d'agir vers l'extérieur?

  5. En fait mister Eric veut observer tout en collimatant en continu, une main sur la pointage du télescope, et l'autre passant alternativement de la mise au point à la collimation. Je suis un peu maniaque pour la collimation, mais là j'avoue que j'en suis baba! Ceci dit, à l'inverse, y en a qui ne collimatent pas leur dobson à chaque début de soirée, si si, ça existe, j'en ai même rencontré quelques-uns au CDF...

  6. Ce qui me stupéfie dans ce débat, c'est le refus systématique de la part de certains de prendre en compte comme pertinente UNE SEULE ETUDE venant d'un sceptique, fut-elle celle de gens comme Lindzen (chef climatologue au MIT) ou Spencer (ancien de la NASA et à présent prof à l'université d'Alabama), qui sont loin d'être des charlots et valent bien largement en compétence un Jouzel ou un Trenberth. On fait semblant d'être ouvert, mais PAS UNE SEULE FOIS on n'a admis comme recevable une étude venant d'ailleurs que du monde du Giec. A croire que le scepticisme climatique détériore les cellules grises du cerveau de ceux qui s'y adonnent et qu'ils ont tout faux quand ils travaillent dans leur spécialité, la climatologie... A croire que Lindzen, soit devenu idiot en quittant le Giec en 2001, et que Judith Curry soit menacée du même syndrome elle qui vient de rompre. Soit ce sont des attaques sur la personne (la corruption via l'inévitable Exxon... ou les croyances de l'intéressé) soit on déclare que les types se trompent carrément et leurs études sont bidonnées, fausses, à rejeter. Tout cela serait bizarre si on oubliait (ce que je ne fais pas...) que le débat climatique est pollué par la passion politique voire la morale. Comme les émotions sont en jeu, comme il y a beaucoup à perdre question prise de position idéologique, on refuse tout en bloc, c'est absolument typique. Et en plus on manipule en voulant faire croire que c'est moi qui suis bloqué sur une position, moi j'en ai changé de position, de l'acceptation de la théorie des GES au scepticisme à son égard, mais c'était après m'être documenté, et j'ajoute des deux côtés, car il est impossible de comprendre les études des "anti" si l'on n'a pas compris la thèse des "pour".

  7. Ouhais, on retourne en rond. Certains ne veulent pas voir qu'il y a un débat entre les spécialistes sur la chaleur perdue depuis 10 ans, et ils préfèrent filtrer le moucheron en chipotant sur des précautions de langage journalistiques évoquant ce débat et piquées dans les articles. On va faire une pause. J'attends le papier de Lindzen et Choi remanié, qui va sortir et est en cours de relecture par les pairs en ce moment. Toujours sur ce problème des flux radiatifs sortant de l'atmosphère, qui est crucial.


  8. JLD tout d'abord nier les faits ne sert à rien, le débat actuel des spécialistes, sur où est passé "the missing heat", existe et les médias anglo-saxons de tous bords en parlent (au contraire des médias français qui se taisent sur ce sujet) : http://www.time.com/time/health/article/0,8599,1982477,00.html http://dailycaller.com/2010/04/21/global-warming-climate-scientists-investigate-lost-heat/ http://www.guardian.co.uk/environment/2010/apr/15/ocean-missing-heat-global-warming http://www.sciencedaily.com/releases/2010/04/100415141121.htm
    etc. etc.

    Donc ces spécialistes admettent ce que tu nies, à savoir que depuis 10 ans ça ne monte plus et c'est bien pourquoi ils veulent savoir pourquoi, alors que le CO2 lui a continué à monter. Les courbes que je montre viennent des données du HadleyCRUT3, fournisseur officiel du Giec, et du RSS/MSU, l'organisme qui gère les données satellitaires. Elles montrent les mesures de températures tout bêtement. Mais puisque tu aimes le Giss de James Hansen, voilà sa courbe pour la période de 1996 à aujourd'hui, qui est plus lisible pour le sujet dont on parle, à savoir l'évolution des 10 à 12 dernières années:

    C'est une stagnation. D'où le débat actuel des spécialistes, sur où est passée la chaleur perdue? Tu dis toujours que tu est ouvert d'esprit, mais je constate que même quand on te met sous le nez un vrai problème, reconnu des climatologues du Giec eux-mêmes, comme par exemple Trenberth et Fasullo, qui sont en pointe suer la question, toi tu réfugies dans la négation.


  9. quote:
    Mais ma lunette est restée en rideau bien que l'extérieur du tube s'asséchât.

    A que j'aime bien ce "s'asséchât", que l'on rencontre fort peu aujourd'hui... Oui on a passé une très bonne soirée, dès que la buée nous a quitté. Il fallait persévérer, en fait. La nébuleuse clignotante c'était blinking planetary, alias NGC 6826, dans le Cygne, une belle petite boule verte, qui va, qui vient, comme elle le sent, jolie! On n'a pas oublié les dentelles, les trois dentelles en fait, NGC 6960 et 6992 et 6995, mais à l'oeil ça fait deux. Alors pour le Quintet de Stephan, que quelques esprits chagrins s'obstinent à qualifier de Guinguette de Stephan, là ce fut plus dur. J'ai d'abord trouvé la petite galaxie qui se situe à côté, Ngc 7331, un joli petit fuseau bien net et bien propre dans le ciel. Pour le Quintet ce fut Fabien alias "oeil de Lynx" qui nous l'a montré. A 70x moi je ne voyais rien. Passant à l'Ethos 10mm et donc à 180x (avec le paracorr en place) là j'ai vu un trio de taches floues. L'Historieur n'a rien pu voir mais auparavant il avait refusé obstinément de prendre une rasade de potion magique du CDF. Fatale erreur! Que Rastaman n'aurait pas commise lui, le spécialiste du Quintet de Stephan. Je rappelle que la magnitude limite de mon dob de 400mm est de 15,1! On observait là des galaxies qui tournaient toutes à 14 virgule quelque chose! Après on a jeté un oeil sur M33, bof, pas terrible, sur Jupiter où Fabien et moi on a vu deux taches rouges... NGC 891, où l'Historieur a tout de suite vu la bande d'absorption, comme quoi il voit quand il veut bien, le bougre... On a terminé par un double amas de Persée placé très haut dans le ciel, un ciel bien clair et froid. Et là j'ai failli tomber à la renverse, OPLV², voilà ma note! C'est un nouveau degré dans la classification du CDF... Une boîte à bijoux scintillant en silence dans le ciel (quand je dis en silence, l'Historieur est assez bavaard alors...), c'est exactement ça! Un final éblouissant. Au fait Pierre S. m'a dit qu'il y avait une carbonée dans le double amas. Je ne l'ai pas vue. Par contre on a tous admiré un astérisme en forme de parachute, ou de mongolfière, ou de coquille Saint-Jacques, dans l'amas de gauche.

    Une fort belle soirée!


  10. Mettons de côté le soleil puisque à ton avis il n'a aucun effet sensible ou en tout cas prouvé sur le climat. Pour les volcans, seules les éruptions majeures et agissant sur une certaine durée ont un effet (refroidissement d'environ un an et demi à deux ans) sur le climat et y en a pas eu pour les 10 dernières années. Les petites éruptions récentes des volcans islandais c'était pinuts, trop faible, trop court. On a par contre eu le Pinatubo en 1991 et le El Chichon en 1981, ça c'était du sérieux, mais c'était avant.
    Quant aux fluctuations à deux ans des El Nino et des La Nina ceela ne change rien au problème, car c'est un cycle sur deux ans, décalé de six mois pour leur effet sur les températures, et un coup vers le haut (Nino), un coup vers le bas (Nina), sur 10 ans tout ça se moyenne.

    La preuve :

    Les GES étant rejetés de façon continue, leur action est elle aussi continue et ils devraient faire monter la courbe de toutes façons, en dehors des fluctuations sur deux ans des Nino ou Nina. Par exemple, en 2010 on a eu un fort El Nino, et en ce moment on est dans un La Nina.


  11. ChiCyg, je suis désolé si je t'ai vexé, mais vraiment, que ce soit avec toi ou JLD j'ai l'impression de me heurter à un mur d'incompréhension, que la forme du forum favorise, car c'est un moyen de communication pauvre. Quant à Superfulgur il me prend pour un rigolo. Répondre en permanence à 3 ou 4 personnes sur des points de détails, un mot mal placé, un truc pas bien compris, une saillie ironique, est usant. Alors la patience flanche parfois, et pourtant je suis d'un naturel plutôt courtois. Comme je n'ai pas le temps de passer des heures sur ce forum, je suis peut-être aussi un peu rapide et elliptique dans certains posts, ce qui peut induire des confusions.

    Mais ce que j'ai découvert de la science du climat m'a vraiment fait penser à beaucoup de légèreté et d'arrogance de la part de ceux qui affirment qu'à la fin du siècle il fera +3°C de plus qu'à présent (valeur moyenne du Giec, rapport AR4). On ne sera plus là pour le voir tu me diras... Mais qu'en savent-ils? Cette science est si jeune et a tant de choses à apprendre encore sur le soleil, les nuages, les aérosols, tous affublés d'un degré de compréhension faible dans le rapport de 2007, que faire ce genre de prédictions est ridicule. Remarque au passage que 3 degrés de plus en un siècle ça sous-entend une pente moyenne de +0,3°C par décennie. Or depuis 1980, c'est-à-dire depuis le début de la reprise du réchauffement qui a recommencé en 1978 (après la pause de 1945 à 1977) on en est à +0,14°C par décennie pour les températures de surface globales (TLT). Cela a un peu baissé depuis le printemps dernier d'ailleurs, dans mon livre sorti en avril on en était à +0,163°C par décennie, bref, peu importe. Cela ce sont des faits mesurés par les satellites : http://www.remss.com/msu/msu_data_description.html#msu_amsu_trend_map_tlt

    Et cette tendance de +0,14°C par décennie prend en compte la période 1980-2011, c'est-à-dire la période de montée assez forte de 1978 à 1999. Or depuis le début de ce siècle, la tendance s'est ralentie au point qu'on parle de stagnation pour la dernière décennie comme on le voit sur la série de schémas ci-dessous:
    Les données sont celles fournies par le HadCRUT3 britannique, collaborateur attitré du Giec (celui dont on a piraté les mails), et les courbes ont été tracés par un scientifique norvégien, Ole Humlum. Son site est une mine d'infos et se focalise non pas sur les commentaires, mais sur les statistiques du climat : http://www.climate4you.com/

    Sa biographie: http://www.climate4you.com/Text/BIBLIOGRAPHY%20OLE%20HUMLUM.pdf

    Tendance températures globales sur les 100 dernières années:

    Tendance sur les 20 dernières années:

    Alors bien sûr, comme le taux de CO2 dans l'atmosphère continue à croître, et que l'effet de serre est sensé jouer en provoquant un forçage radiatif puissant, la communauté scientifique (les pro-Giec et les anti) s'est demandée pourquoi les températures des 10 dernières années ne montaient plus. Si on s'en tient à la théorie des GES, il n'y avait qu'une explication possible: la chaleur produite et perdue (qui n'avait pas réchauffé la surface terrestre) était bien passée quelque part et il fallait savoir où. Il ne restait qu'un coupable possible: les océans, car eux seuls pouvaient avoir absorbé ce surcroît de chaleur énorme. On a donc mesuré avec les bouées Argos (y en a 3000) la chaleur des océans, de 0 à moins 700m, à savoir la couche superficielle, celle qui est la plus sensible aux variations de températures sur de courtes périodes de temps.
    Résultat, pas probant. Les océans ne se réchauffent plus depuis 2003/2004, de zéro à -700m de profondeur.

    Si ce n'est pas les océans qui ont absorbé la chaleur produite il y aurait bien une autre solution, qui fout par terre par contre la théorie des GES: la chaleur s'échapperait vers l'espace. Les GES n'agiraient pas comme un "couvercle" étanche aux rayonnements IR montant du sol... C'est l'intérêt des travaux de Lindzen et Choi, plus Spencer et Braswell, qui suggèrent, à partir des données satellitaires mesurées (et pas à partir de modèles), que les flux radiatifs s'échappant de la Terre augmentent quand la température de surface croît, ce qui rétablit l'équilibre et constituerait une rétroaction négative, ou une sorte de thermostat naturel du climat. Discussion en cours. Alors faire des prédictions à 100 ans dans ces conditions...

    Voilà par exemple, un des éléments qui me font douter que le climat fonctionne vraiment comme le dit le Giec. Et si c'était le seul...

    [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 01-10-2011).]


  12. ChiCyg, je suis désolé si je t'ai vexé, mais vraiment, que ce soit avec toi ou JLD j'ai l'impression de me heurter à un mur d'incompréhension, que la forme du forum favorise, car c'est un moyen de communication pauvre. Quant à Superfulgur il me prend pour un rigolo. Répondre en permanence à 3 ou 4 personnes sur des points de détails, un mot mal placé, un truc pas bien compris, une saillie ironique, est usant. Alors la patience flanche parfois, et pourtant je suis d'un naturel plutôt courtois. Comme je n'ai pas le temps de passer des heures sur ce forum, je suis peut-être aussi un peu rapide et elliptique dans certains posts, ce qui peut induire des confusions.

    Mais ce que j'ai découvert de la science du climat m'a vraiment fait penser à beaucoup de légèreté et d'arrogance de la part de ceux qui affirment qu'à la fin du siècle il fera +3°C de plus qu'à présent (valeur moyenne du Giec, rapport AR4). On ne sera plus là pour le voir tu me diras... Mais qu'en savent-ils? Cette science est si jeune et a tant de choses à apprendre encore sur le soleil, les nuages, les aérosols, tous affublés d'un degré de compréhension faible dans le rapport de 2007, que faire ce genre de prédictions est ridicule. Remarque au passage que 3 degrés de plus en un siècle ça sous-entend une pente moyenne de +0,3°C par décennie. Or depuis 1980, c'est-à-dire depuis le début de la reprise du réchauffement qui a recommencé en 1978 (après la pause de 1945 à 1977) on en est à +0,14°C par décennie pour les températures de surface globales (TLT). Cela a un peu baissé depuis le printemps dernier d'ailleurs, dans mon livre sorti en avril on en était à +0,163°C par décennie, bref, peu importe. Cela ce sont des faits mesurés par les satellites :

    TLT = Temperature Lower Troposphere
    TMT = Temperature Middle Troposphere
    TTS = Temperature Troposphere / Stratosphere
    TLS = Temperature Lower Stratosphere

    Et cette tendance de +0,14°C par décennie prend en compte la période 1980-2011, c'est-à-dire la période de montée assez forte de 1978 à 1999. Or depuis le début de ce siècle, la tendance s'est ralentie au point qu'on parle de stagnation pour la dernière décennie comme on le voit sur la série de schémas ci-dessous:
    Les données sont celles fournies par le HadCRUT3 britannique, collaborateur attitré du Giec (celui dont on a piraté les mails), et les courbes ont été tracés par un scientifique norvégien, Ole Humlum. Son site est une mine d'infos et se focalise non pas sur les commentaires, mais sur les statistiques du climat : http://www.climate4you.com/

    Sa biographie: http://www.climate4you.com/Text/BIBLIOGRAPHY%20OLE%20HUMLUM.pdf

    Tendance températures globales sur les 100 dernières années:

    Tendance sur les 20 dernières années:

    Tendance sur 10 dernières années :

    Alors bien sûr, comme le taux de CO2 dans l'atmosphère continue à croître, et que l'effet de serre est sensé jouer en provoquant un forçage radiatif puissant, la communauté scientifique (les pro-Giec et les anti) s'est demandée pourquoi les températures des 10 dernières années ne montaient plus. Si on s'en tient à la théorie des GES, il n'y avait qu'une explication possible: la chaleur produite et perdue (qui n'avait pas réchauffé la surface terrestre) était bien passée quelque part et il fallait savoir où. Il ne restait qu'un coupable possible: les océans, car eux seuls pouvaient avoir absorbé ce surcroît de chaleur énorme. On a donc mesuré avec les bouées Argos (y en a 3000) la chaleur des océans, de 0 à moins 700m, à savoir la couche superficielle, celle qui est la plus sensible aux variations de températures sur de courtes périodes de temps.
    Résultat, pas probant. Les océans ne se réchauffent plus depuis 2003/2004, de zéro à -700m de profondeur.

    Voilà par exemple, un des éléments qui me font douter que le climat fonctionne vraiment comme le dit le Giec. Et si c'était le seul... D'où l'intérêt des travaux de Lindzen et Choi, plus Spencer et Braswell, qui suggèrent, à partir des données satellitaires mesurées (et pas à partir de modèles), que les flux radiatifs s'échappant de la Terre augmentent quand la température de surface croît, ce qui rétablit l'équilibre et constituerait une rétroaction négative, ou une sorte de thermostat naturel du climat. Discussion en cours. Alors faire des prédictions à 100 ans dans ces conditions...

    [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 01-10-2011).]


  13. JLD, tu fais semblant de ne pas remarquer que ces mails parlent tous de travaux scientifiques sur le climat, et pas de la vie privée des chercheurs concernés. Alors que ta pratique consiste à aller fouiller dans les opinions politiques ou religieuses des scientifiques, pour dire, si elles ne sont pas conformes à l'air du temps, "vous voyez les travaux de tel ou tel sont à jeter au panier, car avec de telles opinions ils ne peuvent pas être pertinents". Ce qui est une absurdité maintes fois démontrée par le passé, car on peut être à l'ouest ou carrément odieux sur le plan personnel, et parfaitement compétent scientifiquement. C'est cela c'est la police de la pensée.

    Ps: Je crois qu'on tourne en rond et qu'on a assez pollué le post de ce pauvre docteur Simon... Désolé Eric.

    [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 30-09-2011).]