maire

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Messages posté(e)s par maire


  1. Il y a 7 heures, fred-burgeot a dit :

    Les rotules : ça se barre dans tous les sens, d'où le collier liant par deux les tubes en partie haute, on a ça sur le T600 du club et je trouve ce système pénible. Une fois en place on retrouve la même géométrie que le montage d'avant, mais au niveau ergonomie il y a mieux. Les attaches rapides de vélo, pas fan non plus, j'ai eu ça sur mon précédent T400, c'est jamais à la bonne tension.

     

    Lu et approuvé! Les systèmes à poignées indexables c'est ce qu'il y a de mieux.


  2. Il y a 12 heures, HAlfie a dit :

    Si trop transportable, tu y perdras niveau tenue de la collimation

     

    Surprenant!  La bonne tenue de la collimation est parfaitement compatible avec le transportable. C'est une question de conception du bouzingue.

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  3. Le 30/03/2021 à 17:49, HAlfie a dit :

    et/ou Nikon SW 17mm

     

    Ceux là sont top sur une bino TV. Ceci étant je me suis séparé de la bino et de ces excellentissimes oculaires, outre que j'aime bien aussi les images très piquées en bord de champ ce qui n'était pas forcément évident en CP à F/4, je trouve que l'on a une meilleure rapidité d’exécution de changement d'oculaires sur le terrain derrière le parracor de type 2.


  4. Il y a 14 heures, Pascal C03 a dit :

    Les tubes sont encastrés à leurs extrémités

     

    Ce n'est pas un peu du trop lourd pour une cage secondaire? Et pas de buté pour le tube? Et la pièce de serrage est difficile à fabriquer... car l'angle va changer un pouième quand on va raccourcir les tubes pour chercher le point de focalisation lors de la première lumière.  Donc la compression du tube ne se ferra pas régulièrement le long du bout du tube. Je pinaille peut-être... Je préfère le serrage avec une poignée indexable sur une terminaison de tube en alu. Cela fait un serrage précis et  plus fiable que le serrage sur le tube.

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  5. Autant 32 c'est quasi un peu juste sur un T600 (j'avais 38 sur mon ancien T600 en vertu de la loi qui peu le plus peut le moins, surtout sur un F/D court à cause de la plus faible tolérance sur la collimation), autant pour un T300 on peut imaginer de passer à 25, mais avec 30, tu ne te poses plus de questions ;)  Et c'est joli :)


  6. Il y a 13 heures, lyl a dit :

    - diffusion dans les lentilles multiples nécessaires pour le f/D court et le champ large

     

    Et donc, et donc... à F/D court avec une optique irréprochable (critère de Francon et Couder pour un miroir primaire et un barillet au petit soin...) et une turbulence quasi nulle, on évite de multiplier le nombre de lentilles? ...  pour se garder la possibilité de grossir au delà du x2D sur du planétaire. Donc pour un dobson en suivit manuel, un oculaire courte focale grand champ (genre Ethos 4,7mm)  derrière le seul parracor c'est quand même un graal intéressant pour le ciel profond et le planétaire... C'est ainsi qu'en visuel je n'utilise jamais de barlow (en dehors du fait que le montage d'un "château de lentilles" sur le PO induise un porte-à-faux supplémentaire...) même si sur le terrain la différence entre un montage avec et sans barlow est difficile à percevoir... Après ,avec un suivit motorisé, on pourrait alors s'autoriser un oculaire à champ plus réduit, genre orthoscopique... mais comment dire.... quand on a gouté au confort du grand champ...


  7. il y a une heure, aubriot a dit :

    apparemment tu ne connais pas ce matériel

     

    Comme je suis d'un naturel plutôt curieux :) j'ai eu l'occasion d'essayer ce matériel lors d'un rassemblement astro. C'est vrai que cela donne de bons résultats, mais comment dire... je préfère faire les choses en contrôlant ce qui ce passe réellement en observant  "derrière la chaîne optique" plutôt qu'en faisant confiance certes à un super collimateur qui coûte quand même - sauf erreur - près de 300 dollars. J'ai dis un Nagler mais cela aurait peu être un oculaire genre sky watcher qui fait le même travail pour un coût plus faible, car ce Nagler 2,5mm (en plus trouvé en occasion) je peux aussi m'en servir pour observer (certes c'est plutôt rare) ;) Pour ce qui est du tabouret, en général avec un F/D court on en a pas trop besoin sauf si le télescope est un très grand diamètre. Et puisque que le F/D est court le tube n'est pas long.


  8. La collimation d'un F/D court sur une étoile (évidemment si le primaire n'est pas contraint), du fait du décalage du secondaire (offset pour les anglicistes distingués) suit une procédure et finalement se réalise simplement. Cela évitera l'achat de collimateurs onéreux genre catyes ou autres trucs bidules machins de cet acabit; seul un collimateur basic bien réglé - genre Bader - peut s'avérer utile pour un préréglage de l'alignement de l'axe optique pour gagner en rapidité afin de débuter une soirée d'observation (sinon le cheshire quand il fait encore jour). Je vais résumé cela brièvement par écrit... Prendre un oculaire de courte focale et centrer l'étoile comme a dit Serge. Faire un premier balayage intra/ extra focal. Le premier réglage de collimation consiste à régler la position  de l'ombre du secondaire (juste au moment ou elle commence à apparaitre quand on ajuste la mise au point) en symétrie par rapport à un axe imaginaire passant par le centre du disque lumineux extérieur, et cela pour une action identique du PO pour aller de l'intra vers l'extra-focale. A noter que plus le F/D est court plus le phénomène est perceptible. Si ce réglage est au poil, le reste ne sera ensuite que du peaufinage. Il consistera à se rapprocher de la mise au point optimal et à bien centrer les cercles... Je précise que lors de la conception d'un dobson la collimation par le haut facilite grandement l'affaire. Parfois on entend ici ou là et dans l'espace intergalactique que quand on a de la turbulence on ne peut pas collimater sur une étoile pour finaliser, c'est faux... Là il faut vraiment un oculaire de très courte focale (j'ai un Nagler 2,5mm que parfois je dédie à cette activité...) et examiner comment se répartisse statistiquement les tavelures de l'étoile (A nouveau les anglicistes distingués vont encore nous emm... en causant de speckle...). C'est particulièrement flagrant dans un grand diamètre. Il faut simplement finaliser le réglage en touchant finement les vis de collimation de façon à répartir de manière égale la fréquence d'apparition de ces tavelures. Avec l'habitude ça va tout seul. Ceux qui font du traitement d'image comprendront que si on intègre l'image de l'étoile sur un temps de pose supérieur à quelques secondes on obtient alors un profil d'intensité lumineuse de l'étoile qui correspond à une gaussienne parfaite lorsque l'instrument est collimaté.

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  9. Le 02/03/2021 à 20:47, almak a dit :

    les 2 cercles m’interessent Car je veux surtout faire du visuel

     

    En visuel c'est aussi très critique, si on veut avoir la chance d’observer l'étoile centrale de M57 avec un T300 par exemple les nuits ou la turbulence est bien entendu très calme, c'est certainement pas avec des lames courbes qu'on mettra toutes les chances de son coté...

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  10. il y a 1 minute, xs_man a dit :

    David les as testées dans la vraie vie et que ça marche bien

     

    Sauf erreur, il a dit qu'il trouvait bluffant l'effet boule sur Saturne et Jupiter. Normal vu que la diffraction des lames courbes est diffusée sur l'ensemble de l'image comme le dit Jean Dijon. Par contre ce qu'il faut regarder c'est les plus petits détails sur le disque planétaire telle les WOS sur Jupiter, là chercher le pouième de contraste peut s'avérer déterminant, et la présence d'aigrettes n'a rien à voir là dedans.

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  11. C'est simple et certaines choses ont déjà été martelées:

    1) Une table, un éclairage rouge optimisé, des crayons, parfois des fusains de couleur, etc

    2) Ouais d'accord.... Il n'y a pas d'instrument idéal MAIS

    3) Cependant quand on a dit qu'on peut faire du dessins avec n'importe quelle interface optique (jumelle, monocle, œil, lunette apo... euh non ça c'est pour l'imagerie!, etc.) un dobson avec une aide au pointage (les anglophones et ceux qui ne respectent pas la loi Toubon disent Push to) du plus grand diamètre possible sans compromis sur la qualité de la chaine optique (c'est à dire une mécanique rigide, une optique de bonne qualité, des oculaires à grand grand champ - ben oui vaut mieux investir peu mais en grand grand car en général on utilise le plus souvent que 2 ou 3 oculaires) et ben on a l'instrument pour dessiner par excellence. Ben ouais Serge, désolé c'est ça l'instrument idéal, que tu utilises du reste :)

     

    COUP GUEULE DU JOUR: j'en ai un peu marre de voir que l'utilisation du vocable "setup" (I use it only with english people) s'est généralisée ces dix dernières années alors que la langue française permet de bien belles choses.

     


  12. il y a 13 minutes, nicephore a dit :

    Donc entre la théorie et la pratique il y a un monde...

     

    On est bien d'accord même si la théorie du traitement du signal en optique repose aussi sur la pratique...  Mais quand on traque tous les critères pour augmenter le contraste, ne pas utiliser des lames courbes est un des critères parmi d'autres; surtout pour un grand diamètre (pour le bel instrument que tu as réalisé cela passe très bien encore que c'est à tester sur les WOS de Jupiter par exemple un jour ou la turbulence est résiduelle à diamètre et qualité des optiques égales). Après, la forme de l'araignée et même l'obstruction si elle est raisonnable ne sont pas le critères les plus déterminants: la qualité de l'état de surface du primaire, la précision du barillet passe avant, la rigidité globale de l'instrument passent avant...

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  13. Les araignées cylindriques et autre branches courbes nécessitent de donner de l'épaisseur aux dites branches. Dans les forums astros, c'est un serpent de mer qui revient régulièrement cette volonté esthétique de ne plus voir les aigrettes en peinture O.o. Mais au final cela diminue le contraste sur l'image... Bref les lames courbes, c'est de la m....

    Car pour résumer en une phrase: la diminution du contraste sur l'image dépend de la somme des longueurs des lames d'araignée à épaisseur considérée égale. En clair la somme des longueurs de lames courbes prend une claque et en plus on doit leur donner de l'épaisseur si on veut conserver une rigidité mécanique acceptable lorsque l'instrument pointe au raz de l'horizon sans perdre un peu de réglage de collimation...

     

    L'article fondamental qui décrit parfaitement cette problématique:

    Diffraction effects of telescope secondary mirror spiders on various image-quality criteria

    James E. Harvey and Christ Ftaclas Applied Optics. 1 October 1995, Vol. 34, No. 28, APPLIED OPTICS

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  14. Un mewlon 300... comme ça a priori, ma perception est que cela correspond à un usage confidentiel en imagerie... pour du planétaire ou des NP et avec une monture de la mort qui tue en termes de précision... mais après avec un newton astrographe ça doit faire le job pour moins cher, pour moins lourd, etc... Après je ne jette pas la pierre sur ce type de matos! Bien au contraire car si je dois reprendre un instrument de type tube un jour je reprendrai du mewlon (ben oui j'ai eu le tord de revendre mon tube dans les années 2000 :(  à l'époque où j'ai dû faire des choix financiers...) mais en 180! Le M180 se tient d'une main en le prenant par le chercheur... Facilité et qualité...  Salutations astros.

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  15. Il y a 1 heure, xs_man a dit :

    Et que dire de ce chef d'oeuvre du perçage, la "Joconde du trou", fabuleux non  ?

     

    Ouais... j'adore les trous dans les télescope "sauf que sauf que" ....celui-ci est en rien optimisé d'un point de vue mécanique (des haches trop grandes, des triangulations inutiles...) et même le principe de l'araignée "multibranches" est suspect