babar001

Membre
  • Compteur de contenus

    1 852
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Last Connexion

    Soon available - 41355

Tout ce qui a été posté par babar001

  1. Monsieurs les dobsoniens...

    Merci à tous pour vos réponses Une petite précision: quand je parle d'un petit instrument top ca peux aller quand-même jusqu'à +/- 20cm de diamètre car c'est au delà que pour moi le mot dobson prend tout son ampleur. Ce que je voulais montrer c'était la quête sans fin du "encore plus gros" alors qu'on peut s'amuser avec un diamètre encore raisonnable. Un débutant en lisant les messages des partisans des gros dobsons va croire que pour faire de l'astronomie il FAUT le plus gros télescope sinon rien! Pourquoi ne pas s'inscrire dans un club ou aller à des rencontres astronomiques si on est tiraillé par la fièvre du diamètre. Beaucoup d'entre nous habitent en ville et beaucoup aussi ne possèdent pas de jardin d'ou la nécéssité de s'évader avec son instrument( pas trop loin ) qui doit donc être facilement transportable (et pas déplacable dans une camionnette). Pour du planétaire je n'ai jamais observé dans un 600mm mais si le site est quelconque combien de fois par an( ou mieux, combien de fractions de seconde de calme durant une session d'observation) il pourra grossir dans les 900X minimum pour donner sa plénitude? Mais bien sur, le moment où c'est stable, j'ose pas imaginer la beauté...
  2. maksutov 90 ou 102

    Bruno, Je suis d'accord que pour voir certains objets le fond du ciel doit être noir et souvent on doit grossir pour y arriver. Mon oeil est plus aveuglé par une source lumineuse avec un faible grandissement(ou grossissement: c'est l'image de l'objet qui est agrandie sur ma rétine et non pas grossie mais bon, pour moi et beaucoup d'autres c'est kif kif, il est vrai que je viens de Belgique et que ...) qu'avec un fort donc c'est plus lumineux par unité de surface(on peut parler de flux lumineux). On est aussi d'accord qu'une ouverture de 100mm ne donnera pas plus de lumière à 20X qu'à 100X (l'entonnoir à, photons n'a pas changé) On va parler alors de pupille de sortie pour se mettre d'accord. Un plus gros collecteur de lumière permettra avec la même pupille de sortie de grandir/grossir plus l'image et aussi d'y voir plus de détails mais il aura par unité de surface pour l'oeil la même "clarté". Mais un objet peu lumineux y sera vu par ce gros collecteur de photon et pas parl'autre. Je ne serai pas plus ou moins aveuglé par la pleine Lune à 20X avec une 100mm qu'à 40X avec un 200mm. Voilà c'est ce que je pense mais si j'ai tout faux explique moi où c'est cela qui nous fait tous progressé! A+
  3. Choix d'un instrument "léger"

    Sirius: Oui et encore pire: la lune à 120x (lanthanum de 4mm) avec une excellente SW (bien collimatée et peu d'aberration de sphéricité)de 100mm à f/d 5 et ca passe bien. La première fois que j'ai observé la lune à ce grandissement j'ai même été agréablement étonné (par opposition a ce qui se disait sur les sites américains) Bien-sûr il y a du chromatisme mais si on ne se focalise pas dessus la lune est bien contrastée avec vraiment de nombreux détails visibles, le tout encore bien piqué. L'image est un poil meilleur si on atteint ce grandissement avec une bonne barlow. Au delà de 120x, c'est un espèce de voile jaune qui altère fortement l'image plus que le halo bleuté qui diminue car l'objet devient moins lumineux. Je ne doute pas que dans le Mak( je n'en ai pas, pas pour leurs prix attractifs il est vrai, mais bien pour la focale trop grande)ce serait meilleur mais la lunette le fait encore. Sur saturne la division de Cassini est évidente et des détails sont visibles dans les bandes de Jupiter( pas seulemnet 2 bandes mais des irrégularités, des festons...). J'ai essayé avec un filtre Baader "contrast booster" qui supprime totalement le chromatisme mais il rend l'image jaune et de toute façon je vois plus de détails sans. Peut-être que le filtre "frange killer" serait plus adapté? A propos de chromatisme: si sur une lunette achro classique de 100mm à f/d 10 on peut grandir 2 à 2,5x le D sur la lune alors avec un rapport f/d de moitié on peut se permettre des grandissement aussi de moitié. De plus il faut se dire que 100X c'est déjà bien pour une 100mm: la pupille de sortie est de 1mm Les spécialistes préconisent une pupille de 0,7mm (140X) pour l'observation planétaireet on n'est pas loin. Je n'ai pas dit que c'était du niveau d'une longue focale ou d'une apo mais ayant une apo je ne suis pourtant pas dégouté de l'image de la petite achro à 100X. L'idéal c'est d'avoir les deux: la lunette pour le grand champ et le Mak pour le planétaire (solution encore raisonable financièrement). A+
  4. Choix d'un instrument "léger"

    Bonjour, Une petite lunette achro de 80 ou 100mm à f/D 5 ferra très bien l'affaire. Mais plutôt qu'un trépied photo, difficile à utiliser sauf pour du terrestre, il est mieux d'avoir une toute petite monture équatoriale (style EQ1 ou EQ2) qui permettra de pointer des objets hauts sur l'horizon sans problème et avec des mouvements lents possible. De plus beaucoup plus facile à équilibrer (impossible avec un pied photo normal) si on y ajoute des accessoires "lourds" : gros oculaires etc... Le même raisonement est valable pour le Mak et même encore plus car lui il poura supporter des grandissements de l'ordre de 2x le diamètre. Pour un rapide coup d'oeil sur le balcon où il y toujours de la turbulence un Mak n'est peut-être pas a sa meilleur place car il lui faut du temps pour être à température et le grand champ à faible grandissement n'est pas sa tasse de thé.
  5. Bof, Pour le planétaire: Il y a un gain en résolution d' environ 0,08 seconde d'arc en faveur du C9,25. Si il existe réellement une différence "flagrante" elle serait surtout due à la prétendue meilleur qualité du C9,25 par rapport au C8.
  6. C9.25 passage au coulant 50.8

    Bonjour,Avec un Crayford cela vaut nettement le petit investissment supplémentaire( 200 euros) non seulement il permet l'utilisation du renvoi coudé de 2 pouces mais aussi d'avoir une mise au point plus fine et sans shifting. C'est aussi quasi indispensable pour la webcam qui a un champ très petit. C'est aussi meilleur pour la collimation car alors le miroir principal ne bouge pas. Le seul petit inconvénient c'est qu'il s'ajoute au poids total( crayford + renvoi coudé 2 pouces + oculaire 2 pouces) et il faut rééquilibrer le tube surtout sur les petites montures. A+
  7. maksutov 90 ou 102

    Bonjour, A propos de la luminosité: Si il est vrai que la luminosité intrinsèque d'un instrument ne dépend que de son ouverture, avec un même oculaire celui avec le rapport f/d le plus petit aura une image plus lumineuse (brillante). Au delà d'un certain rapport f/d (aux alentours des 8/9) si on veux une pupille de sortie supérieur ou égale à 4 avec un oculaire de champ acceptable (50°) on devra impérativement passer au coulant supérieur (50mm) avec des oculaires ( renvoi coudé, filtres...) chers. De plus sur certains modèles comme les petits Mak (90 - 100)et autres( oui j'ai dit le mot: Clavius) cela n'est pas possible car il y a une limitation du champ de pleine lumière et donc vignetage. Donc pour de faibles grandissements on peut parler d'instruments qui sont plus lumineux (en théorie ou en pratique) que d'autres malgrés une ouverture identique (on ne parle pas encore du traitement des optiques, ni de l'obstruction centrale, des bras de l'araignée(Newton...). A+
  8. Choix de Barlow et occulaires pour C9.25

    Salut, Les meilleurs oculaires "normaux" à un prix encore abordable et facilement disponible sur le marché sont les Plossl de TV Les images en planétaires sont superbes et bien contrastée. Les lanthanums de Vixen ne sont supérieurs qu'en ce qui concerne le relief d'oeil de 20mm donc idéal pour ceux devant impérativement garder leur lunette pour observer; pour le reste ils sont derrières les TV. De plus en dessous du 9mm le champ n'est plus que de 45°!
  9. Mak 102/SW102 et la solidité ?

    Bonjour,Je possède le modèle lunette SW 100/500 depuis plus d'un an et donc je peux en donner un avis "objectif" Le pare-buée est facilement enlevable(il tient par friction et pas par vissage) et la lunette tient alors dans une petite malette en alu qu'on vends chez carrefour pour 3x rien. Si ton truc est le planétaire il ne faut pas t'attendre à de l'apo mais le contraste est encore excellent sur la lune à 100x (et je sais aussi de quoi je parle car je viens seulement de revendre ma Vixen fluo 102, mon fidèle compagnon depuis 15 ans, snif...)La division de Cassini est facile et tu verras des détails dans les bandes de Jupiter mais bien sûr le Mak serra probablement meilleur(je ne peux pas l'affirmer car je n'en ai pas). Lors de le dernière opposition de Mars de nombreux détails étaient visibles (calottes et les principales formations bien reconnaissable). La double double de le Lyre est également bien séparée et propre avec du "noir" entre. Pour pouvoir faire 2x le G sur le Mak il FAUT une monture équatoriale motorisée pour profiter pleinement de l'image sinon bonne chance pour le pointage et le suivi! En ciel profond "grand champ" avec 500mm de focale pour la lunette le Mak doit être battu car à faible grossissement le chromatisme n'est vraiment pas gênant ( en tout cas pour moi et c'est un fan des apos qui te le dit). De plus tu as la possibilité d'ajouter des accessoires au coulant 50mm( c'est chers c'est vrai et peut-être pas absolument utile à f/d 5) ce qui n'est pas possible avec le Mak (limité au coulant 31mm). Sur le Mak et ses 1300 de focale, un oculaire de 32mm Plossl(l' oculaire de plus grande focale possible avec un champ apparent encore comfortable de 50°) donne comme grossissement minimal 40x avec une pupille de sortie de 2,5 mm.Par contre sur la lunette le grossissement sera de 15x avec une pupille de près de 7mm et un champ de plus de 3°. Si on te dit qu'une pupille de sortie de 2,5mm est largement suffisante pour le ciel profond alors pourquoi les jumelles de style 20x50mm ou 30x80mm ne sont pas légions; mais bon c'est un autre débat( poids à bout de bras, maximum de champ...) Moi en tout cas, j'aime avoir le plus grand champ possible avec une pupille de sortie de l'ordre de 5mm même si le fond du ciel n'est pas d'un noir d'encre (quitte à grandir mais après seulement). Comme il a été dit plus haut du point de vue encombrement c'est tout le reste qui pèsera dans la balance et pas celui de la lunette ou même sa longueur. Par rapport à la luminosité la 100mm sera plus lumineuse ( mais pas beaucoup) à grandissement égale et pour les faible G où le chromatisme est négligeable. Et rien à régler(je ne suis pas motard donc je ne sais pas si les vibrations sont plus importantes avec une moto qu'avec une auto si oui: attention!) avec une mise à température quasi intantanée. En résumer: pour les planètes le Mak, pour le grand champ la lunette avec pour tout les 2, une incursion possible dans le domaine où son concurrent excelle. Pour faire les 2: La Traveler de chez AP (hi, hi, hi...) L'idéale: vu que le prix de ces 2 instruments est peu élévé: avoir les 2(la lunette pour le grand champ et le Mak pour le planétaire) sur une petite table équatoriale avec une monture de style EQ3-2 qui devrait suffire vu que les tubes sont assez courts et cela resterait transportable en voiture mais bien-sur pas à moto! Bon choix
  10. Orion 100mm ED Apo

    Bonjour, Je pense qu'a f/d 9 les chinois n'ont pas pris beaucoup de risque et que l'optique doit être du même niveau de qualité que la 80. Cela reste encore très transportable mais il n'y a toujours pas de réglage sur le barillet de l'objectif (à priori, vu les photos). Si ils sortent une 120 c'est vrai que le rapport f/d devra être encore plus grand pour garder un même niveau de chromatisme( si les verres sont les mêmes) bien que quasi tout les autres constructeurs gardent le même rapport f/d pour tous leurs modèles. Le prix à doublé de 80 à 100 et si c'est aussi le cas pour la 120 cela devra tourner autour d'un petit 2000 euros. Je me rappelle d'un mail de Valéry D. de la firme Aries, constructeur du fameux chromacor(et qui doit commencer à se faire du soucis)qui prétendait que les chinois ne pourraient pas vendre des ED de qualité à prix réduit vu que pour arriver à une bonne correction du chromatisme on devait utiliser des verres d'une certaine qualité minimale( homogénéité du verre...) et donc d'un coût élevé! Bien entendu il n'y a pas que la correction du chromatisme qui est importante mais le poli des verres, etc... Moi j'attends plutôt une 150! (l'espoir fait vivre)
  11. Premère prise en main

    Bonjour, Je viens d'acquérir une TAK FS128 et comme je possède aussi une Vixen fluo 102 (plus pour longtemps) je me suis empressé de tester les 2 instruments, en terrestre, pour comparer le contraste et le chromatisme (pas encore le temps sur le ciel!) Sur une arrête métalique au soleil cela se transforme en une myriade de petites étoiles artificielles et parfois une très grosse: gros paté de lumière. Sur ce gros paté de lumière et à grandissement équivalent( 200X) La FS 128 montre nettement plus de chromatisme: un reflet bleuté évident (bouillonant vu la turbulence)au foyer et hors foyer également une coloration. Le reste de l'image n'a pas de chromatisme à première vue: pas d'halo bleuté autour des objets blancs ou autres. Sur la Vixen à f/d 9 le chromatisme était à peine perceptible et quasi pas de coloration des 2 cotés du foyer. Le contraste semble identique dans les 2 instruments. J'ai été étonné par la différence de luminosité: l'image dans la FS128 était plus lumineuse (normale vous aller me dire: 128 contre 102) mais la différence n'était pas subtile mais évidente (sûrement traitement moderne meilleur et le traitement également de la lentille en fluorine sur la TAK ce qui n'est pas le cas avec la Vixen). La TAK équipée en 2 pouces tient très bien sur une monture SPDX et à ma grande surprise également sur une "Celestron" CG5 GOTO, certainement grâce à son bon trépied métallique de 5cm de diamètre (amortissement aux environs des 3 secondes, suffisant pour le visuel). L'idéal serait de refaire le test la nuit sur le ciel mais comme j'ai un amateur pour la Vixen je n'aurai probablement plus l'occasion. Si quelqu'un à un commentaire ou une remarque il est le bienvenu.... A+ ------------------
  12. Une lunette pour les vacances

    Si tu es décidé pour un Mak alors prends plutôt le 102 si ton budget le permet(l'ouverture, toujours l'ouverture...). Mais attention pour pointer un objet, avec un trépied photo, qui est assez haut sur l'horizon c'est pas facile: il faut au minimum avoir des mouvement fins sur les 2 axes. Je parle d'expérience avec une petite lunette de 70/420 et un bon trépied mais sans mouvement fin: c'est frustrant et on se lasse vite. Si tu prend plutot le mak que la lunette alors tu vas vouloir et pouvoir observer les planètes et la lune à au moins 150x et avec un simple trépied photo c'est du sport( ca reste pas longtemps dans le champ de l'oculaire!). Une toute petite monture équatoriale style EQ1-EQ2 que tu pourrais motoriser par la suite(rentrée d'argent) est préférable. A+
  13. Une lunette pour les vacances

    A propos de la mise à température:Il est vrai que si on sort l'instrument avant l observation ca arrange un peu sutout si on observe de son jardin. Personnellement lors d'une observation en commun et durant plus d'une heure je n'ai pu obtenir une image stable dans un Mak de 100mm Célestron (meilleur qu'un Sky Watcher?). L'image était plus blanche que dans ma lunette est aurait été prometteuse si... mais en attendant la lunette de 100mm était meilleur même sur la Lune. Je précise que c'était en hiver, mais n'est ce pas en hiver qu'on a les meilleurs images, non? En ce qui concerne les prix on vient de ma faire remarquer que chez OU avec une monture AZ3, chercheur et 2 oculaires elle coûte 350 euros, donc le tube seul devrait se situer aux alentours des 200-250 euros. A+
  14. Une lunette pour les vacances

    Bonjour, Réponse un peu tardive car peut-être ta décision est déjà prise mais moi, j'utilise pour les vacances une Sky Watcher 100/500 qui sans son pare-buée, facilement amovible, tiens dans une petite malette métallique(style à 2 étages vendue parfois chez Carrefour). La Lune et les planètes ne sont pas aussi bon que dans un Mak mais ces dernières ne nécessitent pas spécialement un très bon site (parfaitement observable en ville)et donc en vacance je fais plutôt du ciel un peu "profond" et là l'ouverture joue: 100 non obstrué contre 90 obstrué mak la différence se voit. La Lune en été est toujours basse sur l'horison et souvent décevante et pour l'instant pas de planète à se mettre sous les dents, alors... De plus la mise à température est quasi immédiate avec la lunette. Avec un simple Plossl de 32mm on obtient un grandissement de 16x avec une pupille de plus de 6mm (une grosse jumelle quoi!) et l'image est bien meilleur, un régal! Pour des grandissements jusqu'à 80-100x je ne pense pas que même en planétaire la lunette serait très en dessous du Mak et pour des G > alors de toute façon l'argument de la monture AZ tombe à l'eau et il faut un petit équatorial même non motorisé mais à mouvement lent. Bon achat
  15. achat d'une lunette

    Bonjour, Le choix d'une petite lunette pour débuter est excellent. Après si tu as le virus tu peux toujours prendre plus gros et garder la petite lunette pour le voyage. Un petit mak( 90-100) ne coûte pas plus chers mais il faut du temps pour la mise à température et sa focale plus longue ne permetras pas de faire du grand champ ou alors il faut investir dans des oculaires chers De plus, pour débuter on est vite déboussolé par le grandissement(40-50X c'est déjà beaucoup par rapport à une simple carte du ciel!). Mais il sera meilleur en planétaire car il ne présente pas de chromatisme. Le choix d'une 80/400 n'est pas mal et permet aussi de voir certains détails sur la lune et les planètes. J'ai une 100/5OO (que je vends mais c'est pas pour ca que je veux te la refiler!) Je l'ai pris du coté de Sète en vacance et malgrés un ciel pas très noir M13 et M22 sont vu avec des étoiles "dessus". Comme la focale est courte avec un simple oculaire dans les 25 à 32mm de focale la lunette se transforme en grosse jumelles(monoculaire!)et est meilleur optiquement que mes Celestron 20x80. On peut y voir des détails dans les bandes de Jupiter. Le pare-buée s'enlève facilement de même que la bague du porte-oculaire et la lunette n'est alors pas plus emcombrante qu'un petit mak. Pas besoin de lourds et coûteux oculaires 2" pour faire du grand champs. C'est aussi idéal pour les éclipses et les observations terrestres Une toute petite monture équatoriale est largement suffisante ou une azimutale vu les faibles grandissement. Le tout peut être placé dans un sac de voyage. La 80/400 est encore plus compact au détriment bien-sûr d'une perte de luminosité et de résolution. Le prix neuf entre 80mm et 100mm est très proche. Bien sur si on veux voir le plus pour le moindre coût c'est la solution dobson la meilleur mais c'est pas du tout aussi transportable! Voila j'espère que cela t'as aidé un peu.
  16. observer avec une 60mm

    Bonjour, Dans le fameux livre de Serge Brunier sur le ciel profond il faisait parfois allusion à ce qui était visible avec une petite lunette de 60 mm ou des jumelles. Je crois qu'il est épuisé (dommage car le mien devient un peu défraîchi) mais devrait se rencontrer d'occasion chez les bouquinistes.
  17. jumelles inconnues

    Bonjour, J'ai acheté à mon fils il y a quelques années ce modèle pour environ 50 euros de maintenant( même un rien moins je pense). Les prismes sont bien dimensionnés (pas de pupille "carrée"). L'image est jaunâtre ce qui n'est pas trop gênant en astro mais à la longue agaçant pour le terrestre. La lune est bien piquée au centre du champ. Pour le prix c'est très bon.
  18. GOTO pour SPDX

    Bonjour à tous,Je m'adresse principalement aux bricoleurs: serait-il possible de récupérer les moteurs d'une Celestron CG5 goto et de les placer sur une SPDX. Je me pose la question puisqu'on dit que les moteurs chinois vont sur la Vixen et vice versa mais je ne veux pas prendre le risque de foutre en l'air la goto. Merci d'avance ------------------
  19. 120/1000 HEQ5 - 2" ou 150/750 HEQ 5 - 2"?

    Je n'ai essayé que le modèle court 120/600 et c'est bon en ciel profond (image sans aigrette, disque d'airy visible, grand champ) et pas très bon en planétaire(non seulement du chromatisme mais aussi de l'aberration de sphéricité). Malgré tout,la division de Cassini sur Saturne était évidente avec une image encore potable à 170x (Lanthanum 7mm et barlow 2x TV), meilleur en tout cas qu'un petit mak de 90mm Meade présent ce soir-là (peut-être pas encore à température, il est vrai). Cependant on sait que Saturne supporte mieux un défaut de chromatisme que Jupiter. L'utilisation d'une barlow me semble améliorer très légèrement l'image. La lune n'est pas mauvaise mais l'image n'est pas super fine. L'utilisation du filtre Baader "contrast booster" supprime le chromatisme mais rend l'image jaune et n'apporte absolument aucun gain en précision d'image ni en capacité supérieure de grandissement(le "frange killer" est peut-être meilleur ?). Je possède également la 100/500 qui est meilleur (moins d'aberration de sphéricité) et je vois plus sur les planètes en la comparant avec la 120 diaphragmée à 100 (en théorie, toute chose égale, cela devrait être le contraire). J'ai revendu la 120 car le petit gain en luminosité ne pesait pas beaucoup contre une image moins précise et un poids plus important. Ou il est plus difficile de faire un gros diamètre sans aberration de sphéricité (a mon sens aussi néfaste si pas plus que le chromatisme) ou je suis tombé sur une mauvaise 120 et/ou une très bonne 100. Si ton centre d'intérêt est un peu de tout (ciel profond et planètes) la 120/1000 est préférable. Si tu préfères le ciel profond la 150/750 sera meilleur mais il faut tomber sur un bon exemplaire. Diaphragmée aux environs des 80/100mm la 150 devrait quand-même montrer des détails intéressants sur les planètes mais sans plus. Si je trouve en okaz et à un pris intéressant une 150/750 je me laisserais bien tenter juste pour voir ce que ça vaut.
  20. 31,75ou50,8

    Salut, Il y a peu je me suis équipé en 2 pouces (en occasion) à la foire de Essen en Allemagne: renvoi coudé Baader avec un petit défaut cosmétique et 55mm plossl TeleVue ancienne génération quasi neuf. Et bien je ne regrette en rien mes achats. Sur mon C8 j'obtient un G de 36x et une pupille de sortie de 5,5mm pour un champ de 1,37°(qui doit être le max pour le coulant de 2 pouces car sur cet oculaire il n'y a pas de diaphragme: c'est le coulant de l'oculaire lui-même qui fait cet office). L'image est très piquée et lumineuse. En 31mm l'oculaire avec le plus grand champ et le plus répandu est quasi un plossl de 32mm ce qui fait:G de 62,5x , pupille de sortie de 3,2 et champ de 0,8 °. Pour un rapport f/d < à 8 , ce n'est pas vraiment utile de s'équiper en 2 pouces sauf pour l 'utilisation de certains oculaires(Nagler ...) . On pourrait rétorquer que le fond du ciel devient clair ce qui est vrai mais que dire alors des jumelles de style 10x50 (pupille de 5)et quid alors des chercheurs(6x30, 8x50 ...)? L'autre petit défaut c'est que cela ajoute du poids derrière le porte oculaire, si on change après pour un oculaire en 31mm il est préférable d'avoir un adaptateur vers le coulant 31mm dont le poids compense la différence sinon sur de petites montures cela peut créer un déséquilibre si on déserre les freins. Il est vrai que s'équiper en neuf revient cher et j'ai hésité longtemps mais il suffit d'attendre la bonne okaz. [Ce message a été modifié par babar001 (Édité le 23-06-2004).]
  21. encore un conseil pour debutant ??

    A qualité égale, une longue focale minimisera toujours, entre autre,le défaut de chromatisme par rapport à une focale plus courte. Sans juger de la qualité d'une lunette SkyWatcher de 70mm d'ouverture que je ne connais pas( et j'espère que ce n'est pas la même que la 70/700 vendue parfois chez Lidl qui est archi mauvaise - j'ai ai essayée 3 -), une 70/700 est en théorie presque aussi bien corrigée pour ce défaut qu'une 100/1500. Il ne faut pas oublier que sur ce genre d'instrument et d'ouverture un grandissement d'environ 100x sera l'optimum pour les planètes et le chromatisme ne sera pas trop gênant même avec la focale courte, qui est un peu plus polyvalente(grandissement un peu plus faible possible, gain de 20 cm de longueur de tube: cela joue déjà sur la stabilité pour des petites montures...) Si ton centre d'intérêt se limite à la lune et aux planètes alors sans hésitation la 70/900.
  22. ETX/NEXTAR

    Salut, Pour l'achat de matériel Vixen ou Meade il y a Slotte, Chaussée d'Alsemberg à Bruxelles qui est peut-être un peu cher mais avec un bon service après vente. Pour du Celestron, Vixen ou du SkyWatcher: Lichtenknecker à Hasselt( www.lo.be ), de réputation internationale et prix intéressants (on y parle très bien le français). Pour un peu de tout( TeleVue, SW...) et le matériel russe Tal : Van Grootven à Artselaar près d'Anvers ( www.grootven.be/index.asp ) qui sont très serviables (parle également le français)
  23. Lunette 120 ED Sky Watcher

    Pour FredegotoPour un résumer plus complet du test des 3 apo D'abord celui qui a rédigé le texte est le possesseur de la Meade donc on pourrais penser qu'il met sa lunette un peu en avant mis en lisant attentivement l'article on voit qu'il est relativement honnête. Les différences entre les lunettes existent bien avec en tête l'AP et la Tak (pour les séparer c'est un autre débat-article). La Meade vient bon dernier avec un petit manque de contraste par rapport au 2 autres mais tout ce qui se voit avec le duo de tête se voit aussi avec la Meade. Les grandissements utilisés étaient inférieurs à 200x sans que les utilisateurs se soient mis d'accord avant. La Meade avec un excellent oculaire (Tak-Brandon) rattrape L'AP équipée d'un oculaire moins bon (lanthanum). Autrement dit la différence entre la meilleur des lunettes et la moins bonne est moins importante que la différence entre un excellent oculaire et un bon oculaire (utilisé avec ces lunettes) Il ne faut peut-être pas prendre cet article pour parole d’évangile (Meade =matériel US) mais cela donne quand-même un son de cloche intéressant. Je me répète: si la nouvelle 120 ED est du niveau de la Meade alors cela promet des belles nuits en perspective. Les instruments haut de gamme n'ont pas de soucis à se faire car il y aura toujours un public fortuné et/ou passionné qui exigent le meilleur et pour qui la petite amélioration de performance vaut la différence importante de prix! Voici l'article complet en Anglais (si c'est trop long l'administrateur peut le supprimer)Meade 127mm ED doublet vs Tak FS128 vs AP 130 EDT f/8 (The Good, the bad and the ugly)by Jay Reynolds Freeman freeman@netcom.comRich Neuschaefer struck a disdainful pose, poncho tossedcarelessly over his shoulder, MaxBright diagonal stuffed into a low-cut holster at his waist, and lasciviously fondled the new voice-operated go-to mount he had bought to clinch the comparison. Sneering at Jay Freeman and Dave North, who were trying to find the Moon and failing, because that bright thing in the sky had ruined their dark adaptation, he spat and spoke with a scornful stare, "There are two kinds of people in this world-those who have loaded Astro-Physics refractors and those who star-hop: You star-hop!"Freeman lifted his gaze slowly from the finder and raised a cynical eyebrow, whereupon Neuschaefer looked up to find the sky had suddenly darkened, and saw that the vast shadow obliterating the light pollution of San Jose fell from a giant Celestron 14, dust covers off and siderial drive tracking smoothly, pointed directly at him. Fidgeting nervously, he suddenly realized that the tanned leather cartridge belt that used to hold his prized, paired collection of Zeiss Abbe Orthos was now empty ... and that North had disappeared ...Well, not quite. It began when three amateur astronomer helpers for the August 28 public night at Lick Observatory found that they planned to bring five-inch refractors from different manufacturers to set up. It took a fist full of dollars to buy even the cheapest of these-my Meade 127 ED doublet-and a few dollars more-quite a few-to obtain Dave North's new Takahashi FS 128 fluorite doublet or Rich Neuschaefer's late-model Astro-Physics 130 f/8 EDT. So the model of "The Good, the Bad, and the Ugly" was very natural when I circulated the previous quote by private EMail. But that's not how it really was.To begin with, Neuschaefer's Astro-Physics 130 is indeed loaded, but he has not yet bought a voice-driven mounting for it. He did bring along his 155 f/7 EDF, too, though, and we all watched closely to make sure he didn't try to sneak it onto the mounting when no one was looking. Dave North didn't steal any eyepieces, or at least, I had all mine when I got home, but he was most covetous of Neuschaefer's Zeiss Abbes, and eager to try them, when we got around to swapping eyepieces in the test. And I left Harvey, my Celestron 14, at home, though I felt a considerable twinge of regret at doing so, for the seeing was certainly good enough to allow a C-14 to perform at its best.More importantly, when word of our planned engagement got around, two more high-end five-inch refractors showed up. Robin Casady brought his nearly new Astro-Physics 130 f/6 EDF, which did have a go-to mounting (though not a voice-operated one), and Dean Linebarger showed up with another Takahashi FS 128. That was a lot of high-end competition slumming with my lowly Meade, but I wasn't worried: Anything my telescope did well would be because of its own intrinsic superiority, and anything the others did better would merely be because of their larger apertures, by one and three millimeters. Besides, at f/9, my Meade had a longer tube length than any of the other telescopes, and since I had bought a pier extender for my Losmandy G-11 mounting, it stood taller in the saddle, er, tube rings, as well. How could I lose?There were also a number of experienced observers at hand who did not bring five-inch telescopes. Those whom I know well included Rod Norden and Akkana Peck, but the volunteers at Lick were drawn in great part from the Hall's Valley Astronomical Group, a very active club whose members I generally do not know. Thus we had a great many qualified people wandering around looking through our telescopes.I generally make a point of not saying who owns what equipment in my usenet postings-I don't wish to tell whose garage might be worth breaking into (and I thank Rich, Dave, Dean, and Robin for specific permission to describe what they brought to the shoot-out). However, I think I should mention that the people present all own a tremendous amount of equipment. Each five-inch owner has at least one other telescope a good deal larger. Collectively, the group of observers who were there have at least a dozen high-end refractors (including two Astro-Physics 180 EDTs, several more Takahashis, and a couple of Vixen fluorites), a handful of Dobson-mounted Newtonians in the 12- to 20-inch aperture range, a Celestron 14 (mine), a Takahashi 9-inch Schmidt-Cassegrain, and no doubt many other fine instruments that I have either forgotten to mention or have never heard about.I suspect this test report will be well read and will provoke controversy, so before I go into detail on what we did, I will state two of the important bottom lines, and I will repeat them later, as well:1.) THIS WAS A TEST OF SPECIFIC TELESCOPES: We certainly did not obtain sufficient statistics to make any claims about the average quality of any of these products, and the quality control of telescope manufacturers is a subject of frequent heated controversy among amateur astronomers.2.) DIFFERENCES AMONG THESE TELESCOPES WERE VERY SMALL: Though the majority opinion was that they were not identical in performance; nevertheless, a modest minority of the experienced observers who looked through them could detect no difference at all among all five. Furthermore, all of the telescope owners agreed that the performance difference between the best and the worst of the telescopes was less than the performance difference obtained on any one of them by switching from a good eyepiece to a merely acceptable one.Yet truth is in the details, so here they are:Our primary job during the evening was to show celestial objects to the guests at Lick's public night. Thus our comparison tests got going slowly, but on the other hand, the telescopes had plenty of time to settle in thermally-it was a lovely evening, with shirt-sleeve temperatures all night long, and a strong temperature inversion (it got a good deal colder as we drove back down the mountain later on). Furthermore, we all had plenty of time to familiarize ourselves with each other's equipment.I had always been curious how obvious the performance disadvantage of my Meade's relatively simple and inexpensive ED-glass achromatic objective was, in side by side testing with better designs, so one of the first tests I wanted was a check of color correction on a bright star. Dave North had set up his Takahashi FS 128 next to me, and we both happened to have 9 mm Vixen Lanthanum eyepieces in use-the long eye relief and moderate magnification made them very useful for the guests' observing, so I suggested we both point our telescopes at Vega. The Vixen LVs sometimes have noticeable lateral color, so we were careful to keep the star well centered in the field. Vega itself was near the zenith at the time.The difference was quite obvious: The Takahashi showed a little glow around the bright star, as one usually sees from the combined effects of atmospheric and optical-surface scattering, but it was of the same color as Vega itself. The Meade showed a glow that was noticeably larger and brighter, and was of a hue considerably more violet than the star alone. With that data in mind, I walked over to Rich Neuschaefer's Astro-Physics 130 f/8 and asked to look at Vega. I didn't bring the Lanthanum eyepiece with me-Rich was using an 8 mm Brandon at the time. Vega showed no trace of violet under these conditions-the star looked neither better nor worse than in the FS 128. I wasn't surprised, for I had looked at bright stars in Rich's telescope before.Later in the evening-to get a little ahead of myself-Rich compared the view of Jupiter in my 127 ED with that in his Astro-Physics 130, using a 10 mm Zeiss Abbe Orthoscopic in both telescopes, looking specifically for color at the edge of the planet. He reported that my ED showed more.As the evening wore on, Jupiter cleared the trees at the east side of the Lick parking lot. (We had set up on the east side of the main building, to keep out of the wind, if there had been any, but there wasn't.) It was a showpiece object, and very popular with the public, and we all spent large amounts of time with it in the field of view. Several of the telescope owners were also very experienced lunar and planetary observers-I know for sure that Rich and Dave are-and one of the most common reasons for buying a high-performance refractor is to obtain excellent views of the Moon and the planets, so we ended up doing most of our test comparisons with Jupiter as the subject.The seeing was good enough, and Jupiter high enough, that these instruments were limited by their own optical performance rather than by seeing, for a significant amount of the time. In any ten-second view of the planet, odds were good that there would be a second or two of breathtaking quality, during which such details as festoons and spots in the equatorial zone, or delicate scalloping at the edges of the bands, jumped out in crystal clarity. We all independently settled on magnifications between about 125x and about 175x as providing the best views-less did not show all the detail, and more reduced the apparent brightness of the planet's cloud tops to the point where many of the low-contrast features became harder to see. (I had one interesting seeing problem. By coincidence, Robin had set up below my line of sight to Jupiter. My seeing varied in inverse proportion to the number of people lined up to look through his telescope-warm air rising from their bodies, in the calm conditions of the evening, was enough to cause a noticeable loss of image clarity in my telescope. The problem went away, within seconds, every time they all went away.)One problem emerged relatively soon: Image quality varied noticeably with the eyepiece that was in use. The variation was not enormous- differences between telescopes and between eyepieces were both small- but it was there. For example, I found that when I compared my Meade 127 ED, using a Meade 7 mm Research-Grade Orthoscopic eyepiece, to Dean's Takahashi FS 128, using a 7 mm Nagler, the views were about equal. Yet when Dean borrowed an 8 mm Brandon, or a Takahashi 7.5 mm, or a 16 mm Zeiss Abbe Orthoscopic with a 2x Barlow, his image became better than mine. My own telescope also delivered a better image when I used a borrowed Takahashi 7.5 mm eyepiece.The effect of eyepiece choice on performance created a problem with the tests: We couldn't just compare the telescopes with the same eyepieces, because the different telescope focal lengths resulted in different magnifications, which obviously affected what we saw. Yet if we juggled eyepieces to achieve closely similar magnifications, how would we know whether any differences in performance came from the telescopes or the eyepieces?The fix was to do lots of eyepiece swapping. We compared the same telescope with different eyepieces, and different telescopes with the same eyepiece, and different telescopes with different eyepieces, till a consensus emerged. A little to everyone's surprise, there was considerable agreement on results. I attempted to poll everyone involved in the testing before I wrote the next few paragraphs, and I hope I am not misrepresenting anyone's views, but I believe all participants will see this report in one place or another, and I will happily report if any of them subsequently disagree-or they may well say so themselves.First, no one could detect any difference in performance among the two Takahashi FS 128s, the Astro-Physics 130 mm f/8 EDT, and the Astro-Physics 130 mm f/6 EDF: As far as we could tell, these four telescopes all delivered identical planetary performance while looking at Jupiter. People who wish to argue about performance differences between Astro-Physics triplets and Takahashi fluorite doublets will find no grist for their mill in our experience.Second, a majority of the experienced telescope users present, including all five owners of the five-inch refractors under test, agreed that the Meade 127 ED delivered images that were slightly softer, or slightly less contrasty, or slightly less crisp, than those of the other four telescopes. The Meade is mine, and I expect I made more comparisons involving it than anyone else, but nevertheless, it is difficult to describe just how and in what respect its images were lacking. I certainly could not identify any feature or hint of a feature that I could see in one of the other telescopes, that I could not see in the Meade. Perhaps it was that I could not see those features quite as often in the Meade, or that it was more difficult to do so. The difference was small and subtle. Yet I would say that it was certainly there.Notwithstanding, a few experienced users, notably Rod Norden, could detect no difference at all between any of the five telescopes tested. Rod kept saying that his favorite telescope was the one he had just looked through, and that he could find all the features he had seen in any one telescope, in any other. These persons, however, were in the minority. (Incidentally, I am not including the opinions of the general public-Lick's non-amateur-astronomer guests for the evening-in these results. Most of them looked with great curiosity, and several made sharp and insightful comments about the telescopes, but a large proportion were neither informed nor experienced.)Third, the perceived differences in telescope performance were indeed small. I didn't know how to quantify them, and after a little thinking suggested that at least we could say that the difference was about the same as we got in any one telescope by switching from a good eyepiece to a merely acceptable one, and people agreed. That comparison isn't particularly quantitative, either, but readers of this report are perhaps more likely to be in a position to compare eyepieces than to compare high-end refractors, so putting the conclusion in those terms does make it more widely understandable.There was also something close to consensus on eyepieces. The most common opinion was that the best eyepieces present were Zeiss Abbe Orthoscopics-the newest, 1.25-inch barrel models, recently sold in limited quantity in the United States by Astro-Physics. The only "complaint" about these was that they didn't come in enough focal lengths-most everybody wanted a 7 or 8 mm for the Jupiter viewing;Zeiss offered nothing between 6 and 10. However, the 16 mm worked well with a 2x Barlow (and I regrettably did not think to ask which manufacturer's Barlow was in use). Tied for second were Vernonscope's Brandons and Takahashi's line. My Meade 7 mm Research-Grade Orthoscopic was third (though I noticed later that it was dirty). The Vixen Lanthanums and a couple of Naglers were each separately inferior to all of the others, though I don't believe anyone compared Naglers to Lanthanums directly.A couple of people also compared Rich Neuschaefer's MaxBright diagonal with more conventional mirror diagonals, and found the MaxBright produced notably less scattering in the image. I heard at least one person state that he planned to order a MaxBright on the basis of that comparison.After we had all looked at Jupiter to our hearts' content, I suggested doing formal star testing, and even pointed my Meade at a bright star with a high-power eyepiece, to demonstrate its less than perfect star test (which I have reported in a previous internet posting). There was little interest in star testing, however-and that sort of makes sense, though the part of me that wants to be scrupulously complete about gathering data, is uneasy. The sense is, that we had just completed exhaustive testing of these telescopes in one of their specific intended uses-looking at fine, low-contrast planetary detail -- with convincing results. It might have been nice to see whether those results were reflected in star testing, but to do so would more nearly have served as a check on the validity of star testing than have provided additional information on what was most important about the telescopes' performance.So we called it quits, and packed up.I said before, that I would repeat two particularly important bottom lines, and I will now do so, word for word:1.) THIS WAS A TEST OF SPECIFIC TELESCOPES: We certainly did not obtain sufficient statistics to make any claims about the average quality of any of these products, and the quality control of telescope manufacturers is a subject of frequent heated controversy among amateur astronomers.2.) DIFFERENCES AMONG THESE TELESCOPES WERE VERY SMALL: Though the majority opinion was that they were not identical in performance; nevertheless, a modest minority of the experienced observers who looked through them could detect no difference at all among all five. Furthermore, all of the telescope owners agreed that the performance difference between the best and the worst of the telescopes was less than the performance difference obtained on any one of them by switching from a good eyepiece to a merely acceptable one.There is one final bottom line:3.) APERTURE WINS. Remember, this test was conducted at Lick observatory. At the end of the evening, we all went inside and had a look at Jupiter through the 36-inch refractor. This instrument was loafing-its 55 mm Plossl eyepiece delivered 316x and an exit pupil nearly 3 mm in diameter-one we associate more commonly with looking at galaxies and emission nebulae than at planets. Even at f/19, a three-foot conventional doublet has a lot of secondary color, and although the seeing was very good, it was not perfect for such a large instrument. Nevertheless, the 36-inch blew us all away. Features only hinted at in our puny five-inch instruments were shown clearly and with lots of detail in the big refractor. How humbling, to be reminded that the best of our modern, high-tech, high-end instruments was barely qualified to replace the finder on this century-old leviathan.This is an addendum to the report on comparison testing of high-end 5-inch refractors, that I posted on usenet newsgroup "sci.astro.amateur" with the title, "The Good, the Bad, and the Ugly-high-end refractor shoot-out". I seek here to summarize a few additional matters that came up in discussions during the following week.First, the original test was primarily a comparison of optical quality. The observers did not much discuss mechanical features of the instruments, and our original report, that we could not distinguish any performance differences among four of the telescopes-two Takahashi FS 128s, an Astro-Physics 130 f/8 EDT, and an Astro-Physics 130 f/6 EDF- was, as stated, an assertion of equality of optical performance only.In the absence of discussion among ourselves, I have no consensus to convey, about the mechanical features of the telescopes. However, I think it fair to say that there were no obvious lackings in any of them. I did not see any, and I am sure that someone would have hollared if there had been a real problem. Also, several of us were separately impressed by the very compact size of the Astro-Physics 130 f/6 EDF, and by its whizzy (in both figurative and literal senses) new Astro-Physics GOTO mounting. Several of us were also impressed that such a relatively fast telescope delivered the same optical performance as high-end telescopes of the same aperture and slower focal ratio.There was a long discussion of whether we had used adequate magnification. Our observations of Jupiter were for the most part at 125x to 175x, and several readers of the original report independently wondered whether we should have used more. We all certainly had plenty of higher magnifications available, both via shorter focal-length eyepieces and via Barlow lenses, and though several of us tried it-I had my Meade 127 ED up to 285x briefly, and Dave North used 200x on his Takahashi FS 128 for a while-we each independently settled on some magnification in the range stated. Communications from several of the observers (but not all chose to report) stated that (a) seeing was indeed very good, (b) the magnifications ultimately selected showed more detail on Jupiter than did higher ones, and (3) the problem seemed to be that higher magnification reduced the apparent brightness of some low-contrast features, so much as to make them more difficult to see.As an indication of seeing quality, I might add that if I had been observing double stars or the Moon, I would have used more than 167x on my Meade 127 ED-I would have used 228X or perhaps 285x. I did briefly star-test the Meade that evening, using 285x on beta Pegasi, so I have a good idea of what the seeing was like, when determined by the classic method of looking at the diffraction pattern of a bright star:The Airy disc and a couple of diffraction rings were always visible. They were steady for perhaps ten percent of the time, and the rings slowly wavered at other times.I received several reports from experienced observers who had occasionally used a good deal more magnification on Jupiter, with 5-inch aperture, to good effect. Dave North has done so, as has Rich Neuschaefer, and several usenet posters had, as well. A thoughtful discussion then ensued, of what goes into making one magnification better than another, but it is beyond the scope of the telescope comparison. The point for our shoot-out was, that we carefully selected magnifications to show the most detail, in good seeing: We were evaluating the telescopes as they were being given an excellent chance to do the kind of observation for which we had for the most part bought them-to show fine planetary detail.In the original report, I mentioned that I had not thought to ask what Barlow lenses were in use. Rich Neuschaefer subsequently informed me that the one he used was a Celestron "silver" 2x Barlow, almost as short as a "shorty". This unit is vintage early 1990s, and is not the more recent Celestron "Ultima" Barlow. Rich didn't know the model number. He reported (and I noticed while observing) that this Barlow works very well with his Brandon, Takahashi, and Zeiss Abbe Orthoscopic eyepieces.Many amateur astronomers have strong opinions about the relative merits of different manufacturers' optics. Thus I close by stating once again that when observing Jupiter in very good conditions, differences in optical performance between four of these telescopes-the two Astro-Physics units and the two Takahashis-were undetectable during comparisons by half a dozen or more experienced observers, and that the difference between any of those four telescopes and the Meade was less than the difference obtained in any of the telescopes, by switching between a good eyepiece (say, Brandon) and a merely acceptable one (say, Vixen Lanthanum LV).
  24. Lunette 120 ED Sky Watcher

    Pour Phil: Je suis d'accord qu'un halo chromatique signifie que toute l'énergie lumineuse n'est pas concentrée au même point (foyer)d'où perte d'information et de clarté. Mais je parlais d'un léger halo du style rencontré chez une ancienne StarFire. Bien entendu il ne faudra pas s'attendre au niveau d'une Tak ou d'une AP mais plutôt à celui des Meade ED et pour moins chère, donc intéressant surtout si le contrôle de qualité suit sinon... A propos tout le monde a sûrement lu le test de comparaison de 3 APO de 5 pouces (Meade, Tak et AP) sur Cloudy Night, à méditer...
  25. Lunette 120 ED Sky Watcher

    Bonjour, Si la qualité se situe aux alentours de la pronto(semi-apo) pour 2OOO euro ce serait déjà très bien et je m'inscrits déjà sur la liste d'attente hypothétique. Pourquoi vouloir absolument une lunette exempte à 100% de chromatisme: un très léger halo ne nuit pas à la qualité de l'image ni à la résolution. Certains ne voyant pas de différence de la coloration d'image entre 2 instruments sur des "cibles" normales s'efforcent de la mettre en évidence en analysant l'image des objets qu'ils n'auraient jamais observé en temps normal car sans grand intérêt: Sirius, un spot très puissant style stade de foot... Ou encore ils défocalisent l'image : "voila ma lunette est meilleur que la tienne car même hors foyer l'image reste blanche na!" Qui est le débile qui s'amuse à faire de l'astro hors foyer?J'ai l'occasion assez régulièrement de regarder dans une AstroPhysics de 155mm de première génération et l'image est plus "colorée" que dans ma fluorite de 102mm(et à été prouvé dans un ancien Astronomy dont je ne me souvient pas du numéro) mais montre plus dans tout les domaines(aussi le planétaire) et est d'une qualité que beaucoup d'entre nous et en tout cas moi envie. Bien entendu il n'y a pas que le chromatisme comme défaut et pour ne citer qu'un autre: l'aberration de sphéricité, doit rester faible sinon on perd d'un coté ce qu'on gagne de l'autre. Je ne parle que pour le visuel car pour la photo ou la CCD peut-être qu'une légère amélioration procure un résultat nettement meilleur mais je suis très loin, ici, d'être un spécialiste.