Toutiet

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Tout ce qui a été posté par Toutiet

  1. calculer le grossissement...

    Et quand tu n'ajoutes pas le RC (entre la Barlow et l'oculaire), comment procèdes-tu ?
  2. calculer le grossissement...

    hamilton, OK, compris, mais ce n'est pas là-dessus que je chipotte, c'est sur la différence de position du PO entre (Barlow + Oculaire en direct) et (Barlow + Renvoi coudé + Oculaire). Et là, quand tu ajoutes le RC, tu ne vas pas me dire que tu n'enfonces pas légèrement le tube PO pour pouvoir faire la mise au point... non, ? (Tu ne le tires pas, tu le pousses).PS : Je sens qu'on va être d'accord... [Ce message a été modifié par Toutiet (Édité le 10-09-2006).]
  3. calculer le grossissement...

    hamilton,Et pourtant, ce n'est pas possible...ou alors la configuration que je reconstitue, sur tes indications, n'est pas celle réellement utilisée. Un petit dessin clarifierait peut-être l'empilage optique de ton installation.
  4. calculer le grossissement...

    Comprends rien dans cette magouille...
  5. calculer le grossissement...

    hamilton,nous sommes donc bien d'accord sur le sens de "tirer" (en matière de PO ...).Cependant quelque chose cloche dans ta manip. En effet,la Barlow étant en place dans le PO, si tu ajoutes alors le renvoi coudé (entre la Barlow et l'oculaire), il est obligatoire d'avancer (d'enfoncer vers l'instrument) l'ensemble PO + RC + oculaire pour avoir une image nette à l'oculaire. Il ne peut optiquo/géométrico/mathématico en être autrement.Dans ces conditions, le grandissement apporté par la Barlow ainsi montée devient nettement supérieur à sa valeur nominale. C'est ce que tu cherches d'ailleurs à obtenir.
  6. calculer le grossissement...

    Ce n'est pas possible, ou alors on n'a pas la même définition du mot "tirer"...En effet, pour augmenter le recul de l'oculaire par rapport à la Barlow (épaisseur du renvoi coudé), il faut nécessairement avancer la Barlow c'est à dire l'éloigner de soi ou, comme je disais précédemment, la rapprocher de l'instrument. Ce sont les lois de l'optique qui veulent ça.
  7. Points d'appui sur triangles de flotaison

    Moi, j'ai mis des dômes de silence à clouer, pour pied de chaise. Petits trous aux sommets des triangles... et hop ! Les triangles sont coupés un bon cm plus grand.
  8. calculer le grossissement...

    hamilton, quand tu dis "je tire à fond le tube du porte-oculaire" je suppose que tu veux dire que tu le rentres à fond, c'est à dire que tu l'enfonces davantage dans l'instrument, c'est bien ça ?Maintenant, si tu me dis avec précision de combien tu l'enfonces et si tu me donnes le recul d'oculaire apporté par le renvoi coudé, alors je pourrais te calculer le nouveau grossissement.[Ce message a été modifié par Toutiet (Édité le 07-09-2006).]
  9. TPE en première

    Et pourquoi pas une réflexion sur les cadrans solaires... avec calcul et réalisation d'un modèle ? C'est un sujet intéressant et instructif (les types sont variés mais il y en a de très simples, et on peut laisser libre cours à son imagination pour la réalisation).
  10. eos 350D

    Finalement...j'ai bien fait d'avoir soulevé le problème ! (Hi, Hi...)
  11. eos 350D

    Donc c'est bien ce que je dis : on peut bien déclencher plus de 30 secondes sans commande extérieure (J'ai pas dit que je mettais le doigt...);
  12. Etoile couleur "bleu"

    Seu céheu !
  13. eos 350D

    QUOI,... epsi et les autres ? On ne peut pas utiliser le mode BULB sans déclenchement extérieur ? Et en laissant le doigt sur le déclencheur, alors ... ?!
  14. Je suis en "semi-fixe" !!!

    C'est quoi ?... c'est un restaurant d'altitude à mi-hauteur ?
  15. Pourquoi ne pas le réaliser vous-même ? C'est instructif, constructif et économique. [Ce message a été modifié par Toutiet (Édité le 06-09-2006).]
  16. Miroir secondaire

    Centré, c'est mieux mais, en réalité, on s'en fiche : ce qu'il faut, c'est voir l'intégralité du miroir primaire.
  17. Phil, tu dis :"Si le laser est bien serré dans le PO pendant toute la manip, si on vise parfaitement( au mm prés) le centre du miroir, on peut se passer de barlow et juste superposer le faisceau retour, c'est aussi une methode precise. Mais là, cette technique n'est plus la même qu'avec un cheshire."Mais c'est LA méthode qu'il faut employer. C'est celle qui donne les meilleurs résultats optiques.J'ajoute que le fait que le laser soit (éventuellement) de travers dans le PO n'empêche pas une bonne collimation. Ni de même l'orthogonalité rigoureuse du PO par rapport au tube. La seule condition "mécanique" est que l'on puisse voir l'intégralité du primaire dans le secondaire, depuis un oeilleton. Le reste n'est que du perfectionnisme superfétatoire de mécanicien.
  18. Diaphragme cage secondaire tube ouvert

    La plus grosse partie de la lumière parasite est constituée de celle qui atteint l'oculaire sans provenir du miroir principal. Seule une épure permet de résoudre ce problème, propre à chaque architecture de télescope. La disposition judicieuse d'écrans permet d'éliminer les rayons parasites, c'est à dire tous ceux qui ne contribuent pas à la formation des image astronomiques, dans le plan focal oculaire.
  19. Tout à fait Joël.JD, ce n'est pas parcequ'en titillant le secondaire et en constatant qu'effectivement le point rouge se déplace sur le primaire que la collimation est pour autant mauvaise. Car si tu ne touches pas au réglage précédent du primaire que tu as fait, et que tu estimais "bon", il reste forcément dans la même position et donc "bon".La seule différence c'est que, comme tu as légèrement déplacé le secondaire pour recentrer le point rouge sur le primaire, le rayon retour subit aussi cette très légère désorientation au niveau de l'oculaire. Je suis bien d'accord, mais de combien ? C'est ça le vrai problème et un simple petit calcul trigonométrique montre que ce déplacement de l'impact laser (c'est à dire, en fait, l'axe optique du primaire) dans le plan focal oculaire est négigeable, en tout cas insignifiant dans le champ de n'importe quel oculaire. Heureusement, car cela voudrait dire que dans un champ apparent, un seul point seulement serait visuellement exploitable. Personne ne fait mention de cela, hormis la présence de coma en bord de champ, davantage dû à une mauvaise combinaison "ouverture primaire / qualité oculaire". La théorie est une chose, le pragmatisme une autre.
  20. La difficile et parfois contadictoire confrontation des résultats obtenus avec le laser et tout autre moyen (Oeilleton, Cheshire,...) résulte de la sensibilité et de la précision bien supérieures du laser.Ainsi, un réglage apparemment satisfaisant à l'oeilleton ou au Cheshire sera-t-il généralement considéré comme mauvais au laser, la précision de réglage de l'oeilleton ou du Chesire étant insuffisante. (C'est curieux, on parle toujours du jeu du laser dans le PO et jamais de celui de l'oeilleton ou du Cheshire...!)Inversement, si on commence par le réglage au laser puis qu'on passe à l'un des autres moyens, alors il y a coïncidence des résultats. C'est un peu comme sur un pied à coulisse, en comparant lecture directe et lecture au vernier : l'affichage apparemment juste d'une cote, en lecture directe, masque la précision que pourrait atteindre l'affichage de cette même cote au vernier. Le respect de la cote n'étant assuré que si on fait la mesure au vernier.[Ce message a été modifié par Toutiet (Édité le 05-09-2006).]
  21. La solution : "l'Antitorticolis" [Ce message a été modifié par Toutiet (Édité le 04-09-2006).]
  22. Allez les aficionados, tous en choeur : "LE...LA...SER, LE...LA...SER, LE...LA...SER...!!!"
  23. Ca y est,... c'est reparti ! (Hi, Hi..!!!)
  24. Miroir pour observation aux Jumelles

    Philippe,Qui peut le plus peut le moins. Je veux dire par là que des miroirs de qualité "optique" sont évidemment préférables, pour plusieurs raisons :1)l'aluminure est sur le dessus,...2)...et donc il n'y a pas de verre "traversé" par les rayons,3)la planéité du verre de salle de bain n'est pas des meilleures, sauf à prendre une bonne épaisseur (au moins 3 à 4 mm), mais reste forcément inférieure à celle d'un miroir "optique",A noter qu'on ne doit pas pour autant réduire l'épaisseur du miroir "optique" car il faut une bonne cohérence mécanique entre les deux parties des jumelles, au risque d'introduire une autre source de dédoublement des images, 5)mes jumelles ne sont que des x10 alors que ton essai met en oeuvre un grossissement de 20 alors, accentuant par là-même les défauts.Conclusion (et je pense que tout le monde sera ainsi satisfait) : Si l'on ne regarde pas à la dépense et si l'on n'a pas de problème d'approvisionnement, une fois les essais de faisabilité terminés, on pourra (avantageusement) passer au miroir de qualité "optique".J'attire cependant l'attention sur le fait que le dédoublement des images que l'on croît pressentir avec un miroir "traversé" et épais n'est pas un défaut opposable, dans la mesure où on se limite à la vision d'objets "à l'infini", lesquels auront toujours une image unique (même s'il y a bien dédoublement des rayons (parallèles) dû au reflet parasite. Ce n'est donc pas un contre-argument.Personnellement, je me contente pour l'instant très bien du miroir "type salle de bain" que j'ai trouvé. Peut-être suis-je tombé sur une qualité particulièrement soignée...
  25. Une curiosité, Venus en plein jour...

    Bienvenue au club de "L'astronomie de jour" ! Ta photo est également représentative de la vision que l'on a de Jupiter, en ce moment vers 18 h, en regardant dans des jumelles 10x50 (Lidl, pour ne pas les nommer).[Ce message a été modifié par Toutiet (Édité le 03-09-2006).]