ndesprez

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Messages posté(e)s par ndesprez


  1. Avoir des prix sympa ... Parce que tu comptes trouver des nuités encore moins chères qu'un demi euro, des repas gastronomiques à toujours moins de 8 à 10 euros et le kilo de fois gras te semble trop onéreux à 26 euros ? Mais ne faut-il pas que tout le monde vive ?
    Bon fin de la plaisanterie, c'était de l'humour. Tu as fait un bon choix surtout si tu vas dans le sud parce que la cote Est et l'astro ... Bon voyage donc petit veinard.

  2. Ciron Philippe : ah, j'ai encore mieux, je passerai te voir comme nous l'avions déjà évoqué ! Pour l'instant je n'ai pas le temps et puis avec ce beau soleil tout frais il faut en profiter ...

    Des crayons ; ben là faut savoir faire. Je viens à peine de me lancer : dur (pourtant mon tube suit tout seul alors avec un dob, je n'ose meme pas imaginer).
    Bon ciel à tous


  3. Bonsoir. Je m'offre quelques minutes de rève : si j'achète un dobson Lightbridge 16" et un filtre Lumicon OIII, sachant que seul le ciel profond retient mon attention, que dois-je utilement acquérir en complément .
    Compte tenu du prix (inférieur à 3000 euros tout compris), à mes yeux particulièrement attractif, est-ce un bon choix ou une erreur ? Dernière précision : je n'ai jamais utilisé de dobson. Bon ciel à tous qui une fois n'est pas coutume est pour l'heure bien dégagé.

  4. Le RS 200 est un télescope Newton de 800 mm de focal soit un rapport f/d = 4 particulièrement bien adapté au ciel profond. Un tel rapport est plutot rare pour un produit manufacturé. La GP... est la monture Les trois points de suspension indiquent qu'il existe plusieurs versions : à voir avec le fournisseur. Enfin tout ce matériel est de fabrication japonnaise à l'inverse de la concurence (chinoise). Le niveau de qualité se paie : pas de remplacement de graisse, de roulement, de PO (même s'il est perfectible) ... Et un SAV à la hauteur. Voilà, après avoir dit tout ce bien de cet instrument je vais en dire du mal : une collimation difficile, un mode d'emploi parfois faux, une mise en station complexe suivant le mode opératoire prévu (mais qui se contourne, cf astrolabo)... Voilà

  5. Le RS200 est une valeur sure, la GP... aussi. Biensur il y a moins cher. Enfin pour le Ciel Profond en visuel cést un trés bon instrument. Question photo on y arrive aussi mais il faut rester léger. En résumé un très bon choix. Bon ciel

  6. A mon avis tu ne DOIS acheter aucun filtre. En revanche si des objets comme les Dentelles deviennent ta tasse de thé alors un UHC sera le bien venu, lorsque tu auras un gros diamètre (mais peut etre l'as tu déjà puisque tu semi débutes) tu rêveras peut-être d'un OIII et ce sera pertinent mais bien avant ça comme il est mentionné plus haut une feuille d'astrosolar te donne accès au Soleil en lumière blanche pour un prix très modique et un filtre polarisant pour la Lune, tu ne regretteras jamais. Enfin dès que tu sucomberas aux charmes irresistibles de la webcam, il te faudra accueillir un IR-CUT. Comme tu l'as deviné tu achètes les filtres qui correspondent à ton activité, pas forcément les mêmes que ceux du voisin. Bon mais toutça c'est de la redite, rien de nouveau ... Bon ciel

    [Ce message a été modifié par ndesprez (Édité le 23-03-2008).]


  7. Ah, un levantin ... Où au pays du cèdre ? Au passage, quel bel endroit ; il y a une bonne vingtaine d'année, l'électricité ne fonctionnait pas mieux. Je suis d'accord avec Frédéric, tu es trop pressé. Marcus, j'abonde également, seul dans un coin c'est (très) dur !
    Question budget, certains petits génies se contentent de très (très) peu. Pour d'autres dont je fais partie, 5000 euros c'est (trop ?)juste : TSA 102 sur GM8 Gemini avec MX5 d'occase. En revanche ça marche du premier coup ! Bon ciel

  8. Débuter l'astrophoto avec un gros tube est certainement possible. Personnellement, ce fut un échec. A cette occasion j'ai compris qu'il me fallait quelque chose de plus léger pour limiter les frais engendrés par la monture (et limiter la prise au vent et ...) car finalement je pense que cette dernière est beaucoup plus importante que l'instrument. Les objets du CP sont facilement accessibles avec un bon (un excellent) Goto, pas celui d'une (?). Biensur on peut s'en passer si on connait le ciel (ce n' est pas mon cas). Enfin l'imageur : une vraie CCD fut-elle petite reste une CCD et se trouve d'occasion à prix modique. Le reste vient avec le temps.
    Ma réponse est un peu à coté de la question et j'en suis conscient mais bon, question photo mon C11 reste au placard en revanche ma (?) est de sortie chaque fois que la météo se montre clémente. Bon ciel.

    PS Remplacez les ... et les (?) par ce que vous voudrez, le principal étant de vous faire plaisir.


  9. Tout est déjà dit et je ne puis en rajouter faute de voix (souffle coupé). Une petite question toutefois pour bien comprendre l'ampleur du travail : allons, dis le nous, combien de temps derrière le capteur et derrière l'ordi pour ce chef-d'oeuvre ?

  10. APN, CCD, est-ce vraiment le même combat ? Je ne le pense pas : Format à l'avantage de l'APN (sauf à y consacrer des sommes très importantes), refroidissement favorable à la CCD ... Je me garderai bien de trancher. Une info cependant : les prix des CCD d'occasion sont au regard du prix du neuf, nettement plus interressant que ceux proposés pour les APN. Bon ciel.

  11. Voui voui tout cela est bien vrai. Il ne faut pas oublier Astrosurf mag et comme je ne parviens pas encore à l'oublier Eclipse ; je me rends compte alors que si l'offre s'étoffe, il reste encore de la place. J'ai failli oublier : n'oubliez pas les quelles publications d'excellente qualité accessibles via le net. Mon grand regret (mais peut-être allez vous m'aider) : l'absence d'un magazine étrander d'expression française. Cieux clairs

    [Ce message a été modifié par ndesprez (Édité le 10-03-2008).]


  12. Pourquoi cette solution ... Et pourquoi pas ? En fait j'ai retenu cette approche pour son originalité, sa simplicité et surtout son habitabilité. J'observe le soleil et ma lunette équipée est très longue, il me fallait donc de la place. Idem question hauteur, je trouve que le toit à deux pentes asymétriques dégage plus d'espace. Enfin, et ce n'est pas le moindre détail, ce bâtiment brille par sa discrétion, sa banalité devrai-je dire. Cerise sur le gâteau, la partie fixe de cette construction offre une surface de 6 dm2 : j'attends de pieds fermes l'autorité municipale qui me chercherai des poux dans la tête (sourire car un village est souvent bien trop heureux de voir notre activité s'excercer sur son territoire). Voilà voilà, bon ciel.