hamilton

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Messages posté(e)s par hamilton


  1. A la notion de "1ère photographie" de la terre,je me permets d'ajouter "la plus mythique".

    Sans conteste,je choisis le clair de terre immortalisé par l'équipage d'Apollo 8 (1ers hommes à observer la face cachée de la lune).

    La fameuse formule lancée par Franck Borman la veille de Noël lors d'une retransmission télévisée suivie par probablement 1 milliard d'individus,augure bien du sentiment ambigüe qui animera les astronautes américains.

    Au delà de l'élan de mysticisme dont Borman fait preuve en récitant des versets de la Bible(n'oublions pas que chez nos amis américains,Dieu n'est jamais trés loin,ce qui présente l'avantage de marcher un peu moins seul dans la vallée de l'ombre...),il concluera par un joyeux Noël aux habitants de "cette bonne vieille terre".

    Décidemment,je persiste et je signe,les photos d'Apollo 8 sont les plus chargées d'émotion,outre leur splendeur.

    A l'heure où des experts s'accordent à déclarer l'état d'urgence pour notre "bonne vieille terre",les paroles de Borman et de son équipage prenne tout leur sens.


  2. "Je bloque l'appareil de manière qu'il reste en pause assez longtemps.Je cherche à m'orienter vers le pôle nord...Les étoiles forment un cercle tournant autour du pôle,ce qui donne une impression de mouvement.Cela m'occupe et c'est un des éléments de mon adoration.Les étoiles,c'est tellement beau".

    Abbé Pierre.Ermitage d'été Charles de Foucauld(Algérie).1992


  3. Pour un "enfant d'Apollo" comme moi,devenu un peu "astram" pour compenser la perte des espaces rêvés,ce docu fiction(avec ses imperfections,ou plutôt ses petits arrangements avec la froide rigueur scientifique)est un moyen de transport magique.

    On remarquera d'ailleurs que la dimension fondamentalement hostile du cosmos n'est pas dénié.Donc,point d'angélisme...

    Je compte bien me payer le DVD.


  4. Allez,une petite fable de Noël pour rêver un peu,naïvement comme il se doit!

    LE MESSAGER.

    Le petit véhicule européen « Méliès » accomplissait sans faillir et ce, depuis deux mois, sa mission d’exploration lunaire.

    Véritable laboratoire polyvalent et observatoire délié de la tutelle atmosphérique, il embarquait à son bord un équipage exigeant mais invisible :l’ambition d’une Europe qui se montrait en cette occurrence, devancière.

    Nulle autorité ne prétendait que ce robot rendu intelligent serait l’avant garde d’une implantation durable. Cette Caravelle traçait son sillon sur un régolite et des mers déjà empruntées par des explorateurs venus du Nouveau Monde. Il leur appartenait toujours du moins leur Président l’avait réaffirmé, d’habiter en pionnier cette autre terre qui s’était parée de l’ étendard de le grande nation depuis le 20ème siècle. Les Etats Unis avaient seuls les moyens, et le devoir, de représenter chaque citoyen de la planète Terre dans les bases qui seraient largement ouvertes à la coopération des hommes de bonne volonté.

    Depuis son atterrissage, « Méliès » avait délivré des images parfaites ,y compris de son labeur de géologue. Des animations relayées par internet pour la communication grand public donnaient le sentiment à chacun de cheminer tel un caravanier sélène, au rythme lent d’un familier du désert. Des équipes internationales partageaient la masse de données scientifiques, analyses chimiques et autres relevés topographiques ,jusqu’aux mesures des rayonnements solaires.

    Le rover connut une première avarie et qui interdit la transmission de toutes ses images à très haute résolution, à l’abord de la Mer de la Tranquillité. La liaison ne put jamais être rétablie, frustrant ainsi de fidèles amateurs, avides des panoramas désolés et blanchâtres. Les appareils à vocation scientifique, ces travailleurs de la rigueur et des expérimentations invisibles, continuaient quant à eux à délivrer leurs messages codés, que des bénédictins en blouses blanches devaient sûrement recopier et décrypter dans l’ombre des laboratoires.

    La traduction officielle de ce contre temps prit la forme d’un communiqué que le responsable du programme prodigua sans émotion apparente, mettant davantage l’accent sur la continuité de la mission que sur la déception suscitée par l’absence d’images.
    Un demi échec, tant que le partenariat avec une Amérique à nouveau aux portes d’une aventure spatiale d’envergure, restait preneuse des données fournies par le messager de la vieille Europe. A terme, l’analyse de cette panne ferait partie des atouts que la Nasa mettrait en avant pour présenter aux décideurs un projet aux aléas réduits, notamment sur le terrain de la communication.

    Je songeais à cette nuit de pleine lune durant laquelle, incapable de dormir, j’avais décidé de hanter mon jardin et d’y planter ma lorgnette indiscrète en direction des formes offertes par le compagnon de notre planète . Drôle d’amour né probablement d’un coup de foudre violent, qui, au lieu de naître d’une côte, arracha au bel Adam encore frémissant ,une partie de son manteau. Un jour d’une ronde cosmique, et les deux corps s’unissaient pour, dit-on, offrir les conditions de la vie.
    Observer la pleine lune, cette jalouse qui ne supporte pas plus lumineux qu’elle, m’a toujours fasciné. J’aime ce spectacle en trompe l’œil d’une sphère tachetée, brillant comme un métal poli sous les feux directs du soleil, gommant ainsi les cratères ,cicatrices d’une lune trop ouverte dans sa jeunesse aux assauts des météorites. Ainsi , les montagnes, les failles se font discrètes et attendent une ombre propice pour dévoiler sans pudeur la vérité du corps meurtri.

    D’un oculaire à l’autre, je revenais toujours à celui qui me garantissait de voir l’éclatante beauté flottant à son aise dans le champ de ma lunette, plutôt que de chercher à en débusquer les détails. A portée de main, un appareil photographique numérique attendait son heure. Mes tentatives précédentes m’incitaient à modérer mon désir de fixer sur écran ces instants magiques, autant que les réalisations d’astronomes amateurs dont l’implacable technicité me renvoyait à mes balbutiements. A chacun son truc mais quelle frustration !

    L’heure sonnait déjà de prendre congé de l’hôtesse, d’un dernier regard jeté à la fécondité, sérénité, tranquillité ; figure familière de mers mortes. L’esprit un peu acquis au retour dans ma couche douillette, j’eus cependant le temps de remarquer une fulgurance, comme un petit éclair et une vapeur orangée , me sembla-t-il. Le mirage de l’observateur fatigué qui a soif de repos ? Etait-ce même sur la surface sélène ou dans la proche atmosphère terrestre ? Dommage, pas de photo encore pour cette fois…

    Je songeais à cette nuit, un an avant que le rover européen n’arpente ces zones troublantes et à ma nouvelle frustration de n’avoir point d’images « in situ » par surcroît.

    La caméra du robot intelligent et muet découvrait comme convenu la zone d’alunissage d’Apollo 11, quarante cinq années après. Comme convenu un hommage solennel serait rendu, sur la base de la tranquillité, à ces premiers pas de l’humanité hors de ses frontières terrestres.

    Méliès découvrit les traces. Quatre empreintes circulaires d’un diamètre suffisant pour soutenir un homme. Méliès était devenu aveugle par la grâce d’une décision politique et cette cécité sélective permettait aux commanditaires de sa mission de recevoir seuls, le choc de la vision des empreintes. Brute, l’information ouvrait la voie à une trop forte remise en question. Il appartient aux guides des nations, aux bergers du troupeau apeuré que nous sommes, de montrer cette voie, ce lendemain acceptable par tous.

    Comment expliquer, livrer en pâture cette image d’un site hautement symbolique de la puissance technologique de l’humanité et délesté de son vaisseau amiral ?

    De la présence du l’alunissage, il ne restait plus que quatre empreintes dans un régolite manifestement balayé alentour par un vent inconnu, étrange sur une terre stérile où ne souffle nul vent…

    Restait à présent à interpréter ce message.

    ion.Juste pour rêver un peu...


  5. L'extrait du texte est effectivement édifiant et je frémis à l'idée que nous soyons maintenus dans l'ignorance d'un aussi grand projet aux dimensions "bibliques".

    Dans l'attente et pour me changer les idées(repos forcé+temps de chien),je me suis refait "Rencontres du 3ème type".

    Je fais mienne un critique ciné de l'époque:"C'est Noël pour les grandes personnes!"

    ps:je suis sûr que Mr Truffaut doit en parler avec Mr Noiret dans un autre espace temps.


  6. Je me permets de m'immiscer entre mr Camargue et ses demoiselles,si je puis dire,pour relever quelques points qui me font réagir.

    Le vrai mal réside,me semble-t-il sur cette dichotomie "sphère de l'école"/"sphère des parents".

    Ne devrait-on pas plutôt militer,quand cela est possible,pour un véritable partenariat entre les parents et les enseignants?
    Un gosse ne peut passer toute sa journée à l'école sans que cela ne laisse des traces!...Y compris sur son Education.Les enseignants n'ont certes pas à assumer la charge de l'éducation en lieu et place des parents mais constituent un relai.Sociabiliser un enfant c'est aussi lui confirmer certaines règles du jeu(politesse,respect d'autrui,des différences,droit de critique,de la hièrarchie,vertu du travail bien fait...)que papa et maman sont heureux de voir réitérer aprés une journée de travail souvent bien remplie!

    Parler d'un ministère de l'Instruction,plus que de l'Education,ça fait quand même un peu "Jules Ferry" et considérons que depuis ce temps là,ce rôle connoté d'un certain paternalisme donné aux enseignants a un peu évolué.Je m'adresse au juriste qui saura faire la différence entre "paternalisme" et le comportement de "bon père de famille".

    L'astronomie à l'école,c'est peut-être aussi l'affaire des parents.Et je l'avoue,Votre Honneur,je suis probablement un prosélyte.Coupable par un beau matin de juin 2004,au bénéfice d'une "rtt",d'avoir plutôt pris le chemin des écoliers que celui du club d'astro(comme prévu initialement)pour demander au Directeur d'une école primaire l'autorisation de faire partager un moment unique aux gosses de l'établissement.
    L'imagination est au pouvoir vous disais-je.
    Cela illustre un peu la notion de partenariat,et quel plus beau symbole que le "transit de vénus",qu'à mon avis,des maitres habiles ont dû exploiter dans diverses disciplines.

    Dernier point.Bravo à Mr Camargue pour la note d'humour relative à "je me relis pas...donc je fais des fautes de frappe".Voilà un conseil excellent à donner à nos chères têtes blondes,brunes,rouquines....


  7. Il se dit quand même des choses consternantes.Je ne veux citer personne car la courtoisie doit rester de mise sur ce forum.

    L'échange d'idées,la confrontation de points de vue sont le signe d'une vitalité,voire d'un esprit malicieux et frondeur qui marquent souvent notre communauté.

    Mais j'ai lu quelques sentences qui me déçoivent de la part d'intervenants que je tenais pour plus subtiles dans leur vision du monde,y compris celui de l'Education.

    1)Je trouve inepte de parler de la prééminence de telle ou telle matière en partant de l'exemple de l'astronomie opposée au Droit.
    Si je parle d'un certain Copernic,savant polonais qui a replacé la terre à sa juste place dans notre univers,je peux tout autant faire oeuvre d'historien que de vulgarisateur scientifique.Le français sera bien sûr le viatique incontournable,j'y adjoindrai des notions élémentaires de mathématiques(les distances dans le système solaire...).
    A mon sens,même si la notion de programmes doit rester le contrat incontournable de l'action pédagogique,je crois plutôt que pour le corps enseignant,l'imagination est au pouvoir.D'accord pour consolider les savoirs de base(lecture,écriture,calculs)par le biais d'exercices traditionnels mais ne pas exclure justement des matières qui peuvent indirectement soutenir l'acquisation desdits savoirs de base.
    J'en reviens à mon propos initial,n'opposons pas matières fondamentales et matières "réserves indiennes" ou réservés aux seuls passionnés.
    Le rôle de l'enseignant est de préparer le futur citoyen à s'intégrer socialement et professionnellement dans un environnement qui par essence,le confronte à des réalités mouvantes.L'apprentissage d'une matière doit être aussi l'occasion de décloisonner l'enseignement,de tendre des passerelles vers d'autres matières.Il faut que les enseignements fassent sens pour les élèves.Savoir formuler une opinion c'est important en français,justifier sa réponse,c'est tout aussi important en mathématiques.

    2)si un enseignant s'engage sur la transmission d'un savoir au travers d'un cours hors de sa matière d'élection,il a par contre un devoir de sérieux minimum.Et là,je rejoins tous ceux qui s'offusquent quand même qu'une planéte soit confondue avec une étoile.Vulgariser,n'est pas maltraiter vulgairement une discipline.

    3)Susciter l'esprit d'investigation,la curiosité,la critique,responsabiliser un élève sur son "contrat" voilà ce que je trouve transverse à tous les enseignements.
    Notre société demande des gens,des ACTEURS,de plus en plus adaptables(travaillant dans le domaine de l'insertion professionnelle,j'en suis le témoin chaque jour).

    N'ajoutant pas nos propres discriminations à celles que générent nos sociétés!


  8. Une question de candide me vient à l'esprit lorsque je contemple la lune,et que j'envisage le couple équilibré qu'elle forme avec notre planéte.

    Pourrait-elle,par le jeu de la mécanique céleste,et au terme d'un hasard incroyable,faire écran à un astéroïde qui,en raison de sa taille et de composition aurait des conséquences catastrophiques sur terre?

    Peut-être que les forces gravitationnelles,les masses respectives de ces deux corps font que physiquement,un astéroïde de ce calibre serait immanquablement attiré par la terre?

    Peut-on "modéliser"(pour ne pas dire imaginer),les conséquences par ricochet d'un impact de cette nature sur la lune pour la terre?

    N.b:à propos du sursis accordé à Hubble,vous refaites le débat sur "l'homme qu'a jamais marché sur la lune"...Pas grave,la conquête spatiale fait aussi partie de nos rêves,fondés ou pas.


  9. Je prends la balle au bond(j'ai eu l'occasion de visiter ton site avec ses "jeux de lune" et lumière...),j'aime bien ta façon d'aborder,de mettre en scéne les sujets.On oublie la technique(évidente)au profit d'une esthétique jamais "tape à l'oeil" mais au contraire proche de la vision humaine dans certains cas ou au contraire un peu "fantasmatique".S'y ajoute la subjectivité bien sûr,mais ta lumière cendrée avec son cortége d'étoiles me rappelle la vision dans une paire de jumelles.Ces instants sont magiques,bravo d'en saisir la substance.
    Vive les astro frenchies(bretonnant je crois deviner et un peu druide aussi?).

    Hamilton.


  10. Fiat lux!

    Les codes-barres sur le toit du hangar...Mais c'est bien sûr!
    De l'art vu du ciel uniquement.N'importe lequel d'entre nous,un tant soit peu sensible à la conquête spatiale...Allez,allez,plissez légérement les yeux.Franchement ça ne vous fait pas penser à une image élevée au rang d'icône...Je vous aide:un petit pas pour l'homme....

    Géniaux les américains,y méritent vraiment l'exclusivité des innovations technologiques extra-terrestres.


  11. Eric57:

    Commande-toi d'urgence le petit ouvrage paru à l'occasion de "la nuit extraterrestre" de Canal+.J'ai vérifié sur le net,c'est possible ça.
    Sans te prendre le chou,tu auras un aperçu des grandes lignes des mythes fondateurs.C'est trés bien illustré,rapide à lire.Certaines vérités sont bonnes à intégrer pour éviter quand même l'engoudissement intellectuel.

    Depuis,je suis en quête...du petit cosmonaute articulé(qui illustre la page 44).Snif,j'avais 10 ans ce Noêl là...Là vraiment,je suis prêt à mettre le prix fort pour cette relique!

    A+


  12. Mais non,mais Vaufréges...Encore une fois,n'est-ce pas,je constate,n'est-ce pas,une tentative de diabolisation de mes propos...Si tu lis bien entre les lignes(de touche),c'est un peu le doute qui m'habite.
    Ce doute que je masque il est vrai par une dérision,une taquinerie amicale.Je fus un grand lecteur(et non électeur),d'ouvrages qui ont alimenté mon imagination adolescente,tout autant que leurs auteurs,les bougres.
    Je rejoins la pensée d'A.C Clarke quand il dit:"comme toujours la réalité dépassera la fiction".
    Ceci dit,l'absence de preuves irréfutables,laisse la place au "pourquoi pas?" qui est aussi un espace de rêve.

    Longue vie au Gepan(dans les dents).

    PS:l'Om et Aja:you'll never walk alone,Vaufréges.
    +vivement samedi prochain:tu vois,j'suis aussi ouvert au merveilleux.


  13. Eric 57:

    Allez j'avoue,je suis aussi un repenti et la mise en boite(noire) dont tu es l'objet par certaines âmes non charitables sur ce forum, me touche aussi un peu.
    Je suis un repenti de l'archéologie mystérieuse:les peintures rupestres du Tassili(non pas des guerriers neolithiques mais à l'évidence des extra terrestres;de la Bible cachée(les vaisseaux spatiaux d'Ezéchiel);les pistes d'atterrissage de Nazca,le monolithe de Tycho(quel con ça c'est 2001!!).
    Je suis un repenti des grandes conspirations et enfant de la nouvelle vague des soucoupes volantes(j'ai assisté à une conférence de J.C.B. et j'ai même posé une question sur le cas Antonio Vila Boas!).

    Aprés ce long intermède,j'ai continué à lire de la vraie SF,voir de vrais films et repris l'astro.Comme toi,j'adore rêver.

    Tiens,ça serait sympa d'aller sur Nazca via google,on voit-i les lignes?

    M'sieur Brunier,depuis samedi soir il faut repenser la question "extra-terrestre" qu'on avait un peu trop vite enterrée avec la disparition du "Lomu".


  14. Tant que j'y pense:

    Allez donc sur google earth et survolez le stage Gerland de Lyon.Ce monument a été samedi soir le théâtre d'un événement étrange qui a impliqué 15 men in black,et ce,devant une foule de plus de 40.000 personnes!
    Trajectoires aléatoires et virages à 90 degrés,ligne de défense invisible et infranchissable(champ de force?),expressions dans une langue inconnue précédée d'un rituel extra-terrestre,figures géométriques sur visages.

    15 men in black vous dis-je et en face pouf!perte de mémoire instantanée,grôôôôsse fatigue.
    Y'AKA imaginer!


  15. Si ma mémoire ne me fait pas défaut,"Sciences et vie" au début des années 80,avait enquêté sur l'existence du "Triangle des Bouches du Rhône" et recueilli nombre de témoignages concordants.
    Je suis prêt à faire un effort pour obtenir ce numéro "collector".

    Je te préviens no 57,ainsi que je l'ai déjà affirmé dans un post:"Brunier au balcon,ufovni aux cartons"....