michelectron

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Messages posté(e)s par michelectron


  1. Chris,
    tu trouveras ici: https://www.dropbox.com/sh/m6k302xjy74w468/vNjuiv-bce
    un schéma réduit au minimum vital. Les valeurs effacées sont à choisir selon tes besoins.
    J'ai joint aussi la doc du MC3479. Pour toi, ce sera sans doute du chinois et en anglais de surcroit, mais on ne sait jamais, si tes pas croisent ceux d'un adepte de la noble science de l'électronique...

    [Ce message a été modifié par michelectron (Édité le 28-12-2012).]


  2. Bonsoir,
    Personnellement je vois un autre gros avantage à la monture azimutale version Dobson, c'est la possibilité réelle de pointer aux coordonnées.
    A première vue ce que je dis est choquant: le pointage aux coordonnées c'est réservé aux coordonnées équatoriales. En pratique, avec les petites montures qui offrent des cercles gradués de quelques cm de diamètre, la lecture est tellement imprécise qu'on tombe à coté 3 fois sur 4.
    Les Dobson se prêtent bien à l'installation de graduations sur des cercles de l'ordre de 50cm de diamètre. Dès lors, le 1/4 de degré de précision n'est pas utopique. Bon, les coordonnées altazimutales changent tout le temps. Et alors? A notre époque d'informatique galopante ce n'est plus un problème.
    Il suffit d'avoir un ordinateur sur le terrain. Avec un logiciel comme "cartes du ciel" on calcule la position en deux clics juste avant d'orienter la bête. Et ça marche!

  3. Bonsoir,
    ouyouyouille là on est en pleine confusion!
    En photométrie, il y a 2 sortes d'unités:
    Celles qui caractérisent la source
    celles qui concernent le récepteur

    Un luxmètre mesure un éclairement c'est à dire la quantité de lumière reçue
    par unité de surface du récepteur.
    Or là, on veut mesurer le ciel, donc la source. Pour comprendre toute la différence, il suffit de se demander quel serait l'éclairement du sol si on éteignait le réverbère du bout de la rue.
    On aurait peut être une mesure significative en mettant un long tuyau devant le luxmètre, mais alors avec très peu de lumière puisque l'angle solide intercepté serait très faible.
    Le cache blanc pose un autre problème lié à la directivité. Le cache est diffusant de façon à ce qu'une partie des rayons soit redirigé sur le capteur quelque soit l'angle d'incidence. Donc le rapport entre, avec et sans cache, va dépendre de la direction de la lumière incidente, ou plutôt de la répartition de la puissance entre les directions des différents rayons de la source.
    On considère je crois (réminiscence d'une lecture vieille de plusieurs décennies!)que l'éclairement dû à la Lune c'est de l'ordre de 0,2lux. Un ciel même pas trop noir ça éclaire beaucoup moins(on trouve moins son chemin à la nouvelle Lune qu'à la pleine), même si dans ce cas la source est beaucoup plus étendue que la Lune.
    Donc c'est ultra clair, ton luxmètre n'est absolument pas adapté à ton problème. A la rigueur, tu pourrais mettre une optique devant pour ramasser un maximum de lumière dans la bonne direction et demander à un électronicien qu'il te monte l'ampli qui irait bien derrière et un voltmètre à la sortie.

    Ben oui, entre le bruit, la réponse spectrale, la directivité de la source et celle du récepteur, voire la linéarité, la photométrie, c'est pas de la tarte!
    j'espère quand même t'avoir pas trop démoralisé
    bon ciel!


  4. b'soir,

    Si tu disposes de l'alimentation, tu devrais trouver ta réponse sur le boitier. Sur celle de mon easynote TJ65 je lis:
    Output 19V --- 4,74A puis un schéma du connecteur bien explicite. C'est clair, le + est au centre.
    Mais peut être que si tu cherches le + c'est pour faire un branchement de fortune parce que tu n'as plus l'alim. Le mieux alors, serait de chercher l'info chez PB ou trouver quelqu'un qui aurait le même easynote. Mais bon, d'un easynote à l'autre, il serait étonnant que ça change.
    cordialement


  5. Bonsoir
    Désolé, je prend le train en marche.
    Juste une petite suggestion. Si j'ai bien compris (j'ai lu en diagonale) tu as à un moment voulu faire un réseau avec un film et il a cramé : trop absorbant. Sais tu qu'on peut blanchir un film ? On remplace la fonction de transparence par une modulation d'indice, ça absorbe beaucoup moins. C'est la solution utilisée par les holographistes.
    En tout cas, chapeau bas pour ce boulot de titan génial de toute façon.
    Ancien électronicien, ayant bossé sur les lasers, j'apprécie d'autant mieux!

  6. Moi je mettrais une diode pour être sûr que c'est toujours la batterie voiture qui recharge celle de la remorque et jamais l'inverse. Et à la place d'une résistance, je mettrais une ampoule de phare. En effet, l'ampoule a une résistance qui augmente avec le courant. On a donc un certain effet stabilisateur de courant. Donc les branchements seraient pour être tout à fait clair : Le moins de la batterie auxiliaire à la masse bien sûr ; le plus du connecteur de remorque à l'anode de la diode (prendre un model assez costaud pour être tranquille : au moins 5A); la catode de la diode à un coté de l'ampoule et l'autre coté au plus batterie remorque.
    Avec ça tu devrais avoir une charge douce et l'ampoule, à peine allumée, fait témoin de charge !

  7. Ah, la technique c'est rarement simple.
    On se dit : Je prend une pile, un moteur et un rhéostat et ça va le faire.
    Oui mais il faut pouvoir arrêter le systus donc ajouter un interrupteur. Mais il faut que ça tourne dans les deux sens donc ajouter un double inverseur. ET quand on arrive en bout de course de la map que se passe t'il ? Il faut arrêter le moteur et ça, des deux cotés. Donc deux contacts fin de course. Mais si on met simplement des interrupteurs tout s'arrête sans pouvoir repartir en sens inverse donc il faut encore deux diodes en parallèle sur les fin de course. Ouf on y est.
    Sauf que ça marchera plus ou moins bien, ça ne sera pas très commode question inversion de sens, mais surtout on n'a encore rien calculé. Quelle doit être la puissance nominale du potentiomètre ?
    Le bon schéma c'est celui donné plus haut avec le potentiomètre monté en ... potentiomètre et pas en rhéostat. De cette façon on est assuré de descendre à la vitesse nulle. Pour que ça marche bien, il faut que le courant qui traverse le potentiomètre soit grand devant le courant du moteur. Au bas mot 3 fois plus. Raisonnons sur un tout petit moteur de 3V 1A. Le potar devra supporter 3A plus l'Ampère du moteur soit 4A sous 3V. Sa puissance nominale doit donc être supérieure à 12W. Ca fait un gros potentiomètre. Et l'alimentation devra fournir entre 9 et 12W. Exit les piles.
    Bon, je suis un peu long mais c'est pour te montrer la différence entre "une bonne idée" et une idée aboutie.
    Une solution plus satisfaisante serait d'utiliser un transistor. Le potar serait traversé par un courant disons 50 fois plus faible et le courant consommé se limiterait à celui du moteur. Il faut un transistor NPN capable de supporter le courant de blocage du moteur. Le potar est branché comme dans le schéma précédent mais son curseur (la broche du milieu) est relié à la base du transistor. Le collecteur est au plus de l'alim. et le moteur est entre l'émeteur et la masse.
    J'en vient (enfin ) à la solution servo moteur.
    Un servo moteur est un ensemble comprenant un motoréducteur, un rhéostat entrainé par l'axe de sortie du réducteur et une électronique. Le servo est commandé par des impulsions de durée variable. Chaque fois que le servo reçoit une implusion (toutes les 20ms), il déclenche un monostable, (une bascule électronique qui donne des impulsions dont la durée dépend de la valeur du rhéostat). Le servo compare la durée de son monostable avec l'impulsion reçue. Si l'impulsion du monostable est trop courte, il tourne dans le sens qui augmente la valeur du rhéostat, si elle est trop longue, il tourne en sens inverse jusqu'à ce qu'il y ait égalité. En définitive, la position angulaire de l'axe de sortie est liée à la durée de l'impulsion de commande.
    En pratique, il faudrait réaliser un petit circuit fournissant les impulsions de commande dont on ferait varier la durée (entre 0,5ms et 1,5ms) avec un réhostat.
    Reste un petit problème : Un servo a une course assez faible, en fait celle d'un potar soit environ 3/4 de tour. La difficulté pourrait être contournée en utilisant des engrenages.
    Bon tout ça n'est peut être pas bien simple pour quelqu'un qui a des difficultés pour brancher un simple potar.
    Mais si tu es très motivé tu peut toujours essayer. De toutes façons tu apprendra plein de trucs. Le mieux serait de trouver de l'aide sur place.
    Je reste à ta disposition, mais en ce moment je n'ai pas beaucoup de temps alors il faudra parfois être patient.
    A+

  8. commander la vitesse d'un moteur avec un rhéostat est une très mauvaise solution. Particulièrement dans ce cas, où l'on veut descendre quasiment jusqu'à la vitesse nulle. Et en plus il te faut les deux sens de rotation. Comment tu compte faire ? Basculer un inverseur? Quel cirque!
    Non la bonne solution ici c'est le servo moteur : A une position du potentiomètre de commande correspond une position sur la map.

  9. Bonsoir,
    Si on le lance à l'extérieur, mais attention pas trop fort, vraiment pas fort du tout, et même encore moins que ça, le champ de pesanteur de la station spatiale devrait le ramener non ? J'ai bon ou j'oublie quelque chose.
    Quelqu'un a une idée de la vitesse de libération. Ça doit être assez ridicule.
    Cieux clairs

  10. Moi aussi je suis un fana des triangles semblables. On s'en fout de la taille réelle des pixels. Il suffit de trouver à quelle distance il faut placer un objet de 18cm pour que son image fasse 11 pixels et multiplier le résulta par 10. Bon, fait comme ça, ça demanderait un certain nombre d'essais. En fait, on fait un essai, on compte les pixels et on fait euh ... une règle de trois. Excusez, je suis un vieux de la vieille.

  11. Une anecdote qui montre le niveau en physique des Bogdanov :
    Ils passaient l'autre jour à "qui veut gagner des millions" et ils ont réussi à dire que la poussée d'Archimède c'était DEUX fois le poids du volume d'eau déplacé.

  12. En même temps, il avait dit : corrigez moi. Il a été servi largement!
    Plus sérieusement, il y a aussi l'orbite d'un étoile qui tourne autour de sa voisine (oui , bon, autour du centre de gravité ...). Est ce qu'on appelle ça aussi orbite stellaire, ou y a t-il un terme particulier ?